Ma Vie de Femme Retrouvée (Acte 01)

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Marie, le papillon de nuit à la recherche de la lumière.
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Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 04/26/2024
Créé 04/10/2024
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Je m'appelle Marie, je vis dans le Territoire de Belfort. Femme épanouie, à la fleur de l'âge, j'aime la vie sous toutes ses formes. Au fond de moi, brûlent le feu des envies, des désirs quasi inavouables qui me rongent, me hantent et qui me procurent très régulièrement, trop régulièrement des picotements dans le bas ventre que je dois assouvir, seule, à ma manière.

Mon conjoint est mon parfait contraire et préfère rester tranquille, dans son fauteuil, devant la télévision, un verre à la main, à se gaver de football, rugby, tennis, courses autos ou motos, bref.... S'occuper de moi est le cadet de ses soucis. Le sexe, c'était avant, mais pas pour moi.

Notre vie ressemble à du chewing-gum que l'on a mâché toute la journée et qui n'a plus de saveur le soir. Nous sommes comme deux vieux chevaux de labour. On se côtoie sans problème, mais dans l'indifférence la plus totale.

J'ai donc décidé de changer ma vie, changer mes habitudes, changer ma garde-robe, les fringues ce n'est pas le plus difficile à faire. Je dois rencontrer du monde.

Ma première démarche est de m'inscrire dans un club de fitness. Le maintien d'une bonne forme physique et d'un look agréable est le b.a.-ba d'une résurrection réussie.

L'ancienne Marie est morte, vive la nouvelle Marie!!!

Je me garde bien de choisir un fitness proche de chez moi. Comme dit le proverbe, « le renard chasse toujours loin du terrier ».

Je visite donc un premier établissement qui ne me convient pas. Trop petit, mal équipé, propreté douteuse, accueil mitigé, désert.

Le second est nettement plus intéressant :

Parking en sous-sol (important pour de multiples raisons)

Etablissement moderne, personnel à l'accueil chaleureux, souriant, tarifs intéressants.

Une salle de musculation pourvue d'innombrables engins de torture, salle de gym, parois tapissées de miroirs, sauna, jacuzzi, douches, salle de repos. Tout ce que j'aime et souhaite.

Le coach sportif de me propose la visite des lieux, je suis émerveillés, enthousiaste, aux anges.

En traversant la salle de musculation j'admire quelques Apollon, de belles baraques, muscles saillants, ruisselants de transpiration.... Un attire particulièrement mon attention. Musclé à souhait, le teint hâlé, un regard bleu métal, une tignasse épaisse. Le mâle Alpha par excellence.

Un frisson parcourt mon échine, des picotements chatouillent mon bas ventre, je crois même que ma culotte a quelques gouttes mini sécrétion à éponger.

Il n'en faut pas plus pour m'inscrire.

J'aperçois aussi quelques femmes manipulant des engins, et je note mentalement les tenues adhoc pour fréquenter ce genre d'établissement. Je dois me mettre à la page.

Au retour, je fais escale dans un magasin vêtements de sport, histoire de m'équiper au goût du jour, et je rentre chez moi le cœur léger, heureuse de cette initiative qui me tenait à cœur depuis longtemps.

Je dois maintenant expliquer cette démarche à Jean. Comment va-t-il réagir.

Brève conversation avec lui, échange de banalités et il se replonge dans sa léthargie, devant son petit écran, le verre à la main. Il ne bouge quasiment pas de la maison. Un peu de jardinage, de temps en temps au stade assister à un match et le dimanche matin, c'est sacré, son PMU et l'apéro avec les copains.

Moi, je rejoins la chambre à coucher et je me déguise en « Véronique ou Davina ». J'ai acheté plusieurs tenues pour la salle de sport, mais je mets la plus sobre, la plus neutre, la plus classique, et je descends au salon, la boule au ventre, me faire passer au crible par Jean et lui annoncer la couleur sur mes nouvelles activités.

Je me plante devant le petit écran et je fais quelques mouvements de gym en guise d'introduction à mes explications.

