Une Princesse en Esclavage

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Une princesse et sa mère à la merci d'une bande.
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Kekolo56
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Aminata Touré, jeune Malienne de 18 ans, avait la rage. Cela faisait environ 6 mois qu'elle travaillait chez le prince de Bourbon-Brissac et sa femme en tant que femme de chambre. Elle ne pouvait pas réellement dire que le prince ou son épouse lui aient particulièrement manqué de respect ou maltraitée. Plutôt au contraire, ils avaient toujours été très corrects avec elle, mais tout en laissant un large fossé entre elle et eux, comme pour tous leurs domestiques employés dans leur luxueux château, propriété de la famille de Bourbon-Brissac depuis le XVIème siècle. Comme ils avaient ce qu'on appelle une « conscience sociale » malgré leur fortune et leur ascendance royale (le prince descendait de Louis XIV) , ils avaient pour habitude d'embaucher des jeunes de banlieue pour leur donner leur chance. Aminata en faisait partie.

Sa haine se tournait plutôt contre leur fille, la princesse Alix de Bourbon-Brissac, magnifique jeune femme de vingt-deux ans. Elevée dans le luxe et les hautes sphères de la société, la princesse Alix était l'arrogance même. Elle traitait tous ceux qu'elle considérait comme inférieurs avec condescendance et sa répugnance de ce qui ne venait de son monde était palpable. La goutte d'eau qui avait fait déborder le vase s'était produite lors d'une chasse à courre dont la famille princière est friande.

A l'issue de la chasse, les domestiques, dont Aminata, devaient apporter aux cavaliers des rafraîchissements. A cette occasion, la jeune soubrette avait longtemps regardé avec insistance le duc de Broglie qui était particulièrement bel homme. Elle avait malheureusement oublié que la princesse Alix était également attirée par le jeune homme...

En revenant avec son plateau à l'office, Aminata s'entendit appeler par son prénom et se retourna. C'est alors qu'elle reçut deux coups de cravache en travers de la figure qui l'envoyèrent à terre dans le fracas des verres en cristal et du plateau en argent. En relevant la tête et se frottant sa joue qui brûlait terriblement, elle reconnut la jeune princesse. Cette dernière était superbe : de hautes bottes noire cirées et une culotte de cheval blanche moulaient admirablement ses longues jambes, son torse orgueilleux était sanglé dans une redingote rouge à galon doré, une cravate de chasse blanche enserrait son cou gracieux et ses cheveux blonds clairs coiffés en chignon étaient couverts par une bombe noire. Ses yeux bleu azur lançaient des éclairs et ses narines palpitaient de colère : « Que je t'y reprenne à regarder de la sorte le duc! Penses-tu donc qu'un homme comme lui puisse s'intéresser à toi, racaille? » cracha la jeune aristocrate. « Que cela te serve de leçon! » lança la princesse à la jeune Malienne en s'éloignant.

Malgré sa vie en banlieue, le lycée hôtelier avait appris à Aminata à camoufler son accent de banlieue et à parler sur le ton que l'on pouvait attendre des serviteurs dans la haute société. « Je vous prie de m'excuser, Mademoiselle, je ne le ferai plus. » dit-elle d'un ton obséquieux à la princesse qui s'éloignait. Dans son esprit, c'était une autre rengaine : « Espèce de salope, tu vas voir ce qu'on fait de putes comme toi! Tu vas me le payer».

Ce que la famille de Bourbon-Brissac ignorait, c'était que Boubacar, le frère d'Aminata était le lieutenant du caïd le plus craint du 93, Kader. La soubrette ne perdit pas de temps pour appeler son grand frère et la narration de son humiliation fit bouillir de rage ce dernier. Ils ne tardèrent pas à jeter les ébauches d'un plan destiné à venger l'honneur familial de la manière la plus complète.

L'occasion rêvée se présenta bientôt : la princesse Alix devait participer deux semaines plus tard au bal des débutantes de l'hôtel Crillon à Paris. Cet évènement réunissait les plus belles jeunes filles de l'aristocratie en vue de les présenter à des cavaliers tout aussi titrés qu'elles. Ses parents étant ce jour-là déjà à Paris, la jeune femme devait s'y rendre depuis le château seule avec son chauffeur attitré, René. Et c'est précisément là que tout devait se jouer...

