Dans Les Alpes, Au Chalet (1/2)

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Philippe et sa femme veulent passer une semaine au ski.
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Dans les Alpes, au Chalet.

Ce récit (1 sur 2) commence lentement. J'ai voulu décrire en profondeur, le cadre, l'ambiance et les personnages afin de donner plus de vie, de corps à l'histoire.

Pour ceux qui recherchent uniquement l'action, j'en suis désolé. Pour les autres je leur souhaite un bon moment.

Par ailleurs, je dois préciser que ce récit ne prône pas l'apologie de la violence.

Tout n'est jamais blanc ou noir.

*

Avec ses responsabilités, Philippe n'a pas pu prendre des vacances depuis plus de six mois. Marie-Charlotte sa femme, le tanne pour qu'ils passent un peu de temps ensemble.

En effet directeur de la zone Asie du sud dans un groupe de textile il est surchargé de responsabilités. Evidemment il est entouré d'une équipe de cadres qui logent pour la plupart dans les pays de production et surveillent les process, l'acheminement, entretiennent les liens commerciaux, mais il passe très peu de temps au siège à Paris, Philippe est souvent en voyage. Du Vietnam à la Birmanie en passant par l'Indonésie et le Cambodge, sans oublier évidemment le Bangladesh et l'inde, il sillonne ces pays pour résoudre les problèmes et développer de nouveaux marchés.

Il est tard ce vendredi de mars, mais ils sont arrivés. Il est content de retrouver le petit chalet qu'il a acheté il y a deux ans En plein alpage, il est isolé mais seulement à 10 minutes en voiture de la station et donc du bas des pistes. Ce refuge, de quatre-vingt mètres carrés, est son rêve. Il l'aime pour les soirées d'hivers en amoureux autant que pour l'été avec la proximité du lac et des balades en forêt. Evidemment il n'est pas très grand. Une pièce de vie avec salon, séjour et cuisine ouverte au rez-de-chaussée. À l'étage se trouvent une grande chambre ainsi qu'une plus petite, actuellement en rénovation, et une confortable salle de douche. Néanmoins, ce qui lui a bien plus, est le chauffage avec poêle à bois. Il aime cette rusticité. Cependant, il a tout de même investi dans un gros groupe électrogène pour rassurer sa femme. Il leur assure une autonomie lors de longues coupures électriques qui arrivent en parfois en hivers avec les grosses tempêtes de neige. De plus un vieux Lada est à demeure dans la grange.

Ils vont pouvoir passer du temps ensemble. Philippe est heureux. Au programme, un peu de ski alpin, des repas copieux dans les restaurants de la station de ski, et de la randonnée en raquettes pour la méditation et les magnifiques paysages. Par contre Marie-Charlotte est en colère. Philippe a invité son petit frère pour cette semaine de détente.

« Chéri, pourquoi as-tu fais venir Max... je voulais passer une semaine rien que nous deux » dit-elle dépitée.

« Je pensais que cela te ferait plaisir qu'il soit avec nous... on ne l'a pas vu depuis deux ans. Et puis il ne connait pas le chalet... Tu pourras lui montrer ta déco. »

« Ok, ok, excuse ma réaction puérile » dit-elle rapidement. Il est impensable qu'elle éveille des soupçons. En effet elle n'a jamais dit à son mari qu'elle ne supporte pas son beau-frère. Elle ne veut pas risquer de se fâcher avec Philippe. Elle ne connait que trop bien l'affection, la bienveillance qu'il a pour son petit frère.

« Mais j'y pense, la deuxième chambre est en travaux... ou va-t-il dormir » se reprend-elle.

« Il dormira sur le canapé dans le salon » réplique t'il confiant.

De dix-huit ans plus vieux que Maximilien, Philippe est le grand frère protecteur. Aussi quand la semaine dernière, son petit frère lui annonce qu'il intègre l'INSA, il est tellement content qu'il l'invite au chalet. Max est réticent. S'il aime venir dans la région, les relations avec sa belle-sœur ne sont pas bonnes. Elles sont même exécrables. Cependant il a toujours enduré les sarcasmes, les moqueries, les paroles blessantes sans pour cela en référer à Philippe. Par égard à sa gentillesse et à l'amour qu'il porte à sa femme, Maximilien n'a jamais mentionné l'animosité de sa belle-sœur ni montré devant lui son dédain pour celle-ci. Philippe ne se doute pas que sa femme peut être une peste.