- C'est quoi ce look, me demande-t-il? On n'est pas en période de carnaval

- Mon corps à besoin d'exercices, lui réponds-je, me suis inscrite dans un club de fitness, c'est bien, non?

- C'est très bien, pas de problème, rétorque-t-il

J'en reste baba. Pas de remarque désobligeantes de sa part. Du coup, je me retire et remonte remettre mes vêtements de ville. Oufff!!!

J'ai le cœur léger, en fête, et je suis impatiente de participer à ma première séance de fitness. Demain, je prendrai rendez-vous avec le coach sportif pour établir un petit programme, léger au départ, pour une remise en forme progressive, et « en avant la nouvelle vie ».

Il est tard, et je suis couchée avec le feu au ventre. Je suis chaude comme une allumette, j'ai besoin de câlins, de caresses, de sexe. Mais Jean, toujours devant la TV, n'est pas un extincteur. Depuis plusieurs mois les relations sexuelles entre lui et moi sont nulles.

Planquée sous la couette, seule, je repense à mon après-midi. Cette démarche, ces athlètes, bien baraqués qui sentent la sueur mélangée à des odeurs d'eaux de toilette, de chlore du jacuzzi et de crèmes auto-bronzantes. Mon corps s'emballe, je ne résiste pas.

Je retire ma nuisette, ôte ma culotte, écarte largement les cuisses et offre à mes doigts mon pubis, ma vulve et mon clitoris. L'image de ces mâles, de ces Adonis, de ces bêtes de sexe aperçues l'après-midi me tourne dans la tête et me font chavirer.

Je suis trempe. Avec mon autre main, je pétris et malaxe mes seins. Je pince mes tétons devenus durs et très réceptifs. Mon corps vibre comme les cordes d'un piano. C'est l'extase. Je suis dans tous mes états.

Tantôt je titille mon petit bouton, tantôt je plonge mes doigts dans mon vagin, grand ouvert, enflé, affamé, réclamant de l'attention et des caresses. Je retire ma main, trempée de cyprine et lèche mes doigts, un par un, comme si c'était des sucre d'orge. Hummmm!!! Comme c'est bon. Ma langue recherche les moindres traces de ce nectar sur mes doigts. Je m'imagine sucer un pénis bien dur planté dans ma bouche et me gaverait de son sperme.

Je n'ai pas besoin de me caresser longtemps. En appuyant sur un endroit bien précis de mon clitoris et en faisant des petits mouvements circulaires, je sens le plaisir arriver, progressivement, tel un volcan prêt à entrer en éruption, tel le lait sur le feu.

J'ai envie de jouir, mais je veux en même temps retarder l'explosion. Alors je ralentis, puis accélère à nouveau de plus belle, puis stop, go, stop, go, puis après quelques minutes d'agréables souffrances je décide d'ouvrir les vannes, de libérer mon corps. Ce bouquet final est d'une extraordinaire intensité. De violents coups de reins me soulèvent le bassin, tout mon corps n'est plus qu'un vagin. C'est l'extase, le Nirvana, la jouissance totale, le bonheur parfait, le top du top. Deux portes et un étage de séparation entre de homme et moi ne sont pas inutiles. Jean est un peu dur de la feuille. Il ne m'a sûrement pas entendue beugler comme un bovidé. Mon corps tout entier soudain se relâche, s'affale sur le lit, sans vie, sans réaction, sans énergie, sans substance. Je suis essoufflée, mon cœur bat la chamade, je suis vidée et follement comblée. Mon vagin fuit de partout, je baigne dans un flot de cyprine. Oh!!! Comme c'est bon!!!

Je m'empresse de faire un saut à la salle de bain, histoire d'éponger la gelée royale qui coule le long de mes cuisses. Je m'essuie seulement, hors de question de me laver. Je veux m'endormir nappée par ces effluves, par ce parfum de sexe. Je changerai le drap demain, par pure précaution.

Une fois rhabillée je me blotti à nouveau sous la couette et le marchand de sable fait le reste. Je n'entends pas Jean venir dormir. Je dis bien venir dormir et non venir me rejoindre. Il a dû, comme d'habitude, s'endormir devant la télévision.

