Les malheurs de Sophie

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Elle aime allumer les hommes.
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Rainett
Rainett
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Une jeune femme sexy aime aller danser dans les clubs, où elle allume impitoyablement les mecs pendant que son mari surveille à distance. Une fois, quatre beaux jeunes gens qu'elle taquinait, l'enlèvent après avoir mis un sédatif dans sa boisson. Jusqu'à ce que le mouvement des femmes y mette un terme, avant le milieu des années 1970, il était courant que la police interroge les victimes de viol en leur posant des questions telles que :

« Avez-vous apprécié? »

« Êtes-vous sûre de n'avoir rien fait pour l'exciter? »

« Quels vêtements portiez-vous? N'était-ce pas un peu trop révélateur? »

C'était scandaleusement gênant, et les groupes de femmes l'ont qualifié de deuxième viol commis par la police. L'outrage commis par l'interrogatoire de la police pouvait souvent être pire que le viol initial, et les femmes évitaient souvent de signaler un viol, car elles savaient que la police les soupçonnerait de mauvais comportement.

Je n'aime pas du tout les histoires de viols brutaux où, après que la femme soit menacée et terrorisée, elle en profite, car son corps réagit, et elle finit par avoir des orgasmes. Cela est peu crédible, et ne peut se produire que dans le cas rarissime du syndrome de Stockholm. Quoi qu'il en soit, je n'aime pas les histoires qui incluent plus de violence que nécessaire, comme une petite fessée à une femme consentante, sauf en cas de vengeance contre ceux qui ont initié la violence.

Néanmoins, je peux apprécier les histoires de peur de la douleur et d'intimidation. La personne craint les conséquences encore plus que la douleur. Assumer ses peurs et sa douleur d'accord, mais est-ce possible ensuite qu'une femme puisse profiter des obscénités qu'elle subit? C'est pourquoi je me suis intéressé aux aventures de la malheureuse Sophie.

Sophie ne fait rien de mal. Cependant, elle se met en danger en allant danser dans des clubs, et en allumant des hommes. Elle les aguiche, elle les chauffe en leur faisant croire que ces hommes peuvent la baiser, puis elle disparaît en les laissant déconfits. Bien sûr, les gars ont un sentiment de haine envers cette belle salope qui les a trompé, mais au bout de quelques heures, voire de quelques jours, tout cela s'estompe, et les gars passent à autre chose.

En prenant soin de changer de club à chaque sortie, les risques de retomber sur le même gars, et qu'il veuille se venger, sont presque nuls. Grâce aux nombreux succès obtenus en jouant à ce jeu dangereux, Sophie s'enhardit et prends plus de risques. Si elle se fait prendre, est-ce que ça justifie le viol vengeur?

Sophie, très belle jeune femme de 22 ans, un peu salope, adore aguicher les hommes. Surtout, Sophie adore ce petit jeu parce que Robert, son mari, adore regarder sa femme allumer les hommes. Robert emmène Sophie, vêtue d'une tenue très révélatrice, en discothèque, dans un club un peu libertin.

Sur la piste de danse, elle s'exhibe et excite sans pitié les hommes présents. Surtout un groupe de quatre jeunes hommes, probablement inexpérimentés, qu'elle rend complètement fous de désir. Sophie se frotte contre eux en dansant, poussant son cul contre leurs bites, en laissant leurs mains tâter ses rondeurs. Robert surveille la scène depuis son poste d'observation, au bout du bar, et regarde.

Il adore regarder des jeunes mecs sexys chauffer sa femme en la palpant, et en essayant de la convaincre d'aller ailleurs, dans un endroit discret. Lorsqu'un jeune homme devient un peu trop pressant, elle lui dit qu'elle s'absente un moment pour aller aux toilettes. Lorsqu'elle revient, elle se frotte contre lui et lui donne sa culotte. Les autres gars sont comme des fous, les sens exacerbés, prêts à la violer au milieu de la piste de danse.

