Cupidon, Soldat de l'Amour

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Déchéance et Humiliation.
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Rainett
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Je regarde Lassana baiser mon mari Robert. Il n'y a rien d'anodin dans cet acte. Ni douceur, ni tendresse. Lassana l'a simplement plié en deux sur le dossier du canapé, lui a écarté les jambes, et il a empalé son cul.

Robert est utilisé comme ça souvent. C'est fait avec désinvolture, brutalement, sans avertissement. Lassana a un regard évident vers Robert. Il n'a pas besoin de parler. Robert hoche la tête, avec un peu d'embarras sur son visage.

À genoux, il sort délicatement la bite de Lassana de son pantalon. Il suce et lèche la bite de son tyran avec empressement. Il a compris cela assez rapidement. Plus Lassana est lubrifié par la salive de Robert, moins c'est douloureux quand Lassana le pénètre. Lassana s'attarde parfois sur la fellation.

Parfois Lassana éjacule dans la gorge de Robert, et mon mari s'étouffe en déglutissant. Robert n'est jamais informé au préalable des désirs de son maître. Il doit juste s'adapter, être malléable. Aujourd'hui, Lassana a repoussé la bouche gourmande, et Robert a laissé tomber le pantalon.

Je regarde mon mari se soumettre, étirer ses fesses nues, son trou qui se profile. La façon dont Lassana a baisé son trou du cul fait toute la différence. L'humiliation de Robert le rend respectueux, soumis. La façon dont Lassana le force, son visage vers le bas du canapé, sa brutalité pour s'enfoncer en lui.

Lassana a rapidement ôté tout sentiment de virilité à mon mari. Robert est simplement utilisé, comme une salope. Il le baise dur, et cela fait maintenant jouir mon mari. Il déteste cela, mais ne peut pas l'arrêter. La cavalcade rude d'une grosse bite noire frottant sur sa prostate. Le comportement autant que la friction vigoureuse, râpeuse.

Robert peut sangloter de honte et jouir en même temps, surtout si, pendant que Lassana le prend, je me caresse auprès de lui, lourdement enceinte de mon amant.

Dès le départ, Lassana me voulait à sa manière, pour porter sa progéniture, être sa famille. Il m'a embrassée, caressée et baisée le premier soir. En me pénétrant de son outil gigantesque, il m'a dit qu'il voulait que mon ventre porte ses enfants. J'ai joui si fort. Tout mon corps tremblait, ma poitrine rougissait, puis mon cou et mon visage.

L'orgasme m'a balayé comme un raz-de-marée. Et ça ne s'est plus arrêté. Nous étions à une fête. Robert était en bas, en train de discuter et de boire avec les frères de Lassana. Pendant qu'à l'étage, Lassana me baisait.

Bien sûr, nous avions flirté un peu au travail. Il ne m'était pas totalement étranger. Mais je le connaissais à peine. Je savais juste qu'il était extrêmement machiste. Rugbyman, mécréant, aimant le jeu et la castagne. Pendant que Lassana me baisait ce soir-là, ma jupe enroulée autour de ma taille, mes jambes relevées sur ses épaules robustes, je mesurais instantanément le contraste avec Robert.

Physiquement bien sûr, mais pas seulement. Mentalement. Robert était faible, indécis. Il ne voulait pas d'enfant, il ne se sentait pas prêt. Lassana a changé cela. Lassana l'a baisé en lui disant qu'il élèverait ses enfants! Il a bien insisté là-dessus, la première fois qu'il baisait Robert. Robert hurlait et suppliait. Mais Lassana a exigé que Robert accepte cela. Lassana voulait me mettre enceinte, et Robert devait être la nounou.

Quand Lassana baise mon mari, Robert se soumet à son maître. Son cul est bien sûr plein de la puissance de Lassana, mais tout son être ressent aussi sa conquête. C'est comme s'il avait été remastérisé, protégé et transformé. J'écoute les sons de Lassana l'utilisant. A côté des bruits de succion de la bite qui pistonne son cul, il y a les gémissements et les râles de plaisir de mon mari. Robert supplie rarement, il se soumet stoïquement aux désirs de Lassana.