Le lendemain matin, la fleur au fusil, j'appelle le centre fitness pour obtenir un rendez-vous avec un coach sportif. C'est fixé pour 14h. Il me reste donc quelques heures pour me préparer et me faire belle et appétissante et pas question d'arriver en retard.

Je me barricade dans la salle de bain commence à faire le ménage. Epilation des aisselles, des jambes et du minou. Je le veux impeccable au cas où un admirateur s'intéresse à lui. Le premier jour c'est peut-être prématuré et présomptueux, mais, mieux vaut prévenir que guérir et on ne fait qu'une seule fois première bonne impression,

Je fais couler un bain de mousse, parfum Ylang-Ylang, et je me plonge dans l'eau et dans mes fantasmes.

Les yeux fermés, je ne peux m'empêcher de tripoter ma foufoune qui est à peine remise de ses émotions de la veille.

J'ai de nouveau envie de me faire du bien, de me faire jouir. L'hésitation est de courte durée. Je malaxe mes seins, tripote mes tétons et fais joujou avec ma vulve. Elle ne fait pas long feu pour manifester sa présence. Elle est comme un tigre en cage, prête à bondir.

Il y a bien longtemps que je n'ai pas mis ma sexualité au premier plan. Là je comprends que le sexe c'est comme les cacahuètes : quand on commence, on ne peut plus s'arrêter. Comme la veille, je pianote sur mon clitoris et je jouis presque instantanément. Moins que la veille, mais un joli orgasme tout de même.

Bon, il faut que je m'active.

Une fois épilée, je passe le gant de crin partout, oui partout, je me rince, je sors de l'eau, me sèche et me tartine de crème hydratante. Je brille comme un sou neuf.

Escapade au fitness en vêtements classiques. Les changements trop brutaux créent la suspicion et appellent des questions. Retour en cuisine, je concocte un petit brunch léger que je dévore seule, Jean est sorti, exceptionnellement.

Je laisse un petit mot sur la table « de retour vers 18h » sans autre explication. Je vérifie et embarque mon sac de sport, saute dans ma voiture, et.... Vogue la galère.

Arrivée au point « A », A comme aventure, le point « G » c'est une autre histoire, je parque au sous-sol et rejoins mon lieu de rendez-vous.

Le coach est là, il m'attend.

- Bonjour Marie, je me prénomme Rocco et je suis votre coach attitré. Si vous avez des questions, des problèmes, des souhaits, des suggestions, c'est à moi que vous devez vous adresser.

Il est pas mal ce mec, il doit être Espagnol ou Italien. Le seul Rocco que je connaisse, c'est Rocco Siffredi, la star du porno. Si mon Rocco à moi est aussi performant que la star, j'aurai besoin de lui assez tôt.

- Vous permettez qu'on se tutoie, on est appelé à se côtoyer d'assez près, alors autant briser la glace d'entrée. Voilà, pour débuter, quelques petits exercices à exécuter sur nos différents engins. En route!!!

Nous passons en revue une belle série d'appareils, et à chaque fois, Rocco me dit quoi faire et corrige ma position si nécessaire. Une main sous le menton, une main sur l'épaule, une main sur l'abdomen, une main sur mes hanches, une main sur mon fessier, une main sur mes cuisses, en fait, il m'a touchée presque partout, histoire faire l'exercice correctement. Je dois sincèrement avouer que ses mains expertes touchant mon corps à maintes reprises étaient loin d'être une punition, un supplice pour moi, bien au contraire. Je suis une épidermique.

En passant d'un engin à l'autre, je zieute à gauche et à droute, espérant apercevoir l'homme aux yeux bleus de la veille, l'homme de mon fantasme, l'homme de mon orgasme. Un brin déçue, mais je vais certainement le revoir.

Je gémis, soupire, sue, peste, grimace, transpire pendant une heure en compagnie de Rocco, puis il me libère avec un large sourire, m'encourage et me complimente :

- Pour une première séance, c'est amplement suffisant. Tu as bien travaillé, ta silhouette est très bien. On va raffermir tout ça et tu vas devenir la coqueluche de l'établissement.

