La vengeance de Rashan

BÊTA PUBLIQUE

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- "Eh ben ma salope t'as encore vomi toutes ces protéines! .... C'est pas très gentil de ta part! .... J'ai du rincer la poubelle sous la douche! ... Je l'ai ramenée quelque fois que tu en aurais encore besoin la prochaine fois! ...." la railla-t-il cruellement, lui démontrant clairement que son épreuve était loin d'être terminée.

- "Je... Je dois assister au séminaire..... Les gens vont se deman-der où je suis! ...." tente-t-elle d'argumenter.

Mais son assaillant ne prêtait aucune attention à ses dires, il répliqua :

- "Il y a tant de procureurs dans la salle de réception, que personne ne remarquera ton absence! ... Ils penseront seulement que tu as du faire face à une urgence! ... ".

Trish savait qu'il avait entièrement raison, cela arrivait souvent, spécia-lement avec le type et le volume de cas qu'elle traitait.

-

Trish grimaça en détournant son regard de ce sale bâtard assis sur le lit qui tendait la main pour caresser ses jambes, parcourant de caresses lascives toute la longueur de sa jambe droite.

- "Bordel t'as vraiment les jambes les plus sensuelles que j'ai jamais vues! .... Elles sont superbes, vraiment superbes! ..... Douces et soyeuses... " la complimenta-t-il lourdement.

- "Mon Dieu il ne veut tout même pas plus de sexe! ...." se deman-dait Trish au fond d'elle-même.

- "Il a déjà éjaculé trois fois en suivant! .... Il ne peut pas baiser en-core aujourd'hui, pas avant qu'un peu de temps ne se soit écoulé! ...."

De sa petite expérience, elle n'avait jamais eu que son mari comme partenaire sexuel, elle avait conclu que faire l'amour deux fois dans la journée ou la soirée était un événement rare.

Se réjouissant de voir la révulsion, le dégoût s'afficher sur le visage de cette ravissante salope, Rashan se mit à lui caresser la face interne de la cuisse tout en grondant :

- "On va faire de la bonne musique ensemble! .... Tu veux danser encore? ....."

Empoignant le paquet qui lui avait été donné au bureau d'enregistrement, il ouvrit l'enveloppe et jeta un oeil sur le programme des réunions.

Dîner et divertissement pour les participants les deux nuits à venir, le règlement devait se faire le vendredi avant midi.

Elle grimaça lorsqu'il intervint :

- "On dispose donc de deux journées entières et de deux nuits avant que tu ne règles ta note vendredi vers 11 heures! ....."

Il caressait toujours ses cuisses, elle pleurnichait alors qu'il se penchait pour capturer un de ses tétons entre ses lèvres commençant à le titiller de la langue.

Il l'amena à darder, puis ce fut au tour de l'autre mamelon.

Elle reniflait maintenant alors qu'il continuait à parcourir ses cuisses d'enivrantes caresses tout en suçant ses tétins, Rashan attrapa la bro-chure posée sur la table de nuit et commenta :

- "Hey, ils proposent même des articles pornos... Il suffit d'y mettre le prix! ..... Hum, voyons comment ça marche..... Wow, il faut contacter le garçon d'étage... Il y a un film intitulé "Chaudes nuits"... On va le regarder..... Peut-être bien que ça va te chauffer les sens! ...."

Un peu plus d'une heure plus tard, Trish était plutôt choquée après avoir visionné un film porno pour la première fois de sa vie, elle ne croyait pas qu'on puisse montrer des actes aussi crus.

Mais le film porno maintenant terminé, Trish craignait ce qui l'attendait maintenant à la vue de la bite déployée de son vil suborneur.

Il la força à ouvrir les lèvres et bourra à nouveau une petite culotte propre dans sa bouche, puis elle dut se mettre à quatre pattes, elle se mit à pleurer lorsqu'il déclara :

- "J'adore voir les grimaces de répulsion et entendre les plaintes des petites putes que j'encule! ..... Ne t'en prive pas ma douce... Tu te rappelleras toujours de celui qui va te casser le cul ma ché-rie......"

