Violée en Turquie: Première Partie

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Un médecin et un mécanicien droguent et violent ma femme.
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Inspiré d'un texte intitulé "Turkish delight" par lenneedssex

Originaires du Québec, mon épouse Sarah et moi venions d'arriver en Turquie pour y passer trois semaines de vacances.

Je connaissais bien ce pays car, plus jeune, j'y avais étudié la pharmacologie pendant 2 ans. J'en avais même profité pour y apprendre le Turc.

De retour à Montréal, j'avais rencontré Sarah, une grande, mince et jolie blonde agée maintenant de 27 ans que j'avais épousée il y a quelques mois.

Sarah avait accepté avec enthousiasme ma proposition de lui faire découvrir la Turquie.

Après avoir exploré Istanboul, nous étions arrivés à la station balnéaire de Bodrum où j'avais loué un scooter dans le but de découvrir, à notre rythme, la ville et ses environs.

Nous étions partis, ce matin-là, vers la ville de Turgutreis où nous avions planifié visiter leur réputé marché local.

Toutefois, j'avoue que je commençais à regretter ma décision. Les routes étaient sinueuses et très fréquentées. Nous devions nous faufiler entre les bus, les voitures, les camions et des dizaines de scooters qui ne cessaient de nous couper la route.

Coincé à travers toute cette cohue de véhicules, je ne pus, malheureusement, éviter un profond nid de poule qui s'ouvrait devant moi.

Nous fûmes tous deux éjectés du scooter, nous retrouvant sur le bitume.

Indemne, je me relevai rapidement. Sarah, par contre, était toujours étendue sur la route, grimaçant de douleur tout en tenant sa jambe gauche juste en dessous de son genou.

Je vins rapidement m'agenouiller près d'elle.

Plusieurs hommes s'approchèrent de nous pour arrêter la circulation et nous aider.

Bien qu'elle fut secouée et choquée, l'éraflure sur sa jambe ne semblait pas trop profonde. Toutefois, je remarquai que le casque, qu'elle avait heureusement insisté pour porter, était écorché.

Un petit homme trapu vêtu d'une salopette sale et huileuse se dirigea vers nous et demanda à deux autres hommes présents de transporter notre scooter amoché jusqu'à son atelier de réparation mécanique situé, par chance, juste en face du lieu de notre accident.

Puis, se tournant vers moi, il pointa du doigt la façade d'un immeuble un peu plus loin sur la route en disant dans un français hésitant "Médecin, là... Médecin".

Il m'aida à soulever et à porter Sarah jusqu'à la résidence du docteur. Je pouvais sentir tout le dédain qu'éprouvait Sarah à être touchée par ce gros mécanicien, laid et sale.

Après avoir traversé un petit jardin privé, le mécanicien, sans même frapper, ouvrit la porte de la résidence du médecin. Visiblement, ces deux hommes se connaissaient bien.

Un couloir sombre nous amena jusqu'au bureau du praticien.

Un homme d'environ 70 ans était assis sur une chaise en bois derrière un vieux bureau. Manifestement, il ne nous avait pas entendu entrer chez lui.

Il avait la bouche ouverte et regardait fixement un ordinateur portable posé sur son bureau. Sa main droite était appuyée sur la souris. Sa main gauche, elle, était sous le bureau... à l'image d'un homme qui se caresse tout en regardant de la pornographie???!!!!

Le mécanicien lui lança "Bonjour" en turc... Le vieil homme eut l'air assez surpris de nous voir arriver, comme s'il avait été interrompu dans ses rêveries... ou ses fantasmes!

Il se leva rapidement et je crus entrevoir une légère bosse déformer le devant de son pantalon de toile usé.

Le mécanicien en salopette lui expliqua en turc les circonstances de l'accident et ajouta: "Comme d'habitude, fais-moi signe lorsque ce sera le temps."

"Le temps de quoi?", me demandai-je, perplexe.

À ce stade-ci, je décidai de ne pas laisser paraître que je parlais couramment le Turc. Je voulais savoir ce que ces deux-là complotaient.

Je m'avançai vers le mécanicien et lui serrai la main, le remerciant pour son aide tout en lui disant que j'irais récupérer mon scooter lorsque Sarah aurait obtenu son congé.

Je crus percevoir une sorte de rictus se dessiner sur son visage lorsqu'il me répondit: "Pas pressé...pas pressé."

