Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Maximilien décide alors de faire une petite balade en raquette pendant cette courte accalmie. Il prévient tout haut Marie Charlotte. Celle-ci ne répond pas.

« Quel bonheur de retourner en forêt. La neige est parfaite le soleil est au rendez-vous et quel calme! C'est parfait! » pense t'il

Bien couvert, il marche tranquillement dans ce coin retiré. Aucun vent n'agite la cime des arbres. Parfois, sans raison apparente, sans que rien n'ait bougé dans les taillis, sans qu'il ait vu s'envoler un oiseau, des paquets de neige se détachent, glissent de rameau en rameau, entraînant d'autres paquets en une petite avalanche qui se pulvérise sur une branche basse. Ce spectacle le ravit. Il fait froid mais il y a un beau soleil, un temps plus qu'agréable pour faire une balade, et méditer.

Il repense évidemment à sa belle-sœur.

Toute la journée du mardi elle fait tout pour éviter Max.

La rogne ne la quitte toujours pas. Se faire baiser comme une putain, être un objet de plaisir est inacceptable. Elle ne décolère pas. Son beau-frère l'a violentée mais surtout il l'a utilisée comme une poupée, l'a utilisée pour son propre plaisir.

****

Le jeudi matin après le petit déjeuner Marie Charlotte dit à max qu'elle va partir au village. Or il neige à gros flocons, on ne voit pas à dix mètres. Max lui dit que c'est une mauvaise idée.

« C'est trop dangereux. Le village est à plus de dix kilomètres et vu le temps tu ne pourras pas te repérer. Tu risques de te perdre » argumente t'il.

Or le simple fait qu'on lui dise non est inimaginable. Elle profite que Maximilien est à la salle de bain pour s'éclipser. Aussi lorsqu'il se rend compte de l'absence de sa belle-sœur, cela fait déjà un quart d'heure qu'elle est partie.

Furieux, il se dépêche de s'habiller et sort avec ses raquettes. Il ne la voit déjà plus. En suivant les empreintes, Il lui faut plus de quarante-cinq minutes, à marche forcée, pour la rattraper. Arrivé à son niveau, elle est furieuse. Elle ne supporte pas qu'on lui dise ce qu'elle doit faire. En même temps elle est soulagée car elle a l'impression d'être perdue, ce qu'elle ne reconnaitra pas, bien sûr. Il n'est pas question de faire demi-tour, ce serai reconnaitre son erreur et elle est trop orgueilleuse pour l'avouer. D'un autre côté, elle ne sait quelle direction prendre, cela fait cinq minutes qu'elle tourne en rond et avoir un chevalier servant qui se préoccupe d'elle, flatte son égo.

Cependant Max ne la rejoint pas le sourire aux lèvres. Anxieux et en colère, pestant contre l'inconscience, la stupidité de sa belle-sœur, il l'incendie.

Le trajet de retour est long, plus d'une heure et demi. La dame est fatiguée, elle a mal aux jambes, elle tombe, met un temps infini à se relever et veut s'assoir pour se reposer. Il est vrai qu'avec plus de quarante centimètres de poudreuse sous leurs pieds, la marche est difficile. Max est obligé d'entendre ses jérémiades, ses mots doux. Froid comme la pierre, il n'y fait pas attention. Il ne cède pas, la relève, la stimule pour avancer. Son unique but est de retrouver le plus vite possible la sécurité du chalet.

Cependant, à cinquante mètres de l'arrivée, Marie Charlotte est plus que jamais infecte. Ce peut être parce qu'elle s'aperçoit qu'elle est de retour et donc constate son total échec, qu'elle est éreintée et reporte tout son malheur sur Max, ou encore qu'elle doive porter la responsabilité de leur confinement sur la première personne devant elle. En tout cas, toujours pour de mauvaises raisons, elle insulte max de mots d'oiseaux choisis jusqu'à perdre la raison, et emportée par sa mauvaise foi et sa hargne, vomit des mots très grossiers, inacceptables.

« Tu es fier comme un paon parce que tu m'as baisé... je dis baiser, mais ce n'est pas exact, tu n'es même pas capable de faire jouir une femme, tu n'es qu'un butor, une buse qui croit que les muscles peuvent tout régler....... » déclame t'elle tout au long des derniers mètres.