Ils l'entourent, se frottent contre elle, les mains baladeuses, les yeux fous de désir. Sentant le danger, elle leur dit à nouveau qu'elle revient tout de suite, s'esquive, retrouve son mari à la porte des toilettes, enfile un manteau qui la dissimule, et ils s'enfuient tous deux avant que les gars désemparés ne réalisent qu'ils ont été bernés. Bien à l'abri dans la voiture de son mari, Sophie se détend :

« J'étais tellement excitée. Si tu ne m'avais pas sauvée, j'allais les laisser me baiser » Aussitôt, elle se penche sur son mari, libère sa verge dressée pour le sucer pendant qu'il conduit. Arrivés à la maison, c'est une baise sauvage qui évacue le trop-plein d'émotions. Et les gars frustrés ressassent leurs rancœurs.

Un week-end sur deux, Robert et Sophie vont dans un club et se livrent à leur jeu favori. Une fois, sur la piste de danse, Sophie a réussi à faire gicler un gars dans son pantalon. Probablement un puceau. En le voyant devenir tout rouge, Sophie, sans cesser de danser, l'a attrapé par-dessus le tissu de son pantalon pour le secouer avec énergie, jusqu'à ce qu'il gicle.

Une autre fois, Sophie a suivit sa victime jusqu'à sa table, ce qu'elle n'avait jamais fait auparavant. Mais son visage boutonneux et sa gêne l'ont convaincue que ce jeune gars était inoffensif. Sous la table, les mains de Sophie se sont activées jusqu'à ce que le gars éjacule dans ses vêtements. Il est resté tout penaud, avec la tache qui s'élargissait.

Satisfaite de sa duplicité, elle a recommencé ce petit jeu, à l'insu de son mari qui n'aurait probablement pas été d'accord. En choisissant bien sa victime, un jeune homme isolé, un peu timide et inexpérimenté, elle passait un moment à le taquiner. Assise face à lui, elle quittait une chaussure et le massait avec son pied. Assise à côté de lui, la main sous la table, elle palpait et triturait son bâtonnet jusqu'au résultat escompté.

La table cachait ses agissements aux yeux de son mari, qui la surveillait de loin, mais pas des tables voisines, ou des danseurs proches d'elle. Le jeune gars, tétanisé, se laissait faire en ne parvenant pas à croire en sa bonne fortune, jusqu'à ce qu'il se retrouve couillonné, avec les vêtements pleins de sperme, et la jolie fille envolée.

Robert adorait regarder Sophie se chauffer avec les jeunes gars. Même s'il ne distinguait pas tout ce qu'elle faisait, il savait qu'elle lui raconterait tout à leur retour à la maison. Il savait par expérience que, plus elle restait longtemps avec un gars, à le chauffer, plus elle serait excitée en rentrant à la maison.

De plus, Sophie a beaucoup d'imagination pour raconter ses aventures coquines à son mari, en omettant ce qui risquerait de lui déplaire, et en ajoutant des détails croustillants qui pourront l'émoustiller. Sophie est une jeune femme coquine. Elle l'était avant de connaître Robert, et le mariage ne l'a pas corrigée. Et puis Robert n'est pas toujours là, à la surveiller.

Que le garçon soit seul, ou qu'ils soient toute une bande, Sophie sait comment distraire les hommes. Et quand Robert est absent, si une occasion se présente, avec un jeune homme séduisant, pourquoi ne pas se faire un peu de bien?

Sophie et Robert fréquentent une douzaine d'endroits différents. Ils changent souvent de terrain de jeu pour éviter de se retrouver en face de leurs victimes. Généralement, ce sont des gars timides et inoffensifs, mais on ne sait jamais, l'agneau peut devenir enragé si on le pousse à bout. Au bout d'un certain temps, les gars oublient et passent à autre chose.

Deux semaines plus tard, Sophie a eu de nouveau le feu aux fesses, et Robert l'a emmenée dans un club afro cubain, dans un quartier mal famé de la vieille ville. Difficile pour Robert de se dissimuler, ils étaient les deux seuls blancs dans cette boîte. Le club était rempli de blacks.

Certains avaient des mines patibulaires, mais Sophie a oublié toute prudence en s'en prenant à un géant au crâne rasé, une sorte de lutteur de foire, presque aussi large qu'il était haut. En dansant près de lui, Sophie lui a palpé sa bite, en prétendant que si le gars lui mettait ce barreau dans sa chatte, elle ne pourrait plus marcher sans boiter.

