Viols au lycée 02

Informations sur Récit
Au tour de Laurie et de la bibliothécaire.
7.8k mots
4.44
64.3k
1
0

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 10/22/2022
Créé 04/09/2008
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs

Viols au lycée 2 -- Laurie, puis la bibliothécaire.

High School Rape Club 2

Coulybaca / Black Demon

Remarque : tous les protagonistes de cette histoire ont plus de 18 ans.

Dion ayant reçu le prix du meilleur exploit du mois, il savait qu'il serait difficile d'égaler ce haut fait.

Le gang lui avait demandé de chercher la prochaine proie, mais il lui fal-lait du temps pour le faire correctement. Comme personne ne souhaitait se retrouver en centre de détention ils lui accordèrent tout le temps qu'il réclamait.

C'est alors que Rémi eut l'opportunité de tomber sur un coup fumant.

Rémi était impatient de dénicher la prochaine victime, d'autant plus que cela lui permettrait de la sauter en premier.

Il était tellement sûr que la première beauté qu'il avait sélectionnée était vierge, qu'il s'était senti escroqué en constatant que ce n'était pas le cas, de colère il lui avait cassé son petit cul blanc, lui ravissant son pucelage anal.

Depuis ce jour, Rémi cherchait activement sa prochaine victime, et cette fois il espérait bien qu'elle serait pucelle!

Il explorait chaque jour les différentes classes arpentant les couloirs et les terrains de sport pour affiner ses choix.

Il voulait dégotter une ravissante et innocente jeune fille, qui serait en-core pucelle!

Après quasiment une semaine à éliminer d'éventuelles candidates, Ré-mi ne pouvait empêcher sa bite de se déployer chaque fois qu'il posait les yeux sur la délicieuse Laurie Baxter.

Comme beaucoup de débutantes, elle faisait partie de ces pom-pom girls des équipes junior qui espéraient défendre les couleurs des équipes premières l'année à venir.

Rémi savait qu'elle était très populaire, elle était toujours entourée de nombreux amis, mais jamais de types comme lui.

Il la regardait passer devant lui accompagnée de ses amis, s'imaginant passer les doigts dans sa chevelure dorée alors qu'elle se trouverait allongée sous lui. Puis il traîna derrière eux notant son emploi du temps.

Le lendemain soir, Rémi épia de loin Laurie discutant avec des amies, puis il la suivit de loin alors qu'accompagnée d'une de ses amies elle traversait le champ derrière l'école. Ce champ était ceinturé d'arbres et d'arbustes qui séparaient l'école proprement dite d'autres bâtiments.

En atteignant le bout du champs, les deux filles se saluèrent et partirent chacune de leur coté.

Comme il atteignait le bout du champ, Rémi la vit emprunter le chemin menant à sa maison, ce qui lui permettait d'ailleurs de la localiser.

Le lendemain matin, Rémi se leva tôt et se rua vers l'école, pas pour re-joindre sa classe mais pour épier Laurie se rendant en classe.

Comme elle était très populaire, il soupçonnait qu'elle se rendait en classe très tôt pour rencontrer ses amis et il voulait se faire une idée précise de son emploi du temps.

Vers 7 heures et quart, il la vit sortir de chez elle et se diriger vers l'ar-rière du lycée, Rémi avait repéré un endroit dans les bosquets touffus loin des yeux de la jeune beauté qui s'approchait.

Comme les cours commençaient à 8 heures, et que la plupart des étu-diants arrivaient par l'avant du lycée, pas un ne venait par l'arrière de l'école à ce moment.

Le jeudi soir, à la sortie des cours, Rémi gagna fièrement leur repère, les autres savaient ce qu'il faisait et comprirent au sourire qui barrait son visage qu'il allait leur faire une importante annonce.

- Les gars ont s'en envoie une demain... Lorsque tout le monde travaillera en classe, nous nous divertirons avec la jolie Laurie Baxter! Elle parait si innocente j'vous jure bien que j'vais m'faire mon premier pucelage dès demain matin! Mon Dieu j'attends avec impatience de la voir pleurer lorsque je lui prendrai son pré-cieux pucelage gloussa Rémi.

Puis il développa son plan.

Laurie Baxter était toute joyeuse d'avoir été élue capitaine des pom-pom girls pour ses 18 ans en tout début d'année. Elle avait mis une tenue très classique dans l'attente d'aller à l'église, elle se réjouissait d'avoir autant d'amis au lycée. Une fois prête à se rendre en classe, elle entama le court chemin qui devait la mener à l'arrière de l'école.

