Un Réveillion Inoubliable ( Suite )

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Quelles conséquences à ce réveillions
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allan87
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Histoire en partie vécue, mais romancée

.

Trois jours se sont passés depuis ce réveillon du nouvel an, où nous avons dépassé nos limites sexuelles, ma femme Thanh et moi, avec nos trois couples d'amis.

Ces trois jours ont été merveilleux, surtout le soir, quand on rentre à la maison.

Thanh, entre environs 1h avant moi, elle est devenue très coquine, enfin, je l'ai un peu poussé.

Voir l'épisode précédent, où elle me dit qu'elle est prête à faire tout ce que je lui demanderai. Inutile de vous dire que j'ai sauté sur l'occasion. Je lui ai tout de même, le soir de notre retour, fait répéter son désir de se soumettre sans condition.

Dès qu'elle entre à la maison, elle prend sa douche, puis doit s'habiller avec les vêtements que je lui ai déposés le matin sur notre lit. Quand je dis vêtements, c'est plutôt les sous-vêtements, et s'il n'y a rien, c'est qu'elle doit être nue. Elle a droit à un petit tablier, quant elle cuisine, je ne veux pas qu'elle se blesse.

Ce soir, elle est divine, un ensemble que j'ai acheté hier en revenant du travail. Il est composé d'un string et d'un déshabillé bleu, très transparent. De plus, le déshabillé n'a aucun bouton, il est juste noué sous le cou. Ses seins sont

découvert, son cul apparent sous le tissu, sa chatte à peine dissimulée.

Je suis heureux de la tournure des évènements, bien que je n'y ai jamais pensé, mais de voir ma femme se faire défoncer par mes amis m'a fait découvrir un homme que je ne connaissais pas.

Après être rentré à mon tour, je vais me doucher, puis je vais aider Thanh à préparer le repas. Je suis en peignoir, je mets le couvert. Oui, j'aide ma femme, on partage les tâches ménagères, ce qui nous laisse plus de temps libre pour nous.

Le souper terminé, comme il n'y a rien d'intéressant à la TV, j'ai mis un film porno. C'est assez rare, mais maintenant nous allons, je pense en regarder plus.

Le film est assez quelconque, ma femme est allongée sur le canapé, la tète sur mes cuisses, une de mes mains lui caresse la poitrine, mais très sensiblement. Son sein sous ma paume est ferme, le mamelon dressé.

Sur l'écran, une femme a été attrapée par deux brutes, qui l'ont conduite dans une cave immonde. Ils lui attachent les mains à des anneaux au plafond, les bras écartés, puis avec une barre, il lui entrave les pieds également très écartés.

Je sens ma femme frémir, sa respiration s'accélère. Je lui comprime le sein, elle gémie doucement, je glisse les mains sur sa chatte, son string est humide, j'écarte le tissu et entre deux doigts sans aucune résistance, tellement elle est mouillée.

_Dis donc, Chérie, c'est de voir cette fille attachée qui te fait cet effet?

_Oui,... Un peu, cela fait remonter à ma mémoire des fantasmes de petite fille.

À cette époque, à la télé, on voyait les atrocités faites au Cambodge par les Khmers rouges, et souvent dans les villages, des femmes étaient exposées nues, souvent mortes après plusieurs viols et autres tortures, et moi, je ne sais pas pourquoi, je m'imaginais subir des atrocités et je mouillais mes draps ou ma culotte.

Je reste sans voix, jamais elle ne m'a parlé de ça. Puis, à voie basse, elle ajoute.

_Tu sais, l'autre soir, quand Max m'a sodomisée, c'était la première fois pour moi, j'ai eu très mal, puis j'ai commencé à avoir beaucoup de plaisir et quand Jérôme m'a prise par devant, leurs deux bites m'ont rendue folle, j'aurai tout accepté... Tu dois penser que je suis folle?

Pour toutes réponses, je me penche, lui prends les lèvres, mets ma langue dans sa bouche, ma main s'enfonce dans sa chatte : j'ai quatre doigts qui la besogne, je lui pince un mamelon, qui est très dur et très sensible. Elle commence malgré sa bouche prise à émettre ces fameux petits cris (HI! HI! HI!).

