Anglefrique 06: La famille Macfish.

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Une famille tombe aux mains des révolutionnaires.
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L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à

toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

James Macfish rentre dans sa chambre. Jane sa femme est déjà couchée. Elle bouquine un livre. Elle ne l'a pas entendu arriver. Elle est la seule femme qu'il ai connu. Ils sont ensemble depuis leurs quinze ans. Ils en ont quarante-huit aujourd'hui. Même si c'est rare, elle le fait toujours bander autant. Comme la première fois qu'il l'a vu, comme la première fois où ils ont fait l'amour et où il l'a dépucelée. Il faut dire que Jane est encore magnifique, on ne lui donne pas plus de trente-cinq ans. Blonde, les cheveux mi-longs, de beaux yeux verts. Elle a des seins parfait, de taille moyenne, bien rond, ils ne sont ni trop petits, ni trop gros. La taille parfaite. Quand à son cul, il est parfaitement modeler, bien galbé. D'ailleurs, rien que de la regarder dans sa petite nuisette noire, à peine transparente, il bande. Pourtant, il ne voit que ses petites aréoles brune, contrastant joliment avec la blancheur de sa peau. Quand à ses longs tétons, ils l'on toujours excités.

Ils ont eut deux filles ensemble, Hayley, dix-neuf ans, brune, très belle, un vrai canon qui fait tourner les tête des hommes, et April, dix-huit ans, blonde et encore plus belle que sa sœur.

- Tu fais quoi chéri?

- Je t'admire ma puce. Tu es si splendide!

Sa femme lui fait un petit sourire mutin.

- Je vois où tu veux en venir...

- Où ça?

James sourit à son tour.

- Dans moi, par exemple?

- Tu lis dans mes pensées!

Sa femme remonte sa nuisette, découvrant un sexe presque entièrement épilée, où ne court qu'un mince ticket de poils blond. Elle écarte les cuisses, dévoilant un petit sexe tout rose, aux lèvres fine. Si sa femme le fais aussi jouir avec sa bouche, c'est son ventre qu'il préfère. Quand à son anus, il ne l'a jamais visité. Ils ont essayés une ou deux fois plus jeune, mais même avec de la vaseline, Jane avait trop mal alors que son gland n'était même pas encore rentré. Ne fantasmant pas vraiment là-dessus, cela ne lui a jamais posé problème. Puis malgré deux naissances, elle est tellement vaginalement étroite, que cela ne lui manque pas du tout.

La famille est très unie, tous sont proche. James possède une centaine de supermarchés dans le pays. Il fait partie de ceux qui entretiennent haut le prix de la nourriture, pour s'en mettre plein les poches. Si les étrangers et les riches Anglefricains ont les moyens de bien se nourrir, il en va autrement pour le peuple. Par contre, si James adhère bien au groupement des divers société de distribution du pays, ce sont eux qui fixe les points de vente, il est le seul à demander que des magasins moins cher voient le jour pour aider les populations pauvre. Il est également le seul à donner des denrées pour les banques alimentaires du pays. Mais en minorité, puisque seul, il ne peut pas faire grand chose.

James se déshabille. Si son sexe n'est pas énorme, il n'est pas petit non plus. Seize centimètres pour quatre de diamètre. En tout cas, à ce moment, il bande dure. Jane pose alors son livre. Elle retire sa nuisette, se mettant nue. Elle se met à quatre pattes, la femme sait que son mari adore cette position, comme c'est sa préférée à elle aussi. Si la plupart du temps, il y a des câlins, des baisers torrides, de longs préliminaire, des fois comme ce soir, Jane veut juste que ce soit bestiale, elle veut juste être baisée. Quand elle s'offre ainsi, dans cette position, son mari comprend immédiatement ce dont elle a envie. Il ne pas lui faire un petit cuni, ou même la caresser. Il s'agenouille derrière elle, et pénètre sa vulve trempée de cyprine. Jane pousse d'abord un long feulement de plaisir. Puis quand son mari se met à la pistonner, elle se met à crier. Heureusement que les chambres sont complètement insonorisée. Leurs filles n'entendront rien.