La princesse avait passé tout l'après-midi à se préparer pour le bal et le coiffeur avait mis deux heures à sculpter sa coiffure. Pendant ce temps, Aminata avait servi à René un « rafraîchissement » enrichi d'une poudre spéciale du village des Touré. Le vieux chauffeur se sentit quelques minutes plus tard passablement mal et alla se coucher dans sa chambre pour tomber dans un lourd sommeil agité par les drogues africaines. C'est alors que la servante malienne fit entrer par une porte dérobée un des membres du gang de Kader, Bilal. Tous les deux, ils dépouillèrent le chauffeur de son uniforme et Bilal s'en revêtit. Il avait exactement les mensurations de René : coiffé de la casquette et équipé de lunettes de soleil, personne ne remarquerait la supercherie, à moins de regarder de très près. Il gara la grande Mercedes noire devant l'escalier d'honneur du château et se mit à attendre.

Environ une demi-heure plus tard, la porte s'ouvrit et la princesse Alix de Bourbon-Brissac descendit les marches. Bilal avait le plus grand mal à garder son calme, il faut dire que la vision qui s'offrait à lui était tout bonnement divine : la jeune aristocrate était vêtue d'une longue et volumineuse robe Dior en soie mauve à la jupe bouffante, de longs gants d'opéra noirs gainaient ses bras élancés et une étole de vison noir réchauffait ses épaules nues. Elle avait également sorti les bijoux les plus fastueux de la famille de Bourbon-Brissac pour le bal : un collier de diamants et de saphirs parait sa poitrine, secondé par des bracelets assortis et une tiare ornée d'une gigantesque émeraude couronnait ses cheveux blonds. « On va s'amuser », marmonna Bilal d'un air gourmand.

La princesse Alix s'engouffra à l'arrière de la luxueuse Berline, agrippant les larges replis de sa jupe pour les faire rentrer :

- « Hé bien, René, vous n'ouvrez plus la porte? Qu'importe, dépêchez-vous! Je ne voudrais pas arriver après cette petite dinde de comtesse Agnès de Rohan-Chabot! »

Bilal hocha la tête en démarrant la Mercedes. Parfait! Cette petite conne n'avait pas remarqué que ce n'était pas le chauffeur habituel. Elle était trop occupée à déblatérer contre sa rivale :

- « Vous vous rendez compte, René? Cette cruche vient en aide aux sans-papiers! Elle n'a aucune décence ni respect pour notre rang! On raconte qu'elle aurait même couché avec l'un deux pour affirmer son progressisme! Un noir! Quelle honte!»

Le faux chauffeur continuait d'acquiescer, mais il ne pouvait s'empêcher de reluquer la superbe créature à l'arrière dans le rétroviseur. Il ne savait pas ce qui le faisait le plus saliver : le décolleté de la princesse qui laissait augurer des seins fermes et contenus avec peine par sa robe du soir, ou les diamants qui devaient valoir des millions. En attendant, il ne fallait pas perdre la tête : il aurait aussi sa part! Reprenant ses esprits, il prit l'itinéraire prévu et se dirigea vers le 93... La princesse était tellement occupée à se regarder dans son miroir pour vérifier son maquillage qu'elle ne voyait pas les constructions décrépites qui se succédaient.

Alors qu'ils arrivaient dans un quartier en instance de destruction, Bilal repéra la fourgonnette que Kader lui avait indiquée. Il s'arrêta à sa hauteur et deux lascars de la bande vinrent immédiatement se positionner devant les deux portes arrière de la Mercedes. Vifs comme l'éclair, ils ouvrirent les portières et se ruèrent à l'intérieur, laissant Bilal démarrer en trombe. La fourgonnette leur emboîta le pas pour vérifier que personne ne les suivrait.

Alix de Bourbon-Brissac poussa un cri d'effroi à l'intrusion des deux jeunes. Ils avaient de qui être effrayants : deux personnifications de la racaille de banlieue dans ce qu'elle avait de plus violent, un black et un beur, tous les deux athlétiques et armés de couteaux à crans d'arrêt.

- « Ferme ta gueule, salope, ou je te saigne! » aboya Moussa, le black.