Je me dégage, lui demande de se mettre à genoux sur le canapé, elle remonte son déshabillé sur les reins, cette conversation me faisant bander comme un âne, je mets de la salive sur ma queue et la lui fourre dans le cul, jusqu'à la garde, elle suffoque, n'a même pas la force de crier.

La tenant par les seins, je la tire vers moi, et à grands coups de reins, je lui laboure les entrailles. Malheureusement, je jouis trop vite, de longs jets de sperme dans son intestin. Elle ne bouge pas, alors, je passe devant elle, lui présente ma bite qu'elle prend en bouche immédiatement.

Sa langue fait des merveilles, je reprends vigueur rapidement, je m'assoie sur le bord du canapé, elle vient s'asseoir face à moi, s'enfile sur ma bite. Sa chatte est chaude et glissante, elle prend appui sur ses pieds et commence à monter et descendre. Elle est magnifique, ses seins battent de haut en bas, les aréoles sont gonflées à bloc et les mamelons pointent vers le haut. Elle se met à trembler, pousse de petits cris stridents, l'orgasme l'emporte, elle est tétanisée, elle m'inonde les cuisses de son jus chaud, au fur et à mesure que je lui envoie ma décharge de sperme tout au fond de l'utérus.

Nous nous embrassons avec passion, puis on prend une douche ensemble, avant d'aller au lit.

Au matin, j'ai pris une décision. Arrivé au bureau, je téléphone à Max, lui donne rendez-vous pour le soir même, dans un petit bar où l'on a nos habitudes. Enfin, la journée passée, je le retrouve et après quelques banalités, il me demande comment c'est passé notre retour après le réveillon. Je lui explique sans détours l'évolution de ma femme.

Je dois dire qu'il est très intéressé. Alors, je lui pose la question qui me brûle les lèvres.

_Connais-tu un endroit ou un club qui pratique le SM?

_Bien sûr, mais il faut pour participer donner une certaine somme et signer une charte de confidentialité. Je te tiens au courant demain matin.

Je le remercie en lui demandant de rester discret vis-à-vis de nos amis. Il éclate de rire en me disant que Jérôme et Marc sont avec leurs épouses adeptes de ces soirées. Pourquoi suis-je à peine étonné?

Le lendemain, je suis dans l'attente de son appel. Vers onze heures, enfin, il me confirme que samedi soir, je suis invité avec Thanh à être intronisé. Il m'envoie les coordonnées sur mon téléphone. Je jubile, mais j'ai un peu d'appréhension tout de même. Je réalise que l'on est vendredi et que c'est demain soir. Que vais-je dire à ma femme?

Une fois le souper terminé, je rejoins Thanh sur le canapé qui regarde une série TV. Elle est nue sous son déshabiller bleu très transparent. J'admire ses seins qui pointent et tendent le frêle tissu. Je m'installe à côté d'elle, elle me sourie. Prenant mon courage à deux mains, je me lance.

_J'ai vu Max ce matin, il nous invite à une soirée demain soir.

_Que t'a-t-il dit sur ce qui s'est passé la nuit du 31?

_HO! Il m'a juste dit que cela faisait longtemps que tous les trois fantasmaient sur toi, et qu'il avait été heureux que cela se produise enfin. Surtout, tu as été très coopérative.

_ Je n'en reviens pas, comment j'ai pu être aussi pute, tu ne m'en veux pas?

_Bien au contraire, regarde comme nous sommes tous les deux, cela nous a rapprochés et j'ai bien aimé te voir ainsi prise et abusée par nos amis. Jamais je n'aurais imaginé avoir autant de plaisir, même si une petite pointe de jalousie m'a piquée au cœur au début

-- Alors, pour demain, je veux bien. Mais je ne sais pas si je pourrais bien me tenir.

Elle m'embrasse et me caresse la bite.

_. J'espère bien que tu seras méchante.

Je la prends dans mes bras, la soulève. Elle a compris, elle éteint la télé, je la porte dans la chambre. La nuit a été très mouvementée. Elle était déchainée. Ce matin, elle me réveille avec une nouvelle pipe. Elle se met à rire.

_Si je t'épuise, ce soir, tu me seras fidèle!

Je me régale en me disant qu'elle est prête et apparemment bien décidée.

