Une Princesse en Esclavage

BÊTA PUBLIQUE

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- « Je vais t'engrosser, petite pute! »

Il la plaque contre le sol, maintenant fermement ses poignets et lui enfonce un chibre sec et dur dans le vagin. Il la lime brutalement, le bruit de ses bourses pleines claquant contre l'entrejambe de la Princesse de Bourbon-Brissac fait écho aux ahanements de la malheureuse. Il maitrise son sujet et prend un plaisir sauvage à prolonger le coït, savourant la vulve de velours d'une fille de la haute noblesse. Enfin, il se vide en d'interminables giclées dans Alix. Il prend bien soin de déposer la moindre goutte de foutre dans la chatte de la princesse et se retire avec un sourire méprisant : « On se voit dans 9 mois à la maternité! » laisse-il tomber avant de cracher à la figure de la jeune aristocrate.

Cela dure des heures, elle est baisée comme une chienne ; Elle est recouverte de sperme. L'humiliation suprême aura lieu quand Kader s'aperçoit que Boubacar avait encore une érection impressionnante ; il oblige Alix à venir le sucer. Celle-ci lutta, protesta, pleurnicha mais rien n'y fit. On appuie inexorablement sur la tête de la princesse et elle se retrouve avec la bite de Boubacar suintante de sperme et des remugles de son propre anus posé sur ses lèvres. Un dernier bastion de morale l'empêche d'obéir et elle garde obstinément la bouche fermée. On lui tanne le cul avec une ceinture et elle pousse un cri ouvrant la bouche. Aussitôt, on la force à gober la bite tendue. Sous les cris du gang, elle le suce avec application, pompant le gland, salivant sur la bite. Sa langue titille le gland de Boubacar qui peut de moins en moins se retenir. Elle le masturbe avec ses mains gantées... Enfin, sentant l'orgasme monter, Boubacar l'agrippe par ses cheveux blonds défaits et expulse un monstrueux jet de foutre sur son visage.

Au centre du hall, Kader a contraint la princesse à se mettre à quatre pattes et se défroquant à nouveau, sous les yeux avides de sa sinistre troupe, il commence à la foutre bonnement, baisant la noble demoiselle comme une chienne... et Alix, malgré l'humiliation, fait en sorte de combler l'homme en rut ... Et lorsqu'il en a fini, c'est un autre qui lui succède et cette fois, enfonce son dard direct dans le cul de la princesse... Et ainsi de suite, sous les cris de joies des lascars, de la horde en furie, les hommes l'un après l'autre baisent une Diane de Bourbon-Brissac haletante, épuisée, le corps perclus par les assauts qu'elle ne compte plus... Devant de surcroît, recevoir dans sa bouche tous ceux qui ont besoin de soulager d'une excitation trop pressante ou d'une envie soudaine de pisser... Des heures, des heures dure le calvaire de la princesse que l'on abandonne finalement, la chatte et le cul en feu, déchirés et dégoulinants, tout comme sa bouche d'où s'écoule les restes d'un flot de semences mélangées...

Kader signifiant la fin des hostilités, Bilal se rapproche de la jeune aristocrate gisant au sol et lui empoigne les cheveux, tournant sa tête vers la caméra. A bout de résistance, la princesse tourne ses yeux bleus vers l'objectif et hoquette du sperme qui se trouvait encore dans sa bouche. Le plan final est grandiose : couverte de foutre, les cheveux défaits, habillée seulement de ses escarpins à talons hauts et de ses gants d'opéra, la princesse Alix de Bourbon-Brissac, descendante des rois de France, aura plus d'une raison d'obéir en tous points à ses geôliers...

Si Boubacar se satisfaisait de laisser enculer la princesse par sa bande de lascars et d'y apporter la touche finale, Kader avait des vues à plus long terme... C'est pour ça qu'il était le chef : un vrai businessman doublé d'une absence complète de scrupules. Il savait parfaitement que des émirs du Golfe paieraient des fortunes pour avoir une jeune aristocrate européenne blonde dans leur lit lors de passages à Paris et que la princesse leur apporterait bien plus que juste quelques semaines de baise de luxe. Et de plus il y avait aussi sa mère : s'étant renseigné sur la famille, il avait remarqué la mère d'Alix, la princesse Diane de Bourbon-Brissac, née duchesse de Brissac, titre qu'elle continuait d'user avec fierté. Agée d'à peine 42 ans, cette dernière était encore une vraie beauté à qui l'on donnait facilement 10 ans de moins. Il pourrait peut-être les prostituer en paire...