Il lui colla la lame de son couteau sous la gorge pour montrer qu'il ne plaisantait pas. La princesse, n'étant pas complètement idiote, reconnut qu'il ne s'agissait pas d'un bluff et coupa court à ses hurlements. Le beur avait quant à lui déjà commencé à introduire sa main dans le bustier de sa robe Dior et à lui soupeser les seins. La jeune aristocrate eut un haut le corps en sentant cette main vile presser ses délicats attributs, mais l'acier sur sa gorge l'incita à ne pas gifler le malotru.

- « Putain, première qualité! Wesh, je vous dis, je vais la baiser là tout de suite, cette pute! » dit Djamel, le beur, complètement surexcité.

- « Ouais, ben va falloir te calmer, Djam' », glissa Bilal en conduisant. « Le caïd a dit qu'on ne devait pas la baiser. Pas tout de suite. »

- « Dommage » soupira le beur avec un regard mauvais. « Mais toucher c'est pas interdit, hein, petite bourge? »

Après avoir vicieusement pincé un téton et arraché un gémissement de douleur à la blonde princesse, il retira sa main du bustier et la fit glisser entre les replis de la jupe jusqu'à ce qu'il sente l'entrejambe d'Alix. Il fouilla l'étoffe avec son majeur jusqu'à sentir la fente intime de la gente demoiselle. Pendant ce temps, Moussa soupesait les diamants du collier avec la pointe de son couteau et léchait l'oreille délicatement ourlée de l'aristocrate d'où pendaient des boucles d'oreille elles aussi constellées de pierres précieuses. Les larmes montaient aux yeux bleus de l'aristocrate.

- « Je vous en prie, je suis riche, prenez mes bijoux et allez-vous en! » hoqueta la princesse entre deux sanglots

- « Je crois que t'as pas tout compris, pétasse, tes bijoux on s'en branle! », ricana Djamel qui avait entrepris de remonter la vaste jupe de la robe Dior.

Quand Djamel eu repoussé le lourd tissu de soie, un cri de joie sauvage se fit entendre de la part des deux lascars : les cuisses qui leur étaient données à voir étaient absolument parfaites et gainées de la plus exquise façon par un porte-jarretelle de luxe. Bilal en fit une embardée.

La culotte de dentelle fut vite découpée au couteau et jetée au loin. Moussa glissa deux doigts dans la chatte parfaitement entretenue de la princesse de Bourbon-Brissac, sa paume reposant sur les poils blonds du mont de vénus. Il recourba les doigts et entreprit de travailler le point G, déclenchant quasi-instantanément des petits cris de surprise et de plaisir de la part d'Alix ainsi qu'une moiteur du vagin qu'elle ne put réprimer à sa grande honte. Djamel avait définitivement sorti les seins de leur écrin de soie et tétait goulument les tétons.

Quand Bilal arrêta la voiture devant une barre HLM désaffectée, le spectacle à l'arrière de la Mercedes était indescriptible : la princesse, sa robe troussée et ses seins à l'air avait encore une allure royale malgré le doigtage sauvage qu'elle subissait et qui lui arrachait de petits gloussements de plaisir et de honte mêlés.

- « Faites descendre son altesse, et qu'elle soit présentable » dit Bilal aux deux lascars, inquiets qu'ils ne violent la jeune femme avant que le plan du caïd ne soit appliqué.

Moussa retira ses doigts dégoulinants de la chatte princière à contrecœur et les présenta à la bouche d'Alix : « Allez, suce, pétasse! ». Une pression du couteau sur un téton la persuada de les prendre entre ses lèvres et de les nettoyer de la cyprine qui les recouvrait.

- « Remets ta robe correctement, on dirait une pute » ricana Djamel en donnant une claque sur les seins.

- « Oui, oui! » répondit la princesse en remettant sa fière poitrine dans le bustier de sa robe du soir et en ramenant sa jupe sur ses jambes.

La portière s'ouvrit brutalement et une main prit Alix de Bourbon-Brissac par le bras pour l'extraire sans ménagement de la luxueuse berline. S'emmêlant dans son ample robe du soir qui était plus faite pour virevolter dans les salles de bal que pour subir un enlèvement crapuleux, elle tomba à genoux dans les détritus qui jonchaient le sol, mais une robuste poigne eut tôt fait de la remettre sur pied. Bilal, Djamel et Moussa la poussèrent vers un entrepôt désaffecté d'où sortait un flot de rap.

