Mère et Fille Séduites

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Mère et fille séduites par l'énorme sexe du vieux jardinier.
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Rainett
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Bérengère tenait l'énorme sexe noir du vieux jardinier dans sa petite main blanche. La mère était horrifiée en voyant sa fille captivée par le sexe d'un domestique, et un africain en plus. Son poteau était si massif et si long qu'on aurait pu le confondre avec un gourdin ou une matraque. La main de sa fille caressait amoureusement l'immense bâton. Bérengère s'est tournée vers sa mère et lui a expliqué ce qu'elle devait faire pour sauver l'honneur de la famille. La mère a réfléchi un moment, elle a soupesé le pour et le contre puis, dans son coûteux ensemble de créateur, elle s'est agenouillée et a tendu une main hésitante vers la verge que sa fille tenait.

Comment est-ce arrivé? Qu'est-ce qui a tout déclenché? Tout cela a commencé il y a plusieurs années ...

Bérengère courait dans l'immense parc de la propriété familiale, c'était l'été et elle jouait à cache-cache avec Florence et Barbara, ses deux meilleures amies. Elle n'avait pas le droit d'entrer dans la cabane du vieux jardinier noir. C'est son père qui avait engagé ce vieux jardinier noir, il l'admirait beaucoup et disait qu'il avait la «main verte». C'est sa mère qui lui avait interdit l'accès à la cabane du vieux jardinier noir, elle le prétendait insolent et n'aimait ses regards appuyés sur ses formes pleines.

Mais Bérengère le croyait absent, occupé à faire la sieste au creux d'un buisson complice, comme d'habitude. Elle a ouvert la porte avec précaution, en pensant que c'était juste pour un instant, et se faufila à l'intérieur. Elle n'était jamais entrée avant et, après le passage de Florence, elle décida d'explorer les lieux. Elle croyait avoir perçu un bruit, Barbara était-elle cachée ici?

La blondinette ouvrit la porte et vit un spectacle qui la figea sur place. Le vieux jardinier noir était vautré sur une chaise de jardin. L'antique télévision en noir et blanc diffusait un film porno. Mais ce qui captivait son attention et brûlait son esprit, c'était sa main qui montait et descendait sur sa bite. Barbara lui avait montré une fois un journal avec des photos d'hommes nus, le sexe au repos, mais celle-ci n'avait rien de comparable. Elle semblait menaçante. C'était beaucoup plus grand, plus imposant, que ce qu'elle avait pu voir.

Sans cesser de se caresser, il l'a dévisagée, puis lui a crié de partir. Elle s'est enfuie si vite qu'elle s'est cognée le genou dans sa fuite. Elle s'est réfugiée dans sa chambre et n'a plus voulu jouer avec ses amies. Ce soir-là, impossible de trouver le sommeil. Elle revoyait sans cesse la même scène. Finalement, elle s'est masturbée longuement en pensant à cette énorme bite noire, pour se soulager.

Quelques années ont passées. Les bourgeois choisissent les fréquentations pour leurs progénitures comme cela se fait depuis toujours. Cédric avait été choisi pour Bérengère. Beau gosse, brillant et un bon parti. Cédric allait poursuivre ses études dans une école renommée, ce qui signifie qu'ils ne se verraient que le week-end. Après avoir discuté avec ses copines, Florence et Barbara, Bérengère avait décidé d'offrir son pucelage à Cédric.

Ils ont profité de l'absence des parents. Elle est entrée dans la chambre toute excitée, et dix minutes plus tard, elle en est ressortie déçue. Sa mère lui avait servi Cédric sur un plateau, mais son sexe, il était si petit, et c'était si rapide. Il ne connaissait rien des préliminaires. Allongé sur lit, fier de sa performance, il ne réalisait pas l'étendue de la déception de Bérengère. Elle s'enfuit dans la cuisine pour noyer son chagrin dans un grand bol de glace au chocolat.

Un bruit bizarre, provenant du logement des domestiques, l'intriguait. La porte était entrouverte, elle jeta un coup d'œil.

Ses parents avaient engagé une jeune fille au pair venue d'Angleterre pour seconder Conchita, et pour aider Bérengère à travailler son anglais. Mais Bérengère trouvait que la jeune anglaise, Prudence, était vulgaire et faisait trop peuple.