Pendant que ses pensées le préoccupaient, le reste du gang avait trainé la malheureuse Alix à demi inconsciente vers un ancien local réfrigérant où un matelas pourri et des chaines attachées au mur constituaient la seule décoration. Là, la jeune femme subira pendant les jours suivants les assauts sexuels de la bande. Kader y voyait trois utilités : s'assurer de briser la princesse, lui apprendre tout ce qu'une bonne pute doit savoir et récompenser les meilleurs lascars de son gang. En attendant, il appela le numéro de Diane, la mère d'Alix.

- « Diane, duchesse de Brissac. » répondit une voix agréable.

- « Ecoutez-moi bien, Madame de Brissac », dit-il « je ne me répèterai pas! »...

Un jour plus tard, Diane, duchesse de Brissac et princesse de Bourbon-Brissac conduisait sa Porsche Cayenne en direction de Montfermeil, dans le 93.

Malgré les 500 chevaux du moteur, Diane ne dépassait pas les 80 km/h et avait du mal à rester sur la route. Elle n'avait pas fermé un œil depuis l'appel du soir précédent. Après que l'homme lui eut donné les instructions, elle avait pu entendre sa fille appeler à l'aide et puis la communication avait été coupée. Elle devait suivre la route de Montfermeil et attendre un appel. Il n'avait pas été question de rançon, au contraire : elle ne devait pas emporter un seul centime avec elle ni aucune carte de crédit... Seul son portable était autorisé. Naturellement, pas un mot à son mari ou à la police!

La sonnerie de son téléphone portable lui fit presque perdre le contrôle de sa Porsche. Evitant avec peine un poids-lourd venant en sens inverse, elle appuya sur le haut-parleur :

- « Madame de Brissac! »

Elle reconnut la voix de son interlocuteur. Il lui donna la route à suivre pour arriver à un chantier à 10 minutes de là et raccrocha.

Les dernières centaines de mètres n'étaient pas asphaltées et son 4x4 Porsche de luxe prit quelques éraflures sur le chemin. Qu'importe! La nuit commençait de tomber et le chantier était vide. Une lumière blafarde luisait cependant à l'intérieur d'un préfabriqué et Diane s'y dirigea, pensant qu'il devait s'agir du lieu de rendez-vous. Elle gara sa voiture devant coupa le contact et entra en frissonnant dans la bicoque. Selon le kidnappeur, elle trouverait la marche à suivre à l'intérieur

L'intérieur était vraiment sordide : de nombreuses bouteilles de bières jonchaient le sol et une odeur d'urine provoqua un haut le cœur chez l'aristocrate raffinée qu'était la duchesse. Une valise, posée au centre de la pièce semblait être le seul élément étranger à ce dépotoir. Au moment de ramasser la valise, elle vit qu'une enveloppe adressée à « Diane » était posée dessus. Pourquoi le kidnappeur avait choisi de l'appeler par son prénom ne lui passa dans toutes ses émotions pas par la tête.

« Ouvre la valise, enfile les habits que tu y trouves et poste-toi au réverbère à la sortie du chantier » étaient les ordres écrits sur le papier. Interloquée, Diane de Brissac ouvrit la valise et contempla d'un air interloqué ce qu'il s'y trouvait : une minijupe léopard, un petit haut rose deux tailles trop petit et une paire de cuissardes en cuir laqué à hauts talons aiguilles.

Que voulait dire ce jeu de pervers?!

Elle était à deux doigts de refermer la valise qu'une photo placée sous ses habits attira son attention et la glaça d'effroi : il s'agissait de sa fille, habillée de sa robe du soir, bâillonnée et ligotée dans une cave, entourée de plusieurs racailles masquées brandissant des couteaux ou des battes de base ball.

Se mettant à sangloter, la duchesse enleva les habits qu'elle avait mis pour venir. D'une élégance classique, elle était venue en tailleur-pantalon Yves Saint Laurent noir de type smoking, un carré Hermès noué autour de son cou et un manteau de vison la protégeant du froid.

