L'histoire de Laura

Informations sur Récit
Quête amoureuse d’une jeune femme.
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Laura est étudiante en alternance, elle travaille à temps partiel dans un cabinet d'avocats pour sa dernière année avant de valider son cursus. On lui confie un travail de bureau classique, du secrétariat, du standard téléphonique. Elle partage son bureau avec Lisette, une portugaise d'une quarantaine d'années, qui est tellement drôle. Elle parle de sexe sans fausse pudeur!

Laura : Lisette doit penser que je suis une oie blanche, et s'est donné pour mission de me dévergonder ! Elle est magnifique! J'envie son style et je l'imite aussi souvent que je le peux. Nous sommes devenus amies tout de suite. Pendant les pauses, nous allons dehors et nous discutons pendant qu'elle fume. Elle tient sa cigarette d'une façon tellement sexy, sensuelle et élégante, que je l'envie !

Un jour, elle m'a offert une cigarette. Au début, j'hésitais, mais la curiosité l'a emporté. Au début, c'était âcre, mais je ne fume pas vraiment, je crapote juste un peu. Mais je ne fumerai jamais devant mes parents. Un jour, mon père m'a dit que ce sont les putes qui fument.

Quand mon petit copain, Christian, a trouvé un paquet dans mon sac à main, il s'est mis en colère ! C'est un jaloux colérique, lui aussi doit penser que les filles qui fument sont des salopes.

Je commence à m'habiller comme Lisette, sexy et séduisante. Elle m'a accompagné pour me conseiller. Elle a un goût très sûr, et j'ai confiance en elle. Elle sait choisir les tenues qui me mettent en valeur, sans que j'aie l'air d'une racoleuse, et d'autres un peu plus révélatrices !

Les patrons sont sympas, surtout un, Michel. Il a la cinquantaine, mais il a une belle silhouette ! Il vient au travail en vélo et semble faire beaucoup de sport. Lisette dit que c'est un dragueur, et qu'il observe mon corps discrètement. Elle est très observatrice de toutes ces choses, parce qu'elle est plus expérimentée que moi ! Elle me dit qu'il me lorgne davantage depuis que j'ai commencé à m'habiller sexy. Cela ne me dérange pas, ça me plaît !

Un jour, en pause, Lisette et moi étions dehors en train de fumer. Michel est passé sur son vélo. Il s'est arrêté pour nous saluer, puis il s'est étonné de me voir fumer, en ajoutant que ce n'était pas mon genre. Je me suis demandée quel était mon genre, et que pensait-il des filles qui fument?

Je sors avec mon petit copain Christian depuis presque un an. Il a 22 ans, un an de moins que moi, et je dois admettre qu'il est un peu collant. C'est seulement mon deuxième petit ami. Nous avons commencé à avoir des relations sexuelles très peu de temps après être sortis ensemble. Je lui ai dit qu'il était mon premier, même si j'avais couché plusieurs fois avec mon ex. Mais celui-là, je ne le regrette pas, il m'a tellement fait pleurer. J'étais folle de lui, et il s'est comporté comme un véritable salaud. Les derniers temps, je ne le voyais que lorsqu'il avait envie de tirer son coup. J'étais sa pute, c'est tout !

Une fois, Christian m'a déposée au travail. Michel était là, et je lui ai présenté. Christian ressemblait à un gamin en face de mon patron. Plus tard, Michel m'a demandé si c'était mon petit copain. J'ai dit oui, il a fait la moue, et m'a dit que je méritais mieux. Lisette a tout entendu, et quand Michel est retourné dans son bureau, elle m'a dit qu'il était jaloux. J'ai ri, mais je sais que Lisette a raison. Je sais que Michel me convoite, et pourquoi le décourager? Je flirte en retour. C'est inoffensif, et cela me fait du bien qu'un homme mature me désire. Christian serait énervé s'il savait que je flirte avec mon patron.

Jeudi soir, je suis sortie avec Christian. Je portais une tenue très sexy et révélatrice. Christian est allé nous chercher à boire au bar quand un type est venu vers moi pour essayer de me draguer. Quand Christian est revenu, il s'est mis en colère, et il a chassé le type. Mais après, il était en colère après moi, et il m'a dit que je m'habille comme une salope pour attirer les hommes ! Nous nous sommes disputés, et j'ai exigé qu'il me ramène chez moi. Nous sommes restés silencieux dans la voiture. Quand nous sommes arrivés, j'en avais assez de lui et de ses crises de jalousie. Je lui ai dit que je ne voulais plus être avec lui, j'ai retiré la bague qu'il m'avait offerte, et je la lui ai lancée en sortant avant de claquer la portière. Je suis entrée chez moi, j'ai pleuré et je me suis couchée.

