Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)

BÊTA PUBLIQUE

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Au beau milieu de la soirée, Philippe n'est pas très bien. Il a abusé du vin, une envie pressante le pousse à se rendre aux toilettes.

Bien qu'elle ne le reconnaisse jamais, son petit jeu pervers a maintenant un effet collatéral. Provoquer son beau-frère, l'aguicher, le tenter, l'énerver, aviver son désir, l'excite énormément. Elle ne peut nier que sa vulve crie, coule. Mais de même que « the show must go on », elle ne peut arrêter son spectacle. Pendant que Philippe monte les escaliers, emportée par sa fièvre, l'esprit embrumé par la luxure, Marie Charlotte se lève pour aller chercher une autre bouteille de lambrusco.

Heureusement qu'il est assis en jogging confortable car max ne pourrait pas cacher son érection. Il bande depuis longtemps, mais là, cela devient intenable. A moins d'un mètre de lui, les fesses de sa belle-sœur lui explosent dans la figure. Mais pas que... la vulve charnue, à l'étroit sous le gousset, ne demande qu'à sortir. Devant lui sa belle-sœur est en train de récupérer dans le buffet bas, une nouvelle bouteille de lambrusco. Plier les genoux ne lui est pas venu à l'esprit! bien sûr que non!!! Penchée, les jambes tendues, le tanga disparu entre les joues, elle semble chercher la bouteille.

« Je ne la trouvais plus » dit-elle en se retournant, la bouteille exposée comme un trophée.

Elle se rassoit ensuite et sert Max comme si de rien était. Tous les deux vident rapidement leur verre, par contre comme Philippe ne redescend pas, certainement malade, Ils arrêtent la partie.

****

Cela fait vraiment bizarre à Max de voir, sa belle mais salope belle-sœur, juste là devant lui, presque à poil. Et maintenant, allongé dans le canapé, les lumières éteintes, il ne peut pas s'empêcher de l'imaginer dans toutes sortes de positions. Encore une fois il a du mal à dormir, mais cette fois ci, ce n'est pas dû aux cris de Marie Charlotte. Philippe ne peut rien faire pour elle.

Alors qu'il dort encore, Maximilien est réveillé par des cris venant de l'étage. Apparemment Philippe doit repartir au siège, une catastrophe s'est produite dans une usine. Marie Charlotte ne comprend pas. Elle crie, râle. Mais rien n'y fait. Il lui assure que dans deux jours au maximum, il sera de retour.

Alors que son frère est parti depuis deux heures, Maximilien sort prendre l'air. Sa belle- sœur est décidément trop chiante. Elle n'a plus de granola à grignoter et insinue même qu'il lui a mangé tout son paquet. Soucieux de ne pas envenimer la situation, il se dit qu'il va aller en acheter au village et profiter d'une bonne bière en terrasse. « Cela me fera le plus grand bien de m'éloigner un peu de cette harpie. Elle aura le temps de digérer le départ de son mari. Elle sera calmée quand je rentrerais » pense t'il.

Habillé chaudement il fume une cigarette sur la terrasse et se dirige ensuite vers le garage pour prendre la Lada. En chemin il se fait la réflexion qu'il n'y a aucun bruit « c'est bizarre ... et cette odeur si particulière du printemps, le chant des oiseaux, le soleil qui se fait plus pressant et cette saveur suave caractéristique de fin mars, tout cela a disparu » pense t'il tout à coup. Il est un peu plus de dix-sept heures, il fait sombre, le ciel est couvert.

Au village il s'assoit tranquillement pour prendre une bière et s'étonne tout de même qu'il n'y a pas grand monde. En discutant avec le gérant il apprend qu'une tempête de neige est annoncé pour la soirée et qu'aux dires des anciens, elle risque d'être gratinée. Et justement en sortant il entend distinctement le vent siffler sur les champs couverts de neige. Comme il doit passer par l'épicerie, il en profite pour faire quelques courses. Prévoyant, il achète des provisions pour trois ou quatre jours. « De toute façon elles seront utilisées quoiqu'il puisse se passer » en convient-il.

Arrivé au chalet il décharge les deux sacs de commission sous l'œil ébahit de Marie Charlotte qui, une fois de plus le vilipende.

