Viols au lycée 01

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Les premières proies.
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Partie 1 de la série de 4 pièces

Actualisé 10/22/2022
Créé 04/09/2008
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Viols au lycée 1 -- Les premières proies

High School Rape Club -- I

Coulybaca / Black Demon

Remarque : tous les protagonistes de cette histoire ont plus de 18 ans.

Prenant place dans leur planque favorite au fond du lycée, ils guettaient pour s'assurer qu'aucun prof ne s'approche les empêchant de terminer leur dernière cigarette.

Ils n'étaient pas vraiment volontaires pour fréquenter le lycée, mais c'était toujours mieux que le centre de détention qu'ils avaient déjà tous visités.

Cependant ils devaient admettre d'être surveillés, le lycée s'avérait par ailleurs un excellent vivier où se procurer de la jeune môme bien fraîche

Ils étaient tous noirs et se considéraient comme les voyous du lycée, ceux qu'aucune fille honnête, qu'elle soit blanche ou noire, n'approchait

Depuis un mois ils étudiaient toutes les opportunités que pouvaient leur offrir le lycée, depuis un événement mémorable qui s'était déroulé un mois plus tôt, leur attitude envers l'école avait totalement changé, et de-puis ils ne rechignaient plus à fréquenter le lycée.

Ils avaient commentés entre eux cet événement, et ils voulaient le repro-duire.

Al le chef de la bande se vantait depuis de sa présence d'esprit qui lui avait permis de se taper cette superbe nénette blanche.

Un mois plus tôt, Kris Engle quittait l'école après une réunion du conseil des élèves. Elle avait récemment été élue reine du lycée, c'était une des filles les plus populaires de l'école.

C'était une des aînées, elle avait le même âge que les membres du gang, toutefois ces gaillards ne concouraient que pour des diplômes de bas niveau.

Kris était une véritable beauté avec ses longs cheveux bruns, elle pesait environ 65 kg pour 1, 75 m.

Al avait déjà suivi Kris qui rentrait chez elle, à pied, il savait quel chemin elle empruntait généralement.

Courant vers le fond du lycée où les membres du gang étaient réunis, il les rameuta et ils partirent en courant. Ereintés par leur course rapide, les quatre complices se cachèrent dans l'entrée d'une maison abandonnée.

Si tout marchait bien, Kris Engle couperait bientôt au travers du terrain à peu de distance de son domicile.

Les choses tournèrent exactement comme l'espéraient les membres du gang, tout contribuait à la défaite de la jeune beauté.

Comme Kris, insouciante traversait le terrain en face, elle fut soudain agrippée par derrière et entraînée dans l'obscurité de la maison aban-donnée.

Personne ne pouvait entendre ses cris alors qu'ils la maîtrisaient facilement, la déshabillant de suite.

Pour Al cette ravissante reine de beauté était tout d'abord une salope de blanche. De plus c'était la première pucelle qu'il plumait. Il se réjouissait de voir sa proie se débattre, d'autant plus qu'il savait qu'elle ne pourrait pas s'échapper.

Son cri de douleur lorsqu'il lui ravit son pucelage ne fit qu'accroître le respect de ses complices pour Al.

L'un après l'autre, les membres de groupes assouvirent leurs appétits lubriques sur le corps innocent de la reine de beauté.

Ils la laissèrent dans la maison abandonnée, remontant leurs fermetures éclairs pour regagner leur crèche.

Ils emmenèrent sa petite culotte blanche en dentelles se marrant à l'idée de se faire un tableau dont le cache sexe serait le premier trophée.

Le lendemain, chacun des membres du gang était assis dans sa classe nerveux, s'attendant à tous moments à ce que la police vienne les arrê-ter en plein cours.

Mais à la fin du jour, ils étaient à leur place habituelle, ils étaient soulagés, il était évident que leur victime avait eu trop honte pour informer ses amis et sa famille de son viol.

Comme Al avait posé la première pierre de ce type de divertissement, ils étaient tous impatients de continuer.

André, le plus petit du groupe voulut avoir l'honneur de dégotter la pro-chaine victime. Comme André voulait toujours prouver sa valeur aux au-tres membres du gang, ils rirent quand il se vanta de trouver une autre petite beauté pour satisfaire leur lubricité.