« Jamais un sale connard comme toi ne pourra me dire ce que je dois faire, enculé de merde. » ajoute-t-elle en ouvrant la porte.

Maximilien est hors de lui. Cependant, avant de faire quoi que ce soit, il enlève ses chaussures, son blouson, fait un café, et s'assoit. Cette boisson chaude le réchauffe.

Sa belle-sœur attend qu'il ait fini pour prendre à son tour une tasse. Max a d'autre projets pour elle.

« Non, non! Toi ce n'est pas ce qu'il te faut » dit-il en lui barrant le chemin.

« Laisse-moi sale morveux... tu n'es pas chez toi ici. »

Marie Charlotte se débat, lui donne des coups de pieds, l'insulte à nouveau copieusement, mais elle ne peut empêcher son beau-frère de la maitriser. Dans le salon, il la pousse sur le canapé et lui immobilise les bras dans le dos avec l'écharpe. Ensuite il lui enlève ses chaussures, son jean et sa culotte. Elle continue à l'invectiver, en lui jetant des éclairs. Cela n'a pas d'importance, personne ne peut les entendre.

En chien de fusil sur la banquette, Marie Charlotte ne décolère pas. Recouverte de son pull mohair, les fesses à l'air, elle se demande ce que son beau-frère lui réserve. Elle a une idée plus précise quand max revient. Entre ses mains, il agite tel un fouet, une baguette de noisetier.

« Qu'est-ce que tu vas faire ... ne t'avise pas à me frapper, tu le regretteras! ». dit-elle la bouche remplie de morgue.

« Peut-être ou peut-être pas ... il se peut d'ailleurs que tu aimes, avec ton esprit dérangé » rétorque-t-il moqueur.

« Mais pour l'instant, viens sur mes genoux » dit-il tout sourire en s'asseyant sur le canapé.

« Jamais » vomit elle en se callant dans le coin de celui-ci

Elle sait pourtant qu'elle n'a aucune chance de lui résister, mais elle continue d'agir comme si elle avait un pouvoir.

« Tu veux qu'on s'occupe de toi.... Que tu sois le centre d'intérêt... eh bien je vais te combler » réplique t'il en la tirant par les bras. Elle se débat farouchement mais, avec beaucoup de patience, il l'installe sur ses genoux. Marie Charlotte est en rage, se faire donner la fesser cul nu est une honte incommensurable qu'elle ne peut supporter.

Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, les coups sont incisifs.

« OOOOOUUUUUUIIIIILLLL » Hurle Marie Charlotte « arrête cela tout de suite, espèce d'enfoiré... tu me le paieras »

Max resserre sa prise sur sa belle-sœur. Celle-ci rue en tous sens, mais il n'est pas du tout décidé à laisser sa belle-sœur continuer à l'invectiver « J'arrêterai quand tu seras raisonnable... arrête de brailler et après on verra. »

Huitisch , Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, Huitisch, la baguette tombent sur les fesses à un rythme effréné.

« OOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIILLLL » Hurle t'elle en continue

« Putain arrrrêêeeettte... j'ai maaall ... ffffffffffffffff » Geint elle.

Max remarque que des larmes coulent, sa belle-sœur a mal. Cependant elle est encore trop fière. Il ne s'attend pas à ce qu'elle s'excuse... elle ne le fait jamais. aussi-il continue à lui infliger la baguette tant qu'elle ne se soumet pas.

« Tant que tu seras arrogante je continuerai. » reprend il intransigeant.

Et donc, il abat avec encore plus de force, une dizaine de coups sur les fesses. Marie Charlotte ne comprend toujours pas. il augmente alors l'intensité des frappes, et zèbre sans retenu le fessier écrevisse.

Il ne s'arrête que lorsqu'enfin, elle n'a plus la force de crier, matée, pleurant à gros bouillon, elle le supplie, l'implore d'arrêter. Il la pousse alors délicatement sur le canapé.

Il faut plusieurs minutes à Florence pour étouffer ses sanglots, elle a du mal à retrouver son calme.

Maximilien n'avait pas envisagé de lui infliger une telle correction, seulement, face à sa suffisance et son entêtement il ne peut, ne doit céder.

Ceci dit, la fessée n'est que le début de la punition. Elle n'a toujours pas compris que le respect mutuel est important. Aussi il monte chercher la Biafine, en récupérant par la même occasion le flacon d'huile de massage. Il redescend ensuite. Marie Charlotte est toujours allongée, amorphe. Elle n'a pas de réaction quand Max délie ses poignets et lui tartine les joues.