Exclusive, elle n'a jamais supporté de partager. Fille unique d'une famille dysfonctionnelle, elle n'a pas fait d'études. A seize ans elle a commencé à travailler comme vendeuse sur les marchés puis à dix-neuf ans, a trouvé un emploi plus stable, comme vendeuse en boutique de vêtements. Son tempérament accrocheur et son physique ont convaincu ses employeurs. C'est à cette époque que Philippe l'a remarqué. Tout de suite il est séduit par le caractère volcanique et surtout par sa grande beauté. Ce jour-là Il est fasciné par cette jeune femme au regard envoutant. Un joli visage entouré par des cheveux bruns coupés courts, des yeux sombres en amande où se dégagent un mélange troublant de pureté farouche et d'animalité contenue. Un peu mince à son goût, mais très grande, avec des bottes pointues à talons hauts, elle est presque de sa taille. Et puis, sa tenue n'est pas commune. La jeune femme arbore une robe mi-cuisses rouge lacée dans le dos, d'où s'échappe une paire de jambes au galbe magnifique, de vraies échasses. La rencontre est un choc. Pendant une minute il est immobile, incapable de bouger. Ses yeux dérivent des seins lourds et fermes qui pointent sous le tissu de sa robe de coton, au fessier absolument sublime qu'il devine rebondi lorsqu'elle se retourne. Il est envouté.

Pendant six mois il lui fait une cour assidue et prévenante. Marie Charlotte est charmée, mais le fait mariner. Elle ne cède enfin à ses avances, que pour s'installer chez lui. Elle a vingt-trois ans, habite chez ses parents, lui vingt-huit et loue un duplex à Montmartre. Déjà directeur grand compte au sein d'une multinationale, il est son ticket gagnant pour un avenir serein et confortable. Cela ne se démentira pas. Philippe monte un à un tous les échelons de l'entreprise alors que Marie bénéficie de toutes ses largesses. Rien n'est trop beau pour elle.

Mais il y a une ombre au tableau : Maximilien.

Il a neuf ans, lorsqu'elle le voit pour la première fois. Elle ne fait pas du tout attention à lui par contre Max est un gamin sous le charme. La copine de son frère est magnifique. Or celle-ci s'aperçoit de la place privilégiée qu'occupe ce marmot dans la vie de son mari et insidieusement elle commence à développer une jalousie maladive, une jalousie complétement injustifiée mais irrépressible. D'année en année, elle devient à son égard une garce. Max est un enfant plutôt petit pour son âge, malingre, souvent malade et Marie Charlotte en profite à chaque fois qu'elle le voit pour persifler, lui dire qu'il ne sera jamais un homme. A ses quatorze ans elle est même particulièrement humiliante. En Week end chez ses beaux-parents, alors qu'elle rentre dans la salle de bain pour se laver, elle tombe sur Max sous la douche. Il ne l'a pas entendu et elle ne se signale pas de suite. Elle a tout le temps de l'observer et notamment son sexe, alors que Max ne s'aperçoit que tardivement de la présence de sa belle-sœur. Il se couvre maladroitement, mais il est trop tard.

« Tu n'as pas besoin de cacher ton zizi, il est trop petit pour que je puisse le voir!!! » s'esclaffe t'elle satisfaite de sa réplique. Elle sort ensuite en riant comme une folle. C'est une gifle cinglante pour l'adolescent.

Depuis ce jour, il ne se passe pas une année sans qu'elle fasse allusion aux attributs ridicules de son beau-frère. C'est toujours avec jubilation qu'elle le blesse, certaine que ce maigrichon disparaitra un jour ou l'autre, de sa vie.

****

Samedi matin, Philippe est allé chercher Max à la gare. Quand il arrive au chalet Marie Charlotte lui décroche son sourire de circonstance en présence de son mari et derrière son dos, lui dit : « j'espère que tu n'es pas là pour gâcher mon séjour ... le domaine est assez grand pour qu'on ne se voit pas de la journée »

« Rassure-toi, je ne voulais pas venir mais mon frère ne m'a pas lâché avant que je lui donne mon accord. Alors ne t'inquiète pas, moins je te verrai, mieux je me porterais » réplique Max serein.