Le gars, un chaud lapin, qui n'avait pas besoin d'autant d'audace pour se chauffer, est devenu rapidement ardent, avec ses mains qui se glissaient partout sous les vêtements de Sophie. La boîte était remplie de frérots devenus brusquement agressifs, et Robert a dû faire preuve de diplomatie pour les tirer de ce mauvais pas. Dans la voiture, il a dit à Sophie :

« Nous ne reviendrons plus ici. Ces gars sont cinglés. Ils vont nous violer tous les deux, consentants ou pas »

Cependant, cette situation était si excitante que sa chatte était trempée quand ils sont rentrés à la maison. Et Sophie a pensé pendant longtemps à la grosse bite du black qu'elle avait tripotée dans son pantalon. Deux semaines plus tard, remis de leurs émotions, ils sont allés dans un autre club. Sophie était particulièrement attirante dans une mini robe moulante qui dévoilait plus qu'elle ne cachait.

Les quatre jeunes hommes qu'elle avait allumés, et laissés dépités le mois passé se trouvaient aussi dans ce club. Bien sûr, ils ont reconnus la jolie salope qui les avait bernés, et ils ont élaboré un plan pour se venger. En dansant innocemment avec elle, comme s'ils ne la reconnaissaient pas, ils l'ont fait boire. Un cocktail avec un peu d'alcool mélangé à une poudre blanche.

Une poudre miraculeuse qui rend les filles dociles. Deux des quatre gars ont réussi à l'entraîner jusqu'à leur camionnette, pendant que les deux autres distrayaient le mari en le faisant boire. Ensuite, ils ont rejoint leurs copains qui les attendaient sur le parking, en laissant le mari interloqué et confus.

Les gars ont emmené Sophie, complètement dans les vapes, jusqu'à un vieux corps de ferme partiellement en ruine. L'endroit est désert, parfaitement isolé, la poulette pourra gueuler tant qu'elle veut, cela ne dérangera personne. Ils l'ont dénudée, ne lui laissant que son string, allongée sur une mauvaise couche, et l'ont abandonnée.

Sophie s'est réveillée avec un horrible mal de crâne, se demandant où elle était, et comment elle était arrivée ici. Sur une caisse, elle a trouvé une lettre explicative, tapée à la machine :

« Vous ne subirez aucune violence, sauf si elle est nécessaire pour vous empêcher de vous échapper. Pour être délivrée et sortir d'ici, vous devrez nous satisfaire sexuellement tous les quatre. Appelez cela du sexe, un viol, du chantage ou n'importe quoi d'autre, on s'en fiche, ce qu'on veut, c'est une nuit torride avec la belle salope qui s'est moquée de nous le mois dernier »

« Vous devrez faire tout ce que nous demanderons, en y prenant du plaisir, nous voulons notre satisfaction et notre vengeance. Nos jeux sexuels peuvent inclure du bondage léger. Par conséquent, attendez-vous à être attachée, les yeux bandés, et à recevoir des fessées »

« Vous aurez un mot de sécurité qui arrêtera immédiatement la séance, et vous serez mise en sécurité. Ensuite, lorsque vous le souhaiterez, vous pourrez recommencer la séance depuis le début. Vous ne pourrez pas vous contenter d'une attitude passive. Nous ne voulons pas baiser une poupée gonflable, mais une femme »

« Vous nous avez alléchés avec votre numéro sur la piste de danse, maintenant vous devez prouver ce dont vous êtes capable, et nous sommes certains que vous êtes douée pour cela. Si vous n'arrivez pas jouir sous notre emprise, vous devrez recommencer toutes les épreuves depuis le début »

« C'est vous qui donnerez le signal du départ, nous commencerons quand vous serez prête. Si vous le souhaitez, nous pouvons commencer maintenant, afin d'en avoir terminé le plus tôt possible, afin de rentrer chez vous retrouver votre mari qui doit s'inquiéter »

« Le choix de commencer vous appartient. Aujourd'hui, demain, dans une semaine, on s'en fiche. Bien entendu, les conditions de détention ne seront pas agréables. Ici, comme vous pouvez le constater, ce n'est pas un palace. Au bout d'une semaine, si vous n'acceptez pas d'avoir des relations sexuelles avec nous, vous serez violée. Cela sera forcément beaucoup plus douloureux que si vous étiez consentante. Ensuite, on creusera un grand trou dans le terrain derrière le bâtiment, et vous finirez vos jours comme cela »

En fait, ils ont prévu de la libérer au bout de quelques jours, même si elle n'accepte pas de relations sexuelles, mais ils estiment que le fait de lui mettre un peu de pression pourrait être bénéfique. Ils sont convaincus d'avoir affaire à une salope qui va les régaler, mais ils pensent qu'elle sera plus docile si elle peut se dire qu'elle a été forcée, et que de toute façon elle n'avait pas le choix.