La journée nous parait longue, l'on ne se touche pas, et l'on évite de parler de la soirée. De toute façon, je ne pourrai lui donner aucune explication, vu que je ne sais même rien sur les personnes présentes ni même comment cela va se passer.

Vers 16 h, je reçois un texto venant de Max, qui m'indique l'adresse, l'heure et il insiste pour que Thanh soit très sexy, et moi en costume noir et cravate. J'explique à Thanh qu'il est impératif qu'elle soit sexy, et vu la distance à parcourir, il nous faudra partir vers 19 h 30 pour être à notre destination à 21h.

Je suis prêt depuis environ trois quarts d'heure, je commence à m'impatienter, regardant la montre. Quant ma femme, mon amour, apparait. Je me sens vieux, quand je vois cette jeune femme avec ses 10 ans de moins. Elle me parait juvénile, elle porte Une robe, l'Ao Dai, robe traditionnelle fendue à partir de la taille des deux côtés. Sauf qu'elle n'a pas mis le pantalon en soie blanche qui va avec. Le buste a été retouché, une large ouverture à partir du cou descendant presque aux mamelons, et en largeur pratiquement au coutures latérales, l'on voit très bien l'absence de soutien-gorge. Elle a modifié la taille, l'ouverture se trouvant au dessous des seins, le dos et le devant sont juste noués par deux liens, un sous les seins, l'autre un peu au-dessus de la taille.

Evidement, elle ne porte pas de culotte, on la verrait sur le coté.

_Tu as envie de te faire violer?

_Pourquoi, tu n'aimes pas? et puis je suis sure que tu aimerai.

_J'adore, au contraire, je suis sure que tu vas faire sensation. Il faut se dépêcher, si l'on veut être à l'heure.

Pendant le trajet, j'ai du mal à me concentrer sur la route. Ma femme est à moitié nue sous son manteau, et je me demande comment elle va réagir quand elle va découvrir le thème de la soirée.'

J'arrive enfin à l'adresse indiquée par mon GPS : Thanh, qui n'a pratiquement pas parlé, me demande si je ne me suis pas trompée.

On est en pleine campagne, devant une propriété entourée d'un mur de plus de 2 m de haut, un imposant portail en fer forgé est ouvert. Je m'engage dans une allée de graviers blancs. Il y a deux virages en S, après le second, une grande bâtisse se dresse avec une grande cour donnant sur un perron et une porte en bois massif.

Nous montons les marches du perron, un homme en costume noir nous souhaite la bienvenue et nous introduit dans un grand hall. Une jeune femme débarrasse Thanh de son manteau et nous ouvre une grande porte qui donne sur un salon où une vingtaine de personnes sont devant un buffet, un apéritif et des amuse-bouche.

Je suis très gêné, je tiens Thanh par la main. Heureusement, Max nous aperçoit et vient vers nous. Il embrasse Thanh, la félicite pour sa tenue, et me sert la main.

_Venez, je vais vous présenter au maitre de maison et de la soirée.

Un homme d'un certain âge vient au devant de nous, il n'est pas très grand, un visage anguleux, difficile de lui donner un âge. Il a de petits yeux noirs enfoncés dans les orbites. Malgré son physique, il a un large sourire, se dirige vers ma femme, lui baise la main, et avant que Max ne puisse dire quoi que ce soit...

Vous êtes Thanh, moi c'est Gorges. Notre ami m'a dit le plus grand bien de vous, j'ai hâte de faire plus ample connaissance.

Il la fait tourner sur elle-même, sa robe s'ouvrant laisse entrevoir ses belles jambes nues.

_C'est très prometteur, Max. Je vous félicite, puis en se tournant vers moi :

_Je suis subjugué par le cadeau que vous nous faites là. Soyez les bienvenues toutes les deux, buvez un verre, on ne va pas tarder à commencer, vous êtes en visiteurs, mais si le cœur vous en dit, nous sommes ouverts aux nouveaux venues.

Il disparaît aussi vite qu'il est venu. Je demande à Max où sont nos amis, il me répond qu'ils n'ont pas pu venir. Je suis un peu déçu.

Max nous tend chacun un verre de champagne. Thanh est tendue, elle regarde autour de nous, me serre la main. Toutes les femmes ont la même tenue, une robe en mousseline blanche très transparente, et bien sûr, elles sont nues dessous. On boit un deuxième verre, mais ma femme le boit cul sec, puis en reprend un autre. Je lui demande si tout va bien, elle sourie, m'embrasse et me répond qu'elle a besoin d'un peu de courage.

