Un Réveillion Inoubliable ( Suite )

BÊTA PUBLIQUE

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Nous nous dirigeons vers les cinq marches sous une pluie d'applaudissements. Arrivés à côté de Georges, ce dernier tend la main à ma femme, la fait mettre à côté de lui, elle se retrouve entre nous deux, elle me tient toujours la main, mais elle me serre plus fort. Mon cœur bat fort, je pense que le sien aussi.

-- Voilà les amis, je vous présente Thanh et Allan. Y a-t-il une objection contre leur adhésion?............ Non, très bien.

S'adressant à nous:

-- le quel de vous deux domine?

-- Moi!, je réponds.

Très bien, Toi Thanh, es-tu prête à lui donner et à nous donner ton corps?

_ OUI j.....e le veux

_ Très bien, Mais quand tu parles à un homme, tu devras dire maitre, même à ton mari. Tout manquement sera puni, tu comprends.

_ Oui.......... Maitre.

_. Bon, c'est bien, enlève ta robe!

Elle s'exécute et apparaît nue, une petite rougeur sur les pommettes. Il la fait tourner sur elle-même, son image est diffusée sur les écrans. C'est irréaliste, ma femme nue exposée devant un public, il y a deux semaines, elle n'aurait jamais accepté, même devant un seul homme. De plus, elle a l'air d'aimer ça, les pointes de ses seins m'indiquent son excitation.

Georges a également remarqué ses seins. Il en prend un en main, le soupèse, regarde l'élasticité. De son autre main, il lui caresse le dos, puis descend sur ses fesses qu'il palpe allègrement. Elle m'a lâché la main.

_ Je vous jure, les amis, qu'elle a la peau très douce et très souple. Vous pourrez remercier Allan pour ce cadeau.

Il se retourne vers moi.

_. L'as-tu fouettée, corrigée? Elle subit ou elle aime.

_ Je ne sais pas, c'est tout nouveau pour nous deux, mais je pense qu'elle aime inconsciemment.

Il lui prend le menton, la regarde droit dans les yeux. La caméra montre son visage en gros plan.

_Pratique-tu la sodomie, la double pénétration, est-tu une bonne suceuse?

Oui, Maître, j'aime tout!

_Très bien, vous avez tous entendu.?

Il se baisse, ramasse sa robe, la lui tend.

_ C'est bon pour ce soir, va t'amuser un peu, je dois parler à Allan.

Il me fait signe de le suivre, on disparaît par la petite porte derrière, il est toujours nu. Il pousse une autre porte, on se retrouve dans un bureau, il me tend des papiers, c'est un contrat, je le lis rapidement : clause de confidentialité, puis acceptation d'offrir ma femme à tous les membres de la confrérie, sans retenue;

suit une liste des pratiques consenties pour ma femme. À savoir que tous ses orifices pourront être utilisés dans toutes les combinaisons possibles, les sévices seront toujours proportionnés à la douleur. On ne cherche pas à mutiler une personne, si la douleur devient trop forte, il lui suffira de dire le mot (rouge) pour tout arrêter. De plus, elle doit obéir aussi bien aux hommes qu'aux femmes, elle n'a pas le droit de se refuser.

Je m'engage à régler ma cotisation en espèces.

Je signe et paraphe les feuilles. Il les range dans un tiroir, puis me dit :

_ Allons voir Thanh lui expliquer notre contrat.

De retour à notre table, il y a plusieurs personnes et je ne vois pas ma femme. Comme on s'approche, les personnes s'écartent pour laisser passer Georges.Le spectacle est magnifique, ma femme est couchée sur la banquette, un homme à genoux entre ses cuisses la soulève par la fesse, lui pilonne la chatte, mais elle ne peut pas nous voir, elle a la tête enfouie entre les cuisses d'une blonde plantureuse et la déguste comme un fruit mur.

_ C'est très prometteur, me dit Georges, elle n'a pas froid aux yeux et s'adapte rapidement.!

L'homme jouit en premier, et lui décharge tout son sperme au font de la chatte, il la tient un moment, puis sa bite étant mole, il la dépose délicatement, la fille n'en finit pas de roucouler, puis le visage de ma femme est envahi de cyprine. Le jus lui coule sur les joues.

Thanh reprend ses esprits, réalise ma présence, elle se lève et vient me rouler une pelle, me laissant le gout de cette femme.

