Une Jeunesse Bourgeoise

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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" Bon, voyons un peu votre état à vous qui n'êtes plus vierge, nouveau rire gras, mm! Ouvrez moi cette chatte bon dieu! Qu'on y voit un peu si vous pouvez supporter le godemiché électrique du bon docteur Reignaux ici présent. "

Il écarta brutalement les lèvres de Florence, réclamant un spéculum à son confrère qui le lui tendit.

" Allons laissez vous faire, ne geignez pas comme ça! Mm! Laissez moi écarter les mâchoires de ce truc, mm! Je vois, mm! Elle mouille notre amie! Mm! Ah! Je vois l'utérus, mm! Bon, fermé encore mm! Jolie perspective, félicitation madame de Kermarec votre con est en parfaite santé mm! On y mangerait tant est clean votre vagin ma chère, d'ailleurs je vais y goûter un peu quand j'aurais ôté ce spéculum qui prend toute la place. Voila, mm! Une cyprine de tout premier ordre mm! "

Il léchait l'intimité de Florence de sa langue râpeuse qui se faufilait entre les lèvres du sexe offert.

Interdite et tendue, Florence n'osait pas bouger, elle avait fermé les yeux, s'abstrayant de cette pièce où elle était livrée aux turpitudes du vieux toubib.

Il fouissait son nez toujours plus loin dans son intimité tirant à la pseudo patiente de gémissements de plus en plus audibles. Florence rouvrit les yeux pour découvrir que Reignaux était tout près et qu'il se frottait furieusement l'entre jambes. Elle le regarda faire, il avait au coin des lèvres ce sourire constant qu'elle lui connaissait. Sans un mot il lui prit sa main et la guida vers sa braguette qu'il avait ouvert, il lui força un peu la main vers son sexe. Florence sentait son poignet fermement tenu et ses doigts effleurèrent un membre dressé de bonne taille. Reignaux lui fit comprendre ce qu'il voulait et elle referma ses doigts sur la chair tendre et palpitante de son sexe et pendant qu'elle se mettait à masturber le médecin, entre ses cuisses, Pétillon léchait consciencieusement sa fente humide.

" Mm! La belle chatte, s'exclama t il enfin après qu'il arracha à florence des gémissements qui n'étaient plus des plaintes. Ma fois, madame de Kermarec a la plus belle chatte que j'ai vue depuis longtemps! Félicitation ma chère et compliment à un mari bien heureux, quoique je doute que ce pisse froid de Kermarec apprécie réellement le trésor qu'il a chez lui, je me trompe? "

Florence perdue entre son excitation montante et la masturbation qu'elle prodiguait toujours ne répondit pas.

" Mm! Reignaux, je vois que vous vous assurez que notre amie s'occupe sainement! Branle t elle correctement? "

" C'est un délice que de sentir ses doigts s'activer! "

" Je me ferais bien faire la même chose voyez vous " Dit il en s'approchant et en défaisant son pantalon. Il sortit lui-même son sexe et le présenta à Florence qui en eut un sursaut de sentir la chair tendue et dure. Jamais elle n'aurait pensé qu'un homme de son age, il avait largement passé la soixantaine, puisse posséder un tel engin car en plus d'être ferme, le sexe de Pétillon avait une taille fort peu commune.

" Le sexe de Pétillon! " Dans un sursaut de lucidité elle se rendit compte de ce qu'elle venait de dire, jamais plus elle ne serait tranquille dans sa vie, la langue de vipère de Pétillon était trop connue, sa réputation trop établie, et c'est son sexe qu'elle tenait en main et qu'elle branlait si suavement. Les deux hommes soupiraient sous l'action simultanée de Florence branlant leur membre.

" Reignaux il serait temps que vous appareillez la chère madame de Kermarec s'il vous plait, si vous ne le faites pas ses seins vont éclater sous la pression du lait, et puis j'imagine aussi que sa chatte réclame son du. "

Reignaux s'écarta de Florence et se pencha sous la table pour en tirer la petite trayeuse électrique qu'il brancha. Le petit compresseur se fit entendre et Reignaux se redressa. Ecartant les deux bonnets du soutien gorge, il dénuda les seins de Florence et les pressa doucement, une goutte de lait apparut au bout du téton, le docteur appliqua la ventouse du tire lait et il fit de même avec l'autre sein. Florence gémit de sentir ses seins ainsi sollicités par la machine, elle ressentait de petits picotements à ses tétons qui la faisaient se tortiller sur la table. Reignaux pressa les deux nichons et la ventouse transparente s'obscurcit aussitôt d'un flot blanchâtre qui fut aspiré dans le tuyau de plastique.