« elle a trente-deux ans, mais toujours aussi chiante... Elle ne s'améliore pas « se dit-il.

Marie-Charlotte est un peu surprise du calme de son beau-frère. Elle ne le trouve pas désorienté comme à chacune de leur rencontre, cependant elle occulte rapidement cette pensée et monte se changer, souriante. Sa taille lui donne toujours l'ascendance. « Ce n'est pas un gamin maigrelet qui va m'emmerder! » pense-t-elle.

Il est vrai que Max est toujours aussi mince et qu'avec sa taille d'un mètre soixante-huit il ne rivalise pas avec la grandeur de sa belle-sœur de huit centimètres de plus. Par contre, il a pris de l'assurance depuis qu'elle l'a vu la dernière fois. Cela fait trois ans qu'il pratique assidument la boxe thaïe. Ce sport lui a permis d'acquérir une grande confiance, et dans une certaine mesure, il est devenu plus calme. Par ailleurs, a vingt-trois ans, s'il a toujours l'aspect d'un jeune au physique de garçon frêle, il n'y a aucune trace de graisse sur lui. On ne voit sur son anatomie que du muscle. Ils ne sont pas flagrants comme les body Builder, mais fins et lisse au contraire, presque invisibles et surtout redoutables.

« Tu nous excuses frérot, on a prévu une balade en raquette... Repose toi, demain on se fait quelques pistes... Allez à tout à l'heure. » lui dit Philippe en quittant le chalet avec Marie Charlotte.

Les montagnes des Alpes évoluent au fil des saisons, changeant de couleurs, se couvrant de neige ou se perdant dans les nuages. Or en ce début d'après-midi le soleil ouvre son chemin à travers les nuages, tout devient lumineux et scintillant, c'est magique! Le paysage fait silence sous la neige épaisse. Marie Charlotte préfère le ski alpin mais une balade en forêt, avec le bruit des raquettes qui font crisser la neige à chaque pas, les arbres chargés de poudreuse qui forment un monde féérique, l'apaise. Sans un bruit, sans un son, elle a l'impression d'être la seule qui compte pour son homme. Il est tout à elle, personne ne peut lui enlever.

Pendant ce temps, max a fait le tour du chalet, visite rapide vu l'étroitesse du lieu. Il s'est rendu compte que la promiscuité sera de rigueur. Il va certainement dormir sur le canapé du bas et devra faire beaucoup d'efforts pour oublier la présence de sa belle-sœur. Heureusement il y a le ski se dit-il, celui de Printemps est très plaisant. Il affectionne particulièrement la fraîcheur de la neige sous un chaud soleil radieux, Il aime ce mélange de la neige froide qui pique et de la douce chaleur du soleil.

En fin d'après-midi Philippe et Marie Charlotte sont rentrés, exténués.

« Il fait froid mais il y a un beau soleil, un temps plus qu'agréable pour faire une balade... oh il fait bon ici » s'exclame Philippe en rentrant.

« Oui, j'ai ramené du bois et j'ai fait du feu... il faisait un peu frisquet. Et puis, j'ai fait du café, si vous voulez! » réplique Max, alors que Charlotte fait son apparition

Dans l'entrée elle enlève rapidement ses chaussures de randonnée et encore couverte, retire ses gants de laine et se dirige vers le poêle pour se réchauffer les mains. Elle prend un café que lui sert son mari, ouvre sa parka qu'elle jette à terre négligemment et se précipite vers les escaliers.

« Je vais me prendre une douche... je suis gelée » dit-elle en montant les marches.

« Tu as raison ma chérie » dit-il en riant et puis tout bas il précise à Max : « Elle est tombée plusieurs fois sur ses fesses et comme elle portait un survêtement... hi, hi, ... elle est trempée... hi, hi, hi... elle peut avoir froid à son cul!!! hi, hi, hi. ». Cela lui fait un bien fou de rire avec son frère en se moquant gentiment de sa femme.

Le soir ils prennent la Lada pour se rendre au village et manger au restaurant. Charlotte n'est pas désagréable, aussi la soirée est sympa.

Vers dix heures ils décident de rentrer, pour être en forme le lendemain.

Max se dit qu'elle sera peut-être raisonnable. Ce n'est malheureusement pas le cas. Elle a décidé de lui pourrir la vie.