- "Bordel c'est peu de le dire, t'as vraiment un ravissant petit cul, un des plus beaux de ceux sur lesquels j'ai posé mes mains... T'ai-merais bien m'envoyer au diable, n'est ce pas salope? ..... Je parie que tu as rêvé depuis longtemps de voir un mec s'agenouiller dans ton dois pour embrasser ton précieux petit cul! ..... C'est d'accord je vais l'embrasser ton ravissant derrière! ....." ironisait Rashan se penchant en avant pour embrasser ses somptueuses rotondités.

Il se tortilla alors pour se poster à sa convenance, dans l'axe de son oeil-let frémissant de peur.

Il se redressa alors, lui claqua gentiment les fesses et siffla :

- "Chérie, je te boufferai bien le cul tous les jours que dieu fait! ...."

Trish agrippait à deux mains la tête de lit en bois, le visage enfoui dans un duveteux oreiller, et malgré la petite culotte qui lui obstruait la bouche, elle parvenait à miauler des lamentations étouffées :

- "Nnnnnnnnnn... Nnnnnnnnnnnnnnnnnnnn....."

Elle transpirait d'abondance alors que son vil agresseur lui cassait le cul avec vigueur.

- "Nnnnnnnnnnnggggggghhhhhhhhhhh....." gémissait-elle alors qu'il était déjà enfoncé de plusieurs centimètres dans son anus récalci-trant.

Elle se lamentait encore et encore bien que ses cris de douleur soient étouffés par la petite culotte qui la bâillonnait, il s'enfonçait de plus profondément dans on boyau à grands coups de boutoir d'une brutalité extrême.

Après vingt minutes de pure douleur Trish ne bougeait plus, incapable de se faire travailler ses muscles après ce violent dépucelage anal.

Elle aurait aimé mourir pendant cette terrible épreuve, elle ne parvenait pas à comprendre qu'elle ait pu survivre à ces longues minutes atroce-ment douloureuses.

Ce sale bâtard l'avait brutalement sodomisée, mais c'était encore pire lorsqu'il avait extirpé sa grosse bite de son anus fumant en ironisant :

- "As-tu apprécié ton lavement ma chérie? ..."

La tête toujours enfouie dans l'oreiller et le cul tendu en l'air, elle sentait la semence de son bourreau s'écouler de son anus béant pour s'étaler sur la face interne de ses cuisses pour finir en une petite mare enrobant ses genoux et le couvre-lit.

Elle s'effondra en position fœtale sur le lit et se mit à frissonner d'effroi en sentant son immonde violeur se coucher à son coté, entourant son corps de son bras, empaumant ses nichons de ses mains.

Elle pensa immédiatement qu'il voulait remettre le couvert mais la se-conde suivante elle l'entendit sombrer dans un profond sommeil.

Elle lutta pour se libérer de ses liens, espérant ainsi prendre la poudre d'escampette et fuir ce dangereux pervers, sans le sortir de son som-meil, elle essaya et essaya mais sans pouvoir se servir d'une paire de ciseaux ou d'une lame de couteau ses espérances étaient bien vaines.

Quelques heures plus tard, Trish sentit son suborneur remuer à son co-té, puis il se mit à caresser son corps tout en enfouissant son visage dans ses cheveux.

Par chance il lui annonça :

- J'ai faim! ..... Et toi, tu dois avoir faim après avoir dégueulé ton petit déjeuner et ton déjeuner! ....."

Sur ces mots il empoigna le menu le parcourut rapidement et l'avisa :

- "Il y a de l'agneau au plat du soir... "

Puis il téléphona commandant un repas pour deux personnes : escargots en entrée, salade, tranches de gigot d'agneau et une bonne boutielle de champagne! ...."

En le voyant hocher la tête affirmativement, elle l'écouta poursuivre :

- "....Oh, oui je préférerais un bonne mousse au chocolat en dessert! ...."

Heureuse qu'il ait enfin ôté la petite culotte roulée en boule qui lui obs-truait la bouche, Trish ne pouvait pas refuser qu'il la nourrisse à la four-chette.

Vint alors le moment du dessert, la mousse au chocolat, Trish savait per-tinemment qu'une fois sa mousse au chocolat avalée, il lui offrirait un au-tre dessert protéiné sortant directement de ses burnes! .....

Heureusement que le repas dura assez longtemps, Trish craignait forte-ment devoir se faire baiser peu après la fin du repas.

