Violée en Turquie: Troisième Partie

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Je force Sarah à fantasmer sur ses violeurs.
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Enfourchant le tabouret où je m'étais assis plus tôt, Atila, le mécanicien qui venait de jouir dans la bouche de Sarah, prit place entre les jambes de ma femme.

Le sperme du vieux médecin qui y avait abondamment juté dégoulinait encore de sa chatte laissant sur le carrelage, une flasque de sperme gluant.

Avec ses pouces, Atila dégagea les grandes lèvres de sa vulve afin de reluquer l'intérieur rosé et luisant de foutre de son vagin ainsi exposé.

Son clitoris, libéré de son capuchon, avait doublé de volume réagissant bien involontairement aux stimulis du vieux médecin dont le pubis couvert de poils blancs s'y était frotté à répétition lorsqu'il avait violé sa chatte.

Sortant de sa bouche une langue large et épaisse, le mécanicien commença à lapper, à lécher et à sucer son sexe tout en avalant le sperme du vieux médecin mêlés aux sécrétions vaginales de ma femme.

Je présumai que ce n'était pas la première fois que le mécanicien goûtait le sperme du vieil homme!

Je pouvais fort bien imaginer que, lorsqu'ils étaient privés de jeunes femmes pour assouvir leurs fantasmes de viol, ces deux vicelards devaient mutuellement se masturber, se sucer et s'enculer.

La bouche soudée au sexe de Sarah, un de ses gros doigts crasseux lui fouillant l'anus, le mécanicien poursuivit son cunni durant de longues minutes.

Lorsqu'il se retira de son entrejambe, le sexe de ma femme dégoulinait de sa bave.

Puis, se relevant, il appliqua sur sa bite épaisse et l'anus serrée de Sarah un lubrifiant qu'il avait apporté de son atelier mécanique.

Soulevant ensuite les jambes de ma femme en l'empoignant sous les genoux, il appuya son gros gland violacé contre sa petite rondelle et s'enfonça dans son rectum.

Tout en poussant un râlement bestial, il l'enfila jusqu'à ce que son gros ventre poilu vienne se buter contre ses fesses blanches, douces et soyeuses.

De le voir ainsi sodomiser Sarah m'excitait terriblement.

Hummmm.... Le regarder copuler, s'accoupler avec elle, l'entendre éructer et grogner comme un animal tout en utilisant un langage vulgaire et ordurier.... Ouf!!!

Je regardais Sarah saillie et salie par ce répugnant vicelard lui dilatant l'anus, fouillant son rectum avec sa grosse queue épaisse.

Mais il y avait encore plus que cette scène s'offrant à moi qui faisait durcir ma queue que je branlais frénétiquement.

J'imaginais Sarah revenir à elle pendant que le mécanicien la sodomisait ainsi, nue et attachée!

Sarah violée, criant et se débattant...

Sarah, titulaire d'un doctorat en lettres, chosifiée, dominée, humiliée et utilisée par cet homme crasseux sachant à peine lire et écrire et dont le QI n'atteignait probablement même pas la moitié du sien.

Cela me rappela tous ces hommes que j'aimais imposer à Sarah lorsque je l'enivrais et la baisais, nue et attachée.

Ces hommes d'une éducation et d'un statut social bien inférieurs au sien: camionneurs, concierges, éboueurs, SDF...

Ces orgasmes que je lui imposais alors qu'elle s'imaginait livrée à ces clandestins beurs ou africains, en manque de sexe, se servant d'elle comme tournante.

Des hommes aux mains sales, aux ongles noicis, à l'hygiène douteuse.... Des hommes qui la dominaient, l'humiliaient, la dégradaient mais qui, paradoxalement, la faisaient jouir encore et encore à travers moi.

Le gros Turc l'enculait maintenant d'un rythme régulier, son large bassin se balançant d'avant en arrière, poussant sa bite raide, épaisse et grasse au fond du rectum serré et bien lubrifié de Sarah.

Je sentais qu'il était extrêmement excité et qu'il allait bientôt éjaculer.

Les fesses poilues du Turc se resserrèrent et se contractèrent lorsque le premier jet de son foutre de violeur gicla au fond des intestins de Sarah.

Son gros corps obèse était secoué de tremblements orgasmiques.

Il continua à juter, à travers de puissants coups de butoir, jusqu'à ce que toute sa semence ait profondément giclé au fond du corps de ma femme.