André ne rencontra pas le gang de la semaine, déterminé à rechercher sa victime potentielle.

Il ne voulait pas être à être raillé par groupe et il voulait maîtriser l'événement à la perfection quand viendrait le jour mémorable.

Les deux premières proies visées s'avéraient très difficiles à piéger, elles étaient toujours accompagnées d'autres jeunes.

Se promenant attentif autour du terrain d'entraînement des bruits et des cris provenant de la salle de gym attirèrent son attention.

Il y vit les pom-pom girls de l'équipe de volley-ball sauter de ci de là, s'entraînant.

Bien sur l'équipe des pom-pom girls était constituée des filles les plus attirantes des deuxièmes années aux aînées.

Il ne se tromperait sûrement pas en sélectionnant une des pom-pom girls, mais laquelle pouvait-il prendre pour cible.

Comme l'entraînement de volley se terminait, que les filles quittaient le gymnase, André regardait les pom-pom girls vider les lieux.

Lorsqu'elles se mirent en route, il vit Dana Belton se séparer des autres et partir seule vers sa maison.

La suivant à distance il observait la jolie pom-pom girl aux cheveux dorés longer les cinq immeubles qui la séparaient de sa maison.

Il releva les différents endroits où le gang pourrait se cacher pour s'em-parer d'elle.

Dana était une charmante fille de deuxième année de 55 kg pour 1,70 m, C'était sa deuxième année dans l'équipe des pom-pom girls, elle avait de bonnes chances de prendre la tête de l'équipe dans sa dernière année d'études.

Elle était aimée de tous et venait de se fiancer au quaterback de l'équipe de football américain. Elle était très heureuse, la vie lui souriait.

Traînant à un bloc d'elle, André regardait Dana retourner chez elle.

Lorsqu'il vit qu'elle rentrait chez elle, il continua, dépassa sa maison, puis revint sur ses pas.

En retournant, il emprunta une passerelle qui permettait de franchir une ravine assez profonde.

Jetant un coup d'oeil circulaire histoire de vérifier que personne ne lui prêtait attention, il se dirigea vers le fond du ravin.

Il sourit en constatant que le lieu se prêtait parfaitement à leurs inten-tions, là ils pourraient s'occuper en toute sérénité des appâts de Dana.

En rentrant chez lui ce soir là, André consulta le programme des activités du mois cherchant la date de la prochaine rencontre à domicile de l'équipe de volley.

Voyant qu'elle aurait lieu le jeudi prochain, il encercla cette date sur son calendrier.

Puis il réfléchit à ce dont il aurait besoin pour augmenter le tau de plaisir de ses complices. Maintenant qu'il avait développé son plan, il rejoignit le gang le lendemain après la classe et les prévint de la date du prochain viol.

La veille au soir, André emprunta la voiture de son frère pour un court voyage. Pour son coup d'essai, il chargea un vieux matelas roulé sur lui-même dans le coffre de la voiture. Il s'empara aussi d'un rouleau d'adhé-sif, il ne serait pas bon de la laisser crier alors qu'ils seraient si proches des habitations. S'arrêtant au à proximité de la passerelle, il transporta le matelas dans la ravine la stockant sous le petit pont.

Il sourit, il voulait que Dana soit confortablement installée sur le matelas lorsqu'il lui ravirait sa fleur.

Même s'il avait tort, André était à peu prêt certain qu'elle avait gardé sa précieuse virginité.

Pour la première fois, le groupe assistait à un match de volley-ball fémi-nin.

Mais au lieu de suivre le déroulement du match, ils regardaient Dana Belton lancer ses jambes en l'air.

Ils en bavaient tous d'envie, ils empoignèrent leurs bites incapables d'at-tendre qu'ils aient le plaisir de la dépouiller de son uniforme pour la voir lancer ses jambes en l'air alors qu'elle aurait une grosse bite noire fichée dans la chatte.

Lorsque la partie se termina, le gang quitta précipitamment la salle de gym, se ruant vers la ravine.