Elle réagit par contre quand Max lui susurre à l'oreille qu'il va maintenant la baiser.

« Quoi! »

« Déshabille-toi! Je vais te baiser » lui redit il tout haut.

« nnnnooonnn » dit-elle entêtée.

« Si, si... je vais te baiser avec ou sans ton consentement... je fais comme toi, je ne m'occupe pas de ce que pensent les personnes... c'est bien comme cela que tu agis! Quand tu auras compris cela! » commente t'il

« À poil, dépêche-toi!» ordonne t'il sèchement.

Sans force pour résister, vaincue, Marie Charlotte enlève son pull. Elle omet son dernier sous vêtement or, devant le regard insistant de son beau-frère, elle retire son soutien-gorge. Gênée, Résignée, elle se met tel que lui indique Max, les genoux au sol, le ventre sur le canapé, les bras dans le dos.

Une fois encore il lui attache les poignets. Il préfèrerait ne pas la lier, cependant, vu ce qu'il projette, il se doute qu'elle se rebellera.

Il s'assoit ensuite à côté d'elle enduit ses doigts d'huile et presse une grande quantité de liquide dans la raie de sa belle-sœur. Celle-ci réagit instinctivement et lorsque Max lui précise qu'il doit lui préparer son anus pour la sodomiser, Marie Charlotte crie son refus, se débat. Max a anticipé. D'une main de fer il relève les bras de sa belle-sœur et pendant qu'il commence à la doigter lui dit :

« Tout à l'heure tu m'as traité d'enculé, entre autres, alors je voudrais savoir si tu sais de quoi tu parles » dit-il narquois

.

« Moi je ne connais pas ... mais toi, tu pratiques l'anal? avec Philippe, ... Tony? » reprend-il alors que Florence a retrouvé sa voix. Elle tourne la tête les yeux s'écarquillés comme des soucoupes.

« Mon doigt vient juste de glisser là-dedans. Tu t'es déjà faite enculer? » reprend il vicieux.

« Nooooooonnn.. SALOP! » dit-elle instinctivement, submergée par la honte.

Quand Max enfonce un doigt dans cette grotte onctueuse, il a l'impression de rêver, la sensation est aphrodisiaque. Il croit défaillir. Mais il se lasse vite d'un seul doigt, alors il se retire et en aligne un deuxième. Le majeur et l'index cette fois. Il les pousse tous les deux en même temps. Marie Charlotte crie en le suppliant d'arrêter, mais son beau-frère l'ignore. Il pense déjà au plaisir incommensurable de la grimper comme une chienne, de la faire gueuler jusqu'à épuisement. Seulement pour l'instant il savoure les sensations sur ses doigts, rentrant, sortant, lustrant le rectum, forçant le conduit, étirant les muscles puissants du sphincter. Rien que pour cet instant, il la remercie de l'avoir insulté.

D'ailleurs tout va très vite, Il se met à genou derrière la croupe de la grande, sa queue contre la rondelle, force, et force encore. La pression sur le rectum de sa belle-sœur est sévère mais le sphincter résiste, l'anus ne veut pas s'ouvrir. La grande crie, rue.

« Ohhhhh! Ohh, nooooon!» proteste la grande en panique alors que la pression reste constante.

« S'il te plait, Max! je le pensais pas » crie Marie Charlotte alors qu'elle se débat.

La porte de son conduit est toujours fermée mais les murs de son passage cèdent peu à peu sous les poussées constantes. Cela ne va pas pour autant assez vite au gout de Max. Son plaisir lui voile toute retenue aussi il gifle fortement la fesse droite de la grande, pour détourner son attention et, l'instant suivant, son gland passe la barrière de l'anus. Il ne va pas très loin mais il est rentré. Le gland, en buté contre la corolle, est comme aspiré et disparaît dans la rondelle distendue. Heureux, il marque un arrêt, trop content de pénétrer dans le canal étroit. C'est un premier pas sur la route du plaisir.

Par contre, ce n'est pas la même chose pour sa belle sœur

« Aaaarrrrrrrgggggghhhh!" hurle Marie Charlotte, son anus dilaté.

