Histoire d'un Inceste Ordinaire

Informations sur Récit
Un père agresse sexuellement sa fille de dix-huit ans.
4.1k mots
3.94
43.6k
5
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
SalomeD
SalomeD
20 Admirateurs

Bonjour, l'histoire que vous allez lire est noire, violente, malsaine. Elle est basée sur l'agression sexuelle, l'inceste forcé et le viol. Elle colle à la réalité, bien qu'elle ne soit que fiction elle pourrait être vrai. Donc si vous n'aimez pas le genre, ou si vous êtes sensible, veuillez ne pas lire ce qui suis, je peux vous le garantir, vous n'aimerez vraiment pas. Pour les autres, j'espère qu'elle vous plaira. Bonne lecture.

Juillet 1950, une heure du matin...

L'homme a trente-huit ans, il ouvre la porte de la chambre de Margot, sa fille, il est nu, le sexe déjà bandé parce qu'il sait ce qu'il va lui faire. Il sait qu'elle ne dort pas, qu'elle le voit entrer, le clair de lune découpant sa silhouette dans l'embrasure de la porte.

Il entre et referme la porte, il ne fait pas sombre, la nuit est claire, il regarde la silhouette de sa gosse de vingt ans, allongée dans son lit. Ce soir, c'est elle qu'il a choisit. Il sait que ce qu'il fait est horrible, condamné par toute la société mais justement, c'est ça qu'il aime. En plus ses pulsions l'empêchent de se priver de ce plaisir.

Sa femme dort assommée par l'alcool, il sait qu'il a tout le temps, qu'il peut profiter encore une nuit de sa fille si attirante pour lui, pendant qu'elle est encore là. Les enfants grandissent si vite et s'envolent si rapidement.

Il allume la lampe du plafond qui diffuse une lumière jaunâtre dans la petite chambre.

Il s'assoit sur le lit, il entend la respiration de la salope, elle ne fait même pas semblant de dormir, elle sait que cela ne sert à rien, elle attend, c'est tout.

- Bonjour ma chérie!

Il lui dit cela tout en posant sa main sur le haut de la couette. Il l'abaisse doucement dévoilant le corps de la belle femelle, juste habillée d'une petite culotte de coton grossier. Il la sent frémir, il passe sa main rugueuse sur le corps de son enfant. Passant des seins, de taille moyenne, bien rond jusqu'à la culotte, passant sur le pubis de la pute puis remontant vers le ventre. Elle est brune à la peau légèrement halé. Comme lui. Il est d'origine sicilienne, c'est un paysan, personne ne moufte dans la maison.

Son sexe énorme, dressé entre ses cuisses, palpite tout seul, pendant qu'il caresse la peau douce de sa propre fille. Sans aucun scrupule, il prend à deux mains les cotés de la culotte, il tire vers le bas. La fille ne l'aide pas, mais il peut sans mal la faire glisser jusqu'au chevilles, dévoilant la belle motte parfaitement lisse comme celles d'une gamine. Depuis trois semaines, il l'obligent à se raser le sexe. Mais juste avant, pendant un mois, elle a dut garder sa chatte bien poilus. Il aime bien varier les plaisirs.

Encore une fois son sexe à un spasme de pré-plaisir à découvrir cette magnifique fente, qu'il connaît par cœur, mais qui lui plaît toujours autant, comme au premier jour. Elle est à lui, il en profite sans vergogne. Quand il l'autorisera à partir de chez lui, cette petite salope se fera mettre par tout les mâles du village, si elle veut! se dit-il, mais pour l'instant elle est a moi. Il peut en profiter par tout les orifices, comme il l'a déjà si souvent fait, jouer à des jeux qu'aucune femme consentante n'aurait accepté, mais que sa fille ne peut, ni ne sait refuser. La première fois, elle a bien essayée, mais il l'a tant battue, se servant de sa ceinture, côté boucle, qu'elle n'a plus jamais recommencé.

Il à passé des heures à la doigter, à lui enfoncer dans le vagin ou l'anus tout ce qu'il y a de plus pervers dans une maison, des crayons, des carottes, le manche de sa corde à sauter qu'elle a si souvent utilisée pour jouer quand elle était enfant, le manche du martinet...