L'insonorisation, fait que personne n'entendra rien dans toute la maison, une insonorisation qui peut aider, comme dans ce cas là, qui peut aussi causer leurs pertes. Le capitaine Joss Nkouma, dirige une escouade de vingt hommes. Ils font partie de l'élite de l'armée Anglefricaine. Entraînés par la légion française et les spetsnaz russe, ils font partie de l'élite militaire mondiale. Les Blacks Commandos, c'est le nom de l'unité d'élite auquel ils appartiennent. Une des dix meilleurs unités du monde. Là, les Blacks Commandos sont disséminé en escouade de vingt hommes, plus le commandant, dans tout le pays. Leurs but, arrêter les personnalités étrangères les plus puissantes, et de ce fait les plus responsable du pillage du pays. En récompense, le général Abdou, leur accorde le droit de se venger de ce que eux-même et leurs familles ont vécu à cause d'eux. Ils pourront s'amuser avec ces personnes et tout membre de leurs familles, le temps qu'ils estimeront nécessaire. Rien n'est interdit, même la mort du chef de famille. Car si il devra ensuite passer en jugement, on peut le faire à titre posthume. Joss s'est vu attribuer cette maison. Dommage, il aime bien les idées du gars. Mais comme il n'a rien fait non plus pour vraiment changer tout cela, il devra être puni pour cela.

Chacun de ses hommes sait ce qu'il a à faire. Ils ont le plan de la maison, ils savent qui dort où. La société de gardiennage à couper à distance toutes les alarmes des maisons visés. Le patron n'a pas eut le choix, il a donné cet ordre un flingue sur la tempe, tandis que sa femme de cinquante ans et sa fille de trente ans étaient sauvagement violées.

Joss crochète donc la serrure lui-même, en vingt secondes c'est ouvert. Ils se séparent en trois groupe de sept. Un groupe pour la chambre de chacune des filles, le dernier, celui de Joss, pour la chambre des parents. Les filles dorment au premier étage, les parents au deuxième. Joss passe une caméra filaire sous la porte, il voit le couple en train de copuler. Il décide de leurs laisser finir. Si cela ne sera pas le dernier sperme pour la femme, ce sera le dernier rapport volontaire.

James va de plus en plus vite dans le sexe de sa femme, elle geint de plaisir comme une mitraillette, lâchant en rafales des « aaaah! » et des « oooh! ». Lui aussi sent son plaisir monter. Ils ne baisent que depuis cinq minutes. Ils se sentent animal, bestial. Puis en râlant, James se vident dans sa femme, qui en sentant son sperme se répandre en elle, est traverser par un orgasme puissant. Toujours emboîté l'un dans l'autre, ils s'écroulent sur le lit. Jane à plat ventre, James sur son dos. Ils reprennent haleine pendant une minute ou deux. C'est Jane qui rompt le silence.

- Mon cœur, faudrait refaire cela plus souvent. C'est si... différend.

- Si tu veux, c'est vrai, c'est autre chose. C'est moins fusionnel, mais c'est aussi bon.

D'un coup, la porte s'ouvre en claquant. James se retire vivement de sa femme. Ils se retournent tout les deux. Ils voient avec horreur, plusieurs hommes cagoulés, en tenue militaire, portant des fusils d'assauts, entrer en trombe dans la chambre, se mettre autour du lit et les braquer. Jane met une main devant sa poitrine et son sexe. James fait de même avec son sexe. Des points rouge apparaissent sur leurs torse. Trois sur chacun d'eux pour être précis. Le dernier homme prend la parole.

- Je suis le capitaine Nkouma des Blacks Commandos. Je représente le nouveau gouvernement de transition Anglefricain. Au nom de ce gouvernement, je vous mets en état d'arrestation.

- Mais...

James à tenter de parler, il est aussitôt interrompu.

- Je vous demanderais de vous taire. Veuillez vous lever, mains sur la tête. On va descendre au salon.

Terrorisé, le couple s'exécute. Ne cachant plus leur parties génitales. Jane sent les regards envieux des soldats sur son corps encore svelte et ferme. Avec les mains sur la tête, elle regarde l'homme qui a parlé.

- Laissez-moi au moins me couvrir.

- Pas encore. Allez, on descend.