André s'était caché derrière un arbre proche de la passerelle, le reste de la bande attendait impatiemment sous la passerelle. Il espérait que Dana rentrerait par le même chemin que l'autre jour, sans quoi la bande ne lui pardonnerait jamais son échec.

Quelques minutes plus tard, il haleta en voyant la jeune beauté dans son uniforme bleu et blanc de pom-pom girl s'approcher de lui.

Fredonnant le chant de ralliement du lycée Dana n'était pas consciente d'être épiée par des regards lubriques.

A l'instant où elle dépassait l'arbre, sa bouche fut soudainement bâillon-née par une large main et elle fut prestement entraînée dans le ravin.

Ils lui collèrent de l'adhésif sur la bouche lui interdisant tous cris, alors qu'ils l'étendaient brutalement sur le matelas, bras épinglés au dessus de la tête. Quatre colosses noirs le visage couvert de cagoules de ski la surplombaient.

Elle frissonna de peur lorsqu'elle se rendit compte qu'ils s'étaient désha-billés et qu'ils la dépouillaient maintenant de ses tennis et de son uni-forme.

Comme André avait tout programmé, l'honneur de passer en premier lui revenait.

Il sourit à la vue de Dana étendue dans toute sa beauté sur le matelas, bras fermement maintenus au dessus de sa tête et cuisses grandes ou-vertes.

S'agenouillant sur le matelas, il savourait l'étincelle de peur dans les yeux de la jeune gazelle, il s'allongea pour sucer et mâchouiller ses ten-dres mamelons.

Sa bite tressautait d'impatience, anxieux de pénétrer sa victime, il avait peur d'éjaculer prématurément et d'être de ce la fait la risée du gang.

Il la saisit aux hanches et assura son emprise, d'un élan vicieux, il poi-gnarda son étroite petite chatte alors que Dana sa débattait de toutes ses forces.

- Ahhhh ... Ca y'est je la baise ..... Yeaah!..... Oh ouiiiiiiiii ..... Je l'ai dépucelée ..... gémit-il tout excité.

Son excitation était trop forte, son corps fut secoué de spasmes convulsifs alors qu'il tapissait son fourreau de son foutre chaud et crémeux.

Finalement il se retira de la jeune beauté qui pleurnichait et fièrement il exhiba sa bite sanguinolente aux autres membres du gang.

L'un après l'autre ils sautèrent tous la ravissante pom-pom girl.

Ils étaient tous impatients de la ramoner, sans se soucier de la faire jouir. L'un après l'autre ils se vidèrent dans l'utérus de la larmoyante beauté.

Ils savaient qu'elle ne pourrait reconnaître leurs visages, mais par précaution ils l'avertirent des conséquences si elle rapportait son viol à qui que ce soit. Ils lui dirent aussi que tous les élèves apprendraient qu'elle avait été ruinée par quatre nègres, ricanant en lui demandant ce que ferait son quaterback s'il venait à savoir que le pucelage de sa petite amie avait été ravi par un nègre.

Une heure après avoir entraîné Dana dans la ravine ils retournèrent à leur repaire. Ils emmenaient la petite culotte bleue de la pom-pom girl pour l'accrocher avec leurs autres trophées.

Le lendemain, ils comprirent qu'elle n'avait rapporté à personne le viol qu'elle avait subi, en la voyant se présenter à l'entraînement des pom-pom girls, il surent alors qu'une fois de plus ils resteraient impunis.

Le plus grand d'eux tous s'appelait Tony, un jeune géant d'un mètre 90 pour 100 kg, il releva le défi d'être le suivant à débusquer une proie.

Tony n'était pas très intelligent, il était à peine capable de lire, mais il était très fort et personne ne se moquait de lui dans le gang.

Les jours qui suivirent, alors que Tony explorait les opportunités, les au-tres membres du gang se demandaient s'il serait assez vif pour monter un plan qui se tienne.

Ils se disaient que si Tony échouait, ils pouvaient se faire prendre, ils se retrouveraient alors en taule, ayant tous dépassé l'âge de 18 ans depuis quelques mois..

Trois jours plus tard, Tony revint les voir, il avait les mains vides et n'avait aucune idée pour tenir son défi. Il avait remarqué quelques proies potentielles et les avaient suivis, pour se rendre compte que ce n'était pas possible d'aller plus loin avec elles.

