Une Princesse en Esclavage

BÊTA PUBLIQUE

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Kekolo56
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- «Nooooon! » hurle la duchesse de Brissac en sentant l'intrusion sacrilège dans son anus vierge. Le sperme de sa première pipe lui coule par la commissure des lèvres.

- « Ta gueule, putain! On a dit 200 Euros chacun pour TOUS les trous! »

Prenant son élan, l'ouvrier sénégalais enfonce sa large bite dans le cul de la duchesse qui pousse un hurlement déchirant étouffé par le chibre du troisième qui l'enfourne dans sa bouche. Les appareils photos des deux ouvriers qui ont déjà joui crépitent. Ils vont faire savoir l'étendue de leur virilité au village et ce qu'est la vie en France. Pendant ce temps, le guetteur de Kader qui avait suivi le groupe a positionné sa caméra derrière la fenêtre et n'en a pas perdu une miette. Il se branle comme un fou à la vue de la noble dame qui est baisée comme la dernière des putes par ces moins que rien puants la sueur. Ahanant sous les assauts de ses trois « clients », Diane de Brissac continue à éprouver ce plaisir charnel qui lui procurent ces énormes bites qui la prennent par tous les trous sans douceur. Ce n'est pas le pathétique sexe de son mari qui pouvait le lui faire découvrir...

Dans des grognements satisfaits, celui qui l'encule largue sa semence dans ce cul si serré et retire sa bite avec un « plop » sonore. Quelques minutes plus tard, les deux derniers déversent leur sperme avec vigueur dans les orifices offerts. Diane recrache le foutre qui lui emplit la bouche et s'affale sur le sol, le dos au mur, épuisée, tremblante des orgasmes qu'elle a vécu et les jambes ouvertes. Le chef, hilare, enfourne les 1000 Euros promis dans la fente dégoulinante du vagin de la duchesse.

- « Comme convenu » lui déclare-il avec un sourire salace en tapotant la vulve palpitante d'où émergent les billets de banque.

Les cinq compères essuient leur bites maculées dans le précieux manteau de vison, raccompagnent la duchesse à la porte et la poussent dehors sans ménagements. Pendant ce temps, le caméraman de Kader prenait la poudre d'escampette, conscient que son enregistrement valait mieux que de l'or : de la chatte.

Le courant d'air froid réanima quelque peu Diane de Brissac. Elle retira les billets gluants de sperme de sa chatte encore palpitante du plaisir reçu. Il ne lui restait plus que 500 Euros pour réunir la somme demandée par les kidnappeurs de sa fille et elle ne savait pas si elle avait encore les nerfs de refaire l'expérience à laquelle les 5 ouvriers l'avaient soumise. Elle redescendit sa jupe, remit ses seins rougis par le traitement infligé dans son top et reposa son manteau de vison sur ses épaules malgré les trainées de foutre qui le constellaient. La duchesse s'éloigna à petits pas rapides du chantier pour revenir vers une rue plus passante : il ne lui restait plus que 40 minutes pour collecter l'argent restant!

Diane fut soulagée quand un break Peugeot s'arrêta à sa hauteur au bout de quelques minutes :

- «Tiens, tiens, tiens, si ce n'est pas la duchesse de Brissac » fit la voix du conducteur.

Avec horreur, la duchesse reconnut le visage d'Antonio, un de leurs jardiniers. Cela faisait 5 ans qu'il travaillait pour la famille princière et Diane ne l'avait jamais aimé : petit, gros et d'une propreté douteuse, tout lui répugnait en lui mais son travail était irréprochable.

- « Dieu soit loué! Antonio, j'ai besoin en urgence de 500 Euros. Je vous les rendrai demain matin, avec 500 Euros supplémentaires! »

- « 500 pour que je ne raconte pas que ma patronne fait la pute?! » ricana-il.

- « Je ne fais pas la pute!Il en va de ma fille! Ses kidnappeurs me contraignent à faire des perversités ignobles! », dit-elle en larmes.

- « Ouais, ouais,... Pas très convaincant tout ça! »

Antonio était sorti de la voiture et jaugeait son employeuse en marchant autour d'elle. Il n'avait jamais pu approcher cette hautaine aristocrate.

- « Je ne plaisante pas, Antonio! Je vous donnerai 10 000 Euros! Hé!! Que faites-vous? »

La duchesse essaya sans succès de se dérober alors que son jardinier passait sa main sur ses fesses.

- « Ce que je veux faire depuis des années. » siffla-il en pétrissant le ravissant postérieur.

- « Donnez-moi 500 Euros, pour l'amour de Dieu! » supplia-elle.