Il a même parfois franchis la limite du sexe pour tomber dans le sadisme et lui faire subir des douleurs sexuelles, qui lui, le font jouir avec encore plus de plaisir. mais malgré la lubrification et les cris de la salope, le gros concombre n'a pas voulu entrer facilement ni dans l'anus ni dans le sexe de son jouet. Pourtant après avoir beaucoup forcé, il y est arrivé. Cette nuit là, elle a comprit le vrai sens du mot souffrance.

Ce soir il est venu pour la baiser, ça l'a pris comme ça. À voir sa fille moulée dans sa petite robe ce soir, il a eu envie, il a fait boire sa femme qui ne se fait pas prier, elle dormira au moins jusqu'à demain midi et d'ici là rien ne pourrait la réveiller. Même les hurlements de Margot, le jour de son dépucelage anal n'ont pu tirer la mère de son sommeil profond.

La maison est isolée au milieu des champs et les chiens qui aboient dés qu'un intrus prend le chemin, font immédiatement fuir le moindre passant. Sa fille peut donc pleurer et crier sans que cela ne le gêne le moins du monde. Les chiens aussi l'on goûté, par chacun de ses orifices. Là, il est obligé de l'attacher. Mais la voir comme ça, se faire prendre par un chien, le font atteindre des orgasmes inégalés quand il la viole juste après.

Pour sa fille comme pour toutes les femmes, se faire enculer est vraiment plus douloureux que de se faire baiser. Tout en sachant que ça lui fait déjà très mal de prendre la bite de l'homme dans le sexe. Surtout quand le pénis de l'homme est déjà estimé gros par une pute habituée.

La belle Margot n'a pas transigé à la règle, il a été bien plus difficile de s'enfoncer entre ses fesses la première fois que de défoncer sa belle chatte toute vierge. Comme tout bon amateur il a donc commencé à lui défoncer le cul comme un sauvage, avant de prendre sa fentine vierge quelques temps plus tard.

Dire que cela à été facile dans la chatte, n'est pas vrai, car ce n'est pas le cas, il a lutté sans jamais lubrifié, pour que son gland énorme se fasse un chemin en dilatant le sexe étroit de Margot. Prenant un plaisir fou à faire cela, y mettant toute sa violence.

Elle a pleuré et s'est débattu sans se rendre compte que ses mouvements désordonnés pour échapper à cette douleur, ne font qu'accentuer la pénétration du sexe entre ses fesses, ou ensuite entre ses cuisses.

Il a tellement savouré cet instant qu'il a, pour chaque dépucelage, passé plus de deux heures dans la chatte ou le cul de sa fille, la première fois, tout en jouissant 4 fois. Il n'arrivait pas a débander en sentant les contractions de l'anus ou du vagin autour de son sexe.

Après sa première sodomie, Margot n'a pas put s'asseoir pendant plusieurs jours, sans esquisser une grimace de douleur. À la question peu curieuse de la mère, il a répondu qu'il lui a foutu un coup de pied au cul, parce qu'elle a renversée un pot de lait. La mère, elle aussi habituée à la violence du père, se réfugiant pour cela dans l'alcool, n'aurait peut-être même rien dit si elle avait su la vérité. Au moins pendant ce temps, il ne la fourre pas ou ne viole pas son anus, à elle...

Margot à exactement dix-huit ans ans la première fois, il l'a très violemment dépucelée de derrière, le soir même de l'anniversaire des dix-huit ans de sa fille. Il n'a même pas essayé de l'habituer, la caresser puis d'aller toujours plus loin. Non, lui, il a craqué comme ça, ce soir là. Sa femme s'étant écroulée d'alcool, elle ne peut le satisfaire et lui ayant aussi bu, il s'est décidé. Il n'y a jamais pensé avant. C'est l'incident du matin, quand il est entré dans la salle-de-bain que sa fille a oubliée de fermer. Il l'a vue nue sous la douche, immédiatement, il s'est mit à bander. Cela fait deux semaines qu'il en a marre de baiser ou d'enculer son épouse défoncée à l'alcool, et complètement inerte. Toute la journée, il a pensé au corps jeune et ferme de Margot.

Une fois sa femme couchée, il est directement allé dans la chambre de leurs fille, se déshabillant avant d'entrer. Enroulant juste sa ceinture autour de sa main, juste au cas ou... La jeune fille a été apeurée de voir son père nu, mais surtout ce sexe dressé, qu'elle a parfois vu comme ça, mais tout petit et pendant entre ses cuisses, lorsque il pisse parfois dehors.