Elle se remémorait le week-end dernier, quand elle était sortie avec le garçon le plus populaire du lycée.

Etourdie elle l'avait entendu lui proposer un autre rendez-vous samedi soir, elle se réjouissait déjà à l'idée de se retrouver à nouveau avec lui. Elle revenait à la semaine dernière, lorsqu'elle s'était rendue chez lui, c'est là qu'ils avaient échangé leur premier vrai baiser.

Elle était si plongée dans ses pensées, qu'elle ne prêta aucune attention à la voiture garée dans le virage, deux jeunes gaillards y écoutaient de la musique. Elle fredonnait rêveusement en se représentant son prince charmant, elle était totalement hors de garde lorsque qu'un ado caché dans les buissons sauta sur elle.

Une main plaquée sur ses lèvres lui interdisait de crier alors qu'elle sen-tait ses jambes soulevées du sol.

Le jeune gars sur le siège passager avait rapidement ouvert une porte arrière pour permettre à ses copains de se ruer dans la voiture en traînant Laurie, il leur resta à ramasser ses livres et son sac tombés au sol.

Quelques secondes plus tard, la voiture démarrait emmenant la pauvre Laurie vers son sort.

La main gauche couvrant sa bouche, lui bloquant les bras de la main droite il jeta un oeil sur la jeune beauté apeurée.

- Oh chérie on va faire un peu de musique ensemble! Rigola-t-il alors que ses commentaires arrachaient des larmes à Laurie qui luttait de plus belle pour se libérer.

- T'as raison chérie, débats toi autant que tu veux... J'aimerai que tu te débattes quand je fourrerai ma gosse bite noire dans ta petite chatte! L'encourageait-il alors que sa main droite empaumait son sein gauche et commençait à le peloter.

A sa façon de se débattre en réalisant qu'elle allait se faire violer Rémi se doutait que c'était bel et bien une vierge qu'ils venaient d'enlever.

Comme Al entrait dans le motel, Rémi lui dit de prendre à gauche vers les dernières chambres.

- Les chambres du fond sont insonorisées les gars, c'est mon cousin, celui qui est employé de nuit qui me l'a dit... J'ai préféré en choisir une, ainsi, Laurie pourra nous divertir toute la journée! Assure toi qu'il n'y a personne dehors tandis qu'on fait entrer no-tre jolie petite amie dans la chambre! La voiture d'André est là, garée sur notre gauche, elle nous cache et cela ne va prendre que quelques secondes pour entrer! Tony nous fait signe par la fenêtre, c'est bon c'est le signal, on peut y aller!

En quelques secondes le gang en entier était dans la chambre du motel, jetant leur captive sur les draps blancs du grand lit qu'André et Tony avaient pris soin de préparer.

- S'il vous plait... Je vous en prie ne me faite pas de mal... S'il vous plait... Laissez moi partir... Je vous en prie... Je ne dirai rien à personne... Je vous en prie... les supplia Laurie lorsque Tony lui libéra la bouche, son corps tremblait comme une feuille en voyant l'ado noir se déshabiller sous ses yeux hagards.

- S'il vous plait... Je vous en prie... Ne me violez pas... Je vous en prie... Je suis vierge... Sanglotait-elle ne réalisant pas que c'était la pire chose à leur dire.

Ils lui levèrent haut les jambes, les tenant fermement alors que Rémi se penchait sur elle pour dégrafer son jean. Il prit un grand plaisir à descendre son jean sur ses cuisses dévoilant lentement ses charmes sous les yeux de ses comparses braillant des insanités.

Les deux qui lui tenaient les jambes lui ôtèrent ses tennis puis son jean, ceux qui lui tenaient les bras remontèrent son chandail et son corsage au dessus de sa tête, puis ils les jetèrent à terre.

Rémi était penché sur la jeune fille en pleurs lorsqu'il leur demanda de lui écarter les cuisses, il voulait contempler sa féminité qu'il ne tarderait pas à profaner.

Il tendit la main pour empoigner ses seins au travers de son léger soutien-gorge de dentelle, ses pouces trouvèrent ses mamelons qu'ils manipulèrent un instant avant qu'il ne le lui arrache dénudant ses ni-chons, il agita son trophée sous les yeux de ses complices hilares.

Se baissant il lui arracha sa fragile petite culotte et pressa son visage dans son buisson velu en savourant les flagrances suaves.