Georges fait un signe de la main et tout le monde s'éclipse. Il fait assoir Thanh, je m'installe à côté d'elle. Je réalise que je suis le seul encore habillé.

Il la regarde droit dans les yeux, il avance la main, lui saisit le téton droit et le roule entre son pouce et l'index.

Je sais qu'elle aime que l'on s'occupe de ses seins, et surtout de ses gros mamelons. Elle ferme les yeux.

_ Je vois que tu es très sensuelle et très réceptive.

Puis, tout en continuant sa caresse, il lui redit tout le contenu du contrat et lui indique que je l'ai signé.

Elle a toujours les yeux fermés toute à sa caresse, et imperceptiblement, elle écarte les cuisses en ouvrant sa chatte baveuse.

Georges commence à bander, et moi, j'ai très envie de la prendre également.

_Thanh, as-Tu as bien compris tout ce que je viens de te dire?

Elle ouvre les yeux.

_ Oui, Maître.

Dans un mois, on se réunira à nouveau et tu seras la Reine de la soirée. Tu seras intronisée.

_ Pourquoi attendre un mois? Maitre.

Elle a dit ça à voix basse, juste un murmure.

Je n'en crois pas mes oreilles, elle est prête à se faire maltraiter. Et j'aime ça.

_ J'ai bien entendu, tu serai prête à te soumettre?

_ Oui Maitre

_ Alors soit, si Allan veut bien, on y va!

Il la prend par la main ; me regarde, je lui fais oui de la tête, ils se dirigent vers l'estrade.

Les lumières se tamisent, seule la scène est dans la lumière. Georges tient toujours ma femme par la main.

La situation l'existe au plus haut point, ses seins sont gonflés à bloc, elle a le souffle cour.

Je n'y tiens plus, je me met nu, et caresse ma bite qui est droite et gonflée.

Georges explique à l'assemblée le désir de ma femme de se soumettre ce soir, sans attendre la prochaine réunion. Un tonnerre d'applaudissement retentit.

Sur l'écran, les trois mêmes termes s'allument.

Le fouet, les pinces, le chevalet, les votes s'affichent, je vote également après hésitation : je regarde Max qui vote pour le chevalet, j'hésite, puis j'opte pour le fouet.

Tout le monde a voté, je regarde, les pinces l'emportent avec 10 points, puis le chevalet 9 points et 6 le fouet.

Le silence se fait, Georges prend la parole

_ Qu'il soit fait selon votre bon vouloir.

Il fait descendre le crochet du plafond. Un des serviteurs lui amène une table avec différents objets, mais on ne voit pas très bien ce qui s'y trouve.

, Il prend un bandeau, et le pose sur les yeux de ma femme, puis une petite barre avec trois anneaux un au milieu sur la barre, et deux aux extrémités sous la barre.

Il passe le crochet à l'anneau du milieu, puis il prend les mains de Thanh, lui passe deux larges bracelets de cuir fourrés, et à l'aide de mousquetons, il accroche chaque poignée à un anneau. Il la soulève un peu, ses bras sont dans l'alignement de ses épaules, les pieds touchent le sol.

Ensuite, il lui pose tout en haut des cuisses deux lanières de cuir munies de crochets. Je vois que Thanh frémit. Il recommence à la lever, ses pieds décollent à peine du sol. Il prend une autre barre et lui entrave les pieds, mais cette barre est faite de deux parties, l'une coulissant dans l'autre. En les écartant, il lui ouvre les jambes au maximum. Il s'arrête quand Thanh commence à gémir. Elle est très souple et se retrouve à faire le grand écart à 1 m environ du sol. Il verrouille la barre avec une clavette. Il fait redescendre légèrement ma femme, sa chatte est à peine à 50 cm du sol. Il se retourne, les gens applaudissent.

J'ai le souffle court, Max me sourit, une femme est entre ses jambes et le suce en regardant la scène, il fait un petit signe de la tête et une toute jeune fille vient me prendre en bouche. Je suis tellement excité que je décharge toute ma semence dans cette bouche. Elle me nettoie et continue sa pipe.

Sur scène, Max a pris quelque chose sur la table, mais je ne vois pas ce que c'est. Je le réalise vite quand je le vois porter ses deux mains vers les seins.