Antonio était sourd à ces protestations et commença à la caresse, malaxant les seins, embrassant son cou, passant la main dans ses cheveux blonds soyeux...

Soudain, n'y tenant plus, il l'attrape et la jette par-dessus son épaule avec une force étonnante. Il l'entraîne derrière des poubelles malgré les efforts de la duchesse qui gigote des jambes et pousse de petits cris plaintifs. Il la jette sur un vieux matelas mis au rebut et enlève ses vêtements avec rage.

Madame de Brissac avait entre-temps arrêté de se débattre, résignée au sort qui l'attendait entre les mains de son employé pervers.

- « Enlève ta robe et mets-toi à genoux devant moi, duchesse de mes deux! » lui ordonna-il.

Diane, rouge de honte, obéit à l'injonction et se mit à genoux devant le jardinier qui arbore un large sourire.

- « Putain, tes nibards sont parfaits! Je les reluquais et maintenant, je vais te les faire utiliser pour m'astiquer la bite. » rigole-il en agitant son membre en érection devant le visage de la duchesse. « Allez, branle moi ça avec tes seins! »

Diane de Brissac ferma les yeux et prit la verge de son jardinier dans ses mains manucurées pour la placer entre ses seins. Elle commença à masser le membre dans le doux écrin de sa poitrine, déclenchant des grognements obscènes d'Antonio.

- « Salope! Tu sais depuis quand j'attends ce jour? Toi et ton allumeuse de fille, on rêve tous de vous avoir à notre botte! »

Il redoubla la cadence de frottement de son pénis entre les nibards de la duchesse. De temps en temps, elle dut le remettre entre ses seins mais elle attrapa le rythme au bout de quelques minutes.

- « Bon, ça suffit pour le moment avec ça. Allonge toi sur le matelas, que je t'encule. »lui intima-il après 5 bonnes minutes de branlette espagnole.

L'anus de Diane de Brissac était encore en feu suite aux assauts des 5 ouvriers sénégalais. La malheureuse essaya de protester:

- « Non, pas le cul! Je vous en supplie! Je vous donnerai 100 000 Euros et vous ferai une pipe, mais ne me sodomisez pas! Par pitié, Antonio! »

Le jardinier l'attrapa par les cheveux et li donna une violente gifle.

- « Fais ce que je te dis! Tout de suite! »

- « Baisez ma chatte! Je vous donnerai beaucoup de plaisir! S'il vous plait... » geigne-elle en rampant vers le lit.

Son employé n'avait pas l'air de se laisser attendrir et sa posture menaçante lui fit comprendre qu'il n'y aurait pas d'échappatoire. Elle s'allongea sur le lit maculé de taches et présenta son aristocratique postérieur à l'homme déchaîné. Diane avait toujours été une cavalière confirmée et avait même été près d'intégrer l'équipe de France de dressage : ses fesses étaient donc absolument parfaites et d'une fermeté sans égale.

- « Ça c'est une gentille fifille qui fait ce qu'on lui dit. Et pour te récompenser, je vais même utiliser de la vaseline. Allez, viens ici! » lui ordonna Antonio, un sourire pervers aux lèvres.

Diane de Brissac se retourna et vit son jardinier ouvrir un tube de vaseline qui semblait avoir déjà bien servi.

- « Mets-en sur tes lèvres. »

- « Mais je croyais que vous vouliez mon cul? » demanda-elle avec incrédulité.

- « Et comment que je le veux! Et c'est pour ça que tu vas l'appliquer sur ma bite avec ta belle bouche d'aristo. » ronronna-il, content de sa trouvaille.

- « S'il vous plait, prenez un préservatif! »

- « Ben non, ca m'plait pas, donc y'en aura pas! Et de toute façon tu peux pas devenir enceinte par le cul. Et magne toi de m'astiquer le zob, sinon on se passera de lubrifiant! » tonna-il.

La belle duchesse prit le tube et déposa une épaisse couche de vaseline sur ses lèvres. Elle attrapa le membre de son employé, l'engouffra au fond de sa bouche et le fit ressortir en l'enserrant bien avec un écœurant bruit de succion. Après avoir répété l'opération deux fois, Antonio lui ordonna de se remettre à quatre pattes.

Aveuglée par des larmes de honte, Madame de Brissac se mit en position, son anus en offrande au jardinier. Elle eut l'impression de défaillir quand elle sentit le gland à l'entrée de son orifice.

- « Déguste, salope! » brailla-il en enfonçant son membre tendu à l'extrême dans l'anus de Diane.