Le lendemain matin, je suis allée travailler. J'ai rencontré Lisette sur le parking et je lui ai raconté ce qui s'était passé. Elle m'a serrée dans ses bras pendant que je pleurais un peu. Elle dit m'a consolée en disant ce qu'on dit toujours dans ces cas-là :

« Un de perdu, dix de retrouvés ! Crois-moi, celui-là, tu ne vas pas le regretter longtemps ! Tu es tellement jolie que tous les hommes vont te courtiser. Michel a raison, tu mérites mieux que cet idiot. Profite de ta jeunesse et de ta beauté parce que ça ne dure pas. Profite de ta liberté pour t'amuser, tu as bien le temps de subir le joug d'un homme ! »

Dans la matinée, Michel est passé au bureau pour nous remettre des dossiers. J'ai les yeux rougis, il le remarque et me questionne. Il se penche sur moi, pose sa main sur mon épaule et me demande ce qui ne va pas. Je lui dis que j'ai rompu avec mon petit copain. Il me rassure en me disant que je dois sortir et m'amuser, et que ça passera tout seul. En disant cela, il me caresse le haut du dos, et sa main chaude me fait du bien. Le soir, alors que je commence à partir, je croise Michel dans le couloir qui me dit :

« Au fait, Laura. Je retrouve ce soir des amis au club privé qui est près de chez moi. Veux-tu nous rejoindre? Tu dois sortir et t'amuser, ne pas rester seule chez toi à te morfondre ».

J'hésite, mais je vois Lisette, un peu plus loin dans le couloir, faire des gestes avec son pouce en l'air, en hochant la tête affirmativement, l'air de me dire « Ouais, vas-y, accepte ! » Je n'avais pas envie de rester seule, confinée chez moi à pleurer toute la soirée, je n'avais rien de mieux à faire, alors j'ai accepté. Je rentre chez moi pour me préparer. Je me sens un peu mieux, puisque j'ai un rencard avec un homme. Je décide de porter une tenue vraiment sexy, puisque Christian ne peut plus me le reprocher. Quelque chose que j'avais envie de porter, mais il m'avait dit que j'avais l'air d'une pute là-dedans.

Une robe club rose très moulante avec un dos nu qui descend jusqu'aux fesses, un décolleté en V profond devant, pas question de mettre un soutien-gorge avec ça. Je l'essaye, mes tétons poussent le mince tissu, mais devant mon miroir, je m'aperçois qu'on voit ma culotte. Je l'enlève, ça va mieux, mais maintenant c'est mon buisson brun qui apparaît à la fourche de mes jambes. Merde, je dois me raser ! Sous la douche, je rase mon pubis jusqu'à ce que je sois complètement chauve. C'est une sensation étrange et excitante à la fois.

Pendant que je me savonne, je passe mes doigts sur ma chatte glabre. Oh, merde, c'est agréable ! J'aimerais me faire plaisir mais je n'ai plus le temps, je dois me préparer. Je sors de la douche, et j'essaye la robe. Maintenant c'est parfait, je ne vois rien à travers. C'est un peu stressant cependant, à quel point c'est court. Je dois vraiment faire attention quand je m'assois, sinon je vois montrer mon trésor à l'assemblée ! Je termine mon maquillage et ma coiffure, et je pars rejoindre Michel et ses amis au club.

Au club, Michel m'attend dans l'entrée. Il me salue en m'enlaçant, et me dépose un baiser coquin dans le cou en me disant que je suis magnifique. Cela me flatte et me rassure, mais ça fait un peu bizarre, car au travail, il ne me salue jamais de cette façon. Nous montrons une pièce d'identité pour entrer. Le videur me dévisage, perplexe, et me demande si j'ai vraiment 23 ans. Comme c'est embarrassant.

Michel garde son bras autour de ma taille en entrant dans le club, comme pour montrer à toute l'assistance que je suis sa propriété. Il m'installe sur une chaise haute au bar, et je fais très attention en m'asseyant de bien croiser mes jambes. Ma robe est fendue haut sur le côté et, dans cette position, je lui montre beaucoup de peau. Heureusement, c'est faiblement éclairé. Il commande pour moi sans me demander ce que je veux, en disant que je dois absolument essayer ça.