Puis il quitta la pièce tout en saluant le médecin qui hocha la tête comme pour confirmer un accord entre les deux hommes.

Le vieux médecin ajouta même, d'un air complice: "N'oublie pas de prendre les vitamines que je t'ai prescrites!"

Mais que manigançaient-ils?

Le vieux médecin regarda Sarah, puis se tournant vers moi, il me dit, dans un français tout aussi rudimentaire que celui du mécanicien: "J'examine... elle. Trente euros".

J'hochai la tête pour acquiéser. Sarah s'appuya sur mon épaule tandis que le vieux médecin lui soutenait le bras gauche.

Le vieil homme nous amena dans une salle d'examen située tout à côté de son bureau.

La pièce avait un look vieillot, à l'image du décor vétuste d'un plateau de cinéma de la belle époque.

Des étagères bordaient les murs. Des bouteilles et des boîtes de comprimés s'empilaient sur des tablettes poussiéreuses. Au centre de la pièce se trouvait une très ancienne table d'examen en bois recouverte d'un mince tapis mousse et d'un oreiller.

Sur le mur, une photo d'une jeune femme blonde, très jolie, avec un look rappelant celui de Sarah.

"C'est votre fille?" demandai-je en français. "Non, pas fille... petite-fille... Azra...partie pour Istanboul.... aime pas campagne...".

C'était la première fois que je pouvais observer correctement le vieil homme. Il avait l'air aussi vieux que sa salle d'examen. Il était très maigre avec des cheveux poivre et sel, lissés avec de l'huile. Il avait une moustache fine de couleur noire qu'il teignait sûrement. Son visage émacié lui donnait l'air d'un oiseau de proie.

Ses pantalons de toile étaient passés de mode depuis des années. Mal ajustés, avec des rayures et de grands revers. Il portait une chemise d'un blanc cassé - qui autrefois avait du être d'un blanc pur - et une grande cravate marron.

Sarah portait toujours son casque antichoc. Le docteur détacha la sangle. Il me regarda, pointant du doigt les éraflures sur le casque et me dit: "Mmmm... peut-être ça, commotion cérébrale!!!"

Sarah semblait un peu secouée, mais je n'avais pas l'impression qu'elle souffrait d'une blessure à la tête. Je voulais juste que le docteur examine sa jambe, qu'il y appose un pansement pour que nous puissions continuer notre périple après avoir récupéré notre scooter.

Le vieil homme enleva le casque et me le tendit. Il écarta les cheveux de Sarah pour examiner son cuir chevelu près du point d'impact.

Après une longue inspection où j'eus l'impression qu'avec ses longs doigts osseux, il caressait davantage les cheveux blonds et soyeux de Sarah plus qu'il ne l'examinait (tout en jetant des regards furtifs à la photo de sa petite-fille accrochée au mur), il se tourna vers moi et me dit: "Elle a bosse...commotion... peut-être."

Puis, il continua son examen afin d'évaluer la blessure à la jambe de Sarah.

Au contraire d'Istanboul où les femmes s'habillaient à l'occidentale, les femmes en province portaient souvent le voile et, comme toute bonne musulmane, couvraient leurs bras et leurs jambes.

Pour sa part, Sarah portait ce jour-là des shorts courts, moulant son entrejambe et un chemisier en coton blanc à manches courtes.

Tout en regardant la blessure de Sarah, je me rendis compte que le vieux docteur reluquait ses jambes fines et blanches, légèrement bronzées.

Après avoir évalué la coupure de Sarah, il récupéra sur une tablette une bouteille d'iode pour désinfecter la plaie. Sarah grimaça alors que le médecin procéda à nettoyer sa blessure.

En regardant de plus près l'éraflure, je vis qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter... ce qui était un soulagement. Le médecin appliqua un pansement sur la plaie qu'il maintint en

place avec du ruban adhésif.

Sarah et moi pensions que ce serait tout et elle commença à s'asseoir. Le médecin posa toutefois une main sur son épaule et la fit s'allonger à nouveau. Il fit un geste avec ses mains pour lui faire remonter sa blouse jusqu'à la naissance de son soutien gorge.

"Possible blessure.. intérieur. Je vérifie..."

Le vieil homme ausculta lentement son ventre avec ses doigts longs et décharnés.