Son père a l'air bizarre, presque méchant, ses gestes sont brusques. Margot, qui, à dix-huit ans, ne va plus à l'école depuis longtemps, comprend quand même ce qu'il va se passer. Elle tente de se lever, de fuir. Il essaie de la tenir, elle se débat. Alors, il déroule sa ceinture, la frappe avec le bout en métal, par dessus la chemise de nuit de la jeune fille. Elle à mal, il gagne, elle le supplie, lui dit qu'elle va se laisser faire.

Alors, presque sans un mot, il a déshabillé sa fille, lui ordonnant de se taire d'un ton qui n'ouvre aucune discussion. Il l'a mise sur le ventre, puis a glissé un coussin sous son ventre, faisant ressortir ses fesses, et bien qu'elle soit encore jeune, elle a senti que cette position n'est pas naturelle. Lui est content, comme cela il a accès au deux trous de Margot, sa nouvelle pute, sa nouvelle esclave.

Il l'a encore disputé, la menaçant de la battre à nouveau avec la ceinture, quand elle a voulu tourner la tête pour voir ce qu'il fait, quand elle a senti un doigt se promener entre ses fesses pour descendre jusque à son sexe. Elle n'a plus bougé, inquiète sentant que quelque chose n'est pas normale. Au dernier moment, il change ses plans, décidant d'attendre pour dépuceler sa fille vaginalement, se disant que finalement que cela peut être marrant de commencer par le plus dur.

Margot se demande ce qui va bien pouvoir se passer. Finalement c'est arrivé vite, le début de ses souffrances. Son père est monté derrière elle, à genoux sur le lit, puis Margot le sent se pencher sur elle. En même temps une chose se pose entre ses fesses. Elle ne sait pas ce que c'est loin de penser qu'on peux faire ça. Encore moins par là, par cet endroit sale. Mais une douleur soudaine et atroce lui a vrillé le corps quand cette chose a appuyé sur son petit anus totalement vierge et hermétique.

Elle a crié, s'est débattue, ne comprenant pas, mais la chose a appuyé si fort entre ses fesses que son petit cul s'est ouvert dans une douleur terrifiante. La chose s'est enfoncée. Jamais Margot n'aurait cru pouvoir avoir aussi mal, jamais, malgré tout ses défauts, elle n'aurait cru que son père puisse lui faire aussi mal. Et pourtant...

Elle hurle la bouche à moitié enfoncée dans l'oreiller, tandis que cette chose horrible, grosse, s'enfonce encore plus dans son corps, lui arrachant des spasmes de douleur, dévastant ses entrailles. Margot à l'impression que l'introduction de cette chose énorme, qui la torture d'une si horrible manière, ne s'arrêtera jamais.

D'un coup, au bout d'une éternité, elle sent le ventre de son père contre ses fesses, ce qui doit être ses couilles, contre son vagin. La chose s'immobilise en elle, puis elle commence à ressortir pour se renfoncer encore plus. Plus fort, plus loin, plus violemment. Pour la première fois elle se fait limer l'anus par un sexe, mais elle ne sait pas encore que ça va devenir une habitude.

Pendant plus de deux heures son père est resté enfoncé en elle. Restant un peu plus calme après qu'elle eut senti un liquide chaud se déverser au fond des ses fesses, elle a senti aussi l'objet être un peu moins gros. Puis quand il est redevenu plus gros, son père à recommencé à bouger entre ses fesses, irritant son anus dilaté et éclaté par cette odieuse pénétration. Quatre fois le truc en elle à diminué de volumes Après avoir envoyé un liquide brûlant dans son corps, quatre fois il a regrossi. Quatre fois son père à recommencé à la détruire avec cet objet.

Lorsque enfin il est ressorti de son anus, il l'a fait accroupir sur le seau pour qu'elle se vide de son sperme. Après lui avoir essuyé les fesses, il lui a dit de se recoucher, non sans l'avoir menacé des pires punitions si elle parle. Que l'épisode de la ceinture, ne serait alors qu'un doux souvenir. Pourtant l'homme sait que les deux sœurs de Margot ont sûrement entendus leurs sœur hurlée, mais il s'en moque. Demain, il leurs parlera, il faut que personne ne soit au courant.

Toute la journée du lendemain Margot a aidé à la ferme, mais son anus lui fait très mal, il saigne encore un peu. Son père n'a fait aucune allusion à ce qui s'est passé la veille au soir. La journée a paru normale. Mais dés le soir, sans aucune pitié, il est revenu, il l'a à nouveau sodomisée, plusieurs fois malgré ses supplications et la douleur qu'elle lui a dit subir.

