Viols au lycée 01

BÊTA PUBLIQUE

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Tapi dans la bibliothèque, Rémi épiait sa ravissante proie qui étudiait à une table de travail. Il décida d'attendre qu'elle quitte la bibliothèque et de la suivre, il ne voulait surtout pas attirer l'attention sur lui. Jetant un oeil sur les horaires d'ouverture affichés au revers de la porte, il vit que la bibliothèque fermait à 17 heures.

Traînant au bout du vestibule, Rémi regardait les derniers étudiants quitter la bibliothèque sur le point de fermer.

Il vit Julie sortir et se diriger vers le parking réservé aux étudiants. De loin, il la vit monter dans une Honda grise argent et démarrer.

Une fois qu'elle fut partie, Rémi examina attentivement le parking, essayant de déterminer comment s'emparer de leur proie.

Avec l'aide de son groupe, il devrait bientôt goûter aux charmes de la jeune beauté qu'il convoitait depuis 4 mois.

Les deux jours suivants, Rémi continua à épier l'insouciante Julie Wie-land, pour vérifier que rien ne pouvait venir se mettre en travers de son plan.

Chaque jour elle fit la même chose, et Rémi était de plus en plus déter-miné à cueillir le pucelage de cette beauté blanche sous les yeux de ses copains.

La semaine suivante, Rémi et ses potes sirotaient des canettes de bière à l'arrière de sa vieille camionnette bien entretenue.

Personne ne pouvait les voir derrière les vitres teintées. Rémi gardait un oeil sur la sortie de l'école d'où devait surgir la beauté blonde.

Il avait consommé suffisamment de bière pour se donner le courage de faire de ce jour le meilleur de sa vie!

Il avait garé sa camionnette à coté de la Honda vieil argent de Julie, la porte à coulisse entrouverte, ils l'attendaient. Vers 17 heures Rémi sortit du véhicule pour pisser, surveillant l'extérieur. Enfin il leur donna le si-gnal de poser leurs bières d'enfiler leurs cagoules et de se tenir prêts. Lorsque l'insouciante jeune fille se tint entre sa voiture et la camionnette elle sortait ses clefs lorsque soudain une large main se plaqua sur sa bouche et on l'entraîna à l'arrière de la camionnette.

Une fois leur proie à leur disposition dans la camionnette, ils refermèrent la porte coulissante Rémi démarra et ils s'éloignèrent.

Comme Rémi se dirigeait vers le bout le plus éloigné du terrain de sport; André gardait la main plaquée sur la bouche de Julie, alors que Tony et Al s'acquittaient de la plaisante tâche de lui ôter ses vêtements.

Le temps de garer la camionnette, et la proie de Rémi était à poil, prête à servir.

Il était très fier : son plan avait marché et il allait s'installer entre les cuisses de la ravissante Julie pour lui ravir sa précieuse fleur.

Rapidement Rémi se mit en position il se coucha brutalement sur elle lui arrachant un cri de protestation, André avait enlevé sa main la bâillon-nant.

- Oh mon Dieu... S'il vous plait... Je vous en prie... Arrêtez... Ne me violez pas... criait-elle sourdement.

D'un seul coup de boutoir Rémi enfouit sa bite raide dans sa chatte affolée. Mais son attente fut déçue, elle était encore très étroite, mais on lui avait déjà cueilli son pucelage!

Julie sanglotait horrifiée de se faire violer on ne l'avait jamais pénétrée aussi profondément et aussi brutalement. Elle s'était donnée à son petit ami un an plus tôt, et ils faisaient l'amour quand ils le pouvaient.

Mais c'était la première bite qui la pénétrait sans être capotée, elle savait qu'elle ne parviendrait pas à dire à son petit ami qu'elle avait été violée et dégradée par 4 nègres, elle ne pourrait d'ailleurs le dire à personne!

- La salope... Elle n'est pas pucelle! Gronda Rémi, arrachant un éclat de rires à ses comparses.

Après tous ces plans, tous ces rêves de lui cueillir son précieux puce-lage, Rémi était dépité de ne pas avoir cet honneur.

Il devait faire quelque chose pour s'en remettre, il se retira de la cra-mouille de la beauté qui se lamentait.

Il la poussa aux épaules et dit à André de la pencher en avant. Puis il se glissa en place et pointa son gland sur la petite cible toute ronde.

