La vengeance de Rashan

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Un détenu libéré de prison se venge de son procureur.
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La vengeance de Rashan

Con's Revenge - XI

Coulybaca / Black Demon

Trish Landers excellait dans sa carrière, 5 ans après avoir débuté son dans boulot elle était déjà à la tête du ministère public de son canton.

Agée de 28 ans, elle était heureusement mariée avec son mari James qu'elle adorait et qui l'adorait, ils avaient une ravissante petite fille de 3 ans.

James avait deux ans de plus qu'elle et réussissait professionnellement dans une banque d'investissement, leurs salaires élevés leur avaient permis d'acquérir une luxueuse demeure dans un quartier très aisé de la ville.

Tout semblait leur réussir, leurs carrières respectives, leur petite file... Elle ignorait tous des tâches domestiques.

A l'insu de la ravissante madame Landers un jeune gars âgé de 19 ans qui venait de passer un an en taule l'épiait attentivement.

Une année d'effectuée sur les 5 de sa condamnation, il devait sa libération à l'encombrement des prisons, et à la nécessité d'y faire de la place. Cependant il ne pouvait détourner son esprit de cette ravissante salope d'avocate publique qui l'avait expédié derrière les barreaux.

Cette somptueuse salope dont il avait juré de se venger, alors qu'elle avait simplement fait son travail en le faisant condamner.

Oh il savait pertinemment qu'il était coupable d'avoir participé à ce cam-briolage, Mais Rashan ne pouvait supporter avoir été condamné par une femme, d'autant moins par une ravissante femme.

Comme le quartier était sûr et qu'il fallait montrer patte blanche à l'entrée virtuellement la sécurité était absolue.

Ce sentiment de sécurité plaisait aux Landers, lais que dire de la sécuri-té au-delà des grilles du quartier, les dangers potentiels les menaçaient alors de toutes parts.

Mais ses connaissances en sécurité avaient permis à un ex condamné comme Rashan Jones de passer au travers des dispositifs en place, l'épiant à chaque instant pour noter les détails les plus infimes de ses routines journalières à la recherche d'une brèche dans laquelle il pourrait s'engouffrer.

Il avait suivi chienne qui l'avait mis derrière les barreaux sans rien qui lui permettrait de l'accoster sans danger, pour l'instant il avait surtout dé-couvert que chaque jour elle allait chercher son enfant à la maternelle.

Si, pour une raison quelconque elle manquait ce rendez-vous, un centre de sécurité avisait immédiatement la police et son mari de ce fait, et les recherches étaient immédiatement déclenchées.

Mais Rashan était patient, et comme il ne devait pas se rendre à un bou-lot et qu'il n'en recherchait pas, il avait le temps d'attendre une occasion favorable.

Jour après jour pendant deux semaines il suivait le même programme du matin au soir en suivant les déplacements de la jeune femme.

En la voyant chaque jour reprendre sa petite fille l'école maternelle, il avait remarqué qu'elle s'habillait toujours avec une grande élégance.

Il se pourléchait les babines à la vue de ses longues jambes bien gal-bées, sa bite se mettait alors au garde à vous dans son pantalon alors qu'il espérait bientôt les caresser tout son saoul.

Comme le tribunal était ouvert public, Rashan s'y risquait dans de temps en temps, se rendant dans les secteurs proches du bureau ou travaillait la sensuelle salope.

Vêtu de façon à ne pas attirer l'attention sur lui, Rashan se dégotta une paire de postes d'observation d'où il pouvait la voir quitter son bureau pour se rendre à la salle d'audience située en vis à vis.

Toujours préoccupée par son boulot, la jolie avocate ne se rendait pas compte qu'elle faisait l'objet d'une étroite surveillance.

A force de la suivre dans les rues alors qu'elle se rendait au tribunal, Rashan était devenu un habitué des lieux, on le mélangeait maintenant avec la grande famille des plaignants.

Il avait appris une chose, c'est que la liste des affaires abordées était placardée chaque semaine dans l'entrée de la salle d'audience, et plus important encore cette liste comportait le nom des divers intervenants, y compris les procureurs et le ministère public..

Se glisser dans la salle d'audience pour relever le programme de la se-maine sans se faire remarquer était un véritable jeu d'enfant.