- C'est normal faut que ton cul s'habitue, après, ça ira tout seul. Tu verras, peut être même que tu aimeras ça.

Il lui a dit cela tout en s'enfonçant entre les fesses de sa fille, pour la troisième fois de la nuit.

Le pleurs ont confirmés qu'elle ne peut pas aimer cette douleur entre ses petites fesses. Mais il s'en moque, seul son plaisir compte. Le viol de sa fille n'est qu'un détail pour lui. Puis, plus elle pleure, plus elle gueule dans l'oreiller, plus il aime ça.

Le lendemain, tôt, il arrive dans le poulailler pendant que Margot ramasse des œufs. Il les lui fait mettre dans le panier, puis sans honte, baisse son pantalon, sortant un sexe déjà dressé. Margot le regarde, ne comprenant pas, on est pas la nuit. Il appui sur les épaules du jolie canon. Il la fait se mettre à genoux, approchant aussitôt le gros sexe de la bouche de la jeune majeure. À cette époque, à la campagne, on ne connaît pas grand chose du sexe normal. Alors la sodomie ou la fellation...

Elle n'a d'autres choix que d'ouvrir en grand pour sentir le gros gland dilater sa jolie bouche. Aussitôt, elle a un haut de cœur, elle a envie de vomir.

- Allez suces, ça, ça ne fait pas mal, au moins dépêches toi j'ai pas envie que ta mère nous voient, même si elle cuve sûrement encore pour quelques heures... Par contre tes deux sœurs ne vont pas tarder à se réveiller!

Il prend sa jolie tête dans les mains, il joue avec la bouche de Margot comme d'un orifice.

Même si il n'y a pas de douleur, Margot se sent humiliée, souillée, de sentir cette chose dans sa bouche. L'étroitesse de la bouche fait que le gland repose sur sa langue, ses lèvres délicieusement serrées autour. Bientôt le père grogne, elle sent alors un liquide chaud jaillir sur sa langue, sûrement le même qui jaillit dans son corps, la nuit. Alors elle veut se reculer.

- Oh non putain! dit il aussitôt en tenant sa tête. Tu avales ou je te fous une volée, et n'en met surtout pas sur ta robe.

Il continue à se déverser dans la bouche de la belle Margot, ne la relâchant que quand il est certain qu'elle ai finit d'avaler toute sa semence.

- Tu vois c'est pas si dur et ça ne fait pas mal!

Il lui dit ça, tout en remontant son pantalon, il repart laissant sa fille humiliée, le goût salé et amer du sperme dans la bouche.

Il devient alors le pire pervers qu'il soit. Celui qu'il refoule depuis si longtemps, se faisant sucer par sa fille, dés qu'ils sont seuls, lui doigtant l'anus avec plusieurs doigts, à tout moment. Une fois il reste même plus d'une heure sur la charrue, en train de retourner une parcelle cachée au fond de sa propriété, Margot empalée sur son sexe. De loin n'importe qui peut croire que sa fille, bien que grande pour cela, s'amuse à conduire le cheval avec son père, alors qu'elle subit une sodomie douloureuse augmentée par les trépidations de l'engin agricole et du cheval.

Il à attendu le temps qu'il faut, puis profitant que sa femme est partie à la maternité pour accoucher de leurs quatrième enfant, un garçon cette fois, il décide que la belle Margot est assez dressée pour se faire dépuceler la chatte. Il a bien usé et abusé du cul et de la bouche de sa fille. Maintenant il désire passer à sa moule étroite.

Très souvent il a hésité à enfoncer un doigt dans son sexe imberbe, l'ayant obligée à se raser. Mais, à chaque fois, il a préféré la garder vierge. Ce soir ça va être le grand jour. Des voisins lui ont proposé d'héberger Margot, ainsi que Rose et Elizabeth, ses deux autres filles de quinze et dix-sept ans, pendant que sa femme est a l'hôpital. Il accepte avec grand plaisir pour les deux plus jeune, au moins, il sera tranquille avec Margot. Pour sa fille devenue sa maîtresse forcée, il répond qu'il a besoin d'elle à la maison, pour aider à la ferme, ce qui n'étonne personne à cette époque.