Dans le hall, une clameur sauvage l'accueillit : une bonne quinzaine de lascars à dominante black-beur en furie sifflaient à qui mieux mieux la hautaine aristocrate, toujours pantelante des sévices subis dans la voiture. Il faut dire que si certains d'entre eux avaient déjà baisé des « gauloises », il s'agissait le plus souvent de filles au rabais de leur quartier ou au mieux d'étudiantes altermondialistes à keffieh qui faisaient œuvre de charité en ouvrant leurs cuisses pour la lie de la banlieue. Autant dire, rien à voir avec la resplendissante blonde à sang bleu qui venait d'apparaître.

A milieu de l'immense pièce, un amas de vieux matelas tachés avait été sommairement jeté à côté d'un tuyau rouillé d'où pendaient des chaines. Un caméscope sur pied était positionné à quelques mètres... Le chef, un beur sensiblement plus âgé que les autres, trônait sur un fauteuil défoncé. Ayant passé plusieurs années en prison, il en portait certains stigmates comme une impressionnante balafre en travers du visage. Un black athlétique se tenait à ses côtés avec un sourire carnassier.

Kader intima le silence à son gang par un geste et s'approcha de la riche aristocrate qui commençait à perdre sérieusement de son assurance hautaine qu'elle affichait d'habitude : « Alors comme ça on s'autorise à insulter nos sœurs, connasse » lui cracha-il à la figure. La princesse n'eut que le temps d'ouvrir la bouche pour protester qu'une claque sonore la projetait au sol.

- « Mes parents sont très riches. », pleurnicha-elle « Si vous me laissez partir vous aurez beaucoup d'argent, je vous en prie! »

- « Je crois que t'as pas tout à fait compris, pétasse, ton fric on va l'avoir de toutes façons, mais on va t'infliger une petite leçon de savoir-vivre en même temps! » hurla le black qui avait suivi Kader et ne pouvait plus se contenir. D'un geste rapide comme l'éclair, il arrache le collier de diamant du cou gracieux de la princesse.

- « Pour acompte », ricane-il.

Alix réalisa alors l'air de famille frappant qu'il avait avec la soubrette qu'elle avait cravachée lors de la chasse à courre et comprit d'un coup les motifs de ses kidnappeurs. Elle était entre les mains de Boubacar, le frère d'Aminata.

- « Moteur! » ordonne Kader d'un air goulu à un jeune derrière la caméra, déclenchant la ruée du gang.

La princesse de Bourbon-Brissac se débat dans les bras de ses tourmenteurs qui lui soulèvent la jupe découvrant les bas et sa vulve offerte. On arrache le bustier de sa robe Dior, découvrant les seins emprisonnés dans la soie mauve qui sont aussitôt malaxés et sucés par des bouches avides. Alix gémit et donne des coups de pieds. On lui arrache son étole de vison et on lui enfonce des doigts dans sa fente. On la branle sans ménagements. Alix se débat, tente d'échapper à l'infamante pénétration. On lui écarte les jambes au maximum exhibant sa fente. Un des jeunes lui enfonce un doigt et le secoue énergiquement. Il en enfonce un second, puis un troisième. Derrière elle, un autre jeune claque les fesses de la princesse et lui introduit un doigt dans son anus ce qui la fait hurler de dégoût. On lui malaxe les seins, tirant sur les pointes. Celui qui la doigte se penche et lui suce le clitoris. Alix pousse un gémissement et le jeune ricane :

- « Elle mouille cette salope! »

Elle se retrouve à genoux devant 6 jeunes. Un beur à capuche sort sa queue et s'approche de la jeune aristocrate.

- « Suce-moi, sale pute! »

Alix de Bourbon-Brissac détourne la tête et proteste.

On la tire par les cheveux et le jeune force ses lèvres engouffrant sa bite dans la bouche de la princesse. Ses joues sont déformées par l'épaisseur de la bite. Le jeune donne des coups de reins et fait des vas et viens dans sa bouche manquant de l'étouffer. Des larmes lui monte aux yeux mais elle s'exécute, suçant la bite avec des bruits écœurants. Plusieurs jeunes ont sortis leurs téléphones portables et ils font des photos et même des films! On fait des photos de cette magnifique aristocrate blonde de sang royal en gros plan avec une bite dans la bouche. Le jeune s'active et dirige la princesse en la tenant par les cheveux et lui donnant des instructions.

