La vengeance de Rashan

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs

Il enfonça son cran d'arrêt dans le mur et utilisa alors sa main libre pour prendre en main sa bite.

Descendant sa main de sa gorge à son épaule il la força alors à s'age-nouiller tout en lui annonçant :

- "Tu ne pensais tout de même pas t'en tirer avec une petite bran-lette ma chérie? .... Ne me donne pas tort... Ca n'a jamais été mon intention! .....En fait, en voyant à combien tu savais te servir de ta bouche quand tu m'as envoyé derrière les barreaux, je voulais voir comment tu t'en servirais avec ma bite enfouie dedans jusqu'à la luette! ....."

Et voyant les yeux de la malheureuse se remplir d'horreur, il gloussa :

- "C'est bien ça ma chérie, montre-moi comment tu suces mainte-nant! ....".

Le dos pressé contre le mur, contre le mur comme le mal, Trish sentait son estomac se soulever à l'idée de prendre son pénis en bouche.

- "Mon Dieu... C'est un pervers! ...." pensait-elle, incapable de concevoir qu'elle doive se livrer à un acte aussi répugnant.

Elle avait mis des tas de violeurs pervers à l'ombre durant sa courte mais excellente carrière d'avocat général, entendu maintes victimes décrire cet acte dégradant que leur imposaient invariablement les violeurs, mais là il ne s'agissait plus d'une malheureuse victime racontant les sévices qu'elle avait endurés.

C'est à elle que ce pervers demandait une chose aussi dégradante! ....

Le gland pointé sur ses lèvres closes, sous la menace de se faire défigu-rer et peut-être même de ne jamais revoir ni son mari, ni sa fille, Trish ferma les yeux et ouvrit les lèvres, résignée.

Elle frémit en sentant l'épais bourgeon charnu heurter ses lèvres, Trish pensait encore le rejeter, même lorsqu'il se pressa contre ses lèvres exactement comme un bâton de rouge aux lèvres.

Elle écarta à contrecœur ses dents et ses lèvres, la grosse pine se glissa dans sa bouche sans plus attendre.

- "Nnnnnnnnnnnn... Nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn..... frissonna-t-elle alors qu'une goutte de pré-sperme s'étalait sur sa langue.

- "Qu'y a t-il madame Landers..... Plus haut... Je ne t'entends pas! ..... Et parle clairement pour les jurés! ..... » grondait Rashan tout en forçant l'entrée de son arrière gorge. Il se retira lentement puis s'engouffra à nouveau dans sa bouche asservie, il entreprit alors de baiser en bouche ce respectable procureur responsable de son incarcération et de la lourdeur de sa condamnation.

- "Grrrrggggggggllle... Grrrrrrrrgggggggggg! ....." la ravissante beau-té ne put en dire plus alors que sa bite allait et venait allégrement dans sa gorge révulsée.

- "Je ne comprends toujours pas ce tu dis! ..... Tu devrais mieux arti-culer madame Landers! ....." gloussait-il railleusement

Une main enfouie dans sa chevelure, tenant de l'autre son couteau, Rashan la baisait en bouche alors que, désespérée, elle tentait de le re-pousser de ses maigres forces.

Mais elle n'aurait pas la joie de le priver ce plaisir dont il avait rêvé toute une année.

- "Oh oui ma chérie...... Oh, ouiiiiiiiiiiiiiiii...... C'est encore meilleur que dans mes rêves les plus fous! ......" S'esclaffait-il goûtant plus particulièrement ses grimaces de dégoût, de révulsion.

C'était la toute première fois qu'elle se faisait baiser en bouche, elle avait clairement signifié à son mari qu'i l n'était pas question qu'elle se livre à un acte aussi dégradant lorsqu'il avait voulu qu'elle le suce lors de leur nuit de noce 5 ans plus tôt.

Ce sale bâtard pénétrait maintenant dans sa gorge, coulissant âprement entre ses lèvres, repoussant sa luette il arrivait à enfouir la totalité de sa grosse bite dans sa bouche, ses couilles venant frapper son menton.

- "Oh, ohhhhhhh..... Oh, oui. , Oh oui chérie, tu vas bientôt goûter à mon jus de nègre! ......" annonça-t-il soudain.

- "Oh non... Non..... Il a l'intention de se satisfaire dans ma bouche! ...." frissonnait-elle totalement paniquée.