" Mm! Notre amie a les capacités d'une laitière de concours! " S'exclama Pétillon qui voulut lui aussi presser ces deux globes jumeaux, faisant jaillir de nouvelles coulées de lait. Le jeu sembla lui plaire et il massait à pleines mains les deux nichons tendus et dilatés par la maternité.

Reignaux le suivait des yeux, goguenard, fasciné lui aussi par les seins de Florence qui étaient de vraies sources. Pétillon s'attardait, tantôt il caressait, tantôt il pressait en un savant mélange qui tirait encore plus de gémissements de la femme entièrement offerte à leurs turpitudes.

Florence gémissait et se tordait sous les caresses plus ou moins appuyées qui attisaient son désir. Les deux compères savaient y faire, lui prodiguant des caresses subtiles qui faisaient monter encore plus haut les désirs de la femme. De temps en temps ils se lançaient des œillades entendues quand les gémissements de Florence se faisaient plus forts l'un caressait ses seins tandis que l'autre lui agaçait l'entre cuisses.

Elle se tordait sur la table, offrait ses cuisses ouvertes aux mains qui la fouillaient, tandis que le lait de ses seins était pompé par la machine avec l'aide de doigts habiles pressant ses globes.

Le jeu se prolongea si longtemps et si ardemment que Florence finit par jouir sous les doigts empressés et habiles des deux médecins. Ses cris se propagèrent dans la pièce quand l'orgasme la submergeât de volupté frelatée. Pétillon ricana bruyamment en la sentant de tendre comme un arc sous ses doigts décharnés tandis que Reignaux lui investissait la fente de deux doigts agiles. Dans sa jouissance, elle branla plus fort le sexe de Pétillon qui sut se retenir malgré la frénésie que Florence mettait à le masturber. Tel une jument qui s'emballe, il la maîtrisa, freinant son poignet quand celle-ci l'agitait trop vite ou trop brutalement.

" Allons ma chère, calmez vous un peu, je vous vois bien hystérique sur cette table, la bite vous manque donc à ce point? Votre mari, le cher docteur de Kermarec ne vous satisferait il pas? Il est vrai qu'il n'a jamais été très porté sur le sexe. " Il eut un rire prolongé.

" Pour un gynécologue c'est bien dommage! " Et son rire se répercuta entre les murs du cabinet de Reignaux. " Et dommage aussi de négliger une si jolie et jeune épouse, ne trouvez vous pas Reignaux? "

Celui-ci acquiesça tout en riant de bon cœur.

" Tenez, vous allez montrer à notre amie que tous les hommes ne sont pas comme son mari, c'est-à-dire dévorés d'ambitions et carriéristes, qu'il y en a qui sont aussi attentionnés avec les dames, allons, il est temps d'honorer madame de Kermarec. "

Florence vit Reignaux quitter son pantalon et son slip pour venir au bout de la table entre ses cuisses si écartées. Son ventre empêchait Florence de voir ce qu'il faisait, mais elle pouvait le deviner. Elle frissonna de sentir le gland contre sa fente, Reignaux la regarda dans les yeux puis il y eut une poussée et elle sentit nettement ses chairs s'ouvrir, le sourire de Reignaux traduisait la satisfaction et le triomphe. Son sexe pénétrait Florence, elle perçut ses muscles vaginaux se tendre au passage de son membre qui vint se ficher au fond de son vagin. Il demeura planté en elle un moment, soupirant d'aise et triomphant.