Je ne sais qui donne le signal, mais tout le monde se dirige vers une petite porte où un homme distribue des tickets avec un numéro, par couple. Max lui dit qu'il est avec nous. C'est vrai que je n'ai pas vu Sylvie, sa femme, et j'en suis étonné. Il me dit qu'elle n'a pas pu venir, qu'au dernier moment son fils est arrivé, et comme il devait nous présenter, il est venu seul.

Nous descendons un escalier en pierre. Visiblement, on est sous la maison. Au bout de l'escalier, s'ouvre une très grande pièce, le sous-sol doit faire la surface totale de la bâtisse.

Le sol est carrelé, une tomette rouge, les murs recouverts de tentures et de tableaux érotiques ou plus an fond, de grandes photos en couleurs ou en noir et blanc, d'hommes et de femmes suppliciés, certaines font froid dans le dos, on se demande si c'est réel. Je me demande si j'ai bien fait d'entrainer ma femme dans cette folie. Pourtant tout le monde a l'air très en harmonie avec cela.

Nos numéros nous attribuent une table, celle-ci est entourée d'une banquette en cuir et de deux fauteuils, sur la table autre, le champagne et les coupes trônes des boitiers avec 2 boutons, un vert et un jaune, il y a autant de boitiers que de convives.

Il y a de grands écrans disposés également sur les murs. Sur le côté droit par rapport à l'entrée se trouve un rideau avec une scène comme au théâtre.

Notre table se trouve face à cette estrade, au milieu de la pièce. Max nous explique que c'est la place d'honneur, comme nous sommes nouveaux, nous allons être présentés aux autres. Autour de nous, les gens s'agitent, certaines femmes sont déjà nues, soit debout à côté de leurs compagnons. D'autres à genoux ou assises à leurs pieds. Il y en a deux qui ont un collier et une laisse. Je n'avais pas remarqué, mais il y a plus d'hommes que de femmes. À une table, il y a cinq hommes et deux femmes.

Une musique douce est diffusée pour l'ambiance. Thaï me demande :

_Où m'as-tu amenée? C'est bizarre comme endroit, ce n'est pas une boite classique, même pas un club pour baiser?

Comme j'allais lui répondre, la musique s'arrête, le rideau s'ouvre. Les lumières sont tamisées. On voit tout de même très bien dans la salle. Un projecteur éclaire le centre de la Seine, puis le faisceau se dirige vers le font, une femme est pendue par les mains à une poulie accrochée au plafond, elle est nue, mais on ne la voie pas très bien, la lumière étant plus sur les jambes. Le maitre des lieux apparait sur le côté.

_Bonsoir les amis, Ce soir, nous avons de nouveaux membres, je vous les présenterai un peu plus tard. Mais pour commencer, Jacques, ici présent, nous a demandé de punir Françoise, sa femme que vous connaissez tous. Cette semaine, elle lui a désobéi, et il vous laisse le soin de choisir sa punition. Vous connaissez le mode de vote, alors à vos boitiers!

Sur les écrans muraux, trois messages s'affichent.

Votez

Le fouet

Le chevalet

Les pinces

Aussitôt, un décompte s'ensuit pour chaque option. Douze pour le fouet, six pour les pinces et six pour le chevalet.

Le maitre de cérémonie prend la parole :

_Nous sommes vingt-sept, comme je ne vote pas, il manque deux votes, il ne peut pas y avoir d'obtentions.

Max nous regarde et nous dit que l'on doit voter, bouton vert, on dirige la flèche sur la ligne choisie et on appuie. Thanh appuie sur le fouet, elle me regarde, je fais de même.

_ Alors soit, commente Georges, ce sera le fouet.

Il lève la main, la femme est en pleine lumière. Elle doit avoir une trentaine d'années, bien en chair, une poitrine lourde, qui malgré les bras relevés au-dessus de sa tête tombent légèrement, les aréoles brunes avec de petits mamelons à peine visibles. Un ventre bombé, une chatte avec un petit ticket de métro bien taillé. Ses cuisses sont largement ouvertes, une barre l'entravant aux chevilles, les écartant au maximum.