Il y avait une atmosphère trouble dans la pièce alors qu'il examinait ma femme. Je pouvais voir ses mains trembler et son souffle était court.

Puis il dit: "Examiner... ganglions aisselles... ouvrir blouse".

Même moi qui n'était pas médecin, je savais bien que l'égratignure sur sa jambe ne se serait pas infectée aussi rapidement et n'aurait pas pénétré ses ganglions en si peu de temps, mais je fis un signe de tête rassurant à Sarah qui commença à déboutonner sa blouse.

Toujours couchée sur le dos, la blouse entrouverte de Sarah laissait entrevoir la partie supérieure de son soutien-gorge en dentelle où se dessinait la naissance de ses seins fermes et ronds (95b).

Le médecin glissa ses mains sous ses aisselles et commença à lui palper les ganglions.

Au début, je pensais que le tremblement de ses mains originaient de sa nervosité, mais, compte de la façon dont il auscultait ma femme, je réalisai que toucher Sarah excitait le vieux pervers.

Sans s'y méprendre, le vieux Turc éprouvait du plaisir à reluquer et à tripoter le corps à moitié nue d'une occidentale blonde de 27 ans, à la jeune poitrine ronde et ferme, à la peau douce et laiteuse et aux jambes longues et effilées.

Puis, le médecin s'approcha et me dit: "Là... toi.. assoir.. ", en me montrant un tabouret. "Je donne femme antibiotiques... Stop infection..."

Il se dirigea vers les étagères, scrutant attentivement ses bouteilles. Il en choisit une, l'ouvrit et en fit sortir 4 comprimés. Il versa de l'eau dans une verre et tendit les pilules à Sarah. Elle les prit et les avala.

"Je reviens... quelques minutes.", dit-il en sortant de la salle d'examen.

Dix minutes passèrent. Sarah semblait très détendue, un peu trop même compte tenu des circonstances. Sa respiration était devenue lente et profonde.

La prenant par la main, je lui dis: "Tout va bien aller, chérie... Détends-toi. Je reste près de toi."

Me serrant la main, elle me répondit: "Merci, mon amour...", et s'assoupit.

Pendant l'absence du médecin, j'en profitai pour étudier la configuration de la pièce où nous étions. À la tête de la table d'examen, un anneau en fer rouillé était ancré au mur. Plusieurs miroirs de différentes formes et dimensions couvraient les quatre murs.

La lumière naturelle provenait d'une grande fenêtre s'ouvrant sur le jardin privé de la résidence du médecin. Un store relevé, aux lamelles de bois horizontales abimées et tordues, couvrait le haut de la fenêtre.

Au-dessus de la table d'examen, un puissant éclairage au néon illuminait la pièce.

Le vieux docteur revint au bout d'une quinzaine de minutes. Il plaça sa main sur l'épaule de Sarah et la secoua doucement.

Elle gémit, ouvrit en partie les yeux et dit quelque chose d'inintelligible. Le médecin se tourna vers moi et me dit: "Peut-être... commotion cérébrale... besoin détente... Je fais injection... Dormira deux heures."

Je savais que Sarah n'avait pas subi de commotion cérébrale. Ma formation de pharmacien m'indiquait qu'il avait plutôt dû lui donner des somnifères, pas des antibiotiques.

Je sentais qu'il se tramait ici quelque chose de vraiment louche.

Le vieil homme, après avoir rempli une seringue d'un liquide transparent, s'approcha de Sarah pour lui inoculer cette substance.

Réalisant que ce vicelard qui reluquait ma femme depuis notre arrivée voulait la droguer, certains de mes fantasmes secrets, tabous et interdits refirent surface.

Depuis longtemps, j'avais ces pensées perverses où j'imaginais offrir Sarah à d'autres hommes qui l'auraient baisée devant moi.

Malheureusement, ce n'était pas le truc de ma femme! D'un look bon-chic, bon-genre, Sarah était prof dans un lycée privé, présidente de son syndicat et même, plutôt féministe sur les bords.

Plusieurs fois, j'avais voulu l'amener dans des clubs échangistes mais elle avait toujours refusé.

Par contre, lorsqu'elle avait trop bu (mais vraiment, vraiment trop bu! - de préférence du cognac!), ses inhibitions tombaient.