Maintenant, Prudence était étendue sur son lit, vêtue d'une tenue sexy de femme de chambre salope. Ses longues jambes étaient maintenues écartées par le vieux jardinier noir qui bourrait son énorme bite dans la petite chatte de la jeune anglaise. Les cris de Prudence auraient pu alarmer tout le quartier sans le gros cul de Conchita posé sur son visage. D'ailleurs, la langue de Prudence dans la fente de Conchita faisait gémir la grosse bonniche.

Bérengère resta pétrifiée en découvrant ce tableau. Conchita la remarqua mais ne bougea pas de son perchoir sur le visage de Prudence. Le vieux jardinier noir l'a vue, et lui a dit : «viens avec nous ou fiche le camp». Bérengère s'est enfuie rejoindre Cédric dans sa chambre. Cédric lui a accordé un deuxième tour, à peine mieux que le premier, mais toujours pas aussi satisfaisant que ce qu'elle désirait.

L'année suivante, Bérengère était à la maison pour les vacances d'été. Elle envisageait de se fiancer avec Cédric, elle l'aimait, mais le côté charnel manquait. Cédric faisait de son mieux, mais ce n'était clairement pas son point fort. Pour se rendre compte, à l'université, avec de jeunes noirs, elle avait fait quelques frasques nocturnes. C'était mieux qu'avec Cédric, bien mieux même, mais dans son souvenir, la bite du vieux jardinier noir était beaucoup plus ... énorme!

Elle se demandait si son souvenir n'était pas pollué par sa vision de gamine, magnifiant un sexe qui n'était pas aussi considérable dans la réalité que dans son souvenir. Elle savait comment résoudre son problème. Elle devait affronter le vieux jardinier noir, pour chasser cette image qui hantait son esprit.

Elle rassembla toute son audace pour aller jusqu'à la cabane du vieux jardinier noir. Il avait une chambre comme les autres domestiques du domaine, mais à la belle saison, il préférait dormir ici.

"Que venez-vous fouiner ici, petite curieuse?" dit-il, en surgissant près d'elle.

Bérengère sursauta violemment et failli s'enfuir. Essayant de se calmer, balbutiante, elle demanda : "Euh, je suis venu ici pour..." Maintenant, Bérengère réalisait à quel point c'était stupide de venir ici, qu'allait-elle lui demander?

"Vous êtes venue ici au milieu de la nuit, pour m'espionner?" Il s'est rapproché d'un pas, menaçant.

Elle se mordit la lèvre, souffla un bon coup, et continua :

"Quand j'étais petite, je suis venu ici par accident et je t'ai vu ... euh ... te faire plaisir. Dans mon souvenir, j'étais impressionnable, et je pense que ton ... truc n'est pas aussi grand que ça. Cela a pollué ma vision de ce que sont les ... organes génitaux d'un homme."

Il y a eu l'un des silences les plus gênants que Bérengère n'ait jamais connu, elle s'est demandée s'il comprenait ce qu'on lui disait. Puis, le vieux jardinier noir a gloussé, un petit rire narquois :

"Votre souvenir est bon, c'est aussi grand que vous le croyez."

Il a ouvert sa braguette et sortit son engin, tandis qu'elle lui criait d'arrêter. Pendu là, même au repos, il était énorme et bien plus épais que celui de Cédric, avec ses veines saillantes et son gland grenat comme une prune. Malgré elle, elle le regardait, fascinée, sans pouvoir réagir. Finalement, elle a repris ses esprits :

"Veuillez ranger ça, espèce de malotru, grossier personnage!"

"Ranger ça? Je ne suis pas ton enfant, petite chérie. Tu es venue ici pour voir ma bite. Parce que tu en rêves depuis des années, le soir, en te tripotant dans ton lit. Vas-y, profite, mets-y la main!" Il s'est approché tout contre elle.

Bérengère pensa fuir, se retourner et courir, mais il était trop proche et elle ne voulait pas lui tourner le dos. Il se colla tout contre elle, et d'une voix basse et profonde, il lui commanda de le caresser. Elle fit celle qui n'avait pas compris.

"Attrape ma bite! Tu en rêves depuis des années, alors maintenant, caresse-moi, petit lapin blanc!"

La blondinette à la peau claire, avec ses seins pointus, sa taille fine et son cul cambré, il en rêvait depuis longtemps, le vieux satyre. Il voulait la posséder cette nuit-même, la marquer et lui faire connaître le grand frisson.

