Une Jeunesse Bourgeoise

BÊTA PUBLIQUE

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Aussitôt la porte refermée, elle se précipita dans la salle de bains, se dépouillant de tout ses vêtements, elle se précipita sous la douche et commença à frotter son corps aussi rudement qu'elle le put, laissant couler l'eau tiède encore et encore. Elle frotta comme le put son sexe torturé qui lui laissait encore une douleur sourde et lancinante, dirigeant le jet tiède vers sa fente, l'eau sembla l'apaiser un moment.

Sa toilette durait depuis déjà presque une demie heure lorsqu'elle entendit son mari qui l'appelait. Elle arrêta la douche et saisissant la serviette au passage, elle se drapa comme elle put avant de lui répondre.

Monsieur de Kermarec passa la tête la porte entr'ouverte et demanda " Tu vas bien ma chérie? "

" Oui, oui " Répondit Florence dans la précipitation.

Son mari referma la porte, c'est alors que Florence aperçut le tas de linge dans un coin de la salle de bains avec bien en évidence ses dessous en dentelle et son porte jarretelles bien en évidence. Elle se traita de tous les noms, en priant pour que son mari n'ait rien remarqué.

Elle enfila une robe de chambre, sécha ses cheveux, se donnant un coup de peigne et fit disparaître son linge au fond d'un placard en se jurant de s'en occuper dès demain.

Quand elle rejoignit son mari, il était assis au salon et lisait le journal, un verre de whisky à portée de main. Il leva les yeux et lui sourit en la voyant venir. Florence en fut rassurée, elle retrouva tout son calme en lui embrassant furtivement la joue.

Ils parlèrent l'un et l'autre de leur journée, Florence évitant soigneusement toute allusion et inventant une visite à une lointaine amie que d'ailleurs, Kermarec ne connaissait pas. Tout en parlant elle ressentait encore la douleur sourde à son bas ventre et elle avait du mal à regarder en face l'homme qu'elle avait en vis-à-vis.

" Au fait dit il soudain, tu dois avoir bientôt ta visite du huitième mois, il va falloir que nous prenions rendez vous. "

Florence se raidit malgré elle, la douleur dans son ventre se fit plus lancinante et elle eut du mal à garder son naturel. En face, de Kermarec la regardait machinalement, guettant de l'œil son approbation. Florence réussit et contenir son émotion et à lui donner le change.

" C'est un peu tôt encore dit elle, nous pouvons attendre encore une bonne semaine. "

" Comme tu voudras ma chéri, mais dis le moi assez tôt que je te note dans mon agenda. "

Ils passèrent à table et Florence écourta sa soirée, prétextant une fatigue bien réelle. Elle monta vite dans sa chambre, se prépara pour la nuit et se coucha pour plonger bientôt dans un sommeil agité.

Quand elle ouvrit les yeux le lendemain, elle était seule dans le lit et le soleil perçait à travers la lourde tenture qui masquait la fenêtre. Elle se leva sur le coude en se frottant les yeux, quand elle eut conscience que la douleur était encore présente, tout lui revint en mémoire et elle paniqua, s'imaginant qu'elle allait provoquer un accouchement prématuré.

Elle se leva vivement et se précipita sur son téléphone, nerveusement elle composa le numéro de Pétillon et tomba sur sa secrétaire. Elle connaissait cette femme revêche à la voix acide, désagréable qui faisait barrage entre les patientes et son patron. Florence dut décliner son identité, pour la discrétion c'était râpé, mais la cerbère consentit à lui passer le docteur.

" Ici Florence de Kermarec, puis je vous parler? "

" Chère amie! Quelle surprise! Comment allez vous? "

" Pas très bien et c'est pour ça que je vous téléphone. "

" Que vous arrive t il? "

" J'ai depuis hier des douleurs dans le bas ventre. "

" Ah! En avez-vous parlé à votre mari? "

" Vous plaisantez? "

" Bon, je vois! Pouvez vous venir à mon cabinet? "

" Je me dois à la plus grande discrétion. "

" Ne craignez rien, vous allez venir pendant la pose déjeuner de ma secrétaire, venez vers douze heure trente, il n'y aura personne et je pourrai vous recevoir sans crainte. "

" Je vous téléphonerai avant. "

" Bien entendu, je serai à l'écoute. "

Florence raccrocha, elle était un peu rassurée mais un fond d'angoisse demeurait en elle. Encore une fois elle allait se mettre en danger avec ce véreux de Pétillon, mais avait elle le choix sans se trahir à tout jamais?