J'en profitais alors pour la dénuder et la caresser avant de l'attacher par les poignets et les chevilles aux 4 coins du lit avec des foulards de soie.

Mon plus grand fantasme était de la baiser en lui imposant des hommes, souvent plus âgés, dont elle n'aurait pas voulu (concierge, voisins, etc..) qui la violaient à travers moi.

J'adorais lorsqu'elle me disait: "Non pas lui, il me dégoûte... choisis-en un autre."

Pourtant, à chaque fois, son corps la trahissait et elle finissait, malgré elle, par jouir comme une salope.

M. Simard, le directeur du lycée où elle enseignait en constitua le meilleur exemple.

C'était lors la fête de Noël organisée pour le personnel par la direction du lycée.

Comme à son habitude, Simard avait trop bu. Plus la soirée avançait et plus il devenait lourd et grossier.

Vers la fin de la soirée, alors que la fête se terminait, il coinça Sarah près d'un mur et tout en lui palpant un sein, il empoigna sa petite main douce et la plaqua contre son pantalon pour qu'elle puisse bien sentir la forme et la rigidité de son pénis.

Puis, tout en se pressant contre elle, il frotta son érection contre sa hanche avant de lui murmurer à l'oreille: "Hummm... comme j'aimerais te bouffer la chatte, ma petite Sarah."

Sarah le repoussa fermement et eut tôt fait de quitter la réception

Elle était en furie lorsqu'elle revint à la maison envisageant même de porter plainte aux autorités.

Pour ma part, plus elle me racontait les détails de son agression, plus mon excitation augmentait.

Pour la calmer, je lui offris un cognac, puis un deuxième et un troisième...Je cessai de compter après le quatrième!

Je commençai à la caresser et à la déshabiller. Lorsqu'elle fut nue, couchée sur le lit, je lui glissai un oreiller sous les fesses avant de lui attacher les poignets et les chevilles aux quatre coins du lit.

Même fortement enivrée, Sarah ne ne décolérait pas, continuant à rager contre Simard.

À travers son élocution pâteuse, je l'entendais marmonner: "Vieux salaud, gros porc..."

Étendu nu contre elle, je lui murmurai, tout en lui malaxant les seins et en lui pinçant les mamelons,: "Tu es tellement belle, je comprends pourquoi Simard a envie de toi. Il doit sûrement être en train de se branler en pensant à toi..."

"Non... parle pas de lui... ce vieux dégueulasse", me répondit-elle d'une élocution empâtée.

Tout en faisant glisser ma langue sur son ventre vers son sexe, j'ajoutai: "Dis-moi: que voulait-il te faire déjà?"

Elle ne me répondit pas, probablement trop ivre pour pouvoir anticiper mes intentions!

Alors que ma bouche se soudait à sa vulve, que ma langue pénétrait sa chatte, que mes lèvres aspiraient son clitoris, j'ajoutai: "Sarah...C'est Simard qui est en train de te violer la chatte avec sa langue."

Mes mots eurent l'effet d'un électrochoc, la faisant sortir de sa torpeur.

Pendant les 5 minutes qui suivirent, elle ne cessa de répéter: "Non... non... je ne veux pas.... ARRÊTE, ARRÊTE, ARRÊTE!"

Mais il était trop tard... je n'avais qu'une seule envie: la violer en personnifiant Simard.

Jamais, au fil des nombreux viols que je lui avais imposés, elle ne s'était jamais autant débattue pour se défaire de ses liens.... et tout cela m'excitait encore davantage.

Puis, lentement, progressivement, elle commença à mouiller et cessa de protester et de se débattre. Son clitoris, complètemt décapuchonné, avait maintenant doublé de volume et sa cyprine inondait ma bouche.

Ses protestations laissèrent place à de petits gémissements... "Ah... Ah.... Ah"

Sarah était vaincue, sa volonté l'avait abandonnée, son corps la trahissait. Elle sentait monter cet orgasme auquel elle ne pouvait ni ne voulait se soustraire à l'image, selon les statistiques, de bien des femmes qui jouissent pendant leur viol.

"Pas si mal ce qu'il te fait, non? Il te suce bien, Simard? Veux-tu qu'il arrête?"

(Elle eut un premier moment d'hésitation)

"Tu veux qu'il arrête, Sarah?"

D'une voix à peine audible: "N... N... non..."

J'ajoutai: "Dis lui de continuer..."