Le barman apporte les boissons et je goûte le cocktail. C'est fort ! Nous discutons quelques minutes. Il se penche sur moi pour me parler parce que c'est un peu bruyant, et sa main se pose souvent sur ma cuisse nue. Je peux sentir son eau de toilette, il sent vraiment bon. Le bruit, l'alcool, sa main sur ma cuisse me grisent un peu. Je suis bien, mais je m'inquiète de savoir où sont ses amis qui devaient nous rejoindre. Michel me répond qu'ils ont annulé, et que nous sommes seuls, juste lui et moi. Je ne sais pas quoi penser à ce moment-là, je suis presque certaine qu'il m'a trompée, et qu'il n'attendait personne.

Il me parle et je le découvre peu à peu. Il est drôle et charmant, et il a beaucoup d'histoires amusantes sur les voyages qu'il a faits. Je commence à me détendre, surtout avec mon deuxième cocktail, et sa main sur ma cuisse nue ne me dérange plus. Je lui demande si je peux fumer ici. Il m'accompagne sur la terrasse. Il me prend le briquet des mains pour allumer ma cigarette. Je suis touchée par sa galanterie. Ce n'est pas Christian qui ferait ça ! Je frissonne, et il m'enlace pour me réchauffer. Ses fortes mains qui caressent mon dos nu me font chaud partout.

J'essaye de fumer comme Lisette. En tenant ma cigarette de façon sensuelle et sexy. J'ai presque parfaitement copié sa technique maintenant. Je me sens très sexy et sensuelle dans ma petite robe. J'entends un son provenant de mon téléphone, et je le consulte. C'est Christian qui m'envoie un texto. Je me fiche vraiment de ce qu'il a à me dire maintenant, et je le remets simplement dans mon sac à main sans le lire. Je me sens tellement dans la peau d'une femme fatale, que je n'ai pas envie qu'il me ruine le moral !

Pendant que nous parlons, Michel caresse mon dos, sa main va de mes épaules jusqu'au creux de mes reins. Juste un instant, comme pour accentuer ce qu'il dit. Je sens sa main si forte et masculine, et je suis toute émue. À plusieurs reprises, il a pressé sa main pour me serrer contre lui. Je me laisse faire, je suis sans volonté, soulée par ses paroles et ses attentions. Au bout d'un moment, pendant que nous parlons, il a posé sa main sur le bas de mon dos et l'a laissée là. Caressant lentement et doucement du bout des doigts. Sa main est si basse dans mon dos. Il effleure presque mes fesses. Je n'ose pas l'arrêter, j'ai peur de tout gâcher. Je suis si bien dans ses bras musclés, sa caresse est innocente.

Il me pose beaucoup de questions sur moi, sur la vie que je mène, sur l'université. Il veut tout savoir de moi. Je me confie sans défiance. Pendant que nous bavardons, je ne peux pas m'empêcher de penser combien être avec un homme comme lui, c'est différent de Christian. Il est si attentif, et ses caresses désinvoltes me font me sentir plus femme, plus désirable et plus sexy. Nous sommes là depuis longtemps, et les gens commencent à partir. Il se fait tard. Il me propose d'aller chez lui, visionner quelques vidéos de ses nombreux voyages.

Je ne me fais aucune illusion, je sais ce qui m'attend. Il veut me mettre dans son lit. Bizarrement, ça ne me dérange pas, il est si séduisant. Je fais semblant de réfléchir timidement avant d'accepter. Je suis détendue avec lui, et je lui fais confiance pour faire ça avec élégance. J'aime ses mains d'homme sur ma peau, et je n'ai pas envie que la soirée se termine. On se lève pour partir, mais je vacille. Ces foutus talons hauts, plus l'alcool ingurgité, j'ai un problème d'équilibre. Avec son bras à ma taille, il me soutient et m'entraîne. Je me laisse guider, blottie contre lui, séduite pas sa virilité tranquille. Son corps contre le mien est si musclé, si puissant, le vertige me reprend. Je lui murmure :

« Serre-moi bien contre toi ! »

Chez lui, c'est tout près, alors on y va à pied. J'en profite pour me faire lourde à son bras. C'est si bon de me sentir soutenue par un homme, je savoure au maximum. Je lui demande s'il y a quelqu'un chez lui, il me répond qu'il habite seul. Je suis sûre d'y passer, cela ne fait plus aucun doute, je dois être folle. C'est mon patron, c'est notre premier rendez-vous, il m'annonce clairement qu'il va me baiser, et je suis d'accord ! Chez lui, il me guide jusqu'au canapé, me fait asseoir en me disant :