Indécise et volage, ne sachant pas quelle attitude prendre, sa main effleura la queue qui eut un soubresaut. C'était comme si elle lui avait sauté dans la main. Il n'a pas eu à répéter son ordre. Elle enroula sa petite main blanche autour de son manche, c'était si chaud, si doux et si gros. Il a attrapé le poignet de la fille et il a fait coulisser la blanche main.

"Ouais! Vas-y! Branle-moi, petite chatte!"

Elle écarquillait les yeux en le voyant grandir et grossir dans sa main. Elle ne se souvenait pas d'avoir ressenti une telle émotion. Bientôt, il lui fallait les deux mains.

Soudain, il se pencha et tira sa robe par-dessus sa tête. "Qu'est-ce que tu fais? T'es cinglé! Stop!" cria-t-elle mais sa robe était déjà en boule dans un coin de la cabane.

"Laisse-moi t'expliquer le topo, je vais te baiser comme si tu étais une pute du ghetto, une de ces filles qu'on baise debout contre le mur, contre une dose de shit! Je vais te donner ce dont tu as vraiment besoin."

Il l'enlaça et l'embrassa intensément tout en malaxant ses fesses. Elle sentait sa chatte s'éveiller et s'humidifier. Il la forçait, et elle réalisa que c'était ce qu'elle désirait. Lorsqu'il ôta sa chemise, elle put voir sa musculature.

Il a dégrafé son soutien-gorge pour sucer ses seins jusqu'à ce que ses mamelons soient douloureux. Sa main massait sa chatte par-dessus sa culotte, puis il a glissé sa main à l'intérieur et l'a doigté de plus en plus vite jusqu'à ce qu'elle vienne. Elle percevait le son humide, le clapotis que les doigts noirs faisait à l'intérieur d'elle.

Elle avait honte de sa faiblesse, elle voulait tout arrêter, mais ne pouvait pas se résoudre. Elle haletait, prise debout comme une fille perdue, alors qu'il murmurait des cochonneries à son oreille.

Ses jambes mollissaient sous elle, il l'a prise dans ses bras, l'a portée sur sa couche et l'a laissée tomber dessus. Il lui a retiré sa culotte et l'a jetée dans un coin de la cabane. Il a fouillé dans un vieux carton à chaussure, et il en a sorti une poignée de préservatifs dans leurs emballages brillants.

"Ouais, je pense que j'aurai besoin de tout ça."

Il en a enroulé un sur sa bite, et il s'est dirigé vers elle, sa bite dressée se balançant, menaçante, au rythme de son pas.

Il lui écarta largement les jambes et s'installa en position. Elle sentait la pression de la bite, contre sa chatte si humide, qu'elle commençait à s'introduire. Il arrêta la pénétration un instant, et il lu dans son regard toute sa déception et son désarroi. Son regard lui a dit tout ce qu'il avait besoin de savoir. Il poussa lentement mais fermement, lui coupant le souffle, puis la faisant haleter, en ressentant chaque centimètre d'élargissement de son conduit, jusqu'au moment où il a touché le fond.

Il la baisa lentement au début, en lui suçant les nichons, et en lui disant qu'elle appartenait maintenant à un noir, et qu'elle ne pourrait plus jamais se contenter de son petit blanc. Elle aurait voulu argumenter, mais elle était trop occupée à gémir pour parler, cette bite la remplissait extraordinairement, en sollicitant toutes ses terminaisons nerveuses.

La sentant réceptive, oscillant son bassin au rythme de l'homme qui la baisait, il a accéléré progressivement. La baise a duré bien plus longtemps qu'avec Cédric, et elle a crié de plaisir plusieurs fois. Puis, quand elle semblait épuisée et pantelante, il se retira d'elle, et il prit un coussin. Pendant un instant, elle eut la peur irrationnelle qu'il voulait l'étouffer, mais il l'a juste calé sous sa nuque.

Il enjamba la cage thoracique de Bérengère, l'emprisonnant entre ses cuisses puissantes. Sa bite chaude et humide, débarrassée du condom, reposait sur sa poitrine entre ses seins.

"Doigte ta chatte." Il a commandé. Il se retourna pour regarder. "Pas comme ça, mets tes doigts là-dedans, et baise-toi. Plus fort. Voilà!" Il a dit, satisfait.