Puis il enfonça sa langue à la recherche de son petit clito sensible, pro-voquant de sourds vagissements alors qu'elle tentait à nouveau de leur échapper.

Relevant son visage, Rémi se posta entre ses cuisses pressant sa bite contre sa fente affolée.

- Je vais faire de toi une femme ma chérie... Prépare toi ma douce... Rémi va te ravir ton pucelage! Informa-t-il cyniquement la jeune pucelle éperdue.

- Mon cousin nous a choisi cette pièce insonorisée pour que Laurie puisse crier tout son saoul! ... se vanta Rémi en se déshabillant hâtivement au pied du lit.

Il se réjouissait en voyant sangloter la jeune donzelle épinglée sur le lit.

Rémi prit le téléphone et fit signe à Tony, qui connaissait son rôle de bâillonner Laurie, il sourit à la jeune beauté affolée puis, d'une voix assourdie il parla dans le combiné :

- Allo, le secrétariat du lycée? Monsieur Baxter... Je vous appelle au sujet de ma fille Laurie... Je veux juste vous prévenir qu'elle ne se sent pas très bien et qu'elle manquera l'école aujourd'hui... Merci... Au revoir...

Laurie se tortillait pour se dégager mais elle était incapable de libérer ses mains tenues vers le bas.

Elle voulait préserver sa virginité jusqu'au jour du mariage pour l'homme qu'elle aimerait et ce n'était pas pour la perdre avec cette bande de voyous.

- Oh mon Dieu... Et s'ils m'engrossaient... Oh mon Dieu... Se tracassait-elle essayant toujours d'échapper à leur emprise.

- S'il vous plait... Ne me violez pas... Je vous en prie... Les suppliait-elle désespérément.

Rémi pensait en lui même :

- Mon cousin a bien fait de me prévenir que cette pièce était inso-norisée... Si elle ne l'était pas, on entendrait les cris de cette jeune beauté à des kilomètres à la ronde quand je la dépucellerai!

Le gland inséré dans sa chatte brûlante, Rémi se pencha et empoigna fermement ses globes fessiers

- Yeahhhhhhhhh! hurla-t-il en butant sur son hymen qui résistait.

- Je vais te baiser ma chérie... Grogna-t-il ravi.

- AAieeeeeeeeeeeeeeeee... Ahh... Ahhh... Ahhhhh... Nonnnnnnnnn! S'écria Laurie folle de douleur.

Elle ne parvenait pas à croire qu'on puisse avoir si mal, alors que sa fleur venait d'être cueillie avec une extrême brutalité.

- Oh... S'il vous plait... Arrêtez... J'ai si mal... Si mallllllllllll! Se la-mentait-elle affolée par la souffrance.

- Bordel... Que c'est bon de la baiser... Ma première pucelle... S'esclaffait Rémi savourant avec délice ces précieux instants.

Il se retira un peu, jeta un oeil entre leurs deux corps disjoints et annon-ça gaiement :

- Regardez les gars... Ahhhhh... elle saigne! Regardez son sang de vierge...

Et il se mit à la labourer furieusement.

- Oh chérie... Ma chérie, tu te rappelleras toujours de celui qui t'a pris ton précieux pucelage... Oh chérie on va suspendre ce drap dans notre repère pour que tout le monde puisse voir ton sang de vierge... Se vanta-t-il fièrement cherchant à enfouir la totalité de sa bite dans sa chatte élargie.

Ayant atteint son but, Rémi avait de plus en plus de mal à se contrôler, sa bite tressautait prêt à exploser sur le champ.

- Oh chérie... Je vais jouir... Ahhhhhhhhhhhhhhh! Gémit-il d'une voix rauque en jaillissant à gros bouillon au fin fond de son utérus endolori.

Dès que Rémi épuisé se fut retiré de la chatte de la beauté en larmes, on aurait cru des requins reniflant frénétiquement l'odeur du sang.

Mais dans le cas de ces voyous c'était le sang virginal de Laurie s'écou-lant de sa chatte meurtrie qui les excitait tant.

C'était à celui qui plongerait sa bite dans la chatte sanguinolente de l'ex-vierge alors que Rémi se marrait :

- Allez qui veut se faire cette foufoune ensanglantée!

Mains tenues au dessus de la tête, incapable de bouger son corps endo-lori, Laurie dut supporter les ados qui l'un après l'autre satisfirent leur lu-bricité.