« Installe-toi, je reviens tout de suite »

Je me cale au creux des coussins et j'enlève mes talons. Je regarde ma robe. Elle ne dissimule pas grand-chose. Il revient avec deux verres bien rempli d'un liquide clair. Merde, si je suis trop soûle, je ne vais pas profiter. Je sirote mon verre pendant qu'il me montre ses vidéos. C'est très beau et ses commentaires sont intéressants. Il a posé son bras sur le dossier derrière moi, alors je pose ma tête au creux de son épaule. Juste une manière de lui dire "vas-y mec, attaque, je suis prête". Mais il semble vouloir me connaître un peu mieux. Il me parle de ma rupture avec Christian, il veut savoir si on était depuis longtemps ensemble, si on vivait ensemble, et pourquoi on a rompu.

« Il était horriblement jaloux et tyrannique, je ne le supportais plus, alors j'ai rompu ! »

« Tu es une jeune femme très séduisante, mais avec du caractère, et ça me plaît. En fait, tu me plais beaucoup »

« Merci ! » dis-je souriante, et je lève mon visage vers lui. Nos regards se croisent, chargés d'émotion. Sa main caresse doucement mon épaule nue. Je suppose que la boisson m'aide à me désinhiber, car le contact de ses doigts me chauffe. Je suis flattée qu'un homme mature et très séduisant s'intéresse à ma petite personne. Il se penche, et son visage s'approche du mien. Son baiser est très doux. Ses lèvres effleurent les miennes. Une partie de mon esprit me commande de m'éloigner, et l'autre partie me dit que c'est très agréable. Son baiser est très sensuel, et je tends mes lèvres pour en avoir encore. Tellement différent de tant de garçons qui m'ont embrassée de manière farouche et malhabile dans le passé. Instinctivement, mes lèvres lui répondent.

Il m'embrasse d'une manière si tendre qu'il me fait sentir comme un trésor qu'il désire plus que tout. Son regard amoureux, sa main qui caresse ma joue en repoussant mes boucles brunes derrière mon oreille, sa bouche qui m'embrasse avec passion, mais toujours avec douceur, me donne le sentiment qu'il me traite comme une princesse. Comment aurais-je pu me douter que ses lèvres étaient si douces et si pulpeuses? Sa main glisse de mon épaule jusqu'à ma taille, en caressant mon flanc tout en me serrant tendrement contre lui. Son corps est chaud, ses mains sont fortes et masculines, ses lèvres appuient un peu plus pour obtenir l'ouverture des miennes. Je suis subjuguée par autant de tendresse et de mâle autorité, je ne suis plus qu'une poupée de chair entre ses mains volontaires, je m'abandonne au désir de l'homme qui me convoite.

Lentement, sa langue investi ma bouche, sondant discrètement juste au-delà de mes lèvres. Puis sa bouche se promène lentement sur mon visage, embrassant mes joues, mon menton, avant de descendre dans mon cou, en prenant son temps. Il n'est pas pressé. Il me suce doucement le lobe de l'oreille. Il est si doux, si patient ! La sensation de ses lèvres dans mon cou est si érotique ! Je commence à ressentir un petit fourmillement dans mon entrejambe, mes grandes lèvres et mon clitoris commencent à se remplir de sang ! Un bruissement de papillons s'envole dans mon ventre. C'est fou, j'ai envie de faire l'amour avec mon patron, un homme qui pourrait être mon père !

Je devrais arrêter ça. Mais les sensations charnelles que me procure sa bouche dans mon cou, ainsi que sa main qui s'est introduite sous ma robe pour masser mon flanc, je n'ai jamais rien connu d'aussi érotique avec les garçons qui l'ont précédé. Son autre main qui planait sur mon ventre vient se poser sur mon sein, et me caresse doucement la poitrine par-dessus ma robe. J'ouvre la bouche pour lui demander d'arrêter, mais rien ne sort. Aucune parole ne franchit mes lèvres. Bien au contraire, c'est sa bouche qui se pose sur la mienne, et c'est sa langue qui l'explore. Il m'embrasse ardemment, avec une mâle assurance. Il est en territoire conquis maintenant, ma respiration oppressée lui apprend que je vais être sienne bientôt.