Toute la journée il a forcé Margot à rester toute nue dans la maison. Admirant ses gros seins fermes, son cul parfait. Il s'est retenu de l'enculer pour se réserver pour la soirée. Par contre il ne s'est pas privé pour la doigter, puis il lui a enfoncer une grosse courgette entre les fesses, qu'elle a dut garder plusieurs heures, tout en vacant à ses occupations, tel que le repas du soir.

Lorsque le repas du soir est terminé, il lui dit que ce soir elle dort avec lui. Il faut qu'elle remplace sa mère absente, Margot à envie de lui hurler que cela fait trois semaines qu'elle remplace sa mère, mais terrorisée par son père, elle ne dit rien, baissant simplement la tête. Margot maintenant habituée s'est donc résignée à se faire enculer une fois de plus, sans savoir que cette soirée sera vraiment différente.

Quand il fait se mettre Margot sur le bord du lit, les genoux a terre et le buste sur le drap elle attend qu'il se mette derrière elle comme d'habitude. Margot s'attend à être sodomisée violemment, méchamment, comme il le fait toujours. Jusque à ce qu'elle pleure et couine de douleur.

Il commence a promener son sexe sur l'anus de sa fille, se positionnant bien, la coinçant contre le lit, afin qu'elle ne puisse pas échapper à la pénétration. Puis d'un coup il descend son sexe de quelques centimètres, ne laissant pas le temps à Margot de réagir.

Même si Margot est encore vierge de là, la position à genoux, cuisses écartées laisse voir l'hymen un peu après l'entrée vaginale. Le gland se pose juste à l'entrée, tenant fermement sa fille aux hanches, le père donne un coup de reins terrible. Enfonçant une dizaine de cm de sa bite dans le sexe de la belle Margot, dilatant le vagin, lui déchirant la chatte et arrachant le pucelage de sa fille dans un même élan.

Le hurlement de Margot est terrible. Elle se débat, rue même, mais le père ayant posé la main sur le dos de sa fille, la maintient clouée sur le lit. Il savoure le sexe étroit qui lui comprime la bite. Il est aux anges, il est le premier à entrer en elle par cet orifice, comme pour les autres d'ailleurs. Il vient de la faire totalement femme. Ne laissant pas ce privilège au jeune puceau qu'elle épousera. Si il la laisse épouser quelqu'un.

Margot pleure et crie à chaque mouvement du sexe de son père, ses jolies cuisses tremblent, son corps tressaute. Il se moque de tout cela, ce n'est qu'un jouet destiné à son plaisir qu'il viole. Ce que Margot ressent, il s'en moque complètement. Au contraire, plus elle a mal, plus elle crie, plus il est heureux. Il continuait doucement, pour apprécier chaque sensation, à s'enfoncer, sans se soucier de sa douleur.

Hélas pour elle, sa fille n'est pas très profonde, très vite il touche le fond du vagin de la violée lui arrachant un nouveau cri de douleur. C'était un gars de la terre il sait quand il faut être raisonnable, forcer plus loin aurait pu blesser sa fille et lui il veut juste en jouir, pas casser son jouet. Quand les deux autres auront l'âge, qu'elle pourront remplacer Margot dans son lit, alors il se lâchera sur elle. Mais en attendant, si il veut encore en jouir, il doit la garder à peu près intact. Ne lui faire subir que le maximum de ce qu'elle peut endurer.

Il commence donc à limer durement, mais sans trop de violence, Margot, appréciant le conduit, tant son sexe est serré. Contrairement à l'anus où seule l'anneau annal serre le sexe, le vagin de sa fille serre son sexe tout le long et il adore vraiment cette sensation. En plus Margot pleure et cri de douleur, à chaque mouvement de son sexe. Ce qui lui fait encore plus apprécier le viol.

Il sent le plaisir venir, alors il se laisse tomber sur Margot, tout en donnant des coups de reins de plus en plus puissant, de plus en plus rapide. Puis d'un coup, il se fige, jouissant dans le vagin de Margot, pour la première fois. Son sexe ramolli ressort du sexe de l'enfant. Il s'agenouille derrière-elle, comme il l'aurait fait avec une génisse. Alors il examine le vagin avec un doigt, faisant ressortir du sperme mêlé au sang du pucelage. La vue de ce sexe dilaté le fait rebander instantanément. Il retourne la gosse sur le dos et la met sur le lit.

SalomeD
SalomeD
20 Admirateurs
12