La vengeance de Rashan

BÊTA PUBLIQUE

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Une fois que ce salaud eut satisfait ses appétits de lucre dans sa bouche, sur la moquette du salon, il s'était servi un verre au bar et lui avait servi un verre de jus d'orange d'un flacon qu'il prit au réfrigérateur.

En sirotant son jus d'orange pour effacer l'horrible goût de sperme dans sa bouche elle avait inconsciemment avalé une bonne dose d'aphrodi-siaque, connue sous le nom de cantharide.

Vingt minutes plus tard, alors qu'il lui avait ordonné de se livrer à un aguichant strip-tease dans leur chambre conjugale, Trish ne pouvait s'empêcher de frotter ses cuisses l'une contre l'autre..

C'est à cet instant qu'elle comprit ce qui se passait, elle n'avait pas bu un jus d'orange ordinaire, elle lui demanda nerveusement :

- "Qu'y avait-il dans mon jus d'orange? ....."

- "Juste une petite potion pour te rendre plus amoureuse ma chérie! .... Un peu de cantharide, j'espère que tu aimes! ....." lui répondit-il narquoisement.

Une fois nue sur le lit conjugal, elle se tortillait en tout sens, l'étreignant étroitement des bras et des jambes tout en soupirant :

- "S'il vous plait... Je vous en prie... baisez-moi... Je brûle d'envie de me faire baiser! ..... Je brûle! ...."

En fait c'était du aux effets du puissant aphrodisiaque que Trish avait in-gurgité un peu plus tôt, elle aurait cru qu'un brasier lui consumait la chatte.

Au lieu d'être rebutée par les caresses de ce salopard, Trish était si exci-tée qu'elle avait besoin qu'il bourre sa grosse bite dans la foufoune pour éteindre ce brasier ardent.

En fait, jambes grandes écartées remontées sur ses épaules, elle tenait la main entre leurs deux corps pour guider son énorme mentule dans sa fentine embrasée.

Elle coulissa alors frénétiquement sur son épais chibre pour apaiser le feu qui la consumait l'étreignant des mains et des bras alors qu'elle s'arc-boutait sur les talons pour approfondir ses coups de boutoir.

Finalement, sa semence réussit à éteindre momentanément le feu qui lui consumait l'entrecuisse et Trish dut admettre qu'elle s'était conduite en pute dévoyée dans son propre lit conjugal.

Mais une demi-heure plus tard, Trish se tortillait à nouveau sur son lit, le feu qui couvait entre ses cuisses avait repris de l'ampleur et nécessitait une nouvelle intervention d'envergure pour l'éteindre.

Lorsque son tourmenteur l'eut assuré qu'il était bien trop fatigué pour intervenir, elle étreignit frénétiquement son corps, pris sa grosse bite en bouche, l'excita habilement pour faire raidir sa queue convenablement, suffisamment pour s'empaler dessus.

Plus tard, après cette âpre chevauchée pour satisfaire ses appétits lubriques, Trish réalisa qu'il lui restait 25 minutes pour passer reprendre sa petite fille à la sortie de l'école maternelle, mais auparavant elle devait ramener son violeur en ville.

Vu l'importance du trafic à cette heure de la journée, Trish arriva à l'école juste à temps, c'est alors qu'elle se rendit compte que la cantharide refaisait à nouveau son effet.

Après s'être tortillé sur son siège tout le trajet du retour, elle finit par obéir à ses instincts et envoya sa file jouer dans le bac à sable devant la maison.

Désespérée, obsédée par son besoin de jouir, elle empoigna un concombre dans le frigo et se rua dans sa chambre.

Le lit couinait sous elle alors que cuisses largement écartées, les pieds plantés dans le matelas elle se défonçait la foufounette à grands coups de concombre.

Elle frémit longuement alors que son adorable mari l'embrassait à pleine bouche, bien qu'elle se soit nettoyé consciencieusement la bouche pour débarrasser ses lèvres de toute odeur suspecte, Trish se sentait extrêmement honteuse d'offrir à son mari des lèvres qu'un autre avait largement polluées.

Elle haleta alors que son mari lui empoignait les fesses rouvrant la bles-sure de sa petite déchirure anale qui commençait à cicatriser.

Trish savait qu'elle ne devait jamais laisser personne connaître son lourd secret, elle savait pertinemment que cela ruinerait son mariage si les épisodes croustillants venaient à être révélés.

Elle priait pour que le félon qu'elle ait fait emprisonner se satisfasse de ses performances sexuelles, mais au fond d'elle-même elle savait que ce n'était que le début de sa déchéance et non la fin de son épreuve.

11 septembre 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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1 Commentaires
DavidMC2DavidMC2il y a plus de 3 ans
Superbe

Absolument parfait, direct, cru. Mention spéciale pour la scène du téléphone surtout lorsqu'elle s'empalle dessus. Idem lorsqu'elle éteind sa chatte en feu avec le sperme de son amant dans le lit conjugal

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