Il avait remarqué des cris et des hurlements provenant du terrain de foot, il était donc allé voir ce qui provoquait ce tohu-bohu. Une jolie petite rousse retint son attention sa beauté et sa petite taille faisait palpiter sa queue de convoitise

Sa douce peau laiteuse semblait faite pour frotter de sa rugueuse queue noire contre elle.

Jeune étudiante de seconde année, Karen Kelly était déterminée à faire feu de toute occasion pour se mettre en évidence.

Mais elle savait qu'elle devait s'entraîner dur pour bonifier ses dribbles et ses tirs. Sa vitesse était un bon avantage, elle ne mesurait qu'un mètre 65 pour 60 kgs.

L'entraînement terminé, Tony vit que Karen était restée après les autres sur le terrain. Tony partit avec les derniers spectateurs et les parents de joueuses pour ne pas éveiller les soupçons, mais arrivé à une certaine distance, il revint sur ses pas et vit que la jeune athlète continuait à tra-vailler ses dribbles et ses tirs.

Il la regardait descendre et remonter le terrain ballon au pied pour par-faire sa condition, il remarqua bien vite qu'elle était seule à s'entraîner si tard.

Lorsque Karen prit le chemin de son domicile, Tony explora le terrain et les vestiaires où les joueuses déposaient leurs tenues civiles et leurs sacs avant de partir s'entraîner, il examina le verrou et se dit que la pince qu'il utilisait pour couper les feuilles de métal devrait facilement en venir à bout.

Comme l'obscurité tombait, il décida que cette fois il allait pouvoir mettre son plan en place. Sa bite palpitait à l'idée d'être le premier à goûter aux charmes de cette mignonne petite rouquine.

Deux jours plus tard, le gang attendait impatiemment la fin de l'entraîne-ment de football, ils restaient cachés dans la cabane d'entretien.

Ils regardaient par les trous pour jeter un oeil sur la rouquine choisie par Tony, et ils tombèrent tous d'accord pour dire que son choix était judi-cieux.

Ils lui donnèrent tous une tape amicale dans le dos, aspirant à voir la montagne noire s'installer entre les cuisses de la menue petite rousse. Il se sentait un peu désolé pour la jolie Karen en comparant sa corpulence et celle de cette brute de Tony.

Finalement l'entraînement se termina et Karen resta sur le terrain pour améliorer ses compétences.

Après un quart d'heure d'efforts, Karen se dirigea vers son sac de sport. Assise sur le ballon, elle sortit une gourde d'eau pour étancher sa soif.

Soudain une large main se plaqua sur sa bouche et elle fut tirée en arrière glissant immédiatement du ballon sur lequel elle était assise.

Se débattant de toutes ses forces, Karen fut aisément entraînée dans l'obscurité d'un vestiaire.

Épinglée sur le vieux matelas sale que Tony avait emprunté à André, Karen clignait follement des yeux cherchant à percer les ténèbres.

Puis ils allumèrent la lumière et Karen frémit de peur, les bras tenus au dessus de la tête, elle fixait les musculeux jeunes noirs se tenant au dessus d'elle, ils tenaient tous leurs grosses bites en main et se masturbaient lentement.

Elle était d'autant plus effrayée qu'ils portaient des cagoules, voyant cela elle comprit qu'elle allait se faire violer.

Elle frémissait de peur, ébahie qu'un pénis puisse s'avérer aussi gros et aussi long, elle n'avait vu que ceux de jeunes bébés auparavant.

Elle appela alors au secours mais personne ne pouvait l'entendre en ce lieu déserté.

Tony s'agenouilla sur le matelas, lui enleva ses chaussures de foot puis ses grandes chaussettes, se redressant il agrippa la ceinture de son short, et le roula avec sa petite culotte blanche sur ses genoux.

Les membres du gang se réjouissaient de voir dévoiler sa toison de feu. Son petit corps blanc faisait un tel contraste excitant avec sa toison rousse qu'ils se branlèrent à gestes saccadés.

André lui tenait les bras au dessus de la tête, il poussa ses genoux sur ses bras libérant ainsi ses mains avec lesquelles il remonta son maillot à hauteur de son menton.