" Alors Reignaux l'interpella Pétillon, notre amie est elle assez large pour vous? Lui mettez vous bien au fond du vagin votre gland? Est elle chaude et lubrifiée? "

" Elle est chaude en effet répondit Reignaux, quand à sa cyprine je puis vous assurer qu'elle en a à revendre, elle est trempée! "

" Tant mieux, tant mieux répondit Pétillon qui massait toujours les seins de Florence, si elle a autant de cyprine qu'elle ne sécrète de lait, je vous promets de nager dans le bonheur mon cher Reignaux! "

Florence avait fermé les yeux et se mordait les lèvres pour ne pas crier, cependant les soubresauts de son corps ne leur laissaient pas de doute quand au plaisir qui montait en elle. Elle laissa percer un gémissement prolongé qui fit sourire les deux hommes. Sur un clin d'œil de Pétillon, Reignaux fit aller et venir son bassin, lentement d'abord, son sexe reparut pour replonger dans le ventre de Florence, puis il recommença à pistonner, lentement d'abord, puis il accéléra l'allure quand Florence poussa de longs gémissements. Il allait et venait en elle de façon régulière son sexe sortant et disparaissant dans la touffe brune de ses poils pubiens. Pétillon suivait, fasciné le sexe de son collègue qui écartait les lèvres luisantes de Florence et plongeait dans le vagin trempé. Son regard se figea peu à peu, l'orgasme montait du fond de ses couilles et il sentait le sperme prêt à jaillir. Il grogna quand il sentit le liquide s'insinuer dans le canal et monter le long de la verge pour jaillir en saccades chaudes et répétées dans le vagin gorgé de mouille. Le sperme se mêla à la cyprine en un ruisseau luisant qui inonda la fente brune, les poils pubiens et toute l'entre cuisses noyées de leurs liquides. Reignaux eut encore de violents coups de reins pour bien saillir celle qui gisait sur sa table d'examen et dans un dernier profond soupir il se retira d'elle, la verge encore raide et palpitante.

Aussitôt, Pétillon se précipita à sa place et présenta son gland à l'entrée du sexe de Florence. Celle-ci tressaillit en sentant son sexe à nouveau sollicité, mais la jouissance était trop forte, elle eut un vague gémissement de protestation quand Pétillon d'un coup de reins envoya son gland à l'asseau de la fente noyée de foutre. Elle se raidit, ses muscles protestaient, Pétillon était réellement très membré, elle ne sut jamais si ses protestations étaient à l'encontre de Pétillon ou de son sexe énorme qui lui écartelait les chairs. Il la guettait un sourire au coin des lèvres, attentif à ses réactions, il savait l'effet de sa bite sur les dames, certaines n'avaient pas pu le recevoir, d'autres en étaient folles, mais toutes devaient passer par cet apprentissage. Florence gémissait de plus belle, elle se mordait les lèvres, sa tête allait d'un bord à l'autre, sa gorge laissait passer des sons rauques de femelle en rut, ses reins se creusaient à la recherche d'une position plus confortable, et toujours ce sexe surdimensionné lui ouvrait le vagin comme jamais il ne fut jamais. Le souvenir même du spéculum n'était pas en mesure de lui rappeler une aussi forte sollicitation de ses muscles vaginaux. Elle était tendue à l'extrême.

Et pendant qu'elle se tordait sur la table d'examen, le sexe de Pétillon progressait dans son vagin, étirant ses muscles, se frayant un chemin vers son utérus baigné de foutre, sous l'œil curieux et circonspect de Reignaux qui craignait pour florence. Elle geignait et se tortillait tel un vers de terre sur la molesquine trempée sous elle. Pétillon savait bien ce qu'il faisait, son sexe surdimensionné, il le connaissait et il savait jusqu'où ne pas aller trop loin. Cette fois, il savait que Florence pourrait en accepter une partie mais elle n'était pas assez profonde pour le prendre entièrement. Il sentit nettement qu'il arrivait au fond de son ventre, son gland buttait sur l'utérus gonflé de la jeune femme qui accusa le coup en sentant la bite cogner au fond de son vagin. Elle gémit plus fort et Pétillon constata que seul la moitié de son membre était en elle. Rarement dans sa vie il avait pu pénétrer une femme à fond, seules de vieille prostituées avaient pu recevoir sa bite en entier, et Pétillon cherchait ces femmes qui avait ces capacités la. Elles étaient rares, inutile de chercher chez de jeunes pucelles, voir même de jeunes mariées telles florence, non il lui fallait chercher dans ces catégories des femmes qui ont vu défiler des sexes et des sexes toute leur vie au point de leur déformer tout leur appareil génital.