En disant « raffermir tout ça » et il profite de tripoter mes fesses, mes hanches, mes cuisses, et montre du doigt ma poitrine, sans la toucher, dommage. Bon, je ne me fais aucune illusion, le personnel a certainement des garde-fous stricts vis-à-vis de la clientèle.

Après l'effort, le réconfort. Je me dirige au local de douches, histoire de décompresser et me débarrasser de ces perles de transpiration, ensuite, mon idée est de me plonger dans les bulles du jacuzzi.

Je n'ai pas remarqué, la veille, que le local de douches est mixte, qu'il y a des cabines de chaque côté du couloir. L'intimité est matérialisée par un pseudo rideau translucide, qui protège des projections d'eau mais pas du voyeurisme.

D'un pas mal assuré je traverse l'allée centrale des douches, lentement, mais sans m'arrêter et je remarque que deux hommes occupent la même douche et sont en train de se savonner mutuellement. Voilà autre chose.

Un carillon tinte en permanence dans ma tête. « Sois patiente, ne te jette pas sur toutes les opportunités que tu croises. A ce rythme, tu vas devenir la pute de l'établissement, garde la tête sur les épaules, tu as un conjoint et une réputation à préserver ». C'est vrai, pendant toutes ces années passées avec Jean, je ne l'ai jamais trompé, physiquement je veux dire. Par contre, dans ma tête j'ai baisé et l'ai trompé des dizaines de fois. Des collègues, des voisins, des commerçants, des membres de la famille, des ouvriers venus faire des réparations à la maison, j'ai baisé avec tous, mais toujours dans ma tête, dans mes fantasmes. Cela doit changer, bien sûr, mais raisonnablement. Je ne vous dis pas le nombre de masturbations que je me suis offerte en pensant à un autre homme qu'au mien.

Je me suis donc douchée, bien savonnée, partout, partout, partout, enfilé mon mini deux pièces et, direction le jacuzzi. Oui, clôturer ma première journée par un bain de bulles, et tout sera parfait.

Nouvelle surprise.

Un jeune couple, la trentaine, barbote dans les bulles. Leurs maillots de bain sont déposés sur le bord du bassin. Ils sont nus, se tripotent et se câlinent, nullement effarouchés par mon arrivée. Je suis plus gênées qu'eux. Je fais volte-face pour ne pas les déranger, décide de repartir.

- Venez donc, vous ne dérangez pas, bien au contraire, me murmura la nymphette avec un radieux sourire.

J'étais encore hésitante

- Venez chère Madame, je vous assure, non seulement vous ne dérangez pas, mais vous nous faites plaisir. On se sent un peu trop seuls.

En disant cela il se lève, exhibe un magistral pénis en pleine extension. J'ai un coup de sang et une montée d'adrénaline comme jamais auparavant. «Quel beau membre, quelle belle érection ».

Du coup je me glisse discrètement et délicatement dans les bulles, ferme les yeux, apprécie les jets d'eau qui me massent la colonne vertébrale et les mollets et tente de faire taire ma libido.

Sous l'eau bouillonnante, trois paires de pieds se rejoignent au centre du bassin, ce qui occasionne des attouchements plus ou moins volontaires, plus ou moins appuyés. C'est très excitant. Par moments, nos regards se croisent et les intentions sont absentes de toute équivoque.

Le couple continue allégrement ses ébats et se rapproche de moi, lentement, progressivement, mais sûrement.

Et moi je suis là, les yeux mi-clos, lascive, attentiste, curieuse, goûtant sans retenue au plaisir de ces bulles sur mon corps.

Je n'attends pas longtemps. Une main, sous l'eau, effleure et caresse l'extérieur de ma cuisse. Légèrement d'abord. Surprise. C'est la main douce de la jeune femme. Une ravissante nana, jolie, bien modelée et bien musclée. Elle est probablement membre du fitness depuis longtemps. Je suis paralysée de trouille et de désir en même temps. C'est l'impasse, le piège, le traquenard. Ma curiosité me demande de jouer le jeu. Alors je joue le jeu.