- Oh s'il vous plait... Pas ça... Pas là... Non, non, pas dans le cul... On ne me l'a jamais fait... Se lamentait sourdement la jeune beau-té.

C'était exactement ce Rémi voulait entendre, n'ayant pu se faire son pu-celage initial, il voulait être le premier à lui casser le cul, à lui ravir son pucelage anal.

Lui saisissant fermement les hanches, il donna un coup de rein de toutes ses forces, arrachant un hurlement de douleur à sa douce victime.

- Oaieeeeeeeeeeeeeeeeeeee... Nonnnnnnnnnnnn!

Fièrement Rémi s'enfouit lentement dans le cul de la jeune beauté sous les applaudissements de ses complices éclatés de rire.

Une heure plus tard, la camionnette se garait non loin de la voiture de Julie, la porte coulissante s'ouvrit permettant à la jeune fille dépenaillée de descendre, ils avaient gardé sa petite culotte qui allait enrichir leur armoire aux trophées.

Après qu'elle se soit fait casser le cul, André s'était allongé sur le sol de la camionnette et avait attiré Julie sur lui la prenant par la chatte, Tony s'était installé dans son dos et lui avait fait goûter à une seconde bite dans le trou du cul alors qu'Al lui présentait sa grosse bite à sucer.

De retour dans leur repère les membres du gang se congratulaient se félicitant de leurs 4 exploits successifs. Ils se réjouissaient maintenant de fréquenter ce lycée.

Où d'autres auraient-ils pu trouver autant de beautés blanches, ici le gang pouvait choisir à son gré dans l'important vivier.

Ils savaient qu'ils trouveraient toujours chaussures à leurs pieds parmi les jolies jeunes proies du campus.

C'est alors ils entendirent Dion les appeler, il frappait à la porte de leur repère. Ils le firent entrer et lui offrir une bière.

Dion était un petit nouveau dans le lycée, il cherchait désespérément à se faire accepter dans un gang.

Mais comme il était nouveau et qu'ils n'étaient pas certains de sa loyauté il le laissait tourner autour du gang comme une recrue possible.

Toutefois, il n'avait pas été invité à participer aux mésactions du groupe, il savait peu de chose de leurs méfaits.

Comme leurs exploits étaient revenus aux oreilles de Dion, jusqu'aux noms de leurs victimes, ils l'avertirent que s'il en informait qui que ce soit il le paierait de ses couilles, cependant il les suppliait de le laisser se joindre à eux.

Alors Al l'informa qu'il y avait une initiation qu'il devrait réussir et qu'en-suite les différents membres décideraient ensembles.

Impatiemment il attendait que le chef de la bande lui dise ce que l'on at-tendait de lui. Il devait dégotter la prochaine victime du gang et pro-grammer son rapt.

Dion se demandait seulement comment il allait y parvenir nonobstant son manque d'assurance.

D'après ce qu'il avait appris, toutes les filles qu'ils avaient sélectionnées auparavant étaient populaires toutes blanches et ravissantes. Il ne savait pas par où s'y prendre, et il passa les jours suivants à se promener dans le campus à la recherche d'une nouvelle proie.

Il savait qu'il devait trouver une fille que tous trouveraient attirantes, un non au vote l'empêcherait d'entrer dans le gang.

Dans chaque classe, Dion faisait le tour de la pièce et scrutait les beau-tés.

Les cours terminés, il arpentait les vestibules la salle de gym et les ter-rains de sport.

Il en retint quelques unes mais du en éliminer plusieurs pour diverses raisons, certaines changeaient trop souvent d'itinéraires, d'autres étaient attendues par leurs parents...

En se rendant en classe de science en fin de journée, Dion écouta attentivement le principal leur annoncer que la prof régulière était tombée malade et il leur présenta une abasourdissante beauté qui la remplacerait le reste de l'année.

Etourdi, il flashait sur la somptueuse blonde, très élégante, avec une peau d'une blancheur laiteuse. Elle portait un chemisier jaune, une courte jupe blanche et des hauts talons. Sa bite se mit à palpiter dans son pantalon. Il sentit que le gang adorerait connaître la somptueuse Mélanie Wilson.

Il sourit réalisant qu'il avait enfin trouvé la clef qui lui ouvrirait la porte du gang.