Environ une heure plus tard, elle réalisa que seul le chef n'avait pas abu-sé d'elle. Laurie s'efforçait de rester inerte, sans aucune réaction sous leurs assauts.

Elle avait fermé les yeux et évoquait des choses plaisantes cherchant désespérément à détourner son esprit de l'épreuve qu'elle subissait.

Elle savait que le chef, Al, lui gardait quelque chose de terrible en réserve, il attira la table basse à coté du lit et s'assit dessus.

Elle en avala sa salive de peur comme Al posait les pieds sur le lit, jambes grandes écartées alors qu'il se mettait à se branler. Sa peur grandit encore comme il lui annonçait :

- J'ai un petit en cas chaud pour toi ma chérie! Viens ici goûter à ma juteuse mixture de noir... Comprenant ce qu'il attendait d'elle, son estomac se révolta et elle dut poser une main sur son ventre pour contrôler ses nausées.

Le visage de Laurie afficha une horreur sans nom, au grand plaisir des spectateurs ravis de la voir paniquer.

- Ne voyez vous pas qu'elle meurt de faim? A moins qu'elle n'aime la nourriture noire! Commenta un des membres du gang.

Rémi s'agenouilla alors que le lit lui saisit les cheveux et les tira :

- Allez chérie, magne toi le cul! C'est moi qui ait arrangé cette pe-tite partie et ton rôle est de divertir tous mes invités!

Tirée par les cheveux sur le rebord du lit, Laurie ferma les yeux en s'age-nouillant entre les cuisses du chef.

La large main du pervers chef remplaça celle de Rémi.

Les doigts entrelacés dans ses mèches, lui interdisant toute fuite, Al bougeait les hanches frottant son gland sur ses lèvres serrées.

- Il est temps de prendre ton repas ma petite chérie! Ouvre moi tes jolies lèvres... Lui ordonna Al pressant son gros gland contre ses lèvres rétives.

D'une saccade soudaine sur les cheveux, Al la fit crier de douleur, lui fai-sant écarter les dents.

C'est ce qu'il attendait pour s'immiscer entre ses lèvres, il adora la façon dont elle se débattit pour le déloger de sa bouche.

La bite bien logée entre ses lèvres, Al sentait ses couilles s'emplir de sève, prêtes à lui exploser en pleine gorge.

L'expression de dégoût et d'humiliation qu'affichait son visage précipitait encore plus son envie d'éjaculer.

Il l'attira à lui, fourrant sa grosse bite dans son arrière gorge. Il rit en voyant ses yeux rouler dans ses orbites et son visage virer à l'écarlate, il était évident qu'elle ne pouvait plus respirer la gorge encombrée par la grosse hampe.

Allant et venant brutalement dans sa bouche asservie, Al grogna :

- Oh ma chérie... Ton repas va t'être servi... Ahhhhhh, yeah... Ca vient... Bordel... Je jouiiiiiiissssss...

Sur ces mots il projeta de longs jets de foutre chaud au fond de sa gorge. Alors que sa bite mollissait, toujours encastrée dans la gorge de la jeune beauté choquée, Al lui tira la tête en arrière.

Il voulait se retirer rapidement de ses lèvres de peur qu'elle n'en colle partout. Le retrait de sa bite permit à Laurie de respirer à nouveau normalement mais il était évident qu'elle ne parvenait pas à avaler ce breuvage si riche en protéines. Se relevant, Il la rejeta sur le coté du lit.

Laurie tomba en arrière sur le lit, la tête appuyée sur le côté, sanglotant crachotant.

- Tony ne la laisse pas vomir sur la moquette... Mon cousin me tue-ra si on salope la chambre... Hurla Rémi affolé.

Juste à temps, Tony lui tendit la poubelle posée au sol, elle se mit à vomir tripes et boyaux, des torrents de foutre jaillissant de sa bouche dans la poubelle.

Alors qu'elle était encore décomposée, Rémi grimpa sur le lit et saisit ses blanches hanches, la relevant il se pressa contre elle et la pénétra bruta-lement.

- Aieeeeeeeeee... Ohhhhhhhhh... Nonnnnnnnnnnnn... Geignait-elle pitoyablement.

- Ohhhhhhh Bordel... D'abord son pucelage... Et maintenant je vais lui casser son petit cul vierge... S'exclama Rémi excité comme un fou.