« Une vidéo de vos exploits sera réalisée avec nos visages masqués pour ne pas être identifiables. Si vous voulez nous faire des ennuis en déposant plainte contre nous, cette vidéo prouvera votre participation consentante à une séance de sexe BDSM. Si vous souhaitez en faire bénéficier votre mari, nous pourrons vous remettre quelques scènes particulièrement salaces sur une clé USB »

« Lorsque nous en auront terminé avec vous, vous serez reconduite près de chez vous avec toutes vos affaires. En attendant, vous ne sortirez plus de cette pièce. Nous n'entrerons pas sans votre permission, et nous partirons immédiatement sur votre ordre. « Non », « Stop » et « Partir » sont les trois mots que vous pourrez utiliser. Nos noms sont UN, DEUX, TROIS et QUATRE. Si vous souhaitez nous parler, il y a une clochette à disposition près de la porte »

Qu'est-ce que c'est que cette bande de cinglés? Dans quelle espèce de merdier je me suis fourrée? Sophie se précipite vers la porte et agite la clochette. UN lui répond. Elle lui dit :

« Ouvrez cette porte immédiatement et laissez-moi sortir. Ramenez-moi chez moi. L'enlèvement et la séquestration sont des crimes et vous irez en prison, bande de détraqués »

UN reste parfaitement calme, et lui conseille de relire les instructions contenues dans la missive. Sophie s'énerve encore plus, se met à hurler en invectivant UN. Celui-ci lui conseille de se calmer, parce qu'elle se fait du mal inutilement, il lui demande poliment si elle veut un calmant, et comme elle devient de plus en plus agitée, il s'éloigne en attendant que ça lui passe.

Sophie crie, hurle et tempête pendant un bon moment avant, qu'épuisée, elle ne se calme. Elle s'allonge sur la couche et pleure. Pleurer, ça fait du bien. Ces gars sont effrayants. Sophie reste pensive sur le lit un moment. Puis elle fait le tour de sa prison en cherchant un moyen de s'évader. Dans un coffre, elle trouve une chemise de nuit et des culottes. Immédiatement, elle enfile la chemise de nuit pour se sentir moins vulnérable. Le tissu rêche gratte un peu. Ce n'est certes pas la nuisette qu'elle utilise chez elle.

Robert n'aimerait pas ça. En pensant à Robert, Sophie se demande où est passé cet idiot. Comment a-t-il pu la laisser entre les mains de ces détraqués? Elle enrage contre son mari pendant un moment, mais continue de fouiller la pièce.

Sophie trouve un recoin, aménagé en coin toilette, avec un peigne, une brosse à cheveux, une brosse à dents, du dentifrice, etc, tout un nécessaire de toilette. Sophie ne trouve rien d'utilisable pour s'évader, elle en a marre de tourner en rond, alors elle agite la clochette pour avoir un complément d'informations. DEUX lui répond. Elle pose des questions sur les vêtements. Il lui répond :

« Vos effets personnels vous seront restitués à votre libération. En attendant, nous vous fournirons tout le nécessaire, mais juste l'essentiel sans aucun superflu. Vous pouvez utiliser la chemise de nuit et les culottes, tout est propre »

Tous ces gars lui parlent poliment, sans menaces ni gestes agressifs. Souvent, Sophie a connu des dragueurs plus déplaisants que ces gars-là. Sans parler des frotteurs, dans les transports en commun. Sophie n'est pas terrifiée, elle sait comment contrôler les hommes. Comme toutes les femmes, elle a une méfiance naturelle, mélangée à un attrait sexuel vis-à-vis de la gent masculine.