« Je suis sûr que tu vas finir par aimer, ma chère! je te prends par le cul et tu ne peux de toute façon rien y faire! n'est-ce pas! » Dit-il en donnant de petits coups secs

"Mmmaaaaarrrrrggh," crie la grande.

Le sphincter maintenant ouvert, le mafflu dans le canal étroit, les défenses sont réduites. Max ne peut que progresser. Pour étirer le trou du cul, il n'a de ressources que pousser par a coup, et c'est ce qu'il fait. Pendant une minute, à intervalle régulier il donne des coups de rein, sec. La grande crie à chaque fois comme un cochon que l'on égorge. Max ne s'en préoccupe pas. Lorsque son mandrin est enterré pour moitié, il peut alors commencer l'alésage du conduit.

Cependant pour se faire, toujours emmanché et vigilant pour le rester, il délie les bras de la grande et la tourne pour qu'elle soit complétement sur le tapis. Max lui appuie alors sur le cou et l'oblige à poser sa tête sur le la peau de mouton, les mains à plat, allongée.

« Plus haut ton cul! » aboie Max.

Il est subjugué par la magnifique poitrine dont les tétons touchent le tapis, bave devant cette croupe charnue, exulte face à cet œillet distendu. Et que dire des effluves qui lui montent à la tête.

Aussi il pose ses mains bien à plat sur chaque fesse, les écarte au maximum et réitère son mouvement de piston. Il ne va pas encore très loin, mais l'entrée se détend un peu. Conscient qu'il pourrait progresser plus vite en huilant davantage le rectum et le conduit, il se retire. La grande, souffle quand il s'extrait. Il pulse alors une giclée d'huile dans le rectum encore ouvert et enduit à nouveau copieusement son Priape. Sans perdre de temps, Il positionne à nouveau son gland monstrueux au bord de la rosette, attrape à deux mains la croupe de Marie Charlotte, lui intime de se cambrer pour qu'il l'encule correctement, et tel un bucheron, l'embroche d'un grand coup sec.

Celle-ci n'a pas le temps de comprendre ce qui se passe.

« AAAAAARRRRRRRGGGGGHHHHHHHH" hurle-t-elle. « Putainnnnnn, enfoiiiré, arrête!! ça fait trop mal!!! »

Marie Charlotte panique, mais Max ne s'en préoccupe pas. Il veut lui montrer qui a le contrôle. Aussi il redonne un coup de rein puissant, enterrant son Priape encore plus profondément. Elle devient folle.

« AAAAAAAUUUUUUUUGGGGGGHHH" crie-t-elle à nouveau.

Cette terrible intromission lui coupe le souffle. Elle ouvre démesurément la bouche sous l'envahissement diabolique et lâche un long cri rauque. Maximilien ne s'est pas embarrassé de détails, il investit d'une seule poussée presque la totalité de son rectum et repousse tout sur son passage. Il fait cependant une pause. Il n'a jamais eu l'occasion de prendre une femme par la porte arrière aussi il ne pouvait se rendre compte de l'effet que procure la sodomie. Là il en a le ressenti. Il lui faut un répit pour se calmer un peu s'il veut profiter de ce moment. Le cul de sa belle-sœur est extraordinaire, il doit mieux se contrôler pour ne pas venir trop tôt. Il ne se doutait pas, qu'investir les entrailles d'une femme lui ferait autant d'effet.

De son coté, Marie charlotte n'a pas le même sentiment. Elle a la désagréable impression d'être ouverte en deux. Et d'ailleurs, son répit est de courte durée. Son beau-frère reprend son avance, tirant contre l'étendue charnue de ses hanches pour forcer un autre centimètre, puis deux, continuant sa conquête irrépressible de son tunnel. La grande gémit d'une voix à peine audible, mais son bourreau n'en n'a cure : « quel cul... oh oui tu es faite pour la sodomie! Je ne vais pas m'en priver! » pense t'il

Joignant le geste à la parole, il fait coulisser son membre d'avant en arrière, s'insinuant le plus loin possible dans l'orifice de la malheureuse.

« Arrrggggggghhhhh!!!!... J'ai maaaaaaaaalll! » Hurle la jeune femme.