La jeune coquine ne voyant pas d'opposition de ma part, continue allégrement à promener sa main, se rapprochant dangereusement et délicieusement de mon entre-jambe. C'est la première fois qu'une femme pose sa main sur moi...(je ne parle pas de ma gynécologue). Cette nouveauté ne me déplaît pas. Elle a le geste doux, habile et précis.

Elle me fixe du regard, un regard de chatte en chaleur, rempli de tendresse et de désir, un petit sourire anime ses lèvres. Elle est craquante.

En même temps elle écarte légèrement le tissu de mon maillot, et furtivement, grâce à la finesse et la dextérité de ses doigts, réussi, sans réelle difficulté, à introduire son index dans ma vulve. Une décharge électrique me parcours des pieds à la tête.

Une femme me caresse la foufoune. Incroyable. Mes yeux restent clos, je cambre les reins et soulève légèrement mon bassin pour lui faciliter cette divine agression. Je ne me reconnais plus. Moi, avoir des attouchements sexuelles avec une autre femme, si on m'avait dit cela ce matin, j'aurais éclaté de rire. Et pourtant, là, Je ronronne, je suis bien, heureuse. Je sens mon sexe se gonfler, le sang battre mes tempes. C'est une spirale infernale.

Entretemps, le compagnon de ma délicieuse effrontée, l'homme à la belle bite, viens coulisser par l'autre côté du jacuzzi. Je suis donc en sandwich, coincée entre ELLE et LUI. Les cuisses de mes deux baigneurs collées aux miennes.

Lui, d'une main hardie et ferme saisit ma main, l'attire vers lui et la dépose sur son sexe toujours en position optimale. Dur à souhait. Une verge magnifique.

La tentation est énorme, mais je crois que c'est le geste de trop. Pour aujourd'hui en tout cas.

Je retire ma main tranquillement de son ogive, je décroche mon plus beau sourire avec un signe négatif de la tête.

- Non, pas aujourd'hui, dis-je en laissant une porte ouverte pour à une éventuelle suite future.

L'heure tourne et j'avais informé Jean de rentrer vers à 18h.

Je prends congé de tout le monde avec sourire de satisfaction évident. Ma prochaine visite ne devrait pas tarder.

Dans la voiture, sur le chemin du retour, je chante à tue-tête, le cœur gros comme un jambon. Je viens de faire un pas de géant. J'ai fait en un après-midi ce que j'ai rêvé de faire durant des décennies. Et ce n'est que le début.

Jean m'a demandé comment s'était passée cette première leçon de gym. Je lui ai fait un résumé détaillé de la salle des agrès, en taisant, bien entendu, la partie récréative qui a suivi.

J'ai hâte d'attaquer mon second entraînement.... A suivre

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4 Commentaires
LuceloiLuceloiil y a 10 joursAuteur

Bonjour OdetteMaso,

Ravi que mes petites histoires vous aient diverti. Je vais m'attaquer aux vôtres et donnerai mes appréciations, si vous le voulez-bien

OdetteMasoOdetteMasoil y a 14 jours

Très joliment écrit ! La vie de couple de cette femme qui ressemble à "du chewing-gum que l'on a mâché toute la journée" et qui n'a plus de saveur, ressemble malheureusement à tant d'autres.

Mais elle prend le taureau par les cornes et on peut lui promettre du bon temps.

LuceloiLuceloiil y a 16 joursAuteur

Bonjour APVapv,

Merci pour le commentaire.... Si la scène du jacuzzi te rappelle quelques bons souvenirs, n'hésite pas à les publier ou m'en faire part.

Pour la suite, ça sera en cours de semaine.

Amicales pensées libertines

APVapvAPVapvil y a 17 jours

J'ai beaucoup apprécié les réflexions de cette femme. Sa métamorphose est graduelle et finement explicitée.

La scène du jacuzzi m'a rappelé de doux souvenirs.

J'attends donc la suite de ce récit.

Merci

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