Mais cette fois le repas terminé, le dessert avalé, il se remit à lui cares-ser lascivement les cuisses.

A nouveau positionnée à quatre pattes, Trish laissait pendre sa tête totalement désespérée, attendant que le lit ploie sous son poids lorsqu'il se positionnerait dans son dos pour la violer à nouveau.

C'est alors qu'elle vit alors s'affairer avec son téléphone, il gloussa à son adresse :

- "Hey chérie, il est grand temps que tu donnes de tes nouvelles! ..... Que tu discutes avec ta mignonne petite fille... Ainsi qu'avec ton mari! ..... Ah oui le numéro de ton domicile est placé en 2 sur la mémoire..... juste après e numéro de portable de ton mari! ..... "

- "Oh, non pas ça... Je vous en prie ne faite pas ça! ..... Je ne veux pas leur parler! ..... Je vous en supplie! .... Prenez moi et qu'on en finisse! ......" le suppliait-elle misérablement.

La main posée sur sa taille il tenait le combiné du téléphone contre son oreille, Trish le cœur chaviré entendit alors sa fille :

- "Oh Maman c'est toi? ..."

Elle n'avait pas l"habitude de répondre au téléphone, aussi Trish se dou-ta-t-elle que son père devait être juste à coté d'elle et qu'il lui avait passé le combiné en voyant son numéro s'afficher sur le cadran digital.

- "Hé oui ma chérie, comment s'est passée ta journée? ....." répli-qua Trish retenant ses larmes.

Quelqu'un lui pelotait les nichons alors qu'elle parlait à sa fille, elle en avait terriblement honte! ......

Lorsque sa fille l'informa :

- "Voilà Papa... " Trish grinça des dents en entendant la voix de Ja-mes résonner à ses oreilles, lui disant à son tour :

- "Et toi ma chérie comment s'est déroulé ta journée? ...."

Elle s'entendit alors assurer à son mari que tout se passait bien, Trish grimaça en réalisant ce qui se passait, Le bâtard posté dans son dos promenait son gland turgescent dans sa fentine affolée et se préparait à la prendre tandis qu'elle discutait avec son mari au téléphone! .....

C'était extrêmement pervers et dépravé, mais Trish ne pouvait que continuer à discuter avec son mari, comme si de rien n'était alors qu'il la prenait frénétiquement en levrette.

Elle conversa longuement, une bonne quinzaine minutes avec son ado-rable époux, alors que son pervers agresseur la labourait à grands coups de sa bite noire dans sa chatte asservie.

Alors qu'elle étouffait ses reniflements, la conversation prenant fin, l'odieux bâtard la martelait frénétiquement, Trish réalisa avec horreur que ce vil animal avait l'intention de gicler en elle avant la fin de la discussion.

- "Mon Dieu, c'est un malade! ..... Il a dans l'idée d'éjaculer dans mon utérus pendant que je parle à mon mari! ....." pigea-t-elle ha-garde.

Elle continua à discuter sur le même ton avec son mari, et avant qu'elle n'ait posé le téléphone, il éjacula enfoui profondément dans son four-reau.

Elle conversa longuement, une bonne quinzaine minutes avec son ado-rableépoux, alors que son pervers agresseur la labourait à grands coups de sa bite noire dans sa chatte asservie.

Alors qu'elle étouffait ses reniflemenrts, la conversation prenant fin, l'odieux bâtard la martelait frénétiquement, Trish ré&alisa avec horreur que ce vil animal avait l'intention de gicler en elle avant la fn de la dis-cussion.

- "Mon Dieu, c'est un malade! ..... Il a dans l'idée d'éja culer dans mon utérus pendant que je arle à mon mari! ....." pigea-t-elle hagarde.

Elle continua à discuter sur le même ton avec son mari,et abvant qu'ellen'ait posé le tééphone, il éjacula enfoui profondément dans son fourreau.

Sanglotant, pleurant, dans une totale confusion, épuisée par son épreuve, Trish sombra dans les bras de Morphée.

Mais son sommeil était très différent de ses habitudes, une large main n oire empaumait ses nichons et la grosse bite de son suborneur, bien que ramollie était toujours encastrée dans sa cramouille! ....

Sa nuit fut fort troublée, il lui semblait que la grosse bite emboitée en elle grossissait, se déployait lentement et qu'elle ne tarderait plus à gicler dans son fourreau aliéné emplissant son iutérus de son foutre fertile.