- Quelle inoubliable journée! Et tout ça grâce à toi ma chérie! Ri-gola Rémi se ruant dans le trou de cul de la beauté sanglotante.

Un à un, ils assouvirent tous leur luxure sur l'innocente beauté, la baisant par le trou à leur convenance.

Tôt dans l'après-midi Laurie fut prise par trois gars en même temps, mais c'était maintenant totalement différent, son corps répondait ardemment aux assauts de ses agresseurs.

Laurie ne comprenait pas ce qui lui arrivait, pourquoi son corps réagis-sait-il orgasme après orgasme alors que ces voyous prenaient brutalement leur plaisir dans son corps il y a encore peu innocent.

A l'heure de la sortie des cours, ils la libérèrent derrière le lycée, elle ren-tra alors curer son corps de toutes ses souillures.

En redémarrant, les membres du gang agitaient leurs trophées par la vi-tre de la voiture, soutien-gorge et lambeaux de petite culotte, qui viendraient s'ajouter aux autres témoins de leurs viols antérieurs

Ils ne s'en faisaient absolument pas, sachant que leur victime était bien trop honteuse pour rapporter à qui que ce soit son viol, elle ne pouvait avouer à personne q'elle avait été violée et reviolée toute une journée, le corps dévasté par des violeurs noirs.

Elle ne mettrait même pas ses parents et ses amis au courant de sa dis-grâce.

Trois semaines s'étaient écoulées depuis le fantastique viol de la ravis-sante prof dans sa salle de classe. Ils recherchaient maintenant la vic-time suivante.

Chaque jour, à la fin des cours, Dion gardait les yeux grands ouverts estimant les différentes éventualités.

Comme ils discutaient derrière le lycée, Dion répondit à ses comparses qu'il était sur une piste très chaude.

Tôt le matin même, Dion avait eu une sacrée inspiration en se rendant à la bibliothèque du lycée avec sa classe d'anglais.

La mâchoire lui en était tombée à la vue de la ravissante bibliothécaire qui reçut sa classe.

La prof d'anglais la présenta comme mademoiselle Evelyne Mason, dont c'était le premier poste.

Elle avait aux environ 25 ans, et devait pesait aux alentours de 60 kgs pour 1, 70 m, elle avait de longs cheveux noirs et les yeux bleus.

Dion lorgnait ses longues jambes en pensant qu'il tirerait bien un petit coup avec elle.

- Bordel... Les copains se battraient sûrement pour savoir lequel la sauterait en premier! Je crois que je ferai mieux de retenir ma place avant toute chose... Ohhh je me glisserai bien entre ses soyeuses cuisses... Conjoncturait-il déjà.

En apprenant que c'était son premier travail au sortir de l'université, il supposa qu'elle ne devait avoir que 6, 7 ans de plus que les membres du gang, la proie idéale en quelque sorte.

A la vue de la bague de fiançailles à son doigt, il déduisit qu'elle s'était engagée avec un connard de blanc, ils seraient tous ravis de cocufier un de ses salauds de blanc.

Dion l'écouta leur expliquer le fonctionnement de la bibliothèque, il se mordait les lèvres, s'imaginant enfonçant sa grosse bite dans son étroit chenal anal.

L'après-midi du mercredi, ses copains l'entreprirent dès son arrivée à leur repère.

Il se contentait de sourire et leur dit de lire un livre pour l'échanger et de le suivre. Avant d'entrer, Dion les prévint :

- C'es la bibliothèque du lycée les gars, fermez vos gueules si vous voulez savoir comment on va s'la faire! Qui aimerait goûter aux charmes de cette petite chienne?

Assis autour d'une table, Dion gloussa à la vue de ses comparses yeux écarquillés, langues pendantes.

Alors que la jolie bibliothécaire était éloignée d'eux, il leur murmura :

- Rappelez vous d'une chose les gars, je veux casser le premier son petit cul de blanche!

Ayant surveillé la bibliothèque pendant 3 jours de rang, Dion les prévint :

- Il est bientôt 17 heures, l'heure de la fermeture, dans quelques minutes, elle va se lever pour dire à tout le monde de sortir. Mais regardez bien lorsqu'elle sortira de son bureau, elle jettera un oeil au travers de la vitre pour voir si personne n'est resté dans la salle, à cet instant l'entrée de son bureau ne sera plus dans son champ de vision... Puis à 17 heures sonnantes, le dernier étudiant sorti, elle fermera la porte à clef...

Coulybaca
Coulybaca
103 Admirateurs