Il a coincé sa bite entre ses seins pour une branlette espagnole. Sa bite heurtait son menton.

"Ouvre ta bouche! Suce! Allez!" Elle réalisait que l'oreiller sous sa tête la positionnait idéalement pour le sucer.

"Hé que fais tu?" cria-t-elle alors qu'il se relevait pour enfiler sa bite sans protection en elle.

Il reprit sa position, à califourchon sur sa poitrine, sa bite maintenant imprégnée de ses jus de chatte. Il lui ordonné d'ouvrir sa bouche. Elle a gardé sa bouche close. Elle n'accepterait jamais cela, de personne. Il a tendu sa main en arrière pour doigter sa chatte. Deux doigts durs et calleux, puis un troisième, masturbant durement sa petite chatte jusqu'à ce qu'elle ouvre enfin la bouche. Il a enfourné sa bite dans la bouche grande ouverte de la fille.

Il lui baisait la bouche durement, profondément, en pinçant et tordant ses mamelons, pour la punir de ne pas avoir obéi instantanément à ses ordres. Il lui criait qu'elle lui appartenait, maintenant, et qu'elle devait se soumettre, que ça lui plaise ou non. Elle s'étouffa sur son premier jet de sperme, droit dans sa gorge, alors il se retira pour inonder son visage.

Elle s'est essuyée avec un vieux chiffon crasseux qui sentait la sueur, et elle vit qu'il s'était allongé sur le dos, sur sa couche. Sans prendre la peine de lui remettre un préservatif, elle l'enjamba et, tenant fermement son manche, elle s'empala dessus. Cette baise torride a continué une partie de la nuit.

Après, elle est retournée dans sa chambre, exténuée, courbatue, endolorie mais ravie, la chatte boursouflée et baveuse.

Trop fatiguée, elle s'est couchée sans prendre sa douche, et s'est endormie d'un sommeil sans rêve.

Lorsque Cédric et Bérengère se sont de nouveau aimés, elle a fait de son mieux, surprenant Cédric par son énergie, mais dans son cœur, quelle frustration! Elle savait qu'elle ne pourrait plus jamais se satisfaire de ce partenaire.

À table, sa mère a dit à son père que Bérengère et Cédric s'entendaient si bien qu'un mariage pourrait être envisagé bientôt. Bérengère frissonna à l'idée d'épouser ce type ennuyeux. La privation d'extase allait la rendre folle.

Elle est allée solliciter le vieux jardinier noir, la chatte mouillée et désireuse. Il l'a rembarrée, prétendant avoir trop de travail, et pas de temps à consacrer à une gamine capricieuse. Elle est retournée le supplier à plusieurs reprises, s'est conduite de façon honteuse pour une jeune fille de bonne famille. Elle est partie blessée et frustrée, s'acheter un gode en caoutchouc noir et du lubrifiant, qu'elle a utilisé jusqu'à ce que sa chatte soit irritée.

Elle a déchargé une partie de sa frustration sur Cédric, au grand désarroi de sa mère.

"Cédric est un très bon parti. Tu devrais être heureuse d'avoir quelqu'un comme lui."

"Si tu l'aimes tellement, épouse-le!" Elle a craché sa rage et s'est enfuie en pleurant.

Sa mère a trouvé son comportement bizarre et s'est promis d'enquêter.

Quelques semaines plus tard, les parents étant invités à une soirée, et Cédric absent, Bérengère est montée dans sa chambre, le soir, pour bouquiner. Elle a trouvé un paquet sur son lit. À l'intérieur, une tenue sexy de femme de chambre, déguisement pour jeux d'adultes. Dans la boîte, une note indiquait «la chambre de Prudence à 8 heures»

Bérengère prit une douche et s'équipa. Il n'y avait pas de culotte avec la tenue, elle choisit un string noir. Elle s'étudia dans son miroir et, satisfaite de son image, se dirigea vers la chambre de Prudence. Atteignant la porte de la chambre de Prudence, elle frappa. Prudence vint lui ouvrir la porte et s'effaça pour la laisser entrer.

Conchita sourit en voyant cette pimbêche de Bérengère dans une tenue identique à la leur. Le vieux jardinier noir était étendu nu sur le lit, et caressait sa grosse bite. Elle ressentit une faiblesse aux genoux en se demandant, dans un mélange d'excitation et d'appréhension, ce qu'il avait prévu pour elle.