Elle a un sursaut, mais aucun son ne sort de sa bouche. Sur les écrans, on voit la poitrine de Thanh : deux pinces serrent ses tétons gorgés de sang, l'excitation les ayant anormalement fait grossir, ils ont presque la grosseur de la phalange de mon pousse.

Je rebande fort, Thanh, elle,se mord la lèvre inférieure.

J'ai les yeux rivés sur ma femme, elle ne dit rien, même pas un gémissement. Son tortionnaire reprend deux pinces. Georges la fait remonter, la chatte à hauteur de sa taille, il lui écarte les grandes lèvres, lui masse la chatte, puis il pose deux autres pinces sur les lèvres, elles ont de petites chaines. Il tire de chaque côté et ouvre son sexe outrageusement quand il ne peut plus tirer, Thanh poussant de petits cris. Il attache les maillons aux crochets des jarretières en cuir.

En gros plan sur les écrans, on voit la chatte distendue, son petit abricot rosé, avec un peu de sperme qui s'échappe. Le doigt de Georges est introduit dans ce fruit, il remonte un peu et trouve le clitoris. Sous la caresse, elle ne peut s'empêcher de rouler les hanches bien qu'elle soit entravée.

Il prend l'appendice entre le pouce et l'index, et remonte le capuchon. Son clitoris est très visible, engorgé de sang, il joue avec faisant râler Thanh. Puis brusquement, il place de son autre main une pince sur le bourgeon, arrachant un cri inhumain.

Elle se met à transpirer, la sueur lui coule entre les seins, je pense qu'elle vat prononcer le mots qui doit tout arrêter.

Il n'en est rien, elle se calme, souffle fort. Voyant qu'elle se calme, il lui met deux poids aux pinces des seins et un autre à la chatte. Les seins se déforment inexorablement vers le bas, de même que son clitoris. les gens murmure;

La balance, la balance, la balance!!!!!

Georges se retourne face au public, fait une révérence, puis passe derrière la suppliciée. Il la met avec sa télécommande à la hauteur de son sexe, il l'attrape par les hanches et la pousse vers l'avant ; quand elle revient, il l'agrippe de nouveau et lui enfonce sa bite dans le cul, puis elle repart en avant, revient et s'empale sur sa queue. Elle pousse des cris abominables, les poids se balancent également, lui triturant les seins et le clito.

Puis, elle crie de moins en moins, et à mon étonnement, elle se met à râler. Je n'en reviens pas, elle prend du plaisir. À chaque fois qu'elle s'empale, elle dit Oui! Oui! :.Elle se met a jouir, un orgasme fulgurant.

Je fait relever la fille qui est à mes genoux, je la retourne et la fait assoir sur ma queue bien dure. Elle enfile ma bite dans son con tout chaud, mais ce n'est pas ce que je veux. Je la soulève et l'avance un peu, elle a compris et dirige avec sa main ma bite sur son œillet. Elle se laisse tomber, son cul claque sur mes cuisses, elle n'est pas très serrée, je ne dois pas être le première de la soirée, mais j'ai tellement de hargne que je l'encule violemment, lui massacrant les seins.

Sur la scène, Georges a vidé ses couilles dans le cul de ma femme, il a le sexe tout mou. il repasse devant et, sans arrêter le balancement du corps, il enlève une à une les pinces des seins, puis il les frotte de la paume de la main. La douleur doit être vive, mais Thanh serre la mâchoire et n'émet plus un son. Ensuite, il enlève la pince du clito puis libère les lèvres qui referment sa chatte, mais son clitoris est tellement déformé que sur les gros plans des écrans, on le voit dépasser un tout petit peu des lèvres

Il la soulève plus haut, puis lui détache les chevilles. Elle fait bouger ses jambes, avec difficulté, on voit qu'elle est ankylosée... Ensuite, il la redescend, mais arrête les pieds à 10 cm du sol. Tout le monde applaudit.

Il lui enlève le bandeau. Elle me cherche du regard, je lui fais signe de la main, elle me sourie. Je la trouve très belle, je me dis que je l'aime, malgré la fille qui saute sur ma queue.

Je pense que c'est fini, mais Max me regarde.

_Maintenant, c'est le fouet.

_ Comment ça, le fouet?

_ Oui! Pour l'intronisation, ce n'est pas une épreuve aux choix, ce sont les trois et dans l'ordre des votes.