Diane de Brissac hurle de douleur alors qu'il force son chemin en elle. Comme elle avait bien lubrifié sa bite, il peut l'enfoncer sans problème jusqu'à la moitié. Le jardinier agrippe son aristocratique employeuse par les hanches et commence à la pilonner avec fureur. Les cris de la duchesse martyrisée ne réussissent qu'à l'exciter d'avantage et bientôt son membre entier disparait dans le cul de la malheureuse. Il doit se concentrer pour ne pas exploser trop rapidement, il veut faire durer ce moment de triomphe, lui le jardinier méprisé qui encule sa magnifique et arrogante patronne au sang bleu. Cependant, après 8 minutes, c'en est trop et il ne peut plus se retenir ; c'est avec un couinement de goret qu'il propulse des jets de sperme au fond de l'anus de la duchesse dans un voluptueux orgasme.

Épuisé, il attend que sa bite ait ramolli pour la retirer de Diane de Brissac. Il avait baisé la duchesse tellement fort qu'il l'avait presque encastrée dans le mur. Se remettant debout, il contemple son œuvre : l'aristocratique duchesse de Brissac, jadis si hautaine, gisait au sol, le souffle court, les cheveux défaits et des flots de foutre sortant de son cul exquis mais rougi.

Il prit encore quelques photos de sa patronne dans cette posture dégradante. Il en avait déjà fait quelques prises lors des phases précédentes et devait dorénavant avoir une collection éloquente. Il attrapa la duchesse par les cheveux et lui releva la tête.

- « Laissez-moi, par pitié. » balbutia-elle.

- « Je veux juste te montrer quelques photos. Voilààààà... Tu vois, elles sont plutôt parlantes, non? si jamais tu caftes ou si tu m'emmerdes, elles vont directement à la presse. Et aussi à ton gros pédé de mari. » lui expliqua-il avec délectation. « Et maintenant voilà tes 500 Euros, tu en vaux le moindre centime! »

Antonia jeta l'argent au sol et sortit de la cabane en sifflant de bonheur. Avec ces photos, il pourrait même sûrement convaincre la duchesse de lui faire baiser sa fille. Enculer la mère avait été un délice, mais se taper la jeune princesse de Bourbon-Brissac serait le nirvana...

Ramassant ses affaires maculées de sperme et tentant de remettre un peu d'ordre dans sa tenue et sa coiffure, Diane de Brissac comptait les billets le souffle court... Miracle! Elle tenait entre ses mains la somme demandée par les kidnappeurs pour sa fille! Sortant en courant, elle se précipita à l'endroit où elle avait commencé à faire le tapin un peu plus tôt. Un jeune à scooter, le casque sur la tête, l'attendait et l'accueillit avec un ricanement :

- « Alors, ça te change de taffer, bourgeoise? T'as la thune? »

La duchesse remit les liasses de billets au jeune qui les empocha sans même compter.

- « Ma fille, monstre! J'ai rempli ma part de votre ignoble jeu! Je veux la voir! »

- « On l'a mise dans ta caisse, ta pouffiasse de fille, tu peux la récupérer. Vous aurez sûrement plein de trucs à vous raconter.»

Il démarra en trombe, faisant un doigt d'honneur en guise d'adieu à l'aristocrate outragée. La duchesse ne perdit pas une seconde et courut de toutes ses forces vers sa Porsche Cayenne. Elle faillit défaillir de joie en ouvrant la porte : avachie à l'arrière, sa fille, la princesse Alix de Bourbon-Brissac lui adressait un timide sourire.

- « Alix, vous-êtes sauve! J'espère que ces brutes ne vous ont pas malmenées! » s'écria Diane, au comble de la joie.

- « Non, mère, je vais très bien » répondit la jeune femme.

Cependant, les restes en lambeaux de sa robe Dior constellée de sperme seché et ses nombreux bleus racontaient une autre histoire... De même, la princesse vit tout de suite à la mise de sa mère et aux traces de foutre gouttant de son vison quelles avaient du être les contreparties à laquelle on l'avait forcée.

La duchesse prit place à l'avant de la Porsche en silence et prit la direction du château malgré son cul qui était encore en feu des nombreux assauts qu'il venait de subir.

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Anonymous
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7 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 4 mois

la suite, viiiiiiite

mefistoxxmefistoxxil y a environ 5 ans
bravo

Tout est dit. Rien de mieux que le cul d'une bourgeoise.

Bien à vous

Mefistoh

AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Une suite SVP

Les vices cachés de l'aristocratie !

Est-ce qu'il y aura une suite S.V.P.

trouchardtrouchardil y a environ 5 ans

Les vices cachés de l'aristocratie !

Continue !

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