Le lendemain, la pancarte "Ne pas déranger" toujours accorchée à la cli-che de porte, son suborneur sortit de la chambre alors que la femme de ménage se trouvait à la porte de la chambre voisine pour lui dire qu'ils n'avaient pas besoin de ses services ce jour.

Aussi le seuil à toquer à la porte fut le garçon d'étage amenant le chariot commandé en cuisine.

Inutile de préciser que la journée de Trish se résuma en deux mots : "baise et suce!" avec cependant un net changement d'attitude....... Trish arrivait maintenant à garder la riche semence protéiné qu'il lui offrait en dessert après chaque repas! .....

Sanglotant, pleurant, dans une totale confusion, épuisée par son épreuve, Trish sombra dans les bras de Morphée.

Mais son sommeil était très différent de ses habitudes, une large main noire empaumait ses nichons et la grosse bite de son suborneur, bien que ramollie était toujours encastrée dans sa cramouille! ....

Sa nuit fut fort troublée, il lui semblait que la grosse bite emboîtée en elle grossissait, se déployait lentement et qu'elle ne tarderait plus à gicler dans son fourreau aliéné emplissant son utérus de son foutre fertile.

Le lendemain, la pancarte "Ne pas déranger" toujours accrochée à la cli-che de porte, son suborneur sortit de la chambre alors que la femme de ménage se trouvait à la porte de la chambre voisine pour lui dire qu'ils n'avaient pas besoin de ses services ce jour.

Aussi le seuil à toquer à la porte fut le garçon d'étage amenant le chariot commandé en cuisine.

Inutile de préciser que la journée de Trish se résuma en deux mots : "baise et suce!" Avec cependant un net changement d'attitude....... Trish arrivait maintenant à garder la riche semence protéiné qu'il lui offrait en dessert après chaque repas! .....

Au soir, Trish dut encore affronter ses tourments quand vers 8 heures, le sale bâtard lui rappela qu'il était de rappeler chez elle.

Une nouvelle fois à quatre pattes il l'avait investie profondément, mais cette fois son suborneur l'avait enfourchée avant de tendre le portable à son oreille pour qu'elle discuta avec sa petite fille.

Il l'avait menacée de révéler sa présence si elle ne lui obéissait pas en tous points, aussi s'efforçait-elle de lui complaire jusqu'au moindre détail.

Il lui avait ordonné, lorsque sa fille passerait le relais à son époux de s'empaler d'elle-même sur sa queue tendue! ....

- "Salut chéri as-tu passé une bonne journée? .... " demanda-t-elle espérant que son mari prendrait la conversation à son compte, normalement il avait du avoir un très important repas d'affaires.

A première vue tout c'était très bien passé et James était tout excité en lui narrant les péripéties de ce repas, Trish serrait les dents pour étouffer ses plaintes alors qu'elle écartait encore les cuisses pour faciliter les coulissements de la grosse bite dans sa fentine asservie.

Mais arrivait maintenant le moment le plus chaud, elle devait s'occuper de la bite de son "amant" de façon à le faire éjaculer en elle au moment même ou elle raccrocherait en répétant à son mari qu'elle l'aimait de tout son cœur.

Elle ne pouvait pas s'en abstenir, pas avec cette horrible menace sus-pendue au-dessus de sa tête, si elle ne se conformait pas à la lettre prêt, à ses ordres, il enverrait à son mari les ignobles photos de son viol.

Le lendemain matin, après une bonne petite séance de baise avant le petit-déjeuner puis un "dessert" bien gagné, Trish pensait que son épreuve se terminait, le moment de régler sa note approchait.

- "Quelle façon de fêter mon 5ème annniversssaire de matiage! .... Je serai bientôt libre! ..... Du moins je l'éspére! ..... Ce bâtard de pervers ne compte tout de même pas m'accompagner une fois hors de l'hôtel! ......" avait-elle conclu ses pensées.

Elle l'écoutait rire à pleine gorge alors qu'il s'amusait avec la télécom-mande de la télé, il venait de remarquer :

- "Tu peux même régler ton addition de cette chambre, ils t'enverront ta facture par mail ultérieurement! .... Vérifions donc ta note pour être certain qu'ils ne t'ont rien ajouté! ....."

