Un Réveillion Inoubliable ( Suite )

Elle suffoque.

Je ne bouge pas, je la laisse reprendre son souffle, elle me fixe. Ses yeux sont exorbités. Elle passe sa langue sur sa lèvre inférieure, elle reprend souffle peu à peu. Elle exquise un léger sourire, visiblement, elle accepte son fiste. Je bouge doucement les doigts, lentement je dégage mon poignet, le dessus de ma main apparaît lentement, puis mes doigts.

Je marque un temps d'arrêt, puis lentement, sans quitter son regard, je remets ma main en place dans sa chatte, elle glisse doucement et disparait à nouveau jusqu'au poignet, je pousse un peu plus loin, mais là, elle a vraiment mal, je bute sur l'utérus, je n'insiste pas.

A cet instant, une main se pose sur mon épaule.

_ Houa,! tu fiste ma petite sœur Mec! Tu as du bol, moi. Elle n'a jamais voulu.

Comme je me retourne, je me trouve en face du sosie de la fille, mais en masculin, mêmes cheveux, même regard. Juste un peu plus grand. Un grand sourire sur des dents blanche.

C'est Irréel, j'ai la main dans le con d'une jeune fille, les seins torturés par des pinces, et son frère vient me dire qu'il la baise. De plus, il ajoute.

-- Tu sais, elle adore quand tu vas enlever les pinces. Frotte-lui le bout des tétons, elle va jouir comme une folle.

Il s'avance, lui prend les lèvres, elle répond à son baiser. Il a un sexe en demi-érection, qui doit être le double du mien. Il pose ses yeux sur ma bite, qui bande fort. Il tend la main, m'attrape, me soupèse et me dit:

-- Amuse-toi bien, mec, Alice est une bonne soumise.

Puis il disparait tranquillement, je reprends mon activité, je fiste Alice trois ou quatre fois, puis je lui défais les menottes, mais elle reste les épaules contre le poteau. Je pointe ma bite dans sa chatte. Mais après ma main, la sensation n'est pas très bonne, alors je la retourne, elle appuie ses mains au poteau au-dessus de sa tête. Je passe mes mains sur ses seins, je déserte doucement les deux vis des pinces, puis, je tire dessus et les arrache. Je les jette sur la table. Sous la douleur, elle s'est reculée, son cul contre ma bite. Je prends mon sexe dans la main, le présente à son anus et l'enfonce d'un coup, et sans lui laisser de temps, j'attrape les deux mamelons et les fait rouler entre mes pousses et mes index. Elle hurle, se plaque contre moi, enfonçant ma queue au plus profond de son entrailles, elle tremble de tout son membre, je l'inonde de mon sperme, de longues giclées, elle perd pied, son orgasme est fulgurant. Elle tombe, je la soutiens par mon sexe et par les seins que je maltraite allègrement. Visiblement, elle souffre des seins, mais à même tant, elle n'en finit pas de jouir.

Elle est toute molle entre mes mains, je me demande si elle n'est pas évanouie, mais elle reprend appui sur ses jambes. Tourne la tête vers moi, et me donne un baiser. J'adore ce petit corps juvénile contre moi, on s'embrasse longtemps. Puis, elle se décolle de moi

_ Je vais rejoindre Alain, mon frère

Je la retiens par la main.

_, quel âge as-tu?

Elle sourie.

_ Vingt ans, j'ai vingt ans.

Et ton frère?:

Elle éclate de rire.

_ Tu es bien curieux! C'est mon jumeau.

Je la regarde s'éloigner, elle a un peu de mal à marcher, sa chatte doit lui faire mal.

Je regarde l'heure, il s'est passé environ une demi-heure, je vais aller chercher Thanh, ma femme. Je croise George qui me dit que je peux aller la chercher, il m'indique le chemin. Je passe la première porte, et ouvre celle en face du bureau où j'étais toute l'heure.

Mon cœur saute dans ma poitrine. Ma femme chérie est allongée de dos sur un serviteur à poil, l'autre nu également lui laboure la chatte et un autre homme, qui

j'apprendrai plus tard, est le docteur lui baise la bouche, elle est prise en sandwich, une queue dans la gorge.

Je me dis qu'elle est insatiable, tous remarquent mon entrée, mais ils continuent à la baiser.

Thanh se retourne, me voit.

_ Chérie!!!!! Ils ont été si gentils avec moi, que je me devais de les remercier.

Je ne sais que faire, je referme la porte, et reviens vers notre table, je me sers un Whisky au passage, et je m'assois. Je pense que ma vie a bien changé en si peu de temps. Max vient s'asseoir, il me dit qu'il va partir, il est 4 h, je lui réponds que j'attends Thanh et que l'on va s'en aller également.

Il se passe une dizaine de minutes. Ma femme apparaît seule, elle vient vers moi, m'embrasse et me demande.

_ ça va toi?

Elle se blottie contre moi, je passe ma main autour de son sou, et lui presse le sein. Elle gémit et fait la grimace, je la regarde, ses seins sont tuméfiés, je regarde sa chatte, les lèvres sont boursoufflées, Voyant mon regard, elle me dit que le docteur lui a mis une pommade, dans la chatte et dans son anus, ainsi que sur les zébrures de ses fesses. Elle ajoute que cela ne la fait pas souffrir.

On cherche nos vêtements, ils sont dans le coffre que forme la banquette, je pense que c'est Max qui les a rangés.

Le trajet de retour à la maison est silencieux, Thanh ne fait que dormir. Je suis même obligé de la coucher, elle est comateuse,. Je prends une douche et me glisse contre son corps nu. Je m'endors rapidement.

Dimanche matin, 11 h. J'ouvre les yeux, ma femme dort à poing fermé. Je me lève et prépare le petit déjeuner.

À peine j'ai fini, Thanh arrive nue dans la cuisine. Elle vient m'embrasser. Elle se colle à moi :

_ Chérie, j'ai aimé cette soirée. On y reviendra?

Elle hésite.

_ Je je veux...... être ta........pute, fait moi baiser par.........tous tes amis, fait venir des hommes, bat moi, fait de mon corps tout ce que tu veux,

Je T'AIME.