Le lendemain matin, environ une demi-heure après être sorti, Philippe est revenu avec les croissants. Max s'est alors levé pour prendre le petits déjeuner. Il a mal dormi car un concert de gémissements l'a réveillé vers minuit, l'empêchant de se rendormir rapidement. Se frottant les yeux, Il met le café en route et commence à savourer un petit pain au chocolat quand sa belle-sœur descend. Elle porte un tanga et un T-shirt moulant qui laisse facilement deviner qu'elle n'a pas pris la peine de s'encombrer d'un soutien-gorge : Deux taches sombres tendent orgueilleusement le fin tissu blanc. Elle est radieuse.

Quant Florence a fini son café max pense qu'elle a terminé son show et va disparaitre dans sa chambre pour s'habiller or elle reste à vaquer sans but précis dans l'espace confiné du salon-salle-à-manger, sous le regard de son beau-frère. Il ne peut que loucher sur ses mollets filiformes et ses cuisses interminables au galbe parfait d'autant qu'elle finit par se camper devant la fenêtre. Regardant le superbe paysage elle lève haut les bras et s'étire longuement offrant alors un autre magnifique paysage : Celui d'un cul à tomber par terre! Maximilien est époustouflé.

« Bon! Je vais enfiler quelque chose plus adapté pour le ski » dit-elle en se retournant. Satisfaite de son effet, elle monte se changer.

Sa belle-sœur l'horripile par de nombreux coté cependant il reste un jeune homme de dix-neuf ans aux hormones bouillonnantes. Il n'est pas insensible aux formes de Marie Charlotte. Avant, Il la trouvait belle, attirante, mais ne la regardait pas. Or maintenant, en vase clos, il lui est difficile de ne pas la voir. Sa peau cuivrée et ses formes généreuses sont plus qu'agréable à regarder, surtout qu'elle fait exprès de se pavaner devant lui en tenue révélatrices.

Pressés de retrouver le domaine blanc, la neige fraîche, Philippe s'est rapidement préparé et presse Marie Charlotte pour partir. Sur les pistes ils ont vite retrouvé les sensations de glisse, la vitesse grisante, l'air vif qui pique la peau, la neige qui crisse sous les spatules et bien sûr des paysages à couper le souffle.

Le soir ils ne sont pas sortis comme la veille. Ils n'ont pas le courage de se changer pour aller en ville. Le grand air et la glisse les ont tous mis sur les rotules. C'est donc dans le chalet qu'ils prennent le repas ; un plat de spaghettis bolognaise arrosé par deux bouteilles de lambrusco. Marie Charlotte n'aime pas le vin rouge, mais contradictoirement c'est le lambrusco traditionnel, le rouge qu'elle préfère. Ils passent une bonne soirée à rire des chutes, à plaisanter et à boire. Le diner est joyeux et animé aussi ils décident de faire un jeu pour finir la soirée ; un UNO. Max est content car les parties ne sont pas très longue. Avant de commencer, Marie Charlotte s'éclipse et revient quelques minutes plus tard en tenue de nuit. Elle est resplendissante dans ce un magnifique déshabillé japonais. En soie naturelle décorée d'une geisha, ce Kimono court, il descend au niveau des cuisses, sublime son corps. Marie Charlotte le sait et elle en joue évidemment. Comme elle doit supporter la présence de son beau-frère pendant tout le séjour, elle emploie un autre moyen pour le persécuter. Exciter son beau-frère, le mettre mal à l'aise, le torturer sans qu'il ne puisse s'y soustraire est jubilatoire. Et ce soir elle se promet de ne pas l'épargner.

« Comme on n'a pas l'intention de ressortir, je me suis changée.» dit-elle innocemment.

« Tu as bien fait » répond Philippe.

Max est dubitatif quant aux réelles intentions de sa belle-sœur, surtout quand elle supplie son homme de jouer au Monopoly. Il est un peu somnolent et a les yeux qui clignotent, Maximilien se doute qu'il aimerait se coucher assez vite. Seulement il ne sait pas dire non à sa femme. Max se demande ce qu'elle mijote.

Ils s'installent donc sur la table en verre de la cuisine, plus exactement Marie Charlotte suggère à son mari de s'installer en bout de table et désigne donc la chaise en face d'elle pour Max.