Deux soldats et celui qui est sans doute le chef, vu qu'il est le seul à parler passe devant. Le couple leurs emboîtent le pas, les quatre autres soldats ferme la marche. Avec honte, Jane sent le sperme de son mari couler le long de ses cuisses.

Ils arrivent au salon. Ils voient avec horreur d'autres soldats, ainsi que debout, au milieu, les mains sur la tête, leurs deux filles. Elles sont elle aussi en tenue de nuit, mais, pense Jane « grâce à dieu, elles sont habillées. ». April porte un mini-short rouge et un petit top, assez décolleté pour laisser voir la naissance de ses petits seins. Sa fille est petite et menue. Hayley, au contraire, est plus grande. Plus pulpeuse aussi, elle a de seins que l'on devine très gros sur sa chemise de nuit assez sage. Les deux sont en larmes. Mais elles voient néanmoins leurs parent arrivés nus, avec horreur. Surtout le sperme qui tache l'entre-cuisse de leurs mère les dégoûtent. Les soldats font alignés les parents à côtés des filles. Joss les regardent un par un. Il fait signe à ses hommes, tous peuvent enlever leurs cagoule, l'opération de capture est fini. James est attaché sur une chaise robuste, au milieu de la pièce. Les bras menottés dans le dos, entre les barreaux arrière de la chaise, les chevilles à chaque pieds.

- Comme on vous en a avertit, vous êtes tous en état d'arrestation en attente de procès. Je vous préviens, que le procès en question ne sera pas le type de procès auquel vous vous attendez. Ici, pas d'avocats, on ne peut défendre l'indéfendable.

- Mais...

- Taisez-vous monsieur, j'ai tout loisir de vous faire taire, selon la méthode de mon choix. Cela englobant le droit de vous abattre. Votre famille sera alors jugée sans vous. Compris?

- Oui.

- On dit « oui monsieur, ou oui, mon capitaine. ».

- Pardon, monsieur.

- Bien.

Joss reprend.

- La culpabilité de tous, pour crime contre l'Anglefrique est prouvé. Vous et les gens comme vous, ont volontairement laissé, un des pays les plus peuplés, crevé de faim, en l'exploitant et le payant en-dessous du seuil de simple humanité. L'Anglefrique pays le plus riche du monde en terme de matière première et autres production de métaux rare ou même simplement de denrées alimentaire. Mais l'heure de la vengeance à sonné. Les anglefricains reprennent le pouvoir dans leur pays. Et les profiteurs et autres pilleurs seront tous punis, sans pitié.

- Mais, je...

- Vous n'avez rien à dire.

Joss se tourne vers les deux filles.

- Allez, les deux chiennes, à poils!

- Non! Laissez-les!

C'est James qui a crié. Pour toute réponse, un coup de crosse en pleine figure envoi l'homme et sa chaise au sol. On entend le craquement d'un os dans son visage. Il se retrouve par terre, sur le côté, geignant de douleur.

- James! Salaud...

Cette fois c'est Jane qui a criée. Un coup de crosse dans le ventre la plie en deux. Un deuxième dans le dos, la fait s'écrouler sur le sol. Pliée en deux, se tenant le ventre en geignant de douleur. Deux soldats se chargent de remettre James droit. Joss regarde de nouveau Hayley et April.

- J'ai dis à poils. Si vous n'obéissez pas, je vous mets une balle dans le genoux à chacune. Et ensuite, on vous mets nue.

Joss se tait une seconde.

- Mais vous n'allez pas le faire en même temps. Qui est la plus vieille?

- Moi...

Hayley à parler doucement.

- Bien, alors déshabille-toi lentement.

La jeune fille regarde les soldats, puis ses parents, ses yeux se posent sur son père, toujours allongé au sol. Les larmes aux yeux, il lui fais signe que non, il ne peut rien faire. Alors lentement Hayley remonte sa chemise de nuit. Elle ne porte aucun dessous. Elle arrête son geste quand la chemise de nuit arrive en haut des cuisses, juste en dessous son sexe.

- S'il vous plaît... Sigh... sigh...