Sa bite pleinement encastrée dans sa gorge, elle respirait par le nez, sa main posée sur sa nuque lui interdisait tout retrait, elle l'entendit alors demander :

- "Prête ma chérie? .... Je vais jouir..... Ahhhhhhhhhhhh.... Ahh-hhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh....." le gland gonfla encore dans sa gorge, elle sentit alors une rafale de jets chauds et crémeux fouetter directement son oesophage! .....

Elle avait la sensation d'une coulée de lave chaude s'écoulant dans sa gorge pour venir former un véritable lac dans son estomac.

Elle avalait de plus en plus de sa sève alors qu'elle ne pouvait que frémir de révulsion, la tête lui, tournait alors qu'elle commençait à manquer d'oxygène.

Enfin, après plusieurs minutes, il desserra son étreinte sur sa nuque, et il extirpa lentement sa grosse bite fumante de sa bouche asservie.

C'était tout simplement la meilleure fellation dont Rashan Jones avait profité dans sa vie, beaucoup mieux même que des pipes taillées par des professionnelles.

De voir une ravissante jeune femme lui prodiguer cette caresse qui l'écœurait, à contre cœur rendait la chose bien meilleure, d'autant plus que son visage affichait tout son dégoût et sa révulsion.

Et maintenant il se réjouissait de la voir agripper son estomac à deux mains tout en se ruant dans la salle de bain toute proche.

- "Grurppppppp..... Grrupppppppppp..... Gruuppppppppppppppp..... Gaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah! ......"

Son ventre se contractait encore et encore, elle vomit tout le contenu de son estomac.

Le foutre, le bacon, les oeufs de son petit déjeuner tout repassa dans les toilettes.

Enfin, l'estomac vide, elle put se relever rouge de honte.

Elle se traîna jusqu'au lavabo et se rinça la bouche à grande eau.

Un moment plus tard, son assaillant ferma le robinet, elle sanglota alors qu'il la tirait par le coude.

Chancelant sur ses jambes il la traîna hors de la salle de bain vers le grand lit dans lequel il avait l'intention de la violer.

Déjà qu'elle se sentait souillée, dévalorisée par ce qu'elle venait de subir, la pensée d'être possédée par un autre que son cher mari, était intoléra-ble.

Bien que ce ne soit pas de sa volonté, savoir qu'un autre homme que son mari allait fourrer sa grosse bite dans sa chatte lui paraissait impen-sable.

Voyant que son assaillant ne tenait plus on couteau à la main, elle pensa que le moment était venu de se rebeller.

Aussi se retourna-t-elle guettant l'occasion de s'enfuir, mais ils avaient à peine avancé de trois pas qu'il la saisit violemment par les cheveux et la tira en arrière.

Il empoigna le devant de son corsage blanc et le déchira, avant de le lui arracher, puis il agrippa son soutien-gorge.

Une seconde plus tard il jetait les débris de son soutien-gorge en den-telle au sol.

Il empoignait maintenant ses nibards dénudés comme le ferait un consommateur avec des fruits exposés dans une épicerie.

Elle cherchait désespérément à se débattre pour se libérer de son agresseur mais elle n'avait pas la force de s'opposer à ses entreprises lubriques.

Il lui arrachait maintenant sa jupe alors qu'elle tentait toujours de lutter pour éviter le viol inéluctable qui l'attendait.

Il la projeta soudain sur le lit son assaillant se dressant au-dessus d'elle l'épinglant au matelas.

Il agrippa ses poignets et bloqua ses mains au-dessus de sa tête, il les attacha alors à la tête du lit avec une paire de collants qu'il avait déniché dans sa valise ouverte au pied du lit.

Comme elle allait crier, il attrapa une petite culotte propre dans sa valise et la bourra dans sa bouche.

Ligotée sur le lit, Trish observait maintenant la contempler debout au pied du lit, un sourire avide se dessinant sur son visage alors qu'il se déshabillait lentement.

Puis son arrogant agresseur fit jouer ses muscles lui montrant clairement comment était bâti un vrai homme.

Mais il y avait un muscle en particulier qui attirait son attention, un mus-cle long et épais qui tressautait entre ses cuisses, celui-même qui l'avait baisée en bouche et en gorge quelques minutes plus tôt.