La nuit même au creux de son lit, il rêva à l'adorable beauté qui serait son ticket d'entrée dans le gang et l'introniserait définitivement comme membre du groupe.

Il aurait souhaité être le premier du gang à tester ses charmes, mais il avait entendu dire qu'Al voulait être le premier pour marquer sa place de chef, puis les autres membres se la taperaient, laissant Dion sur la tou-che. Mais il savait qu'il devait faire des sacrifices en riant il corrigea de lui-même et gloussa

- C'est un sacrifice que madame Mélanie Wilson aurait à faire!

Les deux jours qui suvirent, Dion épia le concierge pour déterminer le temps qu'il mettait pour faire sa dernière ronde et chasser les derniers étudiants.

Puis le concierge prévenait les profs restant dans leurs classes qu'il partait, leur demandant de fermer leur porte à clef avant de sortir par la porte latérale. Il remarqua que le concierge quittait les lieux à 16 heures 30 et fermait avant de partir.

Il nota aussi que la ravissante Mélanie Wilson était la seule prof à rester après les cours.

Comme elle se garait sur la gauche du parking, elle se trouvait dans une zone très passante ce qui rendait cet endroit peu discret pour un éven-tuel enlèvement.

Quand ils surent qui il avait choisi comme prix de son initiation, ils cru-rent que c'était une plaisanterie.

C'était une chose d'enlever une jouvencelle et de se la faire, mais là il proposait de violer une prof.

Toutefois, aucun ne se plaignit de cette proie, ils avaient tous vu la nou-velle prof et en bavaient tous d'envie

Ils en conclurent donc que s'ils s'en tiraient sans problèmes, Dion ferait définitivement partie du gang.

Avec l'air conditionné, les fenêtres restaient fermées toute la journée. Pendant La dernière classe de la journée de madame Wilson Dion s'était assis sous les fenêtres, lorsque la classe se termina, il attendit que plu-sieurs filles viennent discuter avec elle bloquant sa vue sur le fond de la classe.

Rapidement il releva le loquet de verrouillage de la fenêtre la plus proche de lui, puis il sortit.

Fermant sa porte de classe à clef Mélanie se rendit à la salle des profs pour relever le contenu de sa boite aux infos.

Comme elle discutait avec quelques autres profs, elle ignorait totalement qu'on avait déverrouillé une des fenêtres de sa classe et que 4 voyous l'escaladait pour s'introduire dans sa classe.

Lorsqu'elle revint dans sa classe, les 5 envahisseurs étaient cachés dans les toilettes.

Ils attendirent prêt d'une heure dans l'obscurité des toilettes.

Dion avait planifié avec précision, il avait une petite lampe de poche qui lui permettait périodiquement de vérifier l'heure à sa montre

A 16 heures et demi, aussi précis que l'horloge, le concierge frappa à la porte et prévint de son départ.

Ils entendirent mademoiselle Wilson répondre :

- Merci monsieur Henderson... Au revoir...

Ils savaient qu'ils devaient encore attendre dix minutes pour laisser le temps à monsieur Henderson de fermer la porte de devant et de rega-gner le parking.

Mais maintenant ils pouvaient passer à l'action.

Assise à son bureau Mélanie réfléchissait au moyen d'obtenir un poste définitif dans ce lycée, mais pour l'instant il valait mieux qu'elle termine son remplacement, d'autant plus que son mari avait décidé qu'ils allaient fonder une famille.

Elle était si heureuse que Dave ait accepté, puisqu'ils étaient mariés de-puis deux ans d'avoir des enfants.

Cela faisait deux mois qu'elle avait arrêté la pilule, et de plus elle était juste dans sa fenêtre de fécondité, et comme le médecin leur avait dit qu'il faudrait attendre quelques semaines avant que le mécanisme cor-porel redémarre normalement.

- Ohhhhhhhh... En rentrant ce soir, je vais faire l'amour avec Dave toute la nuit, jusqu'à ce qu'on soit épuisé! Rit-elle en elle-même

Perdue dans ses pensées, Mélanie n'avait pas entendu la porte des toi-lettes dans son dos s'ouvrir, elle ignorait la lente et silencieuse approche de ses agresseurs dans son dos.