Ayant plié le tout méticuleusement, elle enfila les frusques de la valise. La honte était énorme : la jupe s'arrêtait juste en dessous de son sexe et le t-shirt comprimait sa magnifique poitrine à ne pas la laisser respirer. Vacillant sur les talons des bottes, elle prit avec elle son manteau de fourrure car une brise glaciale soufflait à l'extérieur.

Alors qu'elle allait quitter la cabane de chantier, une sonnerie téléphonique retentit, et ce n'était pas la mélodie du smartphone de la duchesse. Elle repéra l'appareil, un minable modèle ancien posé dans un coin de la pièce et s'en empara fiévreusement.

- « Diane de Bourbon-Brissac, duchesse de Brissac? » demanda-t-elle.

- « A partir de maintenant, je t'appellerai uniquement Diane. » cracha son interlocuteur « Jette ton téléphone dans un coin de la cabane et ne garde que celui-ci. Ensuite fais ce qui est écrit dans la lettre!» lui intima-t-il avant de raccrocher sèchement.

Diane de Brissac, se doutant qu'elle était observée, jeta son iPhone au loin et sortit du préfabriqué malodorant puis se dirigea vers la sortie du chantier. La rue était bordée de quelques usines désaffectées et un peu plus loin luisaient les lueurs d'un bar à l'air glauque. Plissant les yeux, la duchesse put lire le nom « La chatte bleue » écrit en néons aux couleurs criardes. Bien qu'habituée aux talons, l'aristocrate avait du mal à maîtriser les bottes qu'elle avait revêtues et c'est d'un pas incertain qu'elle se dirigea vers les lumières.

La duchesse vit quelques voitures passer à faible vitesse. Des voitures exclusivement occupées par des hommes... Devant le bar, quelques femmes vêtues de façon particulièrement vulgaire se tenaient sous les réverbères.

Etant connue comme l'une des femmes les plus élégantes de la haute société du tout-Paris, la duchesse de Brissac était morte de honte dans les vêtements de pute qu'on lui avait fait enfiler. La sonnerie de son nouveau téléphone la fit sursauter.

- « Bon, Diane, maintenant on passe au business. Tu veux toujours revoir ta fille? »

- « Naturellement, espèce de salaud! » sanglota-elle.

- « Hé, va falloir être plus polie que ça, pétasse! », entendit-elle avec un bruit de claque et un cri de sa fille en arrière-plan. « Bon, il est 19h00... A 21h30, un de mes hommes va passer près de la cabane de chantier et tu lui remettras 1500 Euros. Après tu reverras ta fille. »

- « 1500 euros?! Mais je n'ai rien avec moi! Vous m'aviez dit de ne pas emporter le moindre centime! Comment voulez-vous que je vous paye?! » répondit-elle au désespoir.

- « Il va falloir faire preuve d'imagination, Diane. Remarque, vu comment tu es gaulée et avec tes nouvelles fringues, ça ne devrait pas être trop dur. Allez, au boulot! Tu perds du temps! »

En pleurs, Diane de Brissac, princesse de Bourbon-Brissac, commençait à comprendre ce que l'on attendait d'elle. Les ordures! Elle n'avait jamais couché qu'avec son mari durant toute sa vie, et maintenant... Elle, issue d'une des lignées les plus prestigieuses de la noblesse française devrait vendre son corps dans cette banlieue sinistre pour récupérer sa fille. Quelle humiliation!

Levant les yeux, Diane remarqua les regards haineux que lui lançaient les filles adossées aux réverbères. Instinctivement, elle referma son manteau de vison, seul restant de respectabilité qu'elle avait encore sur elle. Un crachat vint s'écraser sur la pointe de l'une de ses bottes. Elle n'avait pas remarqué qu'une BMW M3 venait de s'arrêter devant elle. Le chauffeur, un maghrébin d'environ 35 ans mal rasé et les yeux cachés par une paire de lunettes de soleil l'apostropha :

- « Hé, salope, tu fous quoi là? C'est mon territoire! »

- « Excusez-moi! Je ne suis ici que jusqu'à 21h30, après vous ne me reverrez jamais plus. » lui répondit-elle. Le sordide de la situation jouait avec ses nerfs.

- « J'en ai rien à foutre, connasse! Soit tu bosses pour moi, soit tu dégages! » hurla t'il en descendant de sa voiture.

- « D'accord, d'accord, je travaillerai pour vous! » Elle voulait à tout prix éloigner ce sale type qui suintait le vice et la vulgarité.