Trish se demandait comme il se faisait qu'elle n'avait pas étouffé à la vue de l'énorme bite de son agresseur, une bite dont même un cheval serait fier, la pensée qu'une telle énormité puisse pénétrer son étroite petite chatte lui semblait chose impossible.

Alors qu'elle regardait effarée l'énorme mentule qui devait dévaster son corps, Trish endurait les vantardises et les grognements de son agres-seur l'informant de la manière dont il entendait se la sauter :

- "Je vais faire de toi une femme fière d'être mère grosse salope! ...

Et lorsqu'une femme a goûté aux grosses bites noires, elle ne peut plus jamais s'en passer! ..... Lorsque je t'aurais bien élargi la chatoune ton connard de mari pensera baiser une porte cochère, l'entrée du parc des princes! ..... He, he, he......"

Tout en luttant pour se débarrasser des liens qui l'ancraient à la tête du lit, Trish décocha des coups de pied à son assaillant lorsqu'il entreprit de déchirer sa jupe, mais il ne tarda pas à jeter cette pièce de vêtement der-rière le lit.

Maintenant elle se tortillait pour échapper à ses mains, sa petite culotte en dentelle était son ultime but.

Elle lutta tant qu'elle put, tout en sanglotant de désespoir,

alors que d'épais doigts agrippaient la ceinture élastiquée de son sous-vêtement et la roulait déjà au bas de ses hanches.

Il la tira au bas de ses jambes et bientôt elle franchit la frontière de ses chevilles, maintenant Trish était entièrement nue sous ses yeux appré-ciateurs.

Fermant les yeux elle tourna la tête vers le mur, elle se sentait si humiliée alors qu'il écartait largement ses genoux pour inspecter ses parties les plus intimes, puis il inséra un doigt dans sa fentine et la parcourut avec avidité s'imprégnant de sa chaleur humide.

Lorsqu'il enleva son doigt, Trish se retourna et ouvrit les yeux pour voir ce sale bâtard mouiller ses doigts dans sa bouche les suçant pour les nettoyant alors qu'elle pensait :

- "Ce qu'il peut-être vulgaire, répugnant! .....

Quelques instants plus tard, il lui écartait les cuisses de force et il pla-quait sa bouche sur sa chatoune affolée.

- "Nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn...... Nnnnnnnnnnnnnnnnnnnn...... Nnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn! ....." c'est tout ce que l'on entendait sortir de sa bouche, la petite culotte bourrée dans sa bouche étouffant les sons.

On ne percevait que ces cris voilés et les buvants lappements émanant de son entrecuisse que son assaillant bouffait littéralement.

Continuant à lutter pour se libérer de ses liens, Trish cherchait à ne pas ne pas montrer de quelconques réactions aux assauts de la langue far-fouillant dans son vagin.

Mais en dépit de ses efforts, son corps tressautait de temps en temps, alors qu'elle inondait la bouche de ce sale bâtard de la cyprine, qu'elle secrétait en abondance.

Et, à l'instant crucial où la langue agile s'empara de son clito, son petit corps s'arqua sur les talons elle se mit à convulser alors que la petite culotte bourrée dans sa bouche étouffait ses hurlements de jouissance.

Ce n'est qu'un long moment plus tard que Trish reprit pied dans la réali-té, c'est alors que honte et humiliation l'envahirent toute à la pensée qu'elle venait de savourer le plus fantastique orgasme qu'elle ait jamais ressenti.

Cependant cela ne lui arrivait avec son adorable mari mais avec un vil félon noir qu'elle avait naguère envoyé en prison.

Et voila que maintenant il entendait l'humilier encore plus profondément, il promenait son gland turgescent dans les replis de ses babines embra-sées tout en grondant :

- "Referme tes cuisses sur moi que je t'engrosse! ...."

Rashan sentait sa pine se raidir encore à la vue de la peur qu'affichait le visage de sa proie. Cela le payait en retour d cette année pendant laquelle l'image de cette fieffée salope n'avait pas quitté pas son esprit, et il voulait la faire souffrir sans aucune pitié.

Comme elle tentait d'utiliser ses pieds pour le repousser, Rashan agrip-pa ses chevilles pour les rabattre presque à l'endroit où il était agenouil-lé.