Ce qui inquiète Sophie, c'est ce qu'ils feront d'elle après l'avoir baisée. Ils disent qu'ils la libèreront. Mais elle craint que leurs intentions soient beaucoup plus sombres. Sophie découvre rapidement qu'elle a une certaine autonomie. Bien sûr, elle ne peut pas quitter la pièce où elle est séquestrée, mais ici, ils la laissent tranquille.

Pendant ce temps, Robert se demande si Sophie est partie avec un mec pour aller baiser. Robert soupçonne Sophie. Il pense, à juste titre, qu'elle n'est pas un modèle de fidélité. Bon, d'accord, elle l'a déjà fait. Mais sans que Robert le sache. La première fois, c'était avec un pote de Robert, le mec a eu le culot de prétendre que Robert était d'accord.

Mieux même, il a raconté à Sophie que c'était à la demande de Robert. Il lui avait raconté un bobard, en prétendant que son mari voulait la dessaler, qu'il la trouvait trop prude et pas assez ouverte d'esprit. Elle s'était ouverte, et pas que d'esprit, et il n'y a que la première fois qui coûte, après c'est une question d'opportunité.

D'ailleurs, les quatre gars ont utilisé le même subterfuge. Semer le doute dans l'esprit de la proie, en lui laissant croire que le mari a tout manigancé. Se retrouver pratiquement deux fois de suite en boîte, comment auraient-ils pu la soustraire dans un lieu public, avec le mari qui surveille? Ils lui ont parlé de l'excitation de Robert à l'idée qu'elle soit victime d'une tournante ou d'un gang-bang.

Ils ont complété leur baratin en lui disant que beaucoup d'hommes aiment regarder leur femme baisée par d'autres hommes. D'après eux, c'est Robert qui a réglé tous les détails de l'opération, d'où leur comportement plutôt cool. Sophie ne voulait pas croire ce qu'ils disaient. Mais, certains arguments pouvaient semer un doute légitime. Robert avait déjà suggéré l'échangisme, et elle savait qu'il n'était pas un modèle de fidélité, lui non plus.

Mais que pouvait-elle faire? Tous ces arguments tournaient dans sa tête, rendant son esprit un peu confus. Du coup, elle a accepté d'envoyer un message à Robert. Un message assez succinct, qui disait en substance qu'elle allait bien, de ne pas s'inquiéter, et qu'elle rentrerait dès que possible. C'est le répondeur de Robert qui a reçu le message.

Plus tard, après avoir obtenu ce qu'ils voulaient, ils ont fini par admettre que ce n'était pas Robert qui avait tout organisé, mais qu'il était coupable de négligence envers elle, parce qu'il aurait dû la protéger. Mais au moment où elle a pris sa décision, elle ignorait cela, et pouvait penser que Robert l'avait offerte en pâture.

Après une journée de résistance morale, Sophie a choisi d'en finir. Plutôt baiser ces mecs mignons plutôt que rester en captivité. Ils sont jeunes, séduisants, elle a déjà participé à des tournantes, elle a aimé, elle espère en profiter. Par conséquent, pour retrouver sa liberté et rentrer chez elle, elle accepte. Cependant, lorsqu'ils l'attachent et commencent à lui bander les yeux, elle prend peur et utilise le mot de sécurité.

Immédiatement, ils quittent sa chambre. Cela a rassuré Sophie sur le fait qu'elle avait le contrôle, alors après un moment, elle utilise la clochette pour rappeler les gars. C'est quand ils la baisent qu'elle s'aperçoit qu'ils se contentent de sa chatte. C'est curieux qu'ils fassent autant d'efforts pour obtenir ce qu'elle était prête à offrir.

Adolescente, Sophie avait des fantasmes de viol, fantasme qui ne s'est jamais réalisé. Par conséquent, lors de la deuxième confrontation, elle a suggéré à DEUX un scénario un peu plus hard que la première fois. Simuler un peu de violence, avec un gars qui lui arrache ses vêtements, quelques claques sur les fesses, un sexe brutal, et elle pourra crier et se plaindre, en attendant une fin heureuse avec Sophie qui exulte.

Les quatre mecs étaient enthousiastes à l'idée de baiser cette jolie pouliche, sous les feux des projecteurs, avec les caméras qui filment. Ils grimpent tous sur le lit, arrachent ses vêtements, et se jettent sur elle. Elle crie, fait mine de se débattre, de résister, mais ils la prennent de force, et à la fin elle exulte !

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