Viols au lycée 01

BÊTA PUBLIQUE

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On lui avait arrachée toute son autorité la laissant sans défense aux mains de ses ravisseurs. Le jeune homme la tête fourrée entre ses blanches cuisses lui dévorait la chatte.

Bras et jambes maintenus aux 4 coins du bureau, tout ce que pouvait faire la malheureuse beauté était de se cabrer sous le plaisir que lui donnait la langue de son agresseur.

- Ahhhhhhhhhh... Ohhhhhhhhhh... Geignait-elle alors que son corps était secoué de spasmes convulsifs, elle secrétait son propre jus à flots qu'avalaient son gourmand agresseur.

L'air suffisant, Al releva son visage poisseux d'entre ses cuisses, il se pourlècha les babines pour montrer combien,il s'était délecté de son jus.

- Wawwwwww... Ma douce... Quel flot de jute... C'était délicieux... S'esclaffa-t-il sous les regards envieux de ses amis.

- Et maintenant je vais faire hurler notre somptueuse putain quand je crierai comme une bête en m'enfournant dans sa chagatte! Se marra-t-il.

Il se posta juste à l'orée de sa fente ruisselante de jus.

Il sourit, il adorait cet instant où elle le suppliait :

- S'il vous plait... Non... Je vous en prie, ne me violez pas... S'il vous plait... Vous risqueriez de m'engrosser... Non... Je ne prend pas la pilule...

Il sourit triomphant, sa bite palpitait à l'idée de lui coller un polichinelle noir dans le tiroir.

- Ohhhhhhhhhhh, s'il vous plait... Nonnnnnnnnnnn! Se lamentait Mélanie sentant le gland épais s'introduire entre ses babines embrasées.

- Ohhhhhhhh... Nonnnnnnnnn... S'il vous plait... Vous n'avez pas de capote... Le suppliait-elle, elle sanglota lorsqu'il lui répondit :

- Je vais te baiser à fond ma gentille petite prof! Je vais te coller un bébé noir dans le ventre! Je veux ruiner ta vie ma chérie!

Empoignant fermement ses hanches, Al positionna sa bite palpitante. Puis il poussa de toutes ses forces. Comme l'école était vide, les cris d'angoisse de la somptueuse beauté horrifiée ne pouvaient trouver un écho dans les allées désertes du lycée.

- Aieeeeeeeeeeeeeee... Ohhhhhhhh.... Arrrrgggggggggghhhhhh! Se lamentait Mélanie au bord de l'agonie.

- Nonnnnnnnnnn... Arrrrrrrggggggghhhhhhhhhh! cria-t-elle de plus belle alors qu'il s'introduisait brutalement dans sa chatte brutale-ment distendue.

D'abord lentement, puis de plus en plus rapidement il plongeait sa bite dans la chatte de la prof atterrée.

Ses sanglots reprirent, elle vagissait alors que des ondes d'un intolérable plaisir gagnait ses reins.

A la vue de ce changement, les membres du gang lui lâchèrent bras et jambes, elle les verrouilla immédiatement autour du torse et de épaules du colosse noir qui la baisait langoureusement.

Mélanie était maintenant dans un autre monde chaque intromission dans son ventre lui procurait un plaisir inouï qui la faisait de plus en plus pla-ner.

Elle avait toujours aimé faire l'amour avec son mari, mais jamais il ne lui, avait donné autant de plaisir que ce jeune ado qui la violait vigoureuse-ment, ses reins s'embrasaient sous les rudes coups de bite enivrants de son partenaire.

Soudain tout tourna dans sa tête, son corps fut secoué de spasmes convulsifs, ses muscles vaginaux étreignaient fermement la bite de son violeur.

Elle se blottit contre son agresseur en gémissant sourdement :

- Ohhhhhhhhhhhhh... Mon Dieu... Nonnnnnnnn... Oh nonnnnnnnnnnn... Je... Je jouiiiiiiiis... Arrrrrrrrrrggggghhhhhhhh!

C'était la première fois qu'Al expérimentait un orgasme d'une telle intensité. Ca le changeait des jeunes ados inexpérimentées. Violer une jeune femme élégante et sophistiquée, appartenant à un de ces bâtards de blanc, rendait le viol bien plus excitant.

Lui empoignant les fesses, il se mit à la marteler :

- Oh Chérie... Je vais bientôt jouir... Je vais projeter des flots de fou-tre dans ta petite chatte madame Wilson...

Mélanie se tortillait désespérément, cherchant à repousser son agresseur.

- S'il vous plait... Oh je vous en prie... Ne m'engrossez pas! Le sup-pliait-elle.

- Non... Oh... Oh... Oh... Oh... Psalmodiait-elle alors qu'il la labourait de rudes coups de boutoir.

- Eh chérie, c'est le bon moment... Rugit Al s'enfouissant jusqu'à la garde dans son brasier.

- Ah madame Wilson... Je... Je jouiiiiiiiiiiis... Grogna-t-il, profondé-ment enseveli dans son utérus, projetant son foutre dans son four-reau d'amour fertile.