Assis à bonne distance, caché des regards inquisiteurs, Rashan contemplait les charmes de la somptueuse jeune femme quand elle se trouvait hors de la salle d'audience, soit à attendre le retour de la cour, la promulgation du verdit, ou son report à une séance ultérieure.

Il lorgnait ses longues jambes blanches, il fantasmait à l'idée de les ca-resser, d'enfouir son visage entres es cuisses grandes ouvertes, d'entendre ses gémissements enivrés alors qu'il farfouillerait du nez dans son petit buisson brun et savourerait le goût de son nectar intime.

Et, reluquant ses lèvres pulpeuses, Rashan se pourléchait les babines en pensant à l'éloquence qu'elle avait déployé pour l'envoyer derrière les barreaux, avec sa bite en bouche, sa prestation orale serait sûrement moins convaincante.

Ayant vérifié le programme de chacune des cours du tribunal, Rashan savait que la charmante avocate publique n'avait rien à faire au tribunal avant le mercredi de la semaine à venir.

Comme elle vivait dans le quartier sécurisé et que sa routine habituelle la voyait s'arrêter à l'école maternelle au centre ville, il se figurait qu'il n'avait plus qu'à espérer un coup de bol qui lui ferait passer le week-end seule.

Mais celà incluait beaucoup de temps de surveillance et il ne pouvait tout de même pas être pendu à ses basques à longueur de journée, il décida de maintenir sa surveillance une semaine encore avant d'abandonner son projet de vengeance.

Ce vendredi matin, Rashan démarra sa voiture qui était garée à quel-ques encablures en voyant qu'elle quittait le parking.

Comme elle déposait sa fille à la maternelle, il crut qu'on était reparti pour la routine journalière, et qu'elle allait maintenant regagner son bu-reau au tribunal.

Mais, alors qu'elle descendait pour aider sa fille à quitter la voiture Ras-han remarqua qu'elle vêtue très différemment ce matin là.

Sa proie ne s'habillait pas de façon aussi élégante habituellement, Ras-han se demanda alors pourquoi s'était-elle mise en frais de vêture.

Elle portait une jupe bleue claire, des hauts talons bleus marines, une veste de cuir bleue pour se protéger de la fraîcheur matinale

Une fois qu'elle eut débarqué la gosse, c'est avec un intérêt renouvelé qu'il la suivit, alors quelle ne prenait pas son chemin habituel pour rejoin-dre le tribunal local.

Elle tourna à gauche, et passa devant un panneau indiquant qu'elle em-pruntait l'autoroute inter-état 95.

- "Bordel c'est peut-être bien le bon jour ma petite chérie! ..." pensa soudainement Rashan qui se demanda ensuite :

- "Mais où peut-elle bien se rendre? ...."

La suivant sur la file de droite en conservant plusieurs voitures dans l'in-tervalle, il jeta un oeil sur sa montre et vit qu'il était 8 heures juste.

Quelques instants plus tard il plongea la main dans sa poche, en sortit son mobile et composa un numéro.

- "Allo, le secrétariat du bureau des avocats du tribunal? ....."

- "Oui monsieur, en quoi puis-je vous être utile? ...."

- "Oui, pourrais-je parler à maître Landers je vous prie? ..."

- "Désolé monsieur, mais maître Landers n'est pas là aujourd'hui... Cependant je peux prendre un message....."

- "Non, ce n'est pas la peine, pourriez vous me dire quand sera-t-elle de retour à son bureau? ...."

- "Oh pas avant lundi matin monsieur, elle participe à une conven-tion, mais je vous assure que je peux prendre un message pour elle... "

- "Oh c'est inutile madame, je la contacterai vendredi matin! ....", et sur ces mots Rashan raccrocha le visage fendu d'un large sourire de satisfaction.

- "Parfait... Splendide! ..... Vraiment splendide bordel de merde! ...." s'exclama Rashan aux anges, sa bite se cabrant d'allégresse, changeant de voie après l'avoir vu prendre la troisième, la plus ra-pide.

Il comprit qu'elle prenait la direction de Springdale la plus grosse ville dans un état voisin.