« Pourquoi acheter tous ces trucs... tu ne crois quand même pas que je vais te servir de boniche et te faire à manger » persifle t'elle en jetant sa barquette de plat préparé à la poubelle.

Max s'abstient de répondre. Il sort fumer une cigarette. Cependant dehors, le temps a encore changé. Il y a vingt minutes, le vent gémissait à travers les branches de la forêt or maintenant il souffle par rafales et les arbres qui se heurtent avec force font entendre des plaintes en se penchant très bas. Il entend de plus nettement, de longs sifflements, des craquements et des chutes de branches. « Les vieux ont l'air d'avoir raison... si la tempête est aussi forte qu'ils le craignent, Marie Charlotte sera bien contente d'avoir à manger. Évidemment elle sera, à n'en point douter, furieuse. Furieuse d'être recluse dans ce chalet, bloquée avec pour seule compagnie, moi! Qu'elle ironie! » se fait comme réflexion Max.

Néanmoins il reste pragmatique. Il calfeutre la Lada, et vérifie le niveau d'essence du groupe électrogène. Il remplit ensuite deux grands paniers de buches ainsi qu'une cagette de buchettes sèches. Il est tout sourire en rentrant, cependant dès qu'il franchit la porte avec le bois, il masque sa joie.

Marie Charlotte est dans le salon à lire une revue people, mais instantanément elle redresse la tête, la mine interrogative.

« On n'a pas besoin de tout ce bois ici! on a déjà pas de place, en plus tu salis tout! »

« Écoute Marie Charlotte, je ne suis plus un gamin. Tu ne me parle plus comme ça... si tu veux des informations, peut être que tu en sauras plus en ouvrant le poste... dans cinq minutes il sera vingt heures » lui répond-il calmement en enlevant sa parka. Il monte ensuite prendre une douche.

Soufflée qu'il lui réponde ainsi, elle est prise au dépourvu et se dirige en marmonnant vers le poste radio. Elle tourne les boutons et lorsqu'elle trouve une station régionale elle écoute les informations. Ils annoncent une tempête hivernale charriant des vents glacés. Elle en a assez entendu. Dégoutée, elle ferme la radio sans vraiment y croire. « De toute façon je ne serais pas bloqué ici avec ce morveux. Si c'est le cas demain, je prends la Lada et tchao » maugrée-t-elle. Dix minutes plus tard elle est entre dans sa chambre, ferme les volets et se met au lit avec un livre. Elle n'entend pas la neige tomber dix minutes plus tard.

Vers 8 heure Max s'est réveillé. Installé sous la couette, il a malgré tout la tête à l'air libre et ce matin il a le nez gelé. S'apercevant que le poêle est éteint il se lève, enfile rapidement son jogging et s'occupe de rallumer le feu. Il se fait un café, boit une tasse et rêvasse. Insidieusement son regard est attiré par le téléphone sur la table basse. « Merde! Philippe a oublié son téléphone. »se dit-il. En se rapprochant, il constate que ce n'est autre que celui de sa belle-sœur. Juste par curiosité, il l'ouvre. Ce n'est pas difficile pour lui car il a une très bonne mémoire et Marie Christine est constamment au téléphone. Machinalement elle trace un signe pour l'ouvrir sans faire attention à lui. Et là... Surprise. Il fouille alors plus profondément et découvre toujours plus de la vie secrète de sa belle-sœur.

Doudou, par ci, mon biquet, par-là, elle n'a pas assez de mots doux pour obtenir ce qu'elle désir de Philippe. Il est incapable de lui dire non, c'est une guimauve. Il n'y a que sur son travail qu'elle n'a pas de prise. Elle tempête, râle, mais il reste fermé à ses commentaires. Elle essaye toujours de l'infléchir. C'est dans sa nature, elle ne peut s'empêcher de vouloir tout contrôler. Cependant lorsqu'elle est lucide, elle réalise que les longues absences de son mari sont une chance. Il a une confiance aveugle et ne vérifie aucunement ses faits et geste. Aussi elle se fait plaisir, dépense, s'amuse, voit qui elle veut. Et cela, au cours des années, Maximilien l'a découvert. Il s'est rendu compte que sa belle-sœur était un pervers narcissique. Certes d'une grande beauté, il ne pouvait pas nier qu'elle lui faisait de l'effet, mais une beauté vénéneuse, toxique pour toutes les personnes qu'elle approche ; Elle, et toujours elle! Il n'y a qu'elle qui compte. Sa belle-sœur ne conçoit pas un autre avis que le sien et surtout, comme le monde doit tourner autour d'elle, Marie Charlotte écarte ceux qui entravent son espace et devient souvent odieuse et méprisante. Elle n'a aucun filtre.