Puis Tony arracha son mince soutien-gorge leur offrant ses mamelons rouges vifs.

Karen sanglota et soupira, honteuse et humiliée, d'être ainsi exposée sous les yeux de mâles pour la première fois.

Se penchant sur la beauté qui se débattait, Tony mordilla ses tendres mamelons, les pinçant avec ses dents pour ensuite les étirer.

Karen se lamenta plus fort, les suppliant de cesser de la tourmenter.

Il s'étendit sur la beauté dont les jambes étaient largement écartées par les soins de ses coéquipiers.

En la couvrant de son corps noir musculeux, ses comparses relâchèrent les jambes blanches de Karen qui lui donna des coups de pied se débat-tant de plus en plus, elle ignorait que sa révolte ne faisait qu'accroître l'excitation de son agresseur.

Tony frotta alors son gland épais le long de sa fente toute sèche, il pres-sa son bourgeon au centre de sa chatte.

Ses plaintes et cris hystériques réjouissaient Tony et ses copains.

- Oaieeeeeeeeeeeeeee ... Ohhhhhhhhhhh ... Arghhhhhhhhhh! hurla Karen alors qu'il la pénétrait d'un brutal coup de boutoir, déchirant impitoyablement son hymen.

Se relevant un peu, Tony se retira puis l'embrocha à nouveau, puis il se calma le temps de reprendre son calme, d'éviter de balancer trop vite sa purée, il regardait ses copains murmurant.

- Je me la suis faite ... Je lui ai pris on pucelage ...

Sur ces mots il se mit à la labourer sans pitié pour rapidement tapisser son utérus de son foutre crémeux.

Une heure plus tard, tous les membres du gang s'étant vidés les couilles dans sa chagatte, ils l'abandonnèrent sanglotante dans le vestiaire, ils repartirent avec un nouveau trophée soyeux à ajouter à leur collection.

Après avoir averti la pleurnicheuse beauté des conséquences sociales qu'entraîneraient la révélation de son viol, ils étaient confiants, elle se tairait, ils resteraient une fois de plus impunis.

Le lendemain, comme le groupe était réuni à l'endroit habituel, Rémi comprit que c'était son tour de dégotter la prochaine proie pour divertir le groupe.

Il devait trouver une vierge, comme tous ses copains qui lui avaient démontrés à quel point il était savoureux de les dépuceler.

Aussi Rémi se mit-il en quête de la victime rêvée.

Il y avait une fille qu'il voyait souvent dans sa salle d'études, lorsque libre de tous cours, ils se réunissaient dans une salle désignée pour y faire le travail qu'ils désiraient.

Comme Rémi était peu concerné par le travail de classe, il prenait habi-tuellement une chaise et s'asseyait derrière les filles qui retenaient son attention.

Il savait qu'il n'avait aucune chance d'attirer l'attention d'une blonde aussi mignonne, qui, apprit-il était très brillante, elle était d'ailleurs présidente de la société d'honneur du lycée et vice présidente du comité d'élèves. Cela faisait des mois qu'il avait remarqué cette intelligente beauté Main-tenant il était déterminé à se faire la ravissante Julie Wieland.

Afin d'en déterminer l'opportunité, chaque soir après les heures d'études, Rémi suivait la jolie fille qui allait suivait le cours suivant.

Il observa ce qu'elle faisait la classe était terminée, elle allait chaque soir à la bibliothèque

Il ne la vit jamais en galante compagnie, elle se montrait amicale, mais apparemment n'avait pas de petit ami.

Il était certain que Julie rassemblait les bonnes conditions : elle était jolie et vierge.

Agée de 18 ans et demi, Julie tâchait de compléter sa dernière année d'études au collège.

Elle avait postulé pour une inscription à l'université d'état, et sa candidature avait été retenue.

Elle était impatiente de quitter le collège pour rejoindre son petit ami étudiant de l'université d'état

Elle était follement amoureuse de Brad depuis ses premières années collège. Ces deux dernières années, depuis qu'il avait quitté le lycée, Ils ne se voyaient que pendant les vacances scolaires qu'ils passaient en-sembles.

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