"Approche, chérie, tu dois d'abord te donner en spectacle devant ton maître."

Prudence embrassa Bérengère à pleine bouche, plus fort et plus profondément qu'aucune femme ne l'avait jamais embrassée. Elle avait déjà embrassé des filles pour exciter les gars, mais c'était tout autre chose. Ensuite Conchita l'embrassa, un baiser profond et langoureux, tandis que Prudence dénudait ses seins en pinçant et tirant sur les tétons de Bérengère pour les faire saillir.

Prudence a glissé sa main pour doigter la chatte de Bérengère, et s'étonna d'y trouver un string.

"Petite sotte, jamais de sous-vêtement quand tu te présentes devant ton maître. Tu dois être disponible, accessible."

Le trio de filles tournait sur place, se doigtant et se baisotant mutuellement. Prudence reprit l'initiative en s'agenouillant entre les jambes légèrement écartées de Bérengère pour embrasser sa chatte. Un frisson traversa Bérengère, le vieux jardinier noir ne regardait qu'elle. Prudence léchait, suçait et doigtait la chatte de Bérengère qui respirait plus fort.

Conchita s'est assise au bord du lit, juste à côté du vieux jardinier noir, et a invité Bérengère à lécher sa chatte. Bérengère, s'accroupissant entre ses jambes écartées, pouvait sentir le goût fort de sa vieille chatte, elle hésita jusqu'à ce que Prudence, allongée sous elle, recommence à manger sa chatte. Poussée par une pulsion, elle a posé sa bouche sur la vieille chatte ruisselante. Maintenant, c'est Conchita qui jouait avec les seins de Bérengère, les tirant, les pinçant et les tordant pour les faire saillir.

"Maintenant, venez ici, mes beautés". Le vieux jardinier noir tapotait le matelas, à côté de lui.

Conchita s'installa tête-bêche sur le vieux jardinier noir, la chatte sur son visage, Bérengère et Prudence à ses côtés, de part et d'autre, chacune léchait sa grande canne, et quand leurs langues se rencontraient, elles riaient.

Bérengère savait qu'elle allait être prise à cru, sans le caoutchouc. Elle savait qu'elle lui appartenait et qu'elle ne pouvait rien lui refuser. Elle tremblait d'anxiété et d'émotion et se demandant ce qu'il lui avait préparé.

Bérengère chevaucha la bite du vieux jardinier noir en s'émerveillant de cette agréable sensation à l'intérieur d'elle à cru.

Conchita vint s'asseoir à son côté. Conchita et Prudence sortirent leurs seins gauches. Chacune avait le téton du sein gauche percé et équipé d'un anneau métallique avec une rose stylisée.

"C'est la marque du club. Maintenant, tu deviens son esclave, tu dois recevoir ton symbole de soumission." lui dit Prudence pendant que Conchita sortait un sac en plastique de dessous le lit.

Le vieux jardinier noir a maintenu son sein gauche fermement en pinçant son mamelon très fort. Conchita frotta le sein avec un onguent qui l'insensibilisait. C'est Prudence qui planta l'aiguille dans le téton.

Bérengère avait tellement la trouille que sa chatte se crispait et pressait la grande bite plus fort. L'aiguille a percé le téton, et Prudence a fait suivre l'anneau qu'elle a verrouillé en place. Conchita pulvérisa un désinfectant. Une larme perla dans l'œil de Bérengère.

"Maintenant, passons à la dernière étape. Vite, les filles, j'ai hâte!" s'exclama le vieux jardinier noir.

Bérengère fut ôtée de la bite dressée, et s'assit au bord du lit. Conchita lubrifiait la grande bite, Bérengère savait ce qui se préparait, elle avait peur mais n'a pas protesté. Bérengère fut agenouillée au pied du lit, le torse posé sur le lit, et on lui commanda d'écarter ses fesses à deux mains. Elle obtempéra et sentit la grosse bite bien huilée se présenter contre son trou du cul et pousser doucement.

Bérengère aurait voulu dire que c'était trop gros, que ça n'entrerait jamais, mais elle voulait réussir l'épreuve.

Prudence et Conchita les encourageaient, le vieux jardinier noir augmentait la pression, le muscle anal céda d'un coup, et l'énorme gland suivi d'une partie du membre disparut en elle. La douleur failli faire tourner de l'œil à Bérengère.

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