Et justement ce matin Maximilien la voit descendre avec sa valise bouclée.

« Qu'est que tu fais? » lui dit il étonné. Il ne peut s'empêcher d'esquisser un sourire. Avec son ensemble blouson et pantalon en cuir Gucci, ses basquettes Valentino, son écharpe Hermès et ses Ray ban dans les cheveux, elle donne l'impression de se rendre à un vernissage.

« Tu ne le vois pas! je pars... Je ne resterai pas une minute de plus enfermé ici... Emmène-moi à la gare! » dit-elle péremptoire. Elle ne s'encombre pas de formule de politesse,

« C'est impossible ... les routes sont impraticable. Il y a plus de trente centimètres de neige dehors et elle continue de tomber... tu n'as pas entendu les informations »

« Raison de plus pour que je ne reste pas là! »

« Je ne t'emmènerai nulle part. je ne suis pas fou! »

« Eh bien reste là, je n'ai pas besoin d'une poule mouillée, d'un trouillard qui n'est pas capable de conduire sur une route enneigée » vomit elle. De rage elle saisit les clefs et ouvre la porte en grand pour sortir.

Jusque-là, Max est resté calme, or maintenant la moutarde lui monte au nez. Sa belle-sœur dépasse les bornes, elle l'excède. Elle est insultante, ce n'est pas nouveau, mais surtout complétement irresponsable. Il n'est pas question que Marie Charlotte aille se tuer sur la route. Si cela ne tenait qu'à lui, elle pourrait faire ce qu'elle veut, cependant il pense à Philippe qui ne s'en remettrai pas.

Il se lève hors de lui et se précipite à l'extérieur. Il dépasse rapidement sa belle-sœur, ouvre le capot de la Lada, décroche la tête de delco et tout sourire montre son trophée.

« Tu ne pourras pas partir, il ne te reste plus qu'à rentrer sagement » lui dit il ironiquement

« Splash ». Hors d'elle, Charlotte ne maitrise pas sa colère. Sans penser à son geste, elle gifle méchamment Max. « Salle merdeux, tu me feras toujours chier petite bite » débite-t-elle dans la foulée.

Maximilien en reste coi. Il est stupéfait par ce qui vient de se passer. Il n'en revient pas que sa belle-sœur l'ait frappé et qu'elle continue à l'humilier. Un flash le traverse. Il revoit la petite amie de son copain descendre de la chambre. Elle venait de faire l'amour avec Pierre et la première chose qu'elle lance à la cantonade, alors qu'elle se dit amoureuse : « mon dernier mec était monté comme un âne mais ton copain, c'est un spaghetti qu'il a entre les jambes » dit-elle sans sourciller. Max ne l'avait jamais évoqué avec son meilleur ami. Cela aurait certainement créé une blessure aux conséquences bien plus graves.

Aussi Max est hors de lui, aveuglé par la colère et même la haine. Une rage froide s'empare de lui. Comme un automate il ramasse les clefs que sa belle-sœur a jeté dans la neige par dépit et rentre au chalet. Il ferme la porte, regarde autour de lui et monte les escaliers. Très calme il ouvre la porte de la chambre et la referme derrière lui. Sa belle-sœur ne l'a pas immédiatement entendu quand il rentre. Elle est dos à lui, assise sur le lit, occupée à se changer. En sous vêtement elle est sur le point de prendre son pantalon de jogging derrière elle quand soudain elle crie.

« Putaiiiiinnn! qu'est-ce que tu fou là? »

« Je viens éclaircir quelques petites choses » dit-il placidement.

« Dégage de là! c'est ma chambre » crache-t-elle en se levant.