Sa bite semblait aimanter par sa petite ouverture baveuse, il lui saisit ferment les hanches et s'enfouit d'un brusque coup de boutoir :

- "Ngggghhhhhhhh...... Nnnnnngggggg..... Nnnnnnnnnnnnhhhhhh! ....." criait-elle au travers de son baillon qui étouffait ses cris.

- "Oohhhhhhhhhhhhhhhhh..... Aammmmmmmmmmmm! bordell-llllllll... Ce que t'es étroite! ...... " gémit Rashan, Il avait la sensation qu'on lui écorchait la bite, tant la pression de ses sphincters était prenante.

Il se calma, lui laissant le temps de s'accoutumer à la taille de sa queue autant que pour laisser sa cyprine lubrifier sa caverne, Rashan était fier de constater qu'à l'évidence sa mentule était bien plus longue et plus grosse que toutes celle qu'elle avait déjà connu.

Agitant sa queue il gloussa en l'entendant gémir en réponse, il se retira quelque peu et entreprit d'aler et venir profondément dans sa grotte asservie dans le but de la baiser d'une manière qu'elle n'oublierait jamais de sa vie.

Il commença sur un rythme lent, mesuré, il lui faisait apprécier toute la longueur de son chibre, puis il se mit à la marteler de coups de bites puissants et rapides.

Elle ressentait une douleur cuisante de cet infâme viol, mais tout lui semblait mieux que de répondre à ses assauts lubriques comme elle l'avait fait sous ses caresses labiales.

Elle frissonna lorsqu'il lâcha ses hanches pour agripper ses nichons, caressant ses mamelons des pouces, ils dardèrent instantanément.

Elle serra les dents sur la petite culotte roulée en boule dans sa bouche qui la bâillonnait, elle priait pour que cet ignoble viol se termine rapide-ment mais cela la plongeait dans un dilemme cornélien.....

Devait-elle désirer la fin de son viol alors qu'il risquait de l'engrosser en crachant son foutre au fin fond de son utérus fertile? ......

- "Oh oui chérie! ..... Est-ce que tu sens bien ma grosse bite? ..... Tu ne pourras jamais plus te contenter du vermisseau de ton mari après avoir goûté à ma queue! ...." commentait-il railleusement s'enfonçant de plus en plus profondément dans son fourreau dis-tendu.

Et son épreuve se poursuivait, les coups de bélier succédaient au coup de bélier, il s'installa bientôt au lus profond de son intimité, à chaque coup de boutoir ses grosses couilles velues venaient maintenant frapper ses fesses avec un bruit sourd.

Enfin elle sentit que son épreuve se terminait, il grommelait :

- "je vais jouirrrrrrrr ma chérie! .... Je vais injecter mon foutre au fin fond de ta petite chatte! .... Avec un peu de pot je vais t'engrosser! ...."

Trish, à ces deniers mots, tentaient frénétiquement de le déloger, se re-fusant à se faire souiller par sa vile semence qui éventuellement pouvait l'engrosser d'un bâtard noir.

Mais elle ne pouvait y parvenir, sa bite était enfouie bien trop profondément dans sa cramouille pour qu'elle puisse y arriver.

- "Ugh... Ugh... Ugh... Ugh... Ughhhhhhhhhhhhhhhhh... " grognait ce bâtard alors qu'il projetait des torrents de foutre chaud au fin fond de son utérus.

Il avait projeté une telle dose de sperme au fond de son fourreau échauf-fé que les conséquences éventuelles la terrifiaient.

Elle s'évanouit peu après, tétanisée par l'horreur d'avoir subi un viol aus-si dégradant et douloureux, Rashan se retira de son cloaque maréca-geux et se leva du lit.

Il fouilla alors son sac pour en retirer son portable, il sourit en constatant qu'il était capable de prendre des photos digitales. Se servant de l'appareil photo de sa proie, il la prit sous différents angles, il prit de nombreuses photos qu'elle reverrait avec horreur plus tard, puis il rangea le portable dans son sac.

Puis il reprit d'autres photos en se servant de son portable cette fois-ci.

Alors qu'il contemplait la scène de ses deniers méfaits, son adorable adversaire lui semblait ravissante d'autant plus que son étroite petite chatte béait maintenant, remplacée par un large trou d'où s'écoulaient lentement des flots de foutre.