- « C'est 70% de tes gains. Pas négociable. »

- « C'est bon, 70%. Je vous paierai demain. »

L'homme, un sourire satisfait sur le visage, s'approcha de la duchesse et commença à la regarder comme une vache un jour de foire.

- « Allez, raconte, parle-moi de toi. Vends-toi! »

- « Je m'appelle Diane, j'ai 30ans (on les lui aurait donné sans problème) et je me prostitue depuis 10 ans. » Débita-elle d'un ton monocorde. Elle s'était rajeunie dans un effort désespéré de camoufler son identité.

- « Bon, bon,... L'expérimentée Diane... » marmonna-t-il dans sa barbe. « Bah, vu la fourrure que tu portes, je veux bien te croire. Faut en tailler des pipes pour se la payer. Vire-la et montre-moi tes nibards! »

Le visage écarlate de honte, Diane de Brissac posa son coûteux manteau de vison sur une poubelle et remonta le top rose qu'elle portait, faisant jaillir deux magnifiques seins blancs qui étaient resté remarquablement fermes malgré son âge. Le mac' les palpa et les soupesa d'une main experte. La malheureuse duchesse faisait son possible pour ne pas éclater en larmes.

- « Wesh! Magnifiques! Pour une branlette espagnole, tu prends 70 Euros. » commenta le maghrébin. « Maintenant, soulève ta jupe. »

- « Pardon?! » s'étrangla Diane, oubliant son rôle devant l'outrage.

- « Ton cul! T'es conne ou quoi? » grogna-t-il en l'empoignant par l'épaule, lui faisant faire un demi-tour. Il remonta la jupe d'un coup sec. « Touche tes pieds. »

Heureusement, le mac' ne voyait pas le visage inondé de larmes de la duchesse. Penchée de manière indécente, elle présentait son magnifique postérieur de cavalière au maghrébin quand elle sentit deux doigts s'immiscer dans son anus. Elle n'avait jamais été pénétrée par-là auparavant! Elle poussa un cri strident sans pouvoir se retenir.

. « 'tain! T'en fais des manières, pour une pute expérimentée! » ricana le mac'. « Ouah, t'es vachement étroite du cul! On dirait qu'on t'a jamais enculé! C'est bon ça! Tu peux prendre 150 Euros pour te faire sodomiser. Un truc comme ça, c'est du luxe. Les clients auront l'impression d'enculer une vraie bourgeoise catho! » Il ne pensait pas si bien dire...

Agrippant Diane par les cheveux, il la fit pivoter de nouveau et lui enfonça les doigts dans la chatte sans préambule. Suffoquée de dégoût, le petit couinement que poussa la duchesse parut faire plaisir au maghrébin :

- « Pas rasée? Pas très pro ça... Oh, mais t'es étroite de la chagatte aussi! Excellent! Pour une baise normale, tu peux encaisser 100 Euros. De la vraie came de luxe. Je crois qu'on va faire un bout de chemin ensemble! »

Satisfait de son examen, il souhaita « beaucoup de bites » à sa nouvelle recrue et remonta dans sa voiture. Kader, car c'est de lui dont il s'agit, avait eu beaucoup de mal à se contrôler et à ne pas sauter sur la ravissante mère de la princesse pour la violer sur place, mais son plan allait au-delà : il avait truffé le quartier de guetteurs avec des caméras. Les images de la respectable duchesse de Brissac en train de se prostituer assurerait sa soumission durable et surtout inconditionnelle. Il goûterait en temps voulu à cette hautaine mais splendide aristocrate!

De son côté, Diane de Brissac, princesse de Bourbon-Brissac avait remis ses vêtements et sa coiffure en ordre et se positionna sous un lampadaire, baissant le regard à chaque véhicule qui passait au ralenti devant elle. Son cœur se mit à battre la chamade quand une camionnette brinquebalante s'arrêta à sa hauteur.

La vitre s'abaissa et un africain sortit la tête de la fenêtre :

- « Combien? »

- « Pour quoi? » répondit mécaniquement la duchesse.

- « Moi et mes amis, on veut fêter notre premier chantier en France! On vient du Sénégal et on veut baiser une blonde! Par tous les trous. »

Par la fenêtre, Diane vit que quatre autres blacks en tenue de chantier maculée étaient dans le véhicule. Mon Dieu! Des noirs! Elle qui n'avait jamais imaginé connaître sexuellement que son mari, elle allait devoir s'avilir avec des immigrés en sueur! Mais pour revoir sa chère Alix, elle était prête à tout...