Rapide comme un fauve se jetant sur sa proie, Max lui attrape un bras et tire violemment. Marie Charlotte est tellement surprise qu'elle se retrouve allongée en travers du lit et lorsqu'elle veut réagir, il est trop tard. Son beau-frère est déjà assis à califourchon sur son dos. Elle vomit toutes sortes de mots vulgaires en se débattant, seulement Maximilien la surprend par sa force. Le poignet gauche toujours enserré dans sa paume, le bras retourné dans le dos, il ne met que très peu de temps à saisir son autre poignet, le tirer vers lui et le contenir avec le premier dans la même main. Sa belle-sœur crie, hurle de plus bel en se tortillant, sans effets. Max se tend pour saisir l'écharpe, lui attache solidement les deux mains ensemble et se relève satisfait.

« Tu peux bouger maintenant, tu n'iras pas loin » assure Celui-ci.

Elle se retourne tout de même, essayant de se dégager des liens et regarde effarée son beau-frère se déshabiller tranquillement. Il pousse le vice à plier ses vêtements pour les disposer à plat sur la chaise. Il s'amuse, et jubile surtout lorsque son boxer retiré, Marie Charlotte le voit nu. Les yeux injectés de haine elle continue à l'invectiver.

« Garde tes mots gentil pour tout à l'heure » lui dit-il en se rapprochant. Elle essaye de s'éloigner de lui, mais il est vif. Il lui attrape les bras, la repositionne à plat ventre et lui décoche une claque magistrale sur les fesses. Elle ne s'y attendait pas, mais plus encore, la douleur lui bloque la respiration. Un cri déchirant sort de sa bouche.

« Tu vois l'effet que cela fait une claque » lui dit-il en retirant sa culotte.

Elle ne réagit pas immédiatement, encore sous le choc, mais lorsque son slip est au niveau des cuisses elle s'agite violemment en l'insultant. Ce n'est pas les gesticulations qui arrêtent Max. La culotte retirée il lui bâillonne la bouche avec celle-ci.

« mmmmrrrrmmm » fulmine t'elle les yeux injectés de haine.

« Ah... j'en avais marre d'entendre te plaindre... Quel calme... maintenant je vais t'expliquer ce qu'il va se passer. » promet-il.

« En premier je vais t'enlever ton soutien-gorge afin que l'on soit à égalité... tu es d'accord... non! tant pis... pourtant ce week-end tu as tout fais pour m'exciter en te baladant en tenue très légère, et le reste... ensuite je vais te baiser... si, si , ... Pendant toutes ces années tu as dit que j'avais une petite bite, mais tu parlais sans savoir... demain tu pourras parler en connaissance de cause. » assure t'il.

Il prend le temps de fixer l'image dans son cerceau. Toute nue, le corps entièrement bronzé hormis une trace triangulaire sur les fesses, elle est magnifique.

Puis il se place à ses pieds et malgré les gesticulations, la tire. Le buste sur le lit, les jambes pendantes, il se positionne derrière elle et positionne son gland à l'entrée de la vulve. Celle-est comme soudée, il a du mal à s'immiscer.

Que cela ne tienne. Il se lève, se dirige vers la salle de bain et revient avec un flacon d'huile de massage. Elle le regarde, les yeux injectés de haine. Lui, il sourit en flattant sa bite tendue, la lustrant copieusement.

« Ça va bien se passer » lui dit il joyeux.

« mmmrrrrrrrrrrmm »

« Mais tu pourras te plaindre à ton Tony... Tu sais, celui qui t'envoie ces mots doux! » ajoute t'il.

En chien de fusil sur le lit, Max la repositionne comme auparavant et aligne sa bite avec l'abricot charnu. Il commence ensuite à frotter son gland entre les lèvres. Max s'amuse à faire glisser sa hampe entre les lippes, piquer le nœud du plaisir et passage après passage il entend sa belle-sœur maitriser sa respiration. Marie Charlotte perçoit de plus en plus la douceur des préliminaires et ne peut, empêcher son corps de la trahir. Aussi, devenant légèrement humide, max estime qu'il l'a assez préparé. Sans avertissement, il appuie son gland à l'entrée de la vulve, puis d'un coup de rein puissant, le pousse à travers le conduit serré.

« mmmaarrrrggghhhhh »

« Tu es étroite comme une pucelle, ou mon ptit zizi est plus gros que tu ne le pensais » dit-il narquois.

Il est vrai que Max n'a pas un sexe d'une longueur hors norme, tout juste au-dessus de la moyenne, cependant la circonférence de la hampe est impressionnante.