- Quelle coup ma prof chérie... Oh chérie j'espère bien que je t'ai engrossée... Que je t'ai fait un petit bâtard noir... Madame Wilson... S'esclaffa-t-il alors que sa bite continuait à projeter ses derniers jets de foutre dans son utérus engorgé.

Finalement Al se releva, sortant de la beauté qui pleurait à chaudes lar-mes, puis l'un après l'autre, les membres du gang qui se tenaient à la queue leu-leu devant elle, prirent leur plaisir avec elle. D'abord André, puis Tony et enfin Rémy.

Après avoir regardé leur chef faire jouir la jolie prof, ils ne purent se contenir longtemps.

Chacun d'eux glissa sa bite dans la chatte ravagée de la jolie prof, ses mains et ses bras se refermèrent alors dans leur dos et sur leurs épau-les, ils jaillirent rapidement dans son ventre avide.

Dion regardait la jolie prof gisant cuisses grandes ouvertes sur son bu-reau, du foutre s'écoulant de sa fente béante, sa toison ressemblait maintenant à un cloaque marécageux.

Ce qu'elle avait dit plus tôt : qu'ils baisaient comme des animaux, avait ouvert des perspectives vicieuses à Dion.

Gagnant le bureau où madame Wilson s'était lovée en position foetale, il lui caressa sa soyeuse croupe et la retourna sur le ventre.

Puis il empoigna ses hanches et tira ses jambes vers le bas, laissant la partie supérieure de son corps sur le bureau, jambes pendantes le long du bureau, orteils effleurant le sol.

Ajustant sa prise, il se positionna à l'orée de sa fente détrempée.

Comme les autres membres du gang regardaient la nouvelle recrue se mettre en position, ils l'encouragèrent.

Ils virent alors la bite incurvée disparaître lentement dans le ventre de la prof qui sanglotait. Dion se mit à la baiser sur un rythme de plus en plus élevé, comme un animal du zoo.

De plus en plus vite et de plus en plus profondément si bien que la jeune prof se remit à gémir, et se cabra pour amplifier ses pénétrations vigoureuses, étirant ses bras pour empoigner fermement l'arête du bu-reau.

- Ohhhh... Mon Dieu... Ohhh... Ohhhhhhh... Ohhhhhhhhhhhhh... Psalmodiait Mélanie.

Les sensations dues à cette queue incurvée la fouillant intimement fai-saient monter en elle un plaisir envahissant. Il lui semblait que la prune surmontant sa bite courbe lui atteignait le nombril. Elle n'avait jamais res-senti de sensation aussi sauvage avec son mari.

- Oh mon Dieu... Of ouiiiiiiiiiiiiii... Grommelait-elle alors que la longue bite tordue coulissait el elle avec vigueur.

- Oh mon Dieu... Ohhhhhhhhhh... Ouioooooooooooooo... Gémit-elle succombant à un nouvel orgasme.

Mélanie était heureuse que son époux ait du s'absenter pour un voyage d'affaires.

Il était prêt de minuit avant qu'elle ne parvienne à chanceler jusqu'à sa voiture pour retourner chez elle.

Elle avait été l'esclave de ses infâmes voyous pendant 6 heures pleines.

Elle ne voulait rien révéler à son mari de cet ignoble viol par ces 5 noirs lubriques, pas plus qu'elle ne voulait lui parler de la honte et de l'humilia-tion de se faire ainsi dégrader.

Ses mâchoires lui faisaient mal et elle se sentait nauséeuse après avoir sucé tant de fois leurs bites et avalé leur sperme

C'est une chose que son mari avait souvent essayé d'obtenir d'elle, mais elle lui avait toujours refusé ce plaisir.

Et voilà qu'en une soirée elle était devenue une fellatrice experte entre les mains de ces lubriques agresseurs.

Son corps frissonnait de douleur jusqu'à son trou du cul que ce salaud à la bite courbe avait cassé, lui ravissant sa dernière virginité.

De retour dans leur repère, les membres du gang sirotaient une bière en l'honneur de leur nouvelle recrue.

Dion fut félicité par tous les membres du gang, il était très fier des com-mentaires fait par le groupe au sujet de sa quequette courbée.

- Woawww Dion... Tu l'as fait grimper au mur quand tu lui a fourré ton boomerang en pleine chatte... Se marrait André.

- Tu lui as donné une leçon qu'elle n'oubliera jamais, spécialement quand tu l'as obligée à te supplier de continuer à la baiser quand tu te la faisais en levrette avec ta queue tordue!

Tout le monde le félicitait du choix de cette proie qui les avait diverti une bonne partie de la nuit, Dion était fier d'être des leurs.

FIN

28mars2008

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 12 ans
Pieds nus

Ils les ont enlevé carrément leur chaussette à toutes les nanas quand elles en portaient éventuellement sous leurs belles chaussures ? Vu le détail des viols ça ne m'étonnerait pas les orteils à l'air. Ca devait sentir bon !

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