- "Bordel j'espère bien que c'est là qu'elle va! .... Je la suivrai jusqu'à Mexico s'il le fallait! .... Je la veux ma vengeance! .... Je ne me suis pas tapé de chatte depuis qu'elle m'a foutu en taule! ..... Je sens que je vais bientôt rattraper tout ce temps perdu! ....."

Presque deux heures plus tard, alors qu'ils arrivaient sur Springdale Rashan sourit en voyant sa proie déclencher son clignotant pour sortir sur la droite.

Gardant une voiture entre elle et lui, il prit la voie qu'elle suivait, Rashan vit qu'elle déclenchait à nouveau son clignotant, il la suivit à nouveau, grimpant derrière elle la rampe d'accès à une route pénétrant dans Springdale.

Il la suivit encore que quelques kilomètres avant que n'apparaissent des panneaux signalant des motels proches.

- "Bordel, je parierai bien qu'elle va prendre une chambre dans un de ces hôtels pour assister à cette foutue conférence! ....." s'avisa-t-il.

Comme il pénétrait dans le hall du Centre De convention, Rashan la vit appeler un groom de service des valets comme il se détournait vers la gauche, vers le parking visiteur.

Empoignant la première valise qu'il trouva, il enleva sa veste et prit l'ascenseur pour gagner l'étage réservé aux participants à la conférence, espérant que personne ne se poserait de questions quant à sa présence dans ces lieux.

Puis la voyant prendre place dans la file d'attente du bureau de récep-tion, il piqua une brochure de l'hôtel et s'assit sur une chaise face au bu-reau.

Le hall grouillait de monde apparemment c'était du aux participants de la conférence, il pensa que ce n'était pas le bon moment pour lancer des manœuvres d'approche.

La ravissante procureur s'était inscrite et discutait maintenant avec une fille qu'elle semblait connaître, Rashan resta assis la regardant faire.

Lorsque sa connaissance la quitta pour se placer dans la file des enre-gistrements, sa proie sortit son téléphone mobile pour lire sa carte d'enregistrement alors qu'elle se dirigeait vers les ascenseurs.

Rashan conjoncture que cette ravissante salope qu'il suivait pas à pas appelait son bureau pour s'enquérir des messages la concernant et pour les aviser du numéro de sa chambre s'ils voulaient le faire parvenir des appels et des messages urgents.

Maintenant que cette chienne avait disparu dans l'ascenseur, Rashan devait trouver un moyen de découvrir le numéro de sa chambre.

Dans ces hôtels classieux, il savait qu'ils avaient du connecter un numé-ro d'appel à sa chambre.

Prenant sa chance il sortit son téléphone et appela son secrétariat.

Lorsqu'il eut un interlocuteur, il avança :

- "Ici le juge Randall, en entrant dans le centre de conférence de Springdale, je me suis heurté à madame Trish Landers, on doit se rencontrer pour boire un café ensemble, mais je suppose que je dois me faire vieux, je n'ai pas noté son numéro de chambre et je n'arrive pas à m'en rappeler, l'auriez-vous par hasard? ......"

- "Chambre 2208... Merci... Encore merci de votre aide..... Et au re-voir... "

Rashan raccrocha u sourire démoniaque aux lèvres.

Le juge Randall était le juge qui avait mené les débats qui l'avaient en-voyé tout droit en prison, se servir du nom de ce vieux bâtard comme outil de sa vengeance ne pouvait que lui faire plaisir.

Voyant la zone de l'ascenseur désertée; il se précipita dedans et pressa le bouton d'appel.

Une fois dans l'ascenseur il appuya sur le bouton 22 et se retrouva ra-pidement au 22ème étage de cet hôtel pour snobs.

La porte de l'ascenseur ouverte, Rashan se dirigea vers sa destination et inspecta rapidement le couloir du 22ème étage.

Des fleurs fraîches décoraient une table de service, c'était juste ce que recherchait Rashan, il s'empara du vase et prit la direction de la suite 2208.

Tenant le vase de fleurs devant lui pour dissimuler son visage, lorsqu'il croisait des gens, I jeta u oeil rapide dans le couloir s'assurant ainsi que personne ne le suivait ni ne venait à sa rencontre.

Il frappa à la porte de la suite 2208 et annonça une livraison de fleurs pour madame James Landers.