Soudain, une grosse main se plaqua sur sa bouche, un bras lui entoura le cou alors que ses deux bras étaient tirés dans son dos.

En se débattant, elle avait éloigné sa chaise du bureau.

Elle ouvrit de grands yeux égarés à la vue de deux visages cagoulés ap-paraissant dans son champ de vision. Puis elle vit que c'était le seul vêtement que portaient ses assaillants noirs.

Réalisant leurs intentions, elle se remit à se débattre, cherchant désespérément à se libérer de leur emprise.

Al s'avança se postant devant la somptueuse prof, se branlant lentement d'un geste machinal, il se réjouissait de l'air effrayé de la jeune femme qui se débattait toujours, il allait lui apprendre très bientôt quelques subti-lités en matière de baise.

Pour ajouter à sa terreur, et pour le divertissement du gang, Al annonça à la jeune femme :

- Il est temps de recevoir ta leçon du jour... On va t'apprendre à bien baiser madame Wilson... On va t'élargir la chatte... Regarde la belle bite noire qui va t'embrocher... Ton mari a-t-il une bite aussi grosse? On va te dévaster la chagatte chérie... Ton mari ne parviendra plus à te satisfaire quand tu auras goûté aux bites noi-res!

Jetant un oeil par la fenêtre, Dion constata

- Eh les mecs le concierge s'en va... Il n'y a plus que la voiture de la prof dans le parking... Tout le monde est parti... Maintenant on peut la laisser hurler tout son saoul!

Dion savait que c'était exactement ce qui les faisait frissonner de plaisir : voir et entendre hurler une somptueuse beauté horrifiée lorsqu'ils là vio-lentaient.

Sa bite palpitait à la pensée du cri douloureux que madame Wilson pousserait lorsqu'il la poignarderait de son épaisse bite.

Dès qu'on lui enleva la main de la bouche, Mélanie les supplia :

- S'il vous plait... Arrêtez... Ne me faite pas ça... Vous allez aller en prison... Je vous en prie arrêtez! S'il vous plait... Arrêtez maintenant et je ne le dirai à personne... S'il vous plait... Grognait-elle.

La main qui la bâillonnait empaumait maintenant son nibard gauche au travers de son corsage vert lumineux.

Elle frémit en constatant que ses tétons dardaient sous les indésirables caresses, ils titillaient maintenant ses deux mamelons qui ne tardèrent pas à tendre leurs délicats bourgeons.

D était le code pour Dion, ils s'appelaient ainsi par des lettres de l'alpha-bet de crainte de révéler leurs identités. Le visage dissimulé derrière les cagoules ils étaient certains de ne pouvoir être facilement identifiés.

- Hey D, en attendant ton tour de venir jouer les castors, viens mon-trer à la prof de quoi il retourne... Donne nous un coup de main D... Regarde, son corsage est tout fripé, peut-être pourrais-tu le lui amidonner? Rricana Al.

La queue Dion battait déjà à l'idée de montrer à ses futurs complices le genre d'outil qu'il possédait.

Il sourit, sachant que sa bite totalement érigée surprendrait sûrement ses copains et attirerait définitivement l'attention sur la ravissante prof. Fiè-rement il empoigna l'outil dont il était si fier, et fit un pas en avant.

A la vue de sa bite se déployant si vite Mélanie eut le souffle coupé, d'autant plus qu'elle se courbait à mi hampe et était surmontée d'un gland de la taille d'une prune.

Mélanie haletait en voyant cette monstrueuse bite s'approcher d'elle., elle était incapable de détourner les yeux de la mentule tressautante.

- Oh mon Dieu... C'est si gros... Beaucoup plus grosse que celle de Dave... S'exclama-t-il abasourdie.

- Vous n'êtes que des animaux...

Des bras se tendirent vers elle la clouant sur sa chaise, sa peur et son humiliation les excitait à mort.

- T'as raison prof chérie... On est que des sales animaux... Exacte-ment comme au zoo, chérie... Es-tu allée au zoo dernièrement prof chérie... As tu vu comment s'y prennent les animaux pour engen-drer leur progéniture? Eh bien on va se comporter comme des animaux... Ils éclatèrent de rire à ces mots.

- Tu vas te faire baiser comme jamais prof chérie! Je ne peux plus attendre, je vais m'la faire... Je vais t'enfourner ma grosse seringue... Je vais te prendre comme une chienne, prof chérie... Rugissait Dion.