_ C'est pas possible, elle ne va pas pouvoir!

_ Ce n'est pas sûr, elle est très courageuse, et de plus elle réagit très bien, on dirait qu'elle aime ça. Très peu de femmes résistent aux pinces, elle, elle a été jusqu'au bout. Laisse la faire, elle peut toujours arrêter quand elle veut.

_ Et le chevalet, c'est quoi?

_ Laisse tomber, c'est toi qui l'as amené ici ; alors assume.

Georges se lève sur la pointe des pieds, embrasse ma femme, un long baiser, et elle le lui rend, il n'y a pas de doute.

_ Veut-tu arrêter, tu es très courageuse?

_ Non maitre

Il se dirige au mur et décroche un martinet.

Au premier coup, elle sursaute et pousse une petite plainte. Elle est fouettée plusieurs fois sur les fesses, elle a le cul tout rouge avec de fines zébrures, tout le monde a compté et même applaudit.

L'épreuve est finie, Des larmes coules sur ses joues.

Les deux serviteurs viennent, la détachent. Ils sont obligés de la soutenir,

Pendant toute la flagellation, elle n'a pas émis un son, elle s'est tortillée, sous les coups, mais pas une plainte.

Ils la font assoir sur un pouf en fourrure, mais son cul lui fait mal, elle se relève pendant ce temps, la barre est remontée au plafond, puis ils installent au centre de la scène le fameux chevalet.

L'engin est installé au centre de la scène. Ils prennent Thanh par les bras, la font installer de dos couchée sur le chevalet. Celui-ci doit faire 20 cm de large, mais il n'est pas très long. Il est rembourré et recouvert de cuir rouge. Ils attachent la malheureuse, un membre à chaque pied du chevalet. Elle est donc couchée sur le dos, la tête légèrement en arrière, un plan incliné, rembourré lui retenant la nuque, le cul dans le vide, l'engin s'arrêtant juste sous les fesses.

Ils installent une barre entre les deux pieds où sont attachées ses chevilles, ce qui leur permet de régler l'écartement des jambes et donc des cuisses. Elle est donc exposée, la chatte grande ouverte.

L'un des hommes prend une télécommande et il fait monter et descendre le bassin de Thanh. Des vérins se trouvent dans les 2 pieds du chevalet, permettant de positionner le corps à la hauteur voulue.

Les deux hommes disparaissent, Georges s'avance :

_ Mes amis, voilà la dernière épreuve pour Thanh. Vous savez tous comment cela se passe, alors elle est à vous pour une heure. Prenez, et donnez lui du plaisir. Et pour ceux qui le désirent, la salle de SM est ouverte. Bonne soirée.

Beaucoup de personnes, hommes et femmes, se lèvent et se dirigent vers l'estrade.

Je n'ose bouger, mes yeux sont rivés sur l'écran, il est partagé en deux, d'un côté un gros plan sur la tête, l'autre sur l 'entre jambe.

Le premier homme se présente, règle la hauteur du chevalet, et lentement prend possession de la chatte offerte. Un autre lui présente sa queue, elle ouvre la bouche et enfourne cette bitte au fond de sa gorge. Elle ne peut rien faire, que de se faire baiser la bouche et la chatte. Je comprends, que pendant une heure, elle va servir de vide couilles.

Certains la sodomisent en réglant ses fesses un peu plus hautes, presque tous se vident dans ses entrailles ou dans sa gorge. D'autres préfèrent lui éjaculer sur les seins, le ventre et même le visage. Il y a des femmes qui viennent se faire manger la chatte, et je vois ma femme accepter tout cela sans autres formalités. Même. Max se fait la bouche de Thanh.

Je suis seul assis sur ma banquette, nu. Je bande, je suis excité de voir ma femme se faire défoncer par tous ses orifices, je jouie même sans me toucher, tellement je suis excité, mon sperme se répand sur ma cuisse, heureusement, il y a des rouleaux de papier pour se nettoyer.

Je suis subjugué par cette vision, mais je me demande comment elle va me revenir et quels seront nos rapports, ne suis-je pas allé trop loin?

Enfin, l'heure est terminée, les deux serviteurs viennent, la délivrent, lui nettoie le visage, l'enveloppe dans un linge blanc et tous trois disparaissent derrière la petite porte.