Un heurt à la porte annonçant, suivi de l'annonce service de chambre tirèrent Trish de sa torpeur.

Les bras toujours bloqués au-dessus de la tête, et ligotés à la tête du lit elle voulut crier mais n'émit qu'un vague son étouffé :

- "Mmmmmmm... Mmmmmmppphhhhh... "

Mais comme elle luttait pour se libérer de ses liens, Trish réalisa que ses muscles des jambes lui faisaient horriblement mal après avoir été si brutalement et si longtemps écartelés lors de cet ignoble viol.

Elle frissonna en se rendant compte qu'elle barbotait dans une mare poisseuse formée par les écoulements de foutre s'échappant de ses boucles dorées.

Son violeur revenait maintenant vers elle poussant un chariot de nourriture qu'il avait vraisemblablement commandé auparavant.

Il souriait de toutes ses dents lorsqu'il lui dit :

- "Ca y'est, tu t'es réveillée! .... Juste à temps pour déjeuner... J'espère que tu ne m'en tiendras pas rigueur mais j'ai pris 5 $ dans ton porte-monnaie pour donner un pourboire au garçon d'étage... "

Puis ce sale bâtard dressa le couvert pour deux convives lui demandant suavement :

- "Que penses-tu de cela : filets mignons et homards au menu! ..... Et bien sur le tout accompagné de leur meilleur champagne! ... ".

Il lui baissa la tête à ce moment enlevant de sa bouche la petite culotte qui la bâillonnait.

Elle baissa la tête défaite, mais elle n'avait certainement aucune inten-tion de partager le repas de ce salopard de violeur.

Elle refusa d'ouvrir la bouche alors qu'il lui tendait un morceau de viande qu'il venait de couper, elle le vit alors reposer la fourchette sur le plateau avant de se lever pour empoigner son sac à main.

Il en sortit son portable, l'ouvrit et lui proposa :

- "Je vais appeler ton époux pour lui dire que tu te comportes en sale gamine et que tu refuses de manger ton repas! ...." puis il tourna le téléphone vers elle et l'avisa :

- "Penses-tu qu'il comprendra pourquoi j'en profite pour lui envoyer ces photos! ...."

A la vue des photos sur l'écran de son portable, les yeux de Trish papillotèrent d'horreur alors qu'elle ouvrait une grande bouche, ahurie de se voir dans des poses si obscènes, des photos d'elle reposant sur son lit jambes grandes ouvertes, la semence de son violeur s'écoulant claire-ment de sa chatte béante.

Dès ce moment elle ouvrit les lèvres et accepta la pitance qu'il lui tendait. Comme elle lui demandait de la délier pour lui permettre de se nourrir elle-même elle s'entendit répondre :

- "Il n'en pas question ma chérie! ... Je ne suis pas fou... Je ne te laisserais pas mettre les mains sur un couteau pour m'en porter un coup! ...."

Obligée de manger des mains de son violeur pour éviter qu'il n'envoie ces horribles photos à son mari, Trish s'entendit dire :

- "Je n'ai pas commandé de dessert pour toi! .... Je ne voulais pas que le garçon d'étage pousse un chariot trop chargé... Par ailleurs, tu as appris maintenant comment faire pour obtenir un dessert riche en protéines, il est temps maintenant d'en profiter à nouveau! ...."

Trish sentit son estomac se retourner en entendant ces mots, elle réali-sait ce qu'elle allait devoir faire pour obtenir son dessert! .....

Bien sûr, le repas terminé, Trish eut droit à un éclair crémeux, c'est ce à quoi se referait ce bâtard lorsqu'il lui parlait de dessert! ...

L'estomac soulevé à la pensée de ce que représentait ce simulacre, elle ouvrit ses lèvres pour lécher l'éclair, puis elle ouvrit la bouche en grand pour l'accueillir.

Et à la fin, son dessert avalé, les choses avaient déjà évolués par rap-port à son arrivée matinale.

Le résultat final fut le même, elle fut incapable de garder cet éclair dans l'estomac, le seul changement fut que cette fois elle vomit le contenu de son estomac dans la poubelle au lieu des toilettes, elle renvoya tout ce qu'elle avait mangé, son onéreux repas complet, elle rinça sa bouche avec du champagne au lieu d'un verre d'eau.

Coulybaca
Coulybaca
104 Admirateurs