- « T'es pas douée connasse, t'as jamais sucé ou quoi? Sors ta langue! Suce le gland! Reprends-moi en bouche! »

Alix pompe la bite aussi vite qu'elle le peut, il est vrai qu'avec ses amants de la haute société, elle avait plutôt l'habitude d'être traitée comme un objet précieux et délicat et non comme la dernière des putes. Finalement, il éjacula libérant un torrent de sperme. La jeune princesse blonde voulut recracher son foutre mais il lui ordonna de tout avaler « comme le font les bonnes chiennes ». Alix ne put obéir à cet ordre, cela choquait trop sa morale aristocratique. Elle recracha le sperme qui s'écoula sur son menton. Une claque lui remit vite en tête qui étaient les maitres en ces lieux.

Les autres se précipitent et de nouveau, Alix de Bourbon-Brissac doit sucer des bites. On ne lui laisse aucun répit! Elle est bientôt délestée de son imposante robe de bal Dior qui est jetée avec rage dans les immondices. Sa bouche est envahie à tout moment. A peine si elle peut respirer. Ceux qu'elle ne peut sucer, se branlent au-dessus d'elle et éjaculent sur son visage. Elle est recouverte de sperme. Elle en a dans les cheveux, sur son menton, ses seins. Certains veulent se branler entre ses seins et elle doit rapprocher ses mamelles et les masturber. De longs filaments de foutre de la lie de la banlieue décorent les traits fins de l'une des plus belles filles du tout Paris, quelle revanche!

-« On va l'enculer! »

Boubacar agrippe la princesse et la met à quatre pattes. Alix de Bourbon-Brissac pousse un cri désespéré :

- « Oh non, je vous en prie, pas ça....!»

Le black lui claque ses fesses racées.

-« On va te baiser d'abord, princesse de mes deux! »

Il a sorti sa queue qui est d'un diamètre imposant. Il agrippe les hanches d'Alix et pénètre sa chatte. Il donne des coups de reins violents faisant tressauter le corps de la princesse qui halète. Ses seins ballottent dans tous les sens. Le grand black la bourre violemment. Les yeux exorbités, décoiffée, en sueur, Alix subit les assauts de Boubacar en se mordant les lèvres. Une bite se présente et elle l'avale sans rechigner. Le black accélère ses coups de reins et il éjacule sur le dos de la blonde princesse en poussant un grognement.

Un autre le remplace aussitôt. Celui qu'elle suçait lui gicle dans la bouche et se retire. Deux autres arrivent et la forcent à prendre leurs deux bites dans sa bouche. Elle pousse des geignements étouffés. Sa bouche est ouverte au maximum, la mâchoire complètement déformés par les deux bites.

Kader se présente derrière Alix et lui introduit son index dans l'anus «pour la préparer». La princesse de Bourbon-Brissac pousse cri d'horreur : elle est encore vierge de ce côté! Il fait tourner son index puis rajoute son majeur faisant coulisser les deux doigts dans le trou du cul de la jeune noble. Il se masturbe un peu et pointe son gland sur l'ouverture des reins. Il pousse et Alix supplie une dernière fois. Sans pitié, le chef agrippe les hanches et dans un violent coup de reins s'engouffre dans le cul de la princesse qui pousse un hurlement étouffé par les bites qu'elle pompe.

Les commentaires vont bon train :

- « Regardez la bourge, elle se fait enculer! »

- « Elle aime ça la salope. »

Kader va d'abord doucement puis de plus en plus vite. Sa bite coulisse de mieux en mieux dans l'étroit canal. Il l'encule sauvagement se gaussant des râles pitoyables qu'elle émet.

La hautaine princesse Alix de Bourbon-Brissac n'est plus qu'un objet sexuel. On l'encule à tour de rôle. Elle pousse un hurlement déchirant quand Boubacar lui déchire l'anus à grand coups de bite. Il ne tarde pas à éjaculer à gros bouillons dans les intestins de la princesse. Ressortant hilare du cul d'Alix, il est aussitôt remplacé par un beur nerveux qui retourne la jeune femme, la positionnant sur le dos, les jambes grandes ouvertes avec une vue magnifique sur sa chatte bordée d'une toison blonde. Il la regarde avec dédain, presque de la haine :

Kekolo56
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