Ses larmes n'émeuvent point Joss. Il a vu mourir sa propre sœur de faim quand il avait trois ans. Une image qui restera gravé dans sa mémoire toute sa vie. Lui même ne s'en ai sorti que de justesse. Son père à été obligé de vendre un de ses reins pour le nourrir lui et sa mère. Il n'a pas survécu à l'opération. Ensuite sa mère, jeune, elle n'avait que dix-huit ans, et très belle, à été obligée de se prostituer pour survivre, seule avec son fils de trois ans. Elle se vendait à des blancs pour un peu d'argent. Heureusement, elle n'a dut se vendre que trois ans. Jusque à ce qu'un homme la prenne sous son aile, avec le petit Joss. Sans coucher avec, sans rien lui demander, il lui a donné un peu d'argent chaque mois et surtout de quoi manger et un toit. Même si cet homme est blanc, il ne peut pardonner aux fautifs. Ce blanc lui a d'ailleurs enseigné certaines choses, comme la nécessité de se venger des oppresseurs. C'est lui qui l'a poussé à sept ans à prendre des cours de Krav-maga, puis à quinze ans à entré dans une école militaire.

Mais là encore, Joss à vu des tas d'enfant mourir de faim, alors que les étrangers jetaient tant de nourriture, gaspiller tant d'argent. Ils auraient put être très riche tout en reversant un peu au peuple Anglefricains. Mais non, ils voulaient plus d'argent, toujours plus. Faisant encore baisser l'espérance de vie du pays. Quarante ans maximum, pour les deux sexes, le plus bas taux du monde. Alors non, Joss n'aurait aucune pitié pour les gens coupables de cela. Il regarde Hayley dans les yeux. Il braque son arme sur son père qui est toujours au sol.

- Soit tu obéit, soit je l'abats, puis ce sera au tour de ta mère. Ensuite, on te déshabillera nous, je te jure que je le ferais avec un couteau, tranchant ta peau en même temps. Et crois-moi, cela ne me gênera pas de te baiser sanguinolente.

La puissance des mots de Joss, atteint immédiatement le cerveau de Hayley, elle voit dans son regard qu'il fera ce qu'il dit. Alors la jeune brune reprend son geste, elle dévoile aux yeux de tous son sexe. Il est couvert d'un épais buisson de poils noirs. Elle ne s'entretient pas trop, juste pour ne pas que ses poils ne sortent de sa culotte. Si sa peau est mat, on voit que la jeune fille est bronzée. La blancheur de la partie couverte par son maillot contrastant si érotiquement avec le bronzage de sa peau offerte au soleil. Joss adore cela, il en bande immédiatement.

Elle continue à remonter sa chemise de nuit. Dévoilant ses seins, ils sont énormes, fermes. Ils ont de larges aréoles brune, gonflées, de petits tétons en forme de boutons. Puis la chemise de nuit passe la tête, Hayley la laisse tomber au sol. Elle se cache aussitôt ses atouts avec ses mains.

- Les bras le long du corps.

Hayley obéit.

- Tourne-toi!

Une nouvelle fois, la jeunette s'exécute.

- Bien,parfait, tu es vraiment bien foutue!

En effet, Hayley à un cul de black. Un peu gros, mais aux fesses bien rondes et fermes, bien serrée l'une contre l'autre. Un cul à faire bander un mort.

- Allez la petite sœur, on fait pareil. Toi, la brune, reste debout, face à nous, bras toujours le long du corps.

Hayley se retourne de nouveau. Tandis que April remonte, elle aussi en pleurant, son petit top. Elle a de petit seins, en cônes, avec de petites aréoles et des tétons en forme de boutons. Un autre genre que sa sœur, mais tout aussi bandant. La jeune blonde tout juste majeur, laisse alors tomber son haut à ses pieds. Elle descend ensuite son mini-short. Elle ne porte rien en dessous. Un petit buisson de poils blonds orne son bas-ventre. Sa peau est complètement blanche, un teint de vraie blonde. April reste debout, la tête baissée, les bras le long du corps. Elle obéit quand Joss lui ordonne de faire un tour lent sur elle-même. On voit son petit cul à peine bombé, mais sa chute de reins divine, qui le met superbement en valeur, rattrape le coup, et en fait un des cul les plus bandants que ses tueurs n'aient jamais vu.