Et il y a du plaisir. Ce n'est pas un plaisir gay, de l'amour entre deux hommes. Ni un plaisir sensuel, une peau contre une autre peau. C'est un plaisir mental de contrôle, d'asservissement de Robert. Lassana empoigne les cheveux de Robert, tire sa tête en arrière, et l'oblige à me regarder. Là, devant lui, maintenant, je me masturbe en les regardant. Je porte mon collier de chienne autour du cou, et mes longues cuissardes à talons hauts. Rien d'autre que mon gros ventre qui bouge avec la progéniture de Lassana à l'intérieur.

Je me masturbe, et ma chatte s'ouvre, comme une de ces luxuriantes plantes tropicales aux couleurs irrésistibles. Ma chatte est ouverte, et mon regard est méprisant. Pour cette serpillière qui fut mon mari. Lassana grogne alors qu'il baise Robert. «Tiens, tiens, tiens!» Le rythme hypnotisant des claquements, le rappel incessant de la défaite de mon mari.

Je suis enceinte, comme un fruit trop mûr. J'ai été inséminée par Lassana pendant que la bite de mon mari était comprimée dans une cage en ferraille. Juste le temps d'être sûr. Qu'il ne puisse pas polluer mon ventre avec son asticot.

Lassana fait un geste et je m'approche. Ma chatte est maintenant à quelques centimètres du visage de Robert. Il commence à lécher mon sexe en rythme, sa bouche forcée par les coups de boutoir que Lassana lui délivre par l'arrière.

«Bien, bébé, lèche maman, bon garçon» je l'apaise en caressant les cheveux de Robert. Il a des mèches presque enfantines. Mais mon bébé n'en aura pas. Ma fille aura la couleur brune de Lassana, mes yeux, mon sourire. Je pense à mon bébé, et je fond dans la bouche de Robert qui lape ma chatte.

Robert gémit. «C'est vraiment une séance dure, bébé? Lassana est si fort, n'est-ce pas? Lèche bien, bébé! Sois courageux, arrête de gémir, et lèche mieux.»

Mes sensations ont changé depuis que je suis enceinte. Je suis plus longue à venir. Par contre, je suis tout le temps excitée. Mes hormones sont folles. Heureusement, Lassana est puissant.

Mes seins ont gonflés, et sont devenus très sensibles. Mes tétons qui bougent dans un chemisier ajusté, et je suis mouillée, prête à baiser. Je baise en pensant au bébé de Lassana qui bouge dans mon ventre

«Tu l'as dit à Maguy?» Lassana demande en labourant Robert.

Maguy, c'est la mère de Robert. Une femme incroyable. Pétillante, dynamique. Je suis sûre qu'elle portait le pantalon avec le père de Robert. Robert est comme son père, un faible. J'avais redouté la conversation, décrivant comment ce qu'elle avait deviné, à propos de Lassana, Robert et moi, était en fait bien pire.

Robert a seulement prétendu que Lassana ne me baisait pas, Robert a coopéré, si gentiment. Mais je ne pouvais faire la surprise à cette pauvre femme. Imaginez-la, débarquant à la maternité, découvrant un bébé noir, et son fils Robert accroupi aux pieds de Lassana, en train de lui sucer la bite?

Je lui ai dis que son fils, Robert, c'était notre salope. Devais-je lui dire ça, utiliser ce mot? Je l'ai fait. Je lui ai dit que nous avions fait de Robert notre chienne, et que j'espérais qu'elle pourrait supporter la vérité. Je n'avais pas d'autre moyen de lui dire. Lassana a utilisé Robert et m'a encouragé à le faire. Mais, il y avait autre chose. J'avais le bébé de Lassana dans mon ventre, pas celui de Robert. Sa lignée va s'éteindre, son fils ne me fera pas d'enfant.

«Oui, oh, oui, comme ça, lèche-moi, lèche-moi bien!»

Je gémissais, la voix rauque, commençant à profiter du travail de sa langue, mais excitée aussi par la vue de Lassana défonçant Robert. J'aime ça. J'adore la façon dont Lassana l'utilise. Chaque fois que Lassana le baise, il rappelle à Robert qu'il est notre salope, notre jouet, notre serpillière.

Je commence à tenir fermement la tête de Robert, pour qu'il ne s'échappe pas de ma chatte en fusion, secoué qu'il est par les coups de bite de Lassana dans son cul. Sa tête bougée de cette façon augmente mon plaisir.