Content de son humour particulier, Il se retire très lentement, puis lorsque sa bite est presque sortie, il repousse à fond. Plusieurs fois il donne des coups de boutoirs. Il va et vient rudement jusqu'à l'entière reddition du vagin. Aujourd'hui, ce n'est pas sa belle-sœur qui commande, il lui fait bien savoir. Qu'elle le veuille ou non, Max lui montre qu'elle ne maitrise rien, et en premier lieu s'assure de vaincre toutes ses résistances. Aussi, il s'attache à forcer, distendre, assouplir son vagin afin qu'il puisse ensuite, prendre son plaisir.

Marie Charlotte souffle bruyamment quand le priape est presque sorti et lorsqu'il le repousse à fond elle crie sans retenue. Mais Max continue ses va et vient jusqu'à ce que son sexe soit enterré à fond, puis attrape les fesses et les ouvre. En baissant les yeux, il voit les lèvres humides enroulées autour de son sexe. il est fasciné par sa bite luisante emprisonné dans la vulve.

Marie Charlotte essaye de s'éloigner, mais il tient fermement ses hanches et il recommence à s'activer. Max est passablement lent au début, tirant complètement, puis repoussant à fond, adorant la sensation d'être extrêmement serré. Puis il la baise avec détermination alors que la grande pleure d'impuissance et de rage.

« Aaaaaaaarrggghhh » crie-t-elle. « fffffffuuutainnnnnn, enfoiiiéééé, arrête »

Mais ses phrases inintelligibles, ses cris sourds l'excitent encore plus. Max recule puis pousse plus fort.

« Aaarrrrrrrrrggghhh » hurle-t-elle

Max ne s'occupe pas d'elle, et encore moins de son plaisir. C'est sans remord qu'il la prend sauvagement, encore et encore, sans qu'elle puisse se soustraire. A ce rythme Il ne tardera pas à venir mais ce n'est pas grave. Il ne veut surtout pas la faire jouir. Avec toutes les humiliations qu'elle lui a fait subir durant toutes ces années, il n'est que justice qu'elle soit blessée dans son amour. Il entend lui rendre la monnaie de sa pièce quoique puisse être sa souffrance. Elle prononce des chaînes de charabia, d'insultes, crie, hurle, râle, mais rien ne peut empêcher la suite. Il sort, et repousse, infatigable, encore et encore et puis, sur un dernier coup dur, il jouit.

Quand il a finalement cessé de s'épandre, il retire lentement sa verge, se relève et part se doucher sans un regard pour la grande. il est par contre assez satisfait d'entendre sa belle sœur pleurer à nouveau. Malgré elle, la sauvagerie de max, le Priape forçant ses chairs, investissant complétement son vagin, tout cela commençait à l'émouvoir. Or le plaisir qui montait inexorablement s'est d'un seul coup arrêté dans son ascension. Max a joui sans qu'elle prenne son pied et cela la rend folle, peut être encore plus que d'être forcée.

****

Le lendemain matin, max se réveille vers huit heures. Il s'occupe du feu puis en déjeunant écoute une jeune femme présenter la météo régionale :

« Aussi soudain que surprenant, cet épisode neigeux exceptionnel en cette saison a rapidement pris une tournure hors norme. Arrivée par l'Italie dès les onze mars, cette dernière offensive hivernale a par la suite atteint la Savoie. Il a neigé sans interruption durant la nuit et la journée du douze. Ce matin il y a une légère accalmie, cependant on prévoit un regain de chutes de neige pour la soirée. Des cumuls de poudreuse de soixante centimètres ont parfois été relevés. Avec le fort vent de nord-est des congères atteignant près de deux mètres ont été constatées à certains endroits. Les conditions ne devraient pas s'améliorer avant le quinze et nous vous demandons la plus grande vigilance car cette tempête hivernale sera accompagnée de vents glacés. Des records de froid sont à prévoir. Le thermomètre continue d'afficher des températures inférieures à moins vingt degrés, des dizaines de foyers sont privés d'électricité. Les abondantes chutes de neige ont entraîné une suspension des trains dans la région. Nous vous recommandons aussi d'éviter de prendre votre voiture car de nombreux axes routiers sont complètement paralysés.................... »