En attendant l'heure, elle s'occupa de son linge de la veille, faisant tout disparaître dans la poubelle, éliminant du même coup les preuves de sa trahison. Le temps lui paraissait long dans l'attente de voir ce vieux fourbe de Pétillon. Quand il fut midi et quart, elle décrocha son téléphone et appela Pétillon, il décrocha à la première sonnerie. " Oui, la voie est libre lui dit il, venez. "

Florence se rua sur son sac à main, rafla ses clés de voitures et se précipita. Le cabinet de Pétillon n'était si éloigné de chez elle, en cinq minutes elle y fut et elle frappait déjà à sa porte. L'huis s'ouvrit en silence et elle s'engouffra dans le cabinet médical.

" Alors chère amie de quoi se plaint on aujourd'hui? "

" Je vous en prie! J'ai mal et j'attends de vous autre chose que des sarcasmes! "

" Ah! Mal au con d'avoir été trop baisée, vous n'êtes pas la première, si vous saviez le nombre de femmes qui viennent ici se faire recoudre la fentine, vous seriez étonnée. "

" Arrêtez avec ça! " Dit elle excédée de ce langage relâché qu'il adoptait avec elle.

" Madame est redevenue bourgeoise à ce que je vois. Bon, passons ici que je vois où vous en êtes, et pour commencez déshabillez vous. "

Florence rougit elle repensa à la veille et se revit offerte aux regards et aux mains des deux compères. Les yeux baissés, elle défit sa robe sous le regard goguenard de Pétillon. Elle leva les yeux vers lui et demanda, " Vous n'allez pas abuser de moi n'est ce pas? " Pétillon, tressaillit et pâlit.

" Madame! Vous n'y pensez pas, je suis médecin! "

" Hier vous ne l'étiez pas? "

" C'était un autre contexte qui n'avait rien de médical! Enlevez votre culotte et allongez vous! "

Florence fit glisser sa culotte sur ses cuisses, elle ne dit plus rien et elle s'allongea sur la table. Pétillon, lui ajusta les jambes dans les gouttières et il commença son examen. Elle frémit de sentir se mains sur elle à nouveau, fermant les yeux elle tenta de s'abstraire de la pièce où elle se trouvait.

Pétillon grommelait en l'examinant, ses doigts frôlaient le sexe de Florence, tâtant les lèvres encore irritées de l'orgie de la veille.

" Bon! Dit il enfin, je vais vous examiner l'intérieur, ne craignez rien c'est un spéculum et il faut que j'examine votre utérus.

Florence sentit son sexe écarté, un objet froid était introduit et presque aussitôt, elle sentit ses chairs écartelées. Encore des grognements, elle sentait le souffle court de Pétillon sur sa peau, il était tout proche de son sexe et son souffle caressait son vagin.

" Bon, effectivement, votre utérus est bien irrité et il y a un début d'ouverture. Quand avez-vous votre prochain examen? "

" Dans une semaine environ. "

" Mmm! Il faudrait le faire un peu plus tôt. "

" Je...j'ai demandé à mon mari de le retarder à la semaine prochaine. "

" Non! Il faudrait que vous le voyiez après demain. Je vais vous donner ce qu'il faut pour refermer un peu cette chatte qui baille, mais pour l'utérus, je ne peux rien, il est très possible que vous n'alliez pas au terme de votre grossesse. "

" Oh!! Tout cela à cause de vous! " Florence laissa déborder sa rage.

" Tout doux ma belle! Vous êtes bien venue de votre plein gré chez Reignaux il me semble non? "

" Il n'était pas prévu que vous me sautiez! "

" Vous ne m'avez guère repoussé il me semble! Il est bien tard pour avoir des remords! "

" Vous avez mis ma santé et celle de mon bébé en danger! "

" Jamais de la vie! Et je vous mets au défit d'aller le dire en ville! "

Florence se tut, elle ne se voyait effectivement pas porter sur la place publique ses malheurs intimes.

" Bon, reprit Pétillon, je vais vous faire deux petites piqûres de part et d'autre de votre sexe, cela va engourdir les chairs, ce n'est pas très agréable comme sensation, mais c'est tout ce que j'ai à vous offrir. Dans deux jours vous aurez, si j'ose dire, une physionomie à peu près normale et votre mari ne se posera pas de question quand il vous examinera. Il vous dira la même chose que moi, à savoir que vous risquez d'accoucher prématurément et il vous recommandera le repos "

Puis, tournant le dos à Florence, il prépara une première seringue et se retourna pour faire la première piqûre. Florence appréhendait, elle n'aimait pas les piqûres, mais sentit à peine l'aiguille dans ses chairs tendres. Quand la seringue fut vide, Pétillon prépara la seconde et refit une injection. Florence sentit son bas ventre s'engourdir comme sous l'effet d'une anesthésie, et bientôt elle ne sentit plus du tout son pubis.