(Elle hésita à nouveau)

"Dis-lui, Sarah... Dis-lui de continuer à ce vieux salaud..."

Honteusement, elle murmura: "Con...Continue"...

"Continue qui?", demandai-je

(Suivi d'un autre moment où elle hésita encore davantage)

"Continue QUI?", insistai-je

D'une voix faible: "Con.. tinue... Si... Simard."

"Répète: Continue à me sucer, Simard"

Vaincue, dominée, humiliée, elle gémissa: "Con... conti... continue à me... à me sucer... Si... Simard".

Sarah avait tourné la tête et fermé les yeux.... de honte et de culpabilité alors q'elle venait d'implorer Simard de continuer à la violer.

Sarah allait jouir tout en imaginant se faire violer par Simard, ce vieux vicelard qui la dégoûtait.

Ses jambes se mirent à trembler, signe précurseur d'un orgasme à venir. Puis, d'un mouvement brusque, elle souleva les hanches et tenta vainement de refermer ses jambes ligotées aux chevilles pour emprisonner la bouche et la langue de Simard contre son sexe.

En poussant un long et puissant gémissement, elle se mit à jouir encore et encore...

Ne lui donnant pas le temps de reprendre son souffle, je guidai ma queue vers l'entrée de son sexe et me mit à frotter mon gland contre son clitoris en érection.

"Tu as bien senti sa vieille queue dans ta main lorsqu'il s'est plaqué contre toi?... Est-elle aussi grosse et aussi dure que la mienne? Sens le bien au fond de ta jeune chatte étroite, Sarah. Il t'a donné du plaisir avec sa langue et maintenant il va te violer et te faire jouir avec sa grosse bite."

Elle eut deux autres puissants orgasmes alors que Simard la pénétrait et la violait à travers moi.

Puis, toujours nue et attachée, j'approchai mon gland près de sa bouche, l'appuyant contre ses lèvres.

"Suce, suce le Simard, Sarah".

Vaincue, brisée, elle ouvrit la bouche pour que ce gros cochon de Simard y fasse, à travers moi, glisser sa vieille queue.

Sa langue s'enroula contre son gros gland violacé en forme de champignon et elle commença à le sucer.

Complètement sous le joug de cet immonde pervers que j'incarnais, elle le laissa même, soumise et docile, éjaculer au fonds de sa gorge.

Sarah, qui, quelques heures plus tôt, aurait été prête à porter plainte contre Simard l'avait laissé lui faire un cunni, la pénétrer`et jouir dans sa bouche avant d'avaler son foutre chaud et crémeux.

Si ce vieux vicelard de Simard avait su le nombre de fois où, à travers moi, il avait violé et fait jouir Sarah! J'avais souvent imaginé que je partageais avec lui, tout en nous masturbant mutuellement, photos et videos intimes de Sarah.

Des videos où on la voyait jouir en mentionnant son nom alors que, nue et attachée, je le personnifiais pour la violer... mais je n'avais jamais osé.

Étonnament, lorsque nous étions sobres, Sarah et moi ne parlions jamais de ces scénarios pervers et tabous que je lui imposais lorsqu'elle avait trop bu.

Dans cette période de rectitude politique et où les scandales " Me too" se multipliaient, l'alcool l'aidait à se désinhiber, à chasser sa honte et sa culpabilité d'éprouver du plaisir à être ainsi abusée et violée, à travers moi, par des hommes dont elle n'aurait jamais accepté les avances.

Ne dit-on pas que le fantasme du viol est pour, bien des femmes (et des hommes aussi!) un des plus répandus et des plus puissants?

"Voilà.. dormir maintenant.... deux heures... ", le vieux médecin me montra deux doigts, m'extirpant de mes rêveries érotiques alors qu'il rangeait la seringue ayant servi à droguer Sarah.

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9 Commentaires
JairBrasilJairBrasilil y a environ 2 mois

Turkish Delight was one of the best I've ever read, I'm looking forward to seeing your even more erotic version

AnonymousAnonymeil y a 6 mois

très bien écrit, où est la suite ?

patrick691patrick691il y a presque 2 ans

très bien raconté, on s'identifie bien avec le narrateur

innbayinnbayil y a presque 2 ansAuteur

N'hésitez pas à me contacter en privé pour échanger sur ces fantasmes pervers et tabous!

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