Derrière elle, se trouve sur le mur un nombre inimaginable de fouets, de cravaches, de badines, de petites pelles de bois ou de cuir. Plus des chevalets et d'autres machines auxquelles je ne sais pas à quoi peuvent-elles servir.

Georges se met nu, il a déposé tous ses vêtements sur une petite table. Il se dirige vers les fouets. Il en saisit un avec une lanière très longue et très fine. D'un geste sec, il le fait claquer.

Le silence se fait dans la salle, un silence pesant.

Thanh a sursauté, elle m'attrape le bras et fait de même avec Max.

Georges, à l'aide d'une télécommande, fait monter la femme dans les airs. Ses pieds sont à une dizaine de centimètres du sol. Il lui caresse les fesses, les seins, elle frémie. Sur les Ecrans, on peut voir son visage en grand, puis l'écran se divise en deux et apparaissent son cul et ses fesses. Un claquement suivi d'une plainte sourde. Le public décompte 1. Sur l'écran, une zébrure apparaît sur la fesse de la fille. Ma femme m'a serré le bras, elle se pince la lèvre. Deux autres coups, 2... 3. Les ongles de Thanh s'enfoncent dans mon bras. Au 6e coup, la fille hurle, les fesses sont en sang.

Dans la salle, certains hommes prennent leur partenaire sur les banquettes ou sur les tables, c'est une vraie orgie. Certaines femmes sont prises en double, d'autres à genoux, suçant les sexes qui se présentent à elles.

Je dégage mon bras, veux descendre ma main vers la chatte de ma femme, mais elle m'arrête et la dirige sur sa poitrine. Elle a les seins énormes, le téton très dur, elle me pince les doigts, sur son mamelon, me faisant comprendre de la pincer. je baisse les yeux, sa robe est ouverte, sa chatte est occupée par les doigts de Max.

Elle halète doucement, de petits gémissements à peine audibles. Son souffle est court.

Sur l'estrade. Georges fait tourner lentement la pauvre fille. Et les derniers coups s'abattent sur les seins ou sur les fesses, selon la face qui se présente à lui. À chaque coup, une plainte s'échappe de la gorge de la malheureuse. Une caméra se dirige sur sa vulve, et apparemment, elle n'est pas si malheureuse que ça. En effet, elle mouille ; un liquide lui coule sur l'intérieur des cuisses.

Les dix coups sont finis, un homme monte sur scène, il est nu et bande fort. Un sexe très honorable, il arrête la rotation de la femme. Georges s'est positionné derrière elle, Il fait redescendre sensiblement la fille, est sans plus de préambule, il lui plante sa queue dans le cul, on a un gros plan sur les écrans, l'homme devant fléchit les jambes et pour empêcher le corps de se balancer, il lui enfile sa bite dans la chatte. Ils la besognent très viril, elle se crispe, se met à trembler et jouit bruyamment. Mais eux, visiblement, sont endurants, et ils s'acharnent sur son corps, lui pétrissent les seins. Au bout d'une dizaine de minutes, elle part dans un orgasme ravageur, entraînant les deux hommes dans sa jouissance.

Le premier à venir est celui de devant, il se retire rapidement, laissant la chatte béante ruisseler de son foutre et de la liqueur féminine. Georges se sépare à son tour, va s'essuyer avec une serviette.

Pendant ce temps-là, deux hommes en noir descendent la fille, l'enveloppent dans un linge blanc et la soutenant, ils l'emmènent par une porte dérobée.

Max nous dit que ce sont les serviteurs de Georges, des hommes à tout faire. Ils vont la soigner, la laver, puis son mari va pouvoir la retrouver.

Thanh a jouie en silence, se mordant la lèvre, sur la main de Max.

Georges revient sur le devant de la scène.

Mes amis, ce soir, nous avons un couple, parrainé par Max.

Sur les écrans, nous apparaissons tous les trois. Max s'essuie les mains, moi, je pelotte Thanh qui a la robe relevée, dévoilant sa chatte imberbe.

_Je vois que le spectacle vous a plu. Venez afin que je vous présente à vos nouveaux amis.

Un éclat de rire dans la salle

Je ne sais quoi faire, Thanh va-t-elle accepter de monter sur la scène? Elle me regarde, je lui prends la main, elle se lève, je fais de même.

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