Joss regarde les trois femmes. Il hésite entre les deux filles et la mère. Bon, après, il va se faire les trois comme tout ses hommes, mais pour commencer, autant que ce soit top. Le père le laisse perplexe. Il s'est relever, aider pas un de ses gars. Mais c'est la façon dont il regarde ses filles nues qui l'interroge. Il n'est pas comme un père normal. Joss à l'impression qu'il est content de les mater ainsi, dans le plus simple appareil. Après il n'y a rien de bien probant. Joss se dit qu'il va garder ça dans un coin de la tête. Néanmoins il regarde ses hommes.

- Que l'on mette un truc sur la bite de ce mec. Je n'aime pas particulièrement voir les bites des blancs!

Un des soldats prends la nappe sur la table vide, et la met sur les genoux de James, lui cachant ainsi le sexe.

Finalement Joss se dit qu'il va commencer par la mère. Autant prendre le vagin le plus large d'entrée. Puis elle n'a pas l'air d'être une folle de sexe malgré sa beauté. Avec un peu de chance, elle ne se sera pas faites trop enculer, voir pas du tout.

- Bon, ce n'est pas tout messieurs-dames, mais la guerre ça donne des envies particulières. Moi, c'est de cul que j'ai envie. Une volontaire pour passer en premier?

Personne ne répond. Alors le capitaine continue.

- Autant vous le dire, si personne ne veut se taper vingt-et-un beau black, j'en tirerais une au hasard.

En attendant ça, Jane comprend qu'il va falloir qu'elle se sacrifie pour ses filles. Sinon, elles risquent bien de se faire violer par cette meute de barbares. Jane est proche de ses filles. Elle sait que Hayley à déjà couchée avec son copain. Enfin ex-copain depuis plus de trois mois maintenant. Pas souvent, une dizaine de fois maximum selon les dires de sa fille. Mais elle sait aussi que April est vierge. Sa dernière préfère se consacrer à ses études, elle aura bien le temps pour les garçons plus tard. Alors Jane va tout faire pour protéger la virginité de sa fille.

- Moi, je suis volontaire.

Joss regarde Jane, elle est magnifique, même pour son âge.

- Pourquoi je prendrais une vieille chatte large, ayant bien servit, plutôt qu'une beaucoup plus jeune et plus étroite?

- D'abord mon sexe n'est pas large, en plus il est très confortable, monsieur.

- Qui vous a dis ça?

- Mon mari , monsieur.

- C'est tout?

- Oui... monsieur...

Alors je n'en vois pas l'intérêt, il vaut mieux un tirage au sort. Ou même que je vais choisir une des deux jeunettes. Sauf si tu as quelque chose qui ferait pencher la balance pour toi.

- Je suis vierge de derrière, monsieur.

- Tu veux dire que personne ne t'a jamais enculée?

- Non, jamais, monsieur.

- Si j'ai l'honneur d'être le premier à te faire le cul, alors, oui, je veux bien que ce soit toi qui y passe.

- Merci, monsieur.

- On va te violer et tu me remercie?

- Je vous remercie d'éviter ce calvaire à mes filles, monsieur.

Joss sourit. Il ne lui dit pas que d'une manière ou d'une autre, ses filles vont y passer aussi.

- Bien. Alors viens me sucer!

Joss se met debout, les bras le long du corps, tout en regardant Jane dans les yeux. Cette dernière baisse les siens aussitôt. La femme avance vers le capitaine, quand elle est devant lui, Jane se laisse tomber à genoux, le visage au niveau de la braguette. Comme il ne bouge pas, elle devine qu'il souhaite que ce soit elle qui lui sorte l'engin. Alors, Jane fond en larmes, pour la première fois de sa vie, elle va voir, toucher une bite qui n'est pas celle de son mari. Les mains tremblante, Jane déboutonne alors un à un, les cinq boutons de la braguette de Joss. Puis elle descend lentement le pantalon militaire. Jusque a mi-cuisse. Une fois cela fais, la bouche de la femme s'arrondit en un « O » d'étonnement. La boss dans le caleçon du soldat est beaucoup plus grosse que celle de son mari. Elle descend alors ledit caleçon, dévoilant un sexe mou, mais déjà de belle taille.