Finalement, cet homme là avait peu l'occasion de prendre réellement du plaisir, sans même parler de sa femme qui rapidement se trouva ouverte et déformée, même après trois maternités successives et rapprochées, son vagin aux lèvres pendantes n'avait pas la profondeur nécessaire et Pétillon cherchait toujours le sexe qui l'accueillerait sans douleur et dans son entier.

Florence retenait son souffle pour conjurer la douleur qui la tenaillait, ses muscles étaient si tendus, son utérus sensibles pressé par un gland palpitant, elle serrait les dents tandis que les deux hommes l'observaient. Pétillon aussi retenait son souffle, Reignaux, la bouche ouverte regardait le membre de son confrère écarteler la fente de Florence qui grimaçait de douleur.

Elle émit un long gémissement où se mêlait douleur, excitation, et même désespoir d'être ainsi offerte à celui qu'elle exécrait tant.

Pétillon eut un rictus mauvais, très lentement il se retira un peu et d'un petit coup de rein il se propulsa à nouveau tout au fond de Florence qui cria de douleur. Elle le supplia d'arrêter mais elle ne récolta qu'un ricanement. Des larmes coulèrent sur se joues tandis que Pétillon recommençait son manège. Cette fois il sortit presque entièrement d'elle et il replongea aussitôt cognant durement l'utérus de la jeune future maman. Florence se raidit de tout son être, serrant plus fort les dents, cambrant ses reins essayant d'échapper à ce sexe qui lui vrillait les chairs, mais de sa position elle ne pouvait guère que subir ce piston qui lui forait le vagin de ses vas et viens régulier.

Pétillon lui imposait sa bite, énorme et noueuse, il la regardait froidement, faisant aller et venir son pieu fiché en son ventre. Il y avait de la haine dans ses coups de reins qui lui arrachaient des plaintes à chaque fois que le gland tapait l'utérus.

" Tiens, pensait il, prends ça, et encore ça plus profond plus profond! Mmm! Tiens salope, pour t'apprendre, pour lui apprendre à ce con, à ce salaud qui a si bien su m'écarter de son chemin comme un moins que rien! Aujourd'hui c'est sa femme que je baise! Et je vais lui défoncer le fondement à cette pute au point que jamais plus elle ne sentira sa minuscule petite queue lui rentrer dans la chatte. "

Et dans sa vengeance, Pétillon trouvait la force nécessaire à lui pilonner le sexe. Florence avait mal maintenant, Reignaux voulut arrêter Pétillon, mais celui -ci ne voulut rien entendre, il continuait, posément à bourrer Florence de ses coups de reins tandis qu'il ne la quittait pas des yeux, un rictus de haine sur sa face. Ses reins propulsaient son dard en elle et à chaque gémissement de sa suppliciée, il savait qu'il écrasait son utérus et cette vision mentale du fond du vagin martyrisé par son gland lui procurait une profonde jouissance. Reignaux était pale comme un linge, il lui prit le bras " Je vous en prie, soyez raisonnable vous allez lui faire mal! " Mais rien n'y faisait, Pétillon allait de plus en plus vite en elle, il était proche de la jouissance, Florence hurlait sous lui et ses cris faisaient monter le sperme de son tourmenteur.

Dans un ultime cri suraigu de sa victime, Pétillon éjacula, un flot de liquide blanchâtre tout à coups inonda le ventre de Florence. Ce fut une autre révélation, elle n'eut jamais imaginé qu'un homme de cet age put produire une telle quantité de sperme. Les saccades de Pétillon étaient innombrables et brûlantes, elle sentait nettement les jets liquoreux qui se brisaient sur son utérus qui n'en pouvait plus de subir. Il mit plus d'une minute à tout expulser en elle et le trop plein s'échappait en flots désordonnés, coulant sur ses cuisses et sur la table. Reignaux en était fasciné, bouche bé il regardait la semence de Pétillon couler comme une rivière blanche et drue.