Puis, sa grosse queue ramollie fut expulsée de l'anus de Sarah tel un indésirable corps étranger.

Pendant ce temps, le vieux médecin avait pris place près du visage de ma femme.

Son pénis avait repris toute sa vigueur.

Les "vitamines" dont il avait fait mention plus tôt devaient être un "Viagra turc" pour leur procurer à tous deux de telles érections, et ce à répétition!

Comme le mécanicien avant lui, il violait, à son tour, la bouche de Sarah tout en continuant à fantasmer sur sa petite-fille.

Je pouvais voir le gland de sa bite longue et effilée se frotter contre l'intérieur velouté de la joue de Sarah, déformant celle-ci de façon encore plus marquée à chacun de ses coups de butoir.

Tout en violant sa bouche, le vieux médecin palpait les seins de Sarah, frottant ses mamelons durcis contre les paumes rugueuses de ses mains décharnées.

Puis, tout en retenant fermement Sarah par les cheveux, il enfonça son gland tout au fond de sa gorge pour l'y coincer, forçant sa propre petite-fille qu'il violait à travers ma femme à lui faire une "gorge profonde"!

Tout en poussant un long gémissement, il se vida au fond de la gorge de Sarah en murmurant: "Azra, ma petite Azra... Dede viole ta bouche... Avale tout, ma petite salope... Avale le foutre qui a aussi conçue ta maman... ta maman que j'ai touchée aussi... comme toi, ma petite Azra...".

"Aaaaaaaaahhhhhhhhhh...."

Retenant toujours fermement Sarah par les cheveux, il continua à juter dans sa bouche.

Et je fis de même pour une seconde fois!!!

Lentement, sa queue redevenue flasque glissa hors des lèvres de Sarah, laissant un filet de sperme gluant et jaunâtre couler sur sa joue.

Le mécanicien, de son côté, avait déjà enfilé ses bleus de travail lorsque le médecin se retira de la bouche de ma femme.

"Je vais bien la nettoyer avant que son mari ne revienne.", dit le vieux médecin à l'endroit du mécanicien qui s'apprêtait à retourner à son atelier.

Je continuais à apprécier le spectacle inattendu et terriblement excitant que m'avaient offert ces deux hommes que je ne connaissais ni d'Ève ni d'Adam quelques heures auparavant.

Ces deux hommes qui avaient violé ma femme en se servant de tous ses trous.

Rassasié après 2 puissantes éjaculations, il était temps pour moi d'aller prendre une bouchée avant de revenir chercher Sarah.

45 minutes plus tard, je sonnai à la porte du médecin.

Souriant et détendu (allez savoir pourquoi!), il m'indiqua que ma femme commençait à se réveiller.

Nettoyée et vêtue, personne n'aurait pu dire que deux hommes, durant les dernières heures, venaient de la violer encore et encore.

J'appelai un taxi. Sarah somnola tout au long du trajet de retour vers notre hôtel de Bodrum.

Je la mis au lit dès notre arrivée.

Confuse et désorientée, Sarah revint à elle quelques heures plus tard.

"Shhhhhhhhhhh.... Nous sommes revenus à Bodrum, dans notre chambre d'hôtel. Le médecin et moi t'avons amenée à l'hôpital pour subir d'autres tests. Tout va bien maintenant... Tu n'as pas à t'inquiéter..."

"J'ai un terrible arrière-goût dans la bouche...", me dit-elle, se blottissant dans mes bras.

"C'est sûrement un des effets secondaires de la sédation.", sachant fort bien que ce goût infect provenait de tout le sperme que les deux hommes lui avaient déversé au fond de la gorge!

Elle avait été littéralement gavée de leur foutre gluant et jaunâtre.

"Ah oui... À l'hôpital, ils t'ont aussi fait un lavement pour éviter toute occlusion intestinale. Tu sentiras donc un certain inconfort de ce côté.". Je n'étais pas quand même pas pour lui dire qu'un gros Turc obèse et poilu, à l'allure simiesque, l'avait enculée pendant plus de 30 minutes!

"Merci d'être demeuré à mes côtés... Ce vieux médecin me rendait tellement mal à l'aise... As-tu remarqué cette façon dont il m'a ausculté le ventre et m'a examiné le cuir chevelu et les jambes? J'avais l'impression qu'il me caressait plus qu'il ne m'examinait... Droguée comme je l'étais, qui sait ce qu'il aurait pu me faire? Merci d'être resté avec moi... Je t'aime..."