« Tu sais bien que c'est toujours toi qui s'occupe de la banque, mon doudou! tu auras plus de place pour la mettre devant toi » dit-elle toute doucereuse.

En même temps elle place le plateau de jeu, directement collé à la boite contenant les billets, et ensuite les verres et la bouteille. la table de cuisine est étroite, soixante centimètres sur un mètre vingt et les trois quarts de celle-ci sont couvertes hormis une bande de trente centimètre en bout de table. Comme le plateau en verre est soutenu par une armature en fer forgé, soutenu par un pied central en béton traversant, Max et Marie Charlotte sont assis face à face en bout de table. Max ne comprend pas tout, jusqu'au moment où lui et Marie charlotte s'assoient ; Il a une vue dégagée sur le dessous de la table alors que Philippe a la sienne complétement masquée.

Pendant une demie heure le jeu se met en place, des terrains sont achetés, la case prison est visitée, la banque distribue les billets et bien sûr Marie Charlotte n'oublie pas son plan. Elle gigote sur sa chaise, écarte et resserre ses jambes comme si la nervosité l'empêchait de tenir en place, se penche exagérément sur le plateau pour bouger son pion, et tout cela en observant discrètement les réactions de son beau-frère. Elle est aux anges. Max la dévore littéralement. Au début il regarde furtivement le haut des cuisses qui se dévoilent, mais au fur et à mesure de la partie, il devient moins discret, son regard s'attarde plus longtemps. Il ne peut pas s'en empêcher.

« pffffffffff... il fait chaud ici doudou » dit-elle en ouvrant son kimono. « C'est un vrai sauna. C'est toi qui as mis autant de bois dans le poêle » dit-elle en regardant Max.

« Je suis en train de cuir » ajoute-t-elle dépitée. « Doudou, tu peux me donner l'eau du frigo... je suis déshydratée »

« Oui bien sur ma chérie » dit-il compatissant.

« Quelle comédienne » se dit Max.

Pendant que son mari se tourne pour prendre la bouteille dans le frigo, elle desserre sa ceinture puis retire vivement ses bras du kimono qui reste sur le dos de la chaise, puis fait semblant de se détendre en allongeant les bras au-dessus de sa tête. Evidemment le lycra se tend, épouse la poitrine. Max ne peut que deviner la consistance des seins, la couleur plus foncé des aréoles et aussi les tétines pointues.

« La garce, elle n'a pas mis de soutient gorge... et ça l'excite de mettre ses seins sous mon nez... ooohh ... elle doit avoir de gros seins » souffre en silence Max

Il est clair que Marie Charlotte prend un plaisir extrême à torturer son beau-frère. Elle s'offre littéralement à son regard tout en faisant l'innocente. Et ce n'est qu'un début. Elle a décidé de mettre le paquet pour le faire souffrir.

« Dis-donc, ma chérie, tu fais dans le minimalisme. » Commente Philippe sans avoir l'air de se formaliser plus que ça.

Devant le regard médusé de son mari, elle minaude : « il fait tellement chaud doudou... Et puis c'est la faute de ton frère. Tu devrais lui dire de ne pas gaspiller le bois » dit-elle en buvant une goutte d'eau et en faisant rouler ensuite le verre sur le haut de sa poitrine.

Pour Max, la chaleur commence aussi à lui monter à la tête mais ce n'est pas pour les mêmes raisons. Marie Charlotte s'affiche devant lui en nuisette. Pas la chemise de nuit flanelle, non! La petite nuisette crème pâle ultra courte au col bénitier. Maximilien est au supplice, inconfortable dans son boxer. Il se tortille sur sa chaise. Et ce n'est pas ce qu'il aperçoit à travers la table qui le calme. Il manque de s'étrangler. Avec son kimono sur la chaise, sa belle-sœur lui dévoile son shorty. De couleur crème il ne dévoile pas les secrets qu'il enveloppe, par contre comme Marie Charlotte a les cuisses négligemment écartées, la vulve charnue de celle-ci se dessine distinctement sous le tissu tendu. Maximilien devient beaucoup moins concentré, son lancer de dés est plus impulsif. Sa belle-sœur saisit d'ailleurs l'occasion de les ramasser pour se pencher plus longtemps que nécessaire et montrer par la même occasion une partie de sa poitrine, ses seins pendants à trente centimètres de son beau-frère. Max n'est pourtant pas au bout de ses surprises.