Il regardait Mélanie droit dans ses yeux de gazelle effrayée tout en se branlant mécaniquement.

- Oaaaaaaahhhhhh, chérie... Ahhhhhhh... Je vais t'amidonner le corsage! Grogna-t-il s'épluchant frénétiquement le poireau.

- Nonnnnn... Nonnnn... Que faites vous? Nonnnnnnn... C'est trop sale... Se lamentait Mélanie se débattant toujours.

- Oh... Mon Dieu... Nonnnnnnnn... Nonnnnnnnnnnnn... hurla-t-elle révulsée alors que la bite tressautante crachait des geysers de fou-tre.

Mélanie avala sa salive tant elle était horrifiée, alors que les jets fournis se pointaient sur son visage avant de s'écraser sur le devant de son chemisier.

Elle baissa la tête et frémit en voyant les flaques de foutre poisseux s'étaler sur son corsage.

Alors, honteuse, humiliée, elle se mit à pleurer à chaudes larmes.

- Awwwwwwwww... S'il vous plait! Pleurnichait-elle misérablement.

Al agrippa l'avant de son corsage et tira, déchirant les boutonnières, exposant un croquignolet soutien-gorge de dentelles noires.

Puis une grosse main se glissa sous sa jupe, une saccade brusque et le bouton de la ceinture céda, la fermeture éclair descendit, sa jupe tomba au sol sur ses hauts talons noirs.

Elle ne portait plus que ses sous-vêtements noirs, ses collants et ses hauts talons.

Dion repoussa les stylos et les papiers encombrant le bureau, le prépa-rant à accueillir la jeune prof. Puis aidé des autres membres il la disposa sur le bureau jambes grandes écartées, bien maintenue à la disposition du chef Al.

- C'est bon prof chérie... Donne toi en spectacle... A moins que tu ne préfères qu'on passe tout de suite aux choses sérieuses... Lève tes jambes pour nous montrer ce que tu cherches à nous cacher... Lui intima Dion.

-

- Oh, s'il vous plait... Je vous en prie... S'il vous plait... Psalmodiait-elle hagarde alors qu'Al avançait d'un pas, glissant la lame de son couteau sous la sangle réunissant les bonnets de son soutien-gorge.

- Ohhhhhhh... Pleurnicha-t-elle alors que la lame tranchait l'étroite lanière, son soutien-gorge tomba exposant ses nichons dénudés sous les yeux émoustillés du gang.

- Oh chérie... Ravissant... Vraiment somptueux...

Al examinait la jeune beauté qui fermait les yeux, honteuse, alors qu'il lui empaumait les nibards.

- Wawww chérie, c'est ce que j'appelle des beaux jumeaux! Glous-sa Al manipulant ses tétons comme il aurait trait une jeune gé-nisse.

Il souriait largement en l'entendant gémir et geindre alors qu'il étirait ses tendres mamelons, les pinçait, les rudoyait.

Mélanie sentit qu'on lui enlevait ses chaussures, puis le couteau du chef trancha l'élastique de sa dernière protection.

Elle savait maintenant qu'il était vain de lutter, ils étaient trop forts.

Sur un signe de tête, Mélanie fut remise debout, alors que les mains chaudes continuaient à lui manipuler les tétons.

Son corsage déchiré et son soutien-gorge furent repoussés sur ses épaules et jetés au sol.

- Ahhhhhhhhhhh... Mon Dieu... Nonnnnnnnn... Criait Mélanie alors que Al fourrait son nez dans son intimité.

Son corps révulsé frémissait de dégoût à l'idée de ce qu'il voulait lui faire. Elle n'avait jamais permis à son mari de lui faire une chose aussi dégradante, et maintenant cet animal allait lui faire subir cet acte impen-sable.

- Ohhhhhhhhhhh, mon Dieuuuuuuuuu... Arghhhhhhhhh... Grognait-elle alors que la langue habile s'emparait de son clito palpitant, elle s'affala contre le bureau alors que ses genoux se dérobaient sous elle, elle était épinglée cuisses grandes ouvertes.

Ils s'excitaient à voir leur jeune prof épinglée jambes ouvertes sur le bureau d'où elle dirigeait habituellement ses jeunes élèves.

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