Elle avait enlevé sa veste et ses chaussures, elle jeta alors un oeil sur le programme prévu le lendemain.

Elle se levait pour sortir ses vêtements de la valise et les suspendre dans la garde robe lorsqu'elle entendit frapper à la porte, suivit de la conviviale annonce, Trish sourit en pensant à quel point son mari devait être amoureux d'elle pour penser à ce genre de détail : lui envoyer des fleurs dans sa chambre d'hôtel dès son arrivée, d'autant plus que ce vendredi marquait le 5ème anniversaire de leur union!

Habituellement il lui faisait envoyer de fleurs à son bureau mais y penser alors qu'elle se trouvait à l'hôtel! ....

Un rapide passage aux toilettes, impatiente de recevoir ses fleurs elle vota la chaîne de sûreté et tourna immédiatement la poignée pour ouvrir toute grande la porte.

Quelques secondes plus tard, le bouquet de fleur qu'elle croyait envoyé par son mari gisait sur le sol de sa suite alors que le livreur avait plaqué une grosse main sur sa gorge, brandissant un couteau de l'autre.

- "Je vous en prie..... Ne me faite mas de mal! .... J'ai de l'argent dans mon porte-monnaie..... Je vous donne tout! ....." haletait Trish terrifiée.

A sa grande consternation l'envahisseur gloussa :

- "T'inquiète pas, j'te prendrai ton fric... Plus tard! ....."

Sur ces mots il pointa sa langue et se pencha sur les lèvres pulpeuses de la somptueuse jeune femme et lui roula une pelle enfiévrée avant de soupirer :

- "Ne te rappellerais donc tu pas de moi, salope? ...."

Tremblante comme une feuille, incapable de le regarder dans les yeux, son esprit chercher à le situer dans son histoire passée.

- "Je vais te donner un indice sale chienne! .... Tu m'as envoyé der-rière les barreaux pour 5 ans! ..... Dis-toi que je suis là pour ça......" lui soufflait son assaillant à l'oreille.

Le dernier commentaire lui permit de rafraîchir sa mémoire, un long fris-son parcourut son corps lorsqu'elle se remémora cet épisode où elle avait fait condamner un jeune noir à 5 ans de réclusion, mais elle ne parvenait pas à se souvenir de son nom.

Elle se rappelait bien quand un agent du shérif l'avait emmené alors que ce jeune sauvage la menaçait, hurlant :

- "On se reverra salope! ..."

Mais, alors que l'agent du shérif l'emmenait manu-militari, elle avait pris ces menaces comme une manifestation courante après une condamna-tion et s'était empressée de les oublier.

La situation bien en main, Rashan se présenta lui-même - "Rashan Jo-nes, ce nom ne te rappelle-t-il rien? ...."

- "Oh... Mon Dieuuuuu... " soupira-t-elle affolée, il comprit que cette salope se souvenait effectivement de lui.

Elle ignorait totalement qu'il avait été libéré en raison de la surpopulation des prisons ce qui fait qu'il n'apparaissait sur la liste des libérés ordinai-res.

- "Cela fait trois semaines que j'ai quitté ma cellule sale pute! ... Sais-tu que je n'ai pas baisé de nénette depuis plus d'un an! ..... Tout ça parce que tu m'as envoyé derrière les barreaux! ..... Aussi vas-tu m'aider à rattraper le temps perdu, n'est ce pas madame Landers? ...." ricana-t-il menaçant.

Effrayée, Trish pleurnichait de grosses larmes chaudes coulaient sur ses joues elle avait une peur panique de ce vil criminel qui avait juré de se venger d'elle.

Elle tremblait comme une feuille quand il poursuivit :

- "Bordel je vais te baiser à couilles rabattues salope! .... Je vais ruiner ta vie! ..... Dévaster ton corps! ....."

Incapable de se battre ou de résister, sa grosse main lui serrant la gorge et cette lame aiguisée à quelques centimètres de ses yeux, Trish savait qu'elle devait tenter de calmer ce pervers envahisseur si elle voulait re-voir un jour son tendre mari et sa petite fille.

- "Tu dois lui faire croire que tu le comprends jusqu'au moment ou tu pourras t'enfuir ou appeler à l'aide... Tu dois attendre une bonne opportunité pour agir... " se disait-elle en son fort intérieur.