- « Pour... la totale, je prends 200 Euros par tête. Et vous pourrez me prendre par tous les orifices. Mais mettez des capotes, de grâce!»

- « Tu as de la chance, on a touché notre prime, c'est bon pour 200 Euros. Monte, on va pas loin : notre container est sur le chantier. » lui intima celui qui semblait être le chef.

La duchesse ouvrit la porte arrière et prit place sur la banquette arrière défoncée entre deux ouvriers qui souriaient de toutes leurs dents. L'odeur âcre de sueur et de crasse prit la malheureuse à la gorge, mais il fallait se plier au jeu...

- « Tu es notre première femme blanche! » observa l'un d'entre eux. S'ils savaient qu'elle était issue de la plus haute noblesse!

Immédiatement, l'un d'entre eux lui mit la main dans ses cheveux blonds si fins et qui avaient l'air de le fasciner. L'autre positionna sa main entre les cuisses de Diane de Brissac et fit progresser ses doigts vers l'ouverture du vagin.

Bien qu´éduquée chez les sœurs et n'ayant jamais que fait l'amour avec son mari, Diane de Bissac savait qu'il y avait des moyens sûrs pour faire jouir les hommes plus vites. Or, elle n'avait que peu de temps pour collecter l'argent et aucune envie de s'éterniser avec cinq ouvriers, immigrés de surcroît. Aussi se résolut-elle à agir de la manière la plus indécente possible : poussant des gémissements obscènes alors que la main de son voisin fouillait sa vulve grande ouverte, elle se retourna vers celui qui caressait ses cheveux pour l'embrasser à pleine bouche. Le troisième ouvrier assis à l'arrière agrippe ses deux seins blancs et fermes. Ses mains sales soupèsent les deux globes, avides de leur douceur, puis il referme ses paumes, les compressant douloureusement, les malaxant sans pitié.

Plusieurs minutes se passent pendant lesquelles la duchesse est pelotée et doigtée par les trois occupants de la banquette arrière avant que la camionnette ne s'arrête. Elle est aussitôt sortie du véhicule par les cinq ouvriers surexcités à l'idée de baiser leur première Française. Elle découvre un autre chantier sinistre et quelques baraquements d'où sortent de la musique africaine. Ne lui laissant pas le temps de remettre de l'ordre dans sa tenue, les ouvriers l'emmènent dans l'une de ces baraques sans cesser de la caresser, qui ses fesses, qui ses seins, qui sa chatte.

A peine entrée, Diane de Brissac et jetée sur un lit de fer au matelas constellé de taches douteuses. N'y tenant plus, les cinq Sénégalais enlèvent leurs vêtements avec rage, dévoilant des chibres tendus à l'extrême et de forte taille. Celui qui l'avait abordée se jette sur elle, lui écarte les jambes et la pénètre dans un cri de triomphe. A sa grande horreur, la duchesse se rend compte qu'ils n'ont pas mis de préservatif! Elle n'a cependant pas le temps de protester car un deuxième lui a empoigné les cheveux et enfoncé son membre dans la bouche jusqu'à la garde. Suffoquée, la malheureuse aristocrate doit pomper le dard qui lui est présenté tout en subissant les brutaux coups de butoir qui lui ravagent son sexe délicat. La taille de la bite qui la ramone est telle que son vagin est étiré comme jamais il ne l'a été. Au milieu de la honte, Diane sent un plaisir coupable et de nouvelles sensations apparaître. Les deux ouvriers éjaculent rapidement et quasi simultanément dans leur excitation. La duchesse, à qui personne n'avait fait l'affront de juter dans la bouche défaille presque quand les épais jets de foutre lui arrosent la glotte alors qu'au même moment son vagin est inondé par un flot chaud et puissant.

Elle n'a cependant pas le temps de se remettre de ces émotions, les trois autres qui attendaient leur tour en se branlant se jettent sur elle. Cette fois, la duchesse est prise en sandwich : l'un fourre immédiatement sa bite sur le point d'exploser dans sa chatte en lui pétrissant les seins alors qu'un autre fourrage dans sa raie, tâtant le terrain avec son énorme gland pour trouver le trou du cul de cette si ravissante blonde.