Je ne sais combien d'hommes elle a satisfaits, d'autant que certains, très en forme ou un peu dopés, l'ont honorée plusieurs fois.

Je cherche Max, mais je n'arrive pas à le localiser. La jeune femme qui m'a laissé user de son corps comprend ma détresse. Je me demande où est passée ma femme.

Elle vient vers moi:

_ Ne t'en fait pas, ils vont bien s'occuper d'elle, ils vont lui faire une toilette, un docteur va l'examiner, dans une demi-heure, la porte se déverrouillera et tu pourras aller la chercher. Viens avec moi, je te fais visiter la salle SM.

Elle m'attrape par la taille et m'entraine. Son corps nu contre le mien me procure une étrange sensation.

Je suis étonné par ce qu'il se passe. sur les trois murs, une quantité d'anneaux, sont fixés aux murs, des femmes sont attachées, un peu dans toutes les positions, une grande croix de saint André trône au milieux de la pièce, une femme un peu âgée, flagelle un jeune homme attaché, il cri sous les coups, lui labourant les parties génitales et la poitrine, a coté un chevalet, rudimentaire, en bois sur lequel est attachée une femme qui se fait enculer par un monstre, un gaillard qui doit faire 100kg, 2m de haut, et un membre incroyable, il entre et sort entièrement de son cul, laissant apparaitre un trou béant, puis il la défonce avec violence, mais les cris de la fille sont plus de plaisir que de souffrance, Elle l'invective à aller plus loin. Je cherche Max, mais je n'arrive pas à le localiser..

La fille m'entraine vers une table, à côté du laquelle il y a un poteau. Elle se colle dos au poteau, passe ses mains derrière le poteau :

_ Je suis à toi, fait ce que tu veux

J'hésite, sur la table, il y a des menottes fourrées, des cordes, des petites pinces à seins réglables, une roue avec des piques, des pinces comme des tenailles et divers objets dont je ne sais à quoi cela peut servir.!

Aller, ne sois pas timide, tu es là pour ça, et moi aussi, je suis là avec mon frère, mais il est occupé, alors fait-moi jouir.

Je prend les menottes et lui attache la main. Je passe devant elle, elle est magnifique. Je l'embrasse, tout en lui triturant un sein. Sa langue est fraîche, elle s'enroule autour de la mienne. J'ai les tempes qui battent, j'ai envie de faire mal à cette jeune fille, de me venger de ce qui a été fait à ma femme. Cette fille est sublime, ses lèvres tremblent, elle a compris que je vais la maltraiter. Je saisis deux pinces à tétons

Ce sont deux petites bagues avec une vis. J'enfile la première bague sur le téton et vis. Au bout de la vis, il y a une petite plaque en arc de cercle qui vient comprimer le petit appendice. Plus je vis, plus elle se raidie. Je suis au bout de la vis, le bout de sein qui dépasse est incroyablement blanc, vide de sang. Je fais de même avec l'autre. Elle ne peut s'empêcher de gémir.

Avec mon pied, j'écarte les siens Je glisse mes doigts dans sa chatte, elle est chaude et baveuse, j'enfile deux doigts, elle souffle un peu plus rapidement, de ma main libre, je lui caresse la poitrine, mais vraiment des caresses, je palpe délicatement chaque sein à tour de rôle, puis j'aperçois sur la table un tube de lubrifiant. Je le saisie, m'enduis les doigts de la main droite d'une grande quantité de gel. Je reprends avec l'autre main mes palpations, et en la regardant droit dans les yeux, sans prévenir, j'enfonce mes quatre doigts et mon pouce dans sa chatte. Je fait tourner mon poignet.

_ Pas ça! Je ne l'ai jamais fait, tu vas me déchirer, je t'en prie, non!

Le sang tape plus fort dans ma tété, je n'entends rien, je veux l'entendre crier, rien de plus ne compte. Je ressors ma main, remets du gel et reprends ma progression. Je fait tourner mon poignet, elle essaie de resserrer les cuisses, mais rien n'y fait, mes doigts entrent inexorablement dans son con.

Elle souffle très fort, elle grimace, j'appuie encore plus fort, sa chatte est distendue au maximum, puis pratiquement d'un coup, elle s'écarte encore plus et ma main a disparu jusqu'au poignet.