Le dos pressé contre le mur du hall d'entrée, les bras tombant de chaque coté de son corps cherchant à agripper quelque chose, n'importe quoi, Tris tremblait toujours lorsqu'il lui intima :

- "Tâte ma queue salope..... Palpe la bite d'un mec qui n'a pensé qu'à toi tout au long de l'année! ...."

Comme elle hésitait à lui complaire, sa main sur sa gorge lui secoua du-rement la tête contre le mur, l'étourdissant à moitié alors qu'il répétait sè-chement :

- "Prends ma bite en main! ..... Sans la grossir cette bite qui va te faire pleurer! ....."

Sa main se resserrait sur sa gorge, elle se força à lui obéir, elle tendit la main entre leurs deux corps pour palper sa bite au travers de son panta-lon.

La main posée sur la grosse bosse qui déformait sa braguette, Trish tremblait en estimant la taille du pénis dont elle tentait de mesurer la lon-gueur en la parcourant de la main.

Sa mentule semblait si longue, si épaisse, elle frémit en réalisant qu'elle faisait au moins une trentaine de cm.

Instinctivement elle fit ce que font toutes les femmes se retrouvant une bite en main, elle l'explora lentement pour en déterminer des mesures plus exactes.

- "Oh mon Dieu sa bite est presque deux fois plus grosses que celle de James! ...." frémit-elle sans oublier qu'elle avait cette colonne de chair en main.

Elle trembla d'autant plus en l'entendant ordonner :

- "Dégrafe ma braguette salope! ...."

Comprenant qu'elle n'était pas en position d'attendre l'opportunité d'ap-peler au secours ou de s'enfuir elle se força à tendre la main pour s'em-parer du curseur de la fermeture éclair.

- Zipppppppppppppppppppppp le son bien indemnisable de la fer-meture éclair que l'on descend résonna dans l'épais silence.

- "Allez chérie tend la main et attrape ma bite! ...." lui intima-t-il sè-chement.

Le couteau toujours pointé sur ses joues, Tris se soumit à sa volonté, elle glissa sa main droite dans sa braguette, elle cria dégoûtée lorsque sa main vint au contact de la colonne de chair brûlante.

- « Mon Dieu, il ne porte même pas de caleçon! .... »

Mais son instinct féminin la poussa à refermer ses petites mains manu-curées sur son chibre palpitant.

- "Sors là chérie! ...." poursuivit-il impitoyablement. Avec une com-plaisance résignée elle sortit sa bite qui se déploya immédiatement dans les airs comme un diable sortant de sa boite.

Il lui commanda alors :

- "Branle là... Allez branle-moi! ....."

Dégoûtée, démoralisée à l'idée de devoir accomplir un acte aussi dégra-dant, elle se mit à l'ouvrage, elle frémit d'horreur en sentant ses doigts s'humidifier, devenir gluant alors que s'étalaient sur sa hampe les pre-mières gouttes de pré sperme suintant de son méat.

Quoique révulsée, Trish réalisa que, pet-être cette simple caresse lui évi-terait de se faire violer.

- « Il vaut mieux le satisfaire de cette façon et peu-être bien qu'après il partira! .... » pensa Trish pleine d'espoir, priant pour que son es-poir se réalise rapidement.

- "Ah oui chérie! .... C'est vraiment bon. Oh...Ouiiiiiiiiiii..... Tu me ca-resse bien mieux que je l'espérais! ....." la félicitait-il redoublant son espoir, elle se mit alors à le branler de plus en plus vite.

Rashan savait exactement ce qu'elle espérait tout au long de cette branlette et c'est délibérément qu'il lui avait laissé croire en sa tentative insensée de le satisfaire d'une simple branlette.

Ayant pris son pied à plusieurs reprises en se branlant devant des photos qu'il avait prises d'elle au tribunal, Rashan ne se tracassait pas, il ne risquait pas de juter prématurément.

Il avait utilisé son portable pour la prendre en photo puis avait transféré les images sur un ordinateur qu'il avait volé la semaine précédente.

Eventuellement sa branlette frénétique aurait pu réussir, mais Rashan ne voulait pas cracher sa gourme aussi bêtement.

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