"Moi, aussi, je t'aime...", ajoutai-je alors que ma queue se durcisait me remémorant les multiples agressions sexuelles que Sarah venait de subir devant moi aux mains de ces deux pervers.

Le lendemain, Sarah se portant beaucoup mieux, nous allâmes récupérer notre scooter, ce qui permit au mécanicien de reluquer ma femme pour une dernière fois.

"Yark... cet homme est vraiment dégoûtant... Tu as vu comment il m'a regardée?... Il est gros, sale et laid... Ouashhhh...", me murmura-t-elle alors que nous reprenions la route.

Et pourtant!!!!

Quelques semaines après notre retour à Montréal, un soir où Sarah avait trop bu... mais alors vraiment trop bu!, je la dénudai et l'attachai au lit par les poignets et les chevilles.

Durant plus d'une heure, ce furent ce mécanicien répugnant et cet ignoble vieux médecin qui, à travers moi, la violèrent et la firent jouir et ce, malgré tout le dégoût qu'ils lui inspiraient.

Malgré ses protestations et ses tentatives de se défaire de ses liens, tous deux, à travers moi, lui procurèrent orgasmes après orgasmes en la doigtant et en la léchant avant de la forcer à les sucer alors que je (qu'ils) la retenais (ent) par les cheveux.

Puis, toujours à travers moi, ils la pénétrèrent et la firent jouir à nouveau alors qu'elle tentait en vain de refermer les cuisses.

Mais, son orgasme le plus puissant, elle le connut aux mains d'Atila (le crasseux mécanicien) qui l'encula, à travers moi, en levrette, les mains attachées derrière le dos, le cul bien relevé, son visage plaqué contre le matelas, la queue de ce gros porc bien enfoncée dans son rectum, pendant que je (qu'il) la masturbais (t) d'une main et lui pinçais (t) les mamelons de l'autre jusqu'à ce qu'il se vide au fond de ses intestins.

L'an prochain, nous planifions un voyage en Afrique. J'aimerais beaucoup que des Blacks avec leurs grosses bites d'ébène violent, devant moi, son petit corps sexy de femme blanche!!!

Mais, entretemps, une autre opportunité s'offre à moi...

Le père de Sarah, Félix, 67 ans, veuf depuis 5 ans et qui vit d'une maigre pension, vient souvent dîner à la maison.

Depuis quelque temps, je remarque, lors de ses visites, ses yeux s'accrocher aux seins, aux fesses et aux jambes de Sarah, la regardant comme un homme qui reluquerait, avec envie, le corps d'une femme qu'il désire et non comme un père posant affectueusement les yeux sur sa fille.

Après avoir discuté avec Sarah de la précaire situation financière de son père, nous sommes convenus que nous pourrions lui offrir ce petit appartement que nous possédons à l'étage de notre maison.

S'il vient vivre avec nous, oserai-je partager avec lui quelques photos intimes de Sarah vêtue de sa lingerie sexy pour qu'il puisse reluquer le corps à moitié nu de sa propre fille?

S'il accepte, oserai-je aller encore plus loin?

Je sais fort bien qu'avec son apparence physique jumelé à ses maigres revenus, son succès avec les femmes est probablement nul.

Depuis combien de temps n'a-t-il pas fait glisser sa vieille bite durcie au fonds d'une belle chatte juteuse et serrée?

En me masturbant, j'imagine souvent Sarah nue, attachée par les poignets et les chevilles, un bandeau sur les yeux... offerte ainsi à son propre père, ignorant que c'est avec lui qu'elle s'accouple!

Mais, comment mettre en place ce scénario compte tenu des réserves de Sarah qui n'a jamais accepté que je l'offre à un autre homme?

Hummm...Réfléchir à tout cela fait durcir ma queue!

Devrais-je aller de l'avant avec ce fantasme incestueux et pervers... et vous en faire part?

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10 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Je suis impatient de voir la suite ?

AnonymousAnonymeil y a 9 mois

Une suite please!!!

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Je suis d’accord avec tout le monde une suite bien hard avec son père s’impose , récit très bandant

DragonosDragonosil y a presque 2 ans

Récit vraiment excitant. Une suite de votre fantasme incestueux et pervers serait grandement apprécié.

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