Ma vulve se remplit d'humidité. Le lubrifiant dilate et écarte mes lèvres intérieures qui se gonflent. Sa main écarte le décolleté en V profond de ma robe, et ses doigts pincent et manipulent mon mamelon si sensible. Mon épaulette glisse, dénudant entièrement mon sein, le livrant à la voracité de sa bouche gourmande. Sa bouche descend progressivement le long de mon cou en y déposant de petits baisers, avant de s'emparer de mon téton. Ses lèvres sucent mon aréole gonflée de désir, et ses dents grignotent mon téton dressé. Mon sein frémit de désir et devient terriblement sensible sous sa bouche experte. Je suis vraiment ardente maintenant, je respire fort, je souhaite être conquise, et j'écarte un peu mes jambes afin de soulager la pression de mes grandes lèvres. Il le remarque et sa main s'insère entre mes cuisses, écarte un peu plus mes jambes, et remonte lentement en pressant la chair tendre à l'intérieur de ma cuisse.

Soudain, je me souviens de mon absence de culotte ! C'est fou ! Je dois absolument arrêter ça ! C'est mon patron, qu'est-ce qu'il va penser de moi? Que je suis juste une petite salope, qu'il peut me culbuter à loisir? J'attrape son poignet pour lui crier d'arrêter ça. Sa main arrête sa progression, mais sa bouche reste sur mon sein. Je me rends compte que j'ai pensé les mots que je voulais crier, mais rien n'est sorti de ma bouche ! Tout ce qui est sorti de ma bouche, c'est un long gémissement rauque ! La bataille est perdue ! Mon corps, ma volonté farouche, tout m'abandonne et me livre à l'ennemi. Ma prise sur son poignet se détend, et sa main reprend sa lente progression.

Sa bouche change de mamelon, suçant et mordillant habilement. J'oublie sa main et j'écarte un plus les jambes. Il prend cela comme une invitation et ses doigts palpent ma chatte rasée et nue. Je retiens mon souffle tandis qu'il hésite, surpris de ne pas trouver de culotte. Il semble attendre, j'imagine pour voir si je proteste. J'aimerais pouvoir combattre, ne pas lui céder si facilement, mais je ne peux même pas respirer. Son doigt épais et rugueux s'insère entre mes lèvres et explore ma fente. Il glisse facilement à cause de mon humidité. Je ne peux plus prétendre à me défendre, il n'ignore plus rien de mon désir d'être culbutée. Son doigt parcourt ma fente de haut en bas, et il augmente mon humidité. Il sonde doucement mon ouverture, puis revient presser délicatement mon clitoris qui s'érige. Je ne peux plus contenir ma respiration. Je halète comme un jeune chiot.

Comment ai-je pu laisser la situation dégénérer ainsi et devenir incontrôlable? Tout espoir d'arrêter son emprise s'évanouit définitivement. Ma respiration sifflante s'accompagne de gémissements. Son doigt glisse dans mon humidité et s'introduit dans mon ouverture vaginale. Son gros doigt rugueux me fait un peu mal. Il est presque de la taille du sexe de mon ex-copain ! Je bredouille doucement une plainte et il s'arrête, pour laisser mon vagin se détendre et s'habituer à son doigt. Puis il recommence lentement à me baiser avec son doigt, en entrant et en sortant lentement. C'est incroyable ! Je suis tellement mouillée que je n'ai plus de douleur. J'ai juste l'impression de me faire baiser ! Il m'embrasse passionnément pendant qu'il me baise avec son doigt, et je m'accroche à lui comme à une bouée au milieu de l'océan. Je sens naître un orgasme au fond de mon ventre. Il me doigte un peu plus vite.

Ça y est. Je sens venir l'orgasme, je soulève mon ventre vers lui en écartant mes jambes, je vais jouir mais...il s'arrête ! Il retire son doigt, se lève, et me prend par la main pour me conduire jusqu'à sa chambre. Je le suis docilement. Il me retire ma robe et m'assoit sur son lit. Il m'embrasse et me repousse doucement sur le dos. Il s'allonge à moitié sur moi, un genou entre mes jambes. Il enfouit son visage dans mon cou. Il enlève sa chemise et je passe mes doigts sur son torse velu. Tellement musclé ! Tellement sexy ! Il caresse délicatement mon clitoris. Je suis tellement mouillée maintenant ! Il se penche pour m'embrasser sur le ventre, puis descend très lentement vers mon monticule rasé, pour atteindre mon clitoris. Ses mains puissantes écartent mes jambes.