Comme elle regardait l'écran affichant le détail de ses dépenses elle grimaça lorsqu'il lui dit :

- "Voyons voir... 2 steaks et 2 homards pour déjeuner le premier jour..... deux tranches de gigot pour dîner... Cela semble bon..... Les petits déjeuners, juste..... Les déjeuner, c'est bon..... Ils ont même déjà relevé le petit déjeuner de ce matin! ...... Oui tout ça semble juste... Champagne, 6 bouteilles! .... plus le prix de la chambre et les charges..... Un peu plus de 1.200 $ pour deux nuits... Alors c'est ainsi que vivent les gens riches ou célèbres! ..... Voyons voir maintenant..... Presser ce bouton pour valider la facture... Et tout est réglé... Et ils ajoutent de laisser les cartes d'ouverture magnétique sur la table à la charge de la femme de chambre...... Wowww c'est vraiment fantastique! ......."

- "Hey chérie, va donc prendre une douche et maquille-toi pour être fraîche pour ton retour au bercail, j'ai hâte que tu me fasses visiter ta luxueuse maison! ..... Va donc prendre ta douche tandis que je fais quelques courses! ...." lui ordonna-t-il sèchement.

Puis il lui tendit la robe noire qu'elle avait emportée pour assister à la conférence et ses hauts talons coordonnés, il lui intima de les revêtir à l'issue de sa douche.

Il sortit de sa valise une petite culotte de dentelles noires et un affriolant soutien-gorge, il les posa sur sa robe.

Puis il coupa les liens qui entravaient ses poignets et lui ordonna :

- "Tu m'attendras au croisement des avenues Lambert et Sunset, juste à l'entrée sécurisée du quartier et je t'accompagnerai sur le chemin du retour! ..... D'ici 1 heure et demi! ....."

Quelques minutes plus tard Trish se retrouva seule dans sa chambre d'hôtel, elle resta assise une dizaine de minutes, puis elle se redressa et empoigna son soutien-gorge et sa petite culotte pour se rendre dans la salle de bain où elle prit une douche dont elle avait vraiment besoin.

Bien que ce sale bâtard l'ait quittée l'emprise qu'il détenait sur elle ne lui laissait aucune autre alternative que de lui obéir, il avait emmené son portable contenant les photos compromettantes, il disposait du numéro de téléphone de son mari, elle savait qu'il les utiliserait si elle ne lui obéissait pas en tout.

Elle ne voulait surtout pas que son mari voit ces infâmes photos, elle ne pouvait pas révéler son viol sans voir ces ignobles photos diffusées

Ne pas se rendre à son rendez-vous, et l'autoriser à prendre place der-rière le siège de la conductrice caché sous une couverture lui vaudrait en plus de perdre sa bague de fiançailles et son alliance qu'il avait fourrés dans sa poche avant de la quitter.

Le soir même, pendant dîner, Trish n'était qu'une boule de nerfs alors qu'elle remerciait son mari si aimant de lui avoir offert une douzaine de roses rouges qu'il avait acheté pour fêter leur 5ème anniversaire de ma-riage.

Mais elle ne lui disait pas qui avait lu la petite carte accompagnant le bouquet, ni que le beau bouquet avait été juste au niveau de son visage pendant une bonne quinzaine de minutes, pendant tout le temps où, à genoux, sur la moquette de la salle à manger, elle avait du donner du plaisir à son suborneur en se servant de ses lèvres et de sa bouche.

Lorsque son mari lui roula une pelle, elle tremblait de peur refrénant son envie de le repousser, se rappelant que son vil maître chanteur avait en-duit ses lèvres d'une épaisse couche de foutre juste avant de la quitter lui confiant combien ses lèvres seraient plus goûteuses pour son mari lorsqu'il l'embrasserait pour fêter leur anniversaire de mariage.

Incapable de refuser les assauts amoureux de son mari cette nuit même, Trish frissonnait pendant son étreinte en se remémorant cet après-midi.

C'est ici, dans le lit qu'elle partageait maintenant avec son mari, que s'était déroulé une sauvage partie de jambes en l'air, il avait pleinement joui deux fois de ses charmes avant qu'elle n'aille récupérer sa petite fille à la sortie de l'école maternelle.

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