Quand il s'immobilisa, il resta en elle, les dents serrées, savourant les derniers instants de ce viol et l'expression de sa victime, douloureux et résignés. Ce ne fut qu'à regret qu'il retira lentement son membre encore rigide, laissant Florence hébétée, vaincue et épuisée.

Quand il s'éloigna d'elle, Reignaux se précipita pour voir le sexe de la femme, il fut horrifié de voir à quel point les lèvres s'étiraient et que le vagin demeurait béant. On aurait dit qu'elle avait subi l'asseau d'une troupe soldatesque en rut. Le trou béant de son sexe laissait sourdre une bouillie de sperme mêlée à sa cyprine, un torrent blanchâtre qui inondait peu à peu la molesquine de la table. Sans rien dire, Reignaud se saisit de kleenex et essuya ce flot de foutre, plus il en épongeait et plus le liquide visqueux coulait, une boite ne suffit pas à tarir la source impétueuse. Il se demanda comment Florence avait pu absorber autant de sperme et surtout, comment Pétillon pouvait avoir autant de semence à donner.

Quand le flot se tarit, il n'eut plus de doute, à la prochaine visite, et peut-être même avant, son mari se rendrait compte de l'état du vagin de Florence, il lui poserait des questions, il saurait!

Il fut pris de panique, se sentant pâlir il leva son regard inquiet vers Pétillon qui le regardait faire. Ils croisèrent leurs regards et Pétillon devina ses craintes.

" N'ayez pas peur, la gazelle est solide, elle survivra. Quand à son mari, il n'y verra rien n'est ce pas ma bonne amie? Nous allons le dissuader de trop de curiosité. D'abord vous allez attendre quelques jours avant de lui montrer votre chatte, et puis vous passerez à mon cabinet, discrètement, et je vous donnerai de quoi le leurrer, vous pourrez passer pour une femme tout à fait honnête. Vous avez mes coordonnées chez vous je pense, n'hésitez pas à me contacter avant toute visite médicale à venir. "

La dessus il les salua et il s'éclipsa.

Reignaux et Florence restèrent interdit et silencieux après son départ. Ce fut Reignaux qui brisa le silence.

" Je...je suis désolé dit il, si j'avais su, je n'aurais pas permis cela. "

" Ce..ce n'est rien articula t elle doucement, je m'en tirerai et vous n'en aurez pas çà pâtir. "

" C'est pour vous que je m'en fais dit il. "

" Laissez moi me reposer un peu et ça ira. "

Reignaux eut pitié d'elle, il lui fit sa toilette intime, nettoyant les restes de sperme sur ses cuisses et sous elle. Elle se laissa faire par ses mains douces, reprenant des forces, toujours allongée sur la table.

Quand il jugea qu'il ne pouvait rien faire de mieux pour elle, il replaça le slip de Florence sur la fente encore béante, le frêle tissu ne cachait plus rien des chairs distendues et cette vision du sexe dévasté lui parut obscène.

Il l'aida à se relever, à renfiler sa robe, à retrouver un semblant de dignité. Florence titubait encore, elle avait du mal à marcher normalement, son entre cuisses la lançait et la brûlait

Il lui donna un calmant avant de partir et Florence sentit peu à peu ses douleurs s'estomper sans disparaître tout à fait. Elle reprenait pieds petit à petit comme un boxeur après un KO. Lentement son esprit revenait, elle prit conscience de ce qui était arrivé et en conçu un énorme cafard, elle fondit en larmes intarissables, secouée de gros spasmes nerveux les larmes roulaient sur ses joues. Reignaux eut le plus grand mal à la consoler, il se sentait coupable de tout, il entretenait avec Pétillon des liaisons dangereuses et il pensait bien que cette fois ils avaient franchi les limites de l'admissible. Passe encore que l'on puisse s'amuser de quelques femmes hystériques, mais une femme enceinte, qui plus est celle d'un confrère, cela frisait la catastrophe et Reignaux sentait bien qu'ils n'étaient pas passés loin.

Enfin elle se calma, le médecin voulut l'accompagner jusqu'à sa voiture, inquiet de son état mais elle lui jura que tout irait bien. Ainsi il fut fait et Florence repris le chemin de la ville.

S'il existe une divinité, elle se manifesta ce soir là et Florence atteint sa maison sans plus de difficulté.

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