" Voila qui est fait, vous pouvez vous rhabiller chère amie. "

Florence ne se le fit pas dire deux fois, elle renfila ses vêtements et paya rapidement le docteur Pétillon avant de disparaître.

Quand elle rentra chez elle, son bas ventre semblait être un morceau de bois inerte. Suivant la recommandation de Pétillon, elle se coucha et demeura allongée tout l'après midi. C'est la que son mari la trouva le soir en rentrant. Il s'inquiéta, elle prétexta une fatigue et lui demanda de devancer son examen du huitième mois. Kermarec s'empressa, vaguement inquiet, et lui donna rendez vous pour le surlendemain. Florence s'en trouva rassurée et elle se détendit.

Le lendemain elle demeura couchée toute la journée, appréhendant son examen à venir et la réaction de son mari. Elle se leva pour examiner son bas ventre et retrouva les chairs resserrées. L'impression d'anesthésie s'atténuait peu à peu mais elle en ressentait encore les effets.

Quand elle se leva le jour de l'examen, elle se sentait tout à fait normale et elle en fut rassurée. Elle fit soigneusement sa toilette et s'habilla pour se rendre à la clinique où son mari exerçait. Tout de suite à son arrivée, les infirmières firent preuve d'une déférence onctueuse que Florence sembla ignorer superbement et son mari la reçu sur le champ.

Florence ne put empêcher un pincement au cœur quand monsieur de Kermarec se pencha sur elle. Il y eut un long silence tandis qu'il examinait son épouse. Elle n'osait poser aucune question, la gorge serrée, elle avait peur que sa voix la trahisse.

Enfin il releva les yeux sur elle, elle vit son air préoccupé et elle osa d'une voix blanche lui demander ce qu'il y avait.

" Le col a commencé à s'ouvrir, dit il, tu vas devoir te reposer sérieusement jusqu'à l'accouchement si tu ne veux pas accoucher prématurément. "

Florence sembla un peu paniquée et son mari le vit. " Tu ne crains rien dit il en souriant, je pense qu'un bon repos va arranger les choses, et puis, si tu tiens encore deux semaines je pense qu'il n'y aura aucun problème. "

Il fit de son mieux pour rassurer cette patiente un peu différente et elle le quitta rassérénée et décidée à arrêter la ses expériences scabreuses malgré l'envie qu'elle sentait revenir avec l'assurance.

Elle se conforma à ce que lui avaient dit Pétillon et son mari, restant allongée la plupart du temps, rêvant à cette aventure qu'elle avait vécue avec ces deux pervers, se caressant lentement et délicieusement sans jamais aller trop loin ni solliciter ses chairs, fermant les yeux et se laissant aller quand l'orgasme l'enlevait telle une vague roulant son corps sur le sable.

Elle tint le temps nécessaire, un jour elle sentit un spasme déchirer son ventre, l'enfant s'agita et une douleur lui traversa le corps. Elle sut que l'heure de l'accouchement arrivait. Elle prit calmement son téléphone et en informa son mari qui aussitôt déclencha le processus médical. Deux infirmiers se présentèrent à son domicile, elle fut transportée vers la clinique, puis le bloc où tout était déjà près pour elle. Les infirmières souriaient, son mari arriva dans sa blouse de travail et une heure plus tard, florence de Kermarec mit au monde un beau petit garçon d'un poids de trois kilos et cinq cents grammes.

Il fut prénommé Jean-Alain et les jeunes parents exprimèrent leur joie ainsi que les deux familles réunies autour du berceau.

Florence se remettait vite mais son mari lui conseilla de rester encore un peu à la clinique sous la surveillance des infirmières. Ainsi il fut fait, et un jour que Florence allaitait son fils, elle eut la surprise de voir entrer dans sa chambre le docteur Pétillon. Il la regarda en souriant " Alors, heureuse de votre progéniture? "

Florence rougit, elle voulut cacher un peu son sein, mais Pétillon arrêta son geste. " Je vous en prie, chère madame de Kermarec, ne jouez pas les prude, pas avec moi! "

Il regardait Florence, un sourire ironique aux lèvres, " On peut être certains d'une chose, il ne mourra pas de faim! Si je me souviens de la quantité de lait que nous vous avons tiré un certains jour chez le docteur Reignaux! "

Florence baissa la tête en rougissant, puis sa colère monta d'un coup et elle le toisa : " Allez vous en! "

Pétillon ricana méchamment " Croyez vous que vous soyez en mesure de m'ordonner quoi que ce soit? Sachez madame qu'au moindre geste inamical de votre part ou même de la part de votre mari, et je serai en mesure de briser votre vie de bourgeoise un peu perverse! Tenez vous le pour dit! "

Il tourna les talons et la porte claqua. Le bruit résonna dans la tête de Florence pendant plusieurs minutes.

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