«Maguy n'a pas été surprise. Elle t'aime bien. Elle comprend, toi, moi ...» J'essaye de reprendre mon souffle.

«Elle va être une grand-mère aimante, hein?» Lassana se demande, déplaçant sa bite plus lentement maintenant.

Une fois que vous êtes dedans, que la pute a écarté ses jambes et accepté la domination de son maître, vous le baisez comme vous le souhaitez.

«Oui, oui, elle accepte, elle le veut, beaucoup, même!»

Je frotte ma chatte contre le visage de Robert, m'échauffant à nouveau, ma chatte picote encore un peu.

Lassana m'observe. Il aime que je sois salope avec Robert. Il aime que je l'humilie. Il aurait aimé être là quand je l'ai dit à Maguy. Il aurait aimé entendre comment j'avais humilié son fils devant cette pauvre femme. Pour certains mâles alpha, la domination est si importante. Cela transforme l'acte sexuel en expérience exquise. Et je suis sa salope. Je suis sa chienne maintenant.

«Je lui ai dit des choses intimes. À propos de la façon que Robert me lèche quand tu l'encules!»

Lassana grogna. Bon sang, c'était chouette. Tellement salope ... n'est-ce pas?

«Je lui ai dit parce que sinon la curiosité la rongerait. Elle se demanderait comment cela fonctionne. Je lui ai dit que Robert suce ta bite»

Lassana a éjaculé. Il n'a pas supporté. Le coup soudain, je l'ai lu dans les yeux de Robert. Lassana le remplit maintenant. Comme un chou à la crème. Sperme épais et gluant au fond de ses entrailles. Les yeux de Lassana errent sur mes seins. Mes tétons tout durs. C'est instinctif, primitif.

Je jouis aussi calmement que je peux le gérer humainement. C'est un doux frisson de plaisir, bruissant dans mon ventre bombé et mes seins gonflé. Le frisson électrique me picote jusqu'à ce que je halète.

Ce n'est pas l'orgasme le plus profond que j'ai eu, ce n'est pas l'orgasme que me procure la bite de Lassana, mais c'est terriblement doux, incroyablement nécessaire.

«Tu en as besoin de ma bite, maintenant, salope, tu as besoin que te baise, hein?»

J'acquiesce en avalant ma respiration. Oui, j'en ai besoin. Ce sera tout à fait parfait.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans
une suite

bonjour j aurais bien vu lassana prendre le controle de la belle mere devant son fiston

DavidMC2DavidMC2il y a plus de 3 ans

Robert sais comment Lassana fait l'amour, comment il baise, il sait toute sa force, toute sa puissance. Il sait que Lassana prend de la place. J'ai aimé lire à quel point il déteste ça mais que malgré lui il aime que cette grosse bite noire frotte contre sa prostate. S'il est raciste ça doit lui faire quelque chose de greffer un type de peau noir à sa peau d'homme blanc. Il faut considérer que le gros sexe noir en érection de Lassana est un suppositoire. Destigmatizer le sperme: ce n'est que la testostérone et la virilité de cet homme qu'il assimile dans son corps afin de rebooster sa propre virilité. A mon avis sa mère devrait le voir frotter sa chaire sur la peau d'ébène au moins une fois. J'aime beaucoup les histoires hétéro qui débordent sur la domination et la rivalité masculine comme celle . Merci pour ce partage.

DavidMC2DavidMC2il y a plus de 3 ans

Surprenant mais bandant à souhait ! Entre Robert et Lassana ce n'est pas gay ni même sexuel. C'est juste un mélange de domination ultime et d'humiliation totale. Lassana utilise lui aussi le trou du cul de Robert comme si c'etait le sien,sans en prendre soin et sans scrupules. Peu importe l'inconfort, la honte, la douleur ou les démengeaisons que sa grosse bite laisse dans l'anus. Robert doit supporter la présence insignifiante de son tyran dans son intimité, il doit faire avec cet ADN qui a maintenant intégré ses cellules, ses muqueuses et qu'il doit porter à vie. Son maître s'est tatoué dans sa chaire, comme une plaie à vif que le penis sans apote renouvelle sans cesse

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