La moitié de la bite impressionnante de Max dépasse maintenant l'anneau de préhension de l'anus Au cours de cette terrible intromission, Marie Charlotte ne cesse de geindre, le souffle coupé par la douleur. Elle a l'impression qu'un énorme fer rouge s'est introduit jusqu'au fond de son rectum. La pression est incessante. Elle n'y est pas préparée. Des gouttes de sueur coulent sur son visage et des larmes envahissent ses grands yeux ouverts.

Hhhhhooooompppfffff! se tortille t'elle désespérément maintenant, incapable de soulager le tourment atroce.

Max la saisit fermement par les hanches et commence doucement à se retirer. Quand il ne reste plus que le gland, il s'arrête et s'enfonce à nouveau dans le postérieur sans défense. Bien callé, les couilles plaquées contre la vulve brulante,

« Arrrggggggghhhhh! » Tout ce que la grande fait maintenant est de haleter, de gémir et de transpirer, secouant violemment la tête d'un côté à l'autre alors qu'elle subit l'agression rectale.

Quand son bas-ventre heurte la croupe tendue, il se retire d'un seul coup, répétant cette opération plusieurs fois. Il ressort aussi complétement et replace son nœud sur le petit trou qui arrive encore à se refermer, pèse légèrement contre et, voyant la brune se crisper, lui assène une claque formidable sur son derrière. Marie Charlotte, une fois encore sous la surprise, se relâche et son beau-frère en profite pour s'engager à nouveau jusqu'au tréfond de l'étroit orifice. Il ne la ménage aucunement.

« Arrrggggggghhhhh! ... Arrêtes! Je t'en supplie! »

Mais Max ne l'écoute pas, il martèle le cul de la grande, le claquant à l'intérieur avec des coups sauvages et puissants. Puis il fait une pause avec le mafflu encore dans les fesses, serré par un sphincter tonique, avant qu'il ne le repousse impitoyablement d'une poussée dure et violente. Marie Charlotte ne peut que subir le viol de son orifice le plus personnel et s'empêcher de crier de douleur.

Et puis, Max passe sa main entre les jambes de la grande. A sa grande surprise, la chatte est aussi humide qu'une serpillère. Marie Charlotte ne peut arrêter de râler, de se plaindre et de crier mais il lui est difficile de mentir. En tout cas son corps réagit positivement et Marie Charlotte se sent d'autant plus humiliée que Max s'en aperçoit. Il en profite.

Bien calée contre elle, le sexe totalement enfoui dans le colon, Max se stabilise et s'amuse avec la vulve de sa belle-sœur. Celle-ci ne peut rien faire d'autre que laisser échapper un petit gémissement puis un autre et encore un autre plus expressif alors que son beau-frère fait coulisser ses doigts entre les lèvres engorgées, baveuses. Il les insère aussi dans l'antre brulante et titille le bourgeon tumescent. Le jus coule sans discontinuer. Marie Charlotte aimerait s'extraire. Elle n'y arrive pas, au contraire, un sentiment de honte et d'impuissance la submerge, elle pleure. Max s'en rend compte.

« Il n'y a pas de honte à prendre du plaisir, ma chère belle-sœur. Tu ne savais tout simplement pas que tu aimes la sodomie » dit-il narquois

« Avec une fessée avant... Bien sur » ajoute-t-il vicieux, en branlant le clitoris.

« Aaaaaaaaaaaahhhhhh »

Marie Charlotte voudrait lui répondre, cependant les mots restent dans sa bouche. Elle ne peut rien faire d'autre que laisser échapper un long gémissement. C'est son corps qui dirige. Lui ce qu'il demande, c'est le plaisir. Aussi elle se surprend à imperceptiblement bouger son bassin, solliciter la main et les doigts caressants.

Ce n'est pas flagrant, mais Max le remarque et c'est tout naturellement qu'il enlève sa paume. La grande émet un petit son de dépit. Un cap est passé.

Max voit le changement s'opérer. Ému, charmé, il fait preuve de tendresse. Non seulement il prend le temps de découvrir la beauté du corps de sa belle-sœur, la douceur de sa peau, les trésors cachés, mais en plus il est doux, attentif à ses réactions. Avec ses mains il parcourt plusieurs fois son dos, du cou au coccyx et sur une impulsion, il se penche, recueille l'huile de massage et presse une belle quantité sur les reins. Il recommence ensuite à parcourir le dos, alternant fermeté et douceur, il dessine tous les muscles, s'imprègne de sa peau, apprivoise les frissons.