Un Centre Pour Roux Ch. 14

Informations sur Récit
Le But du centre des roux est de vendre des enfants...
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Partie 14 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Cet épisode, le 14, comporte un résumé des épisodes précédents. L'idéal est bien sur de les lire.

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Accoucher

Les semaines se sont succédées, et mon ventre s'est arrondi. Comme une femme libre j'étais suivie médicalement, mais c'est à Allan, mon propriétaire, que les médecins s'adressaient. Seules les sage-femmes m'expliquaient comment se passerait le travail et la délivrance.

-Je verrais ma fille? » demandais-je. Même si les échographies étaient expliquées à Allan, j'avais noté que l'enfant que je portais était une fille, ma fille.

-Bien sûr. Mais souvent on l'enlève rapidement, pour que la séparation ne soit pas trop difficile. » m'expliqua la sage-femme. « Quelque fois les parents adoptifs assistent à l'accouchement. » ajouta-t-elle. Je ne pus retenir quelques larmes.

Finalement, j'ai ressenti des contractions quelques jours avant le terme, et une ambulance est venue me chercher pour me conduire dans une maternité.

-Elle est dilatée à 5 cm » dit la sage-femme qui venait de m'examiner.

-C'est le moment pour une péridurale » lui répondit-on.

-C'est une esclave » précisa-t-elle.

-Ah?, pas de péridurale alors » fut la réponse.

-ça va bien se passer » me dit-elle en me souriant.

Policière canadienne en charge de la lutte contre les trafics humain, J'avais participé à une conférence sur ce sujet à Atlanta. C'est en visitant la ville que j'avais découvert ce centre de protection des roux. Un organisme qui achetait des esclaves roux pour les faire se reproduire et proposer des enfants roux à l'adoption. C'était aussi une forme de bordel, où j'avais rencontré Debbie.

Après une action spectaculaire avec mon collègue John, Debbie, libérée est venue me trouver au Canada. Après ma visite je me posais beaucoup de questions sur l'esclavage. Debbie n'eut qu'à embrayer pour m'apprendre à être son esclave. Puis A l'occasion de vacances en Floride, elle m'a vendue comme esclave. C'est le centre pour roux qui m'a achetée, alors que des trafiquants souhaitaient acheter la policière qui avait libéré des canadiennes enlevées pour être revendues comme esclaves aux Etats-Unis.

Dans le centre pour Roux, j'ai appris à bien traiter les clients, mais j'ai aussi été fécondée par des esclaves roux. L'enfant que je porte sera donc roux.

-Voilà, il arrive, il arrive, continuez! » me dit l'obstétricien, alors que je poussais.

-C'est une petite fille! » dit la sage-femme alors que le médecin tenait mon bébé par les pieds, en frappant ses fesses jusqu'à ce qu'il crie. J'étais émue de voir cette petite chose, encore reliée à moi par son cordon ombilical.

-On la pose sur votre ventre? » demanda le médecin.

-Oh, oui Monsieur! » répondis-je, déterminée à profiter de chaque instant avant que cette fille me soit retirée à jamais! J'étais épuisée, mais en même temps avoir cet être neuf sur mon ventre était magique. Elle ne bougeait presque pas, mais je la sentais respirer. Elle aussi venait de traverser un évènement éprouvant. J'hésitais à la toucher. C'était ma fille, mais je savais qu'elle n'était pas à moi. Ma fille ne m'appartenait pas.

-Il va y avoir de nouvelles contractions, pour évacuer le placenta » me dit la sage-femme.

-Oh, non... » dis-je

-Malheureusement si » me dit-elle.

-Et quand vous prendrez ma fille, je ne la reverrais plus? » demandais-je

-Non, effectivement » me dit-elle. Elle semblait désolée.

-Je peux la garder encore 5 minutes? » demandais-je.

-jusqu'à ce que les contractions reprennent. » me dit-elle. « Oh, et même ici, il faudrait dire Madame. » dit-elle sur un air taquin.

-Pardon Madame » dis-je en passant ma main sur le corps tout doux de ma fille. En profitant de ces instants. En sachant que jamais je verrais l'enfant, l'ado, la femme que ce bébé allait devenir.

Puis les douleurs des contractions reprirent. La sage-femme prit l'enfant, en m'encourageant à pousser à chaque contraction. Les larmes coulaient sur mon visage. Après tout qui saurait que ce n'était pas à cause de la douleur des contractions.

Il parait que les femmes qui ont accouché font une dépression post-partum. On l'appelle aussi baby-blues. Les esclaves qui ont accouché font aussi une dépression.

-Bonjour Mag » me dit John en entrant dans la chambre de maternité que je partageais avec d'autres esclaves.

-John! » dis-je dans un mélange de bonheur et de honte.

-Comment vas-tu? »

-Je récupère. Et toi, que viens-tu faire, je pensais que c'était dangereux pour toi de venir. »

-Allan m'a dit qu'il avait trouvé un accord avec Pédro Alfonsi » me dit-il.

-Pédro Alfonsi... c'est ... »

-Oui, mais on n'a rien contre lui »

-C'est lui le propriétaire... » commençais-je

-Oui, mais sous un autre nom, et au Canada » commença-t-il à expliquer.

-Oh merde... » dis-je.

-Par contre... toutes les filles qui ont été vendues comme esclaves à Savannah, au SSM, le Savannah's Slave Market. Leur acte de servilité volontaire validé par le juge Fulton de Savannah » me dit John. Je le regardais avec de grands yeux.

-C'est grâce à tes informations. » me dit-il.

-Merci... j'avais deux autres demandes... » dis-je.

-Debbie... j'ai juste trouvé qu'elle avait acheté un esclave. »

-Et me racheter... »

-Allan... m'a dit que ce te ferrait du bien que je passe te voir... mais il refuse »

-De me vendre... »

-C'est ça... »

Assez vite, je fus de retour au centre, et une ceinture de chasteté me fut réappliquée. J'avais du mal à aller vers les clients, et je me concentrais alors sur les tâches ménagères. Cela ne posait pas de soucis. Mais après un cycle, mes besoins étaient là à nouveau. J'avais un peu honte, mais je me réintéressait à la cour et aux clients. Aussi quand Allan me proposa d'aller au pilori j'acceptais, tout en sachant que la date correspondait à mon ovulation. Il me refit la proposition 6 jours plus tard, histoire d'encadrer la solution. Ce fut un carton plein. Je me mortifiais en pensant que j'étais une poule pondeuse.

John me rendait visite tous les trois mois, mais il ne me dit pas grand-chose de l'enquête. Petit à petit nos rencontres étaient avant tout des moments de sexe partagé.

Et comme la première fois, j'allais à la maternité. La différence fut que les parents adoptifs avaient décidé d'assister à mon accouchement. J'étais un peu embarrassé d'avoir du public dans un tel moment.

-Je crois que c'est le moment, » indiqua au couple la sage-femme. Entre deux contractions, je les regardais : la femme se déshabillait, pour s'allonger nue à côté de moi. Ma surprise était complète. Mais les contractions se rappelaient à moi. Finalement le bébé vint au monde : c'était un garçon. Encore une fois l'obstétricien le tenait par les pieds et lui frappa les fesses, mais il cria tout de suite.

La sage-femme prit l'enfant, et alors elle l'apporta pour le déposer sur le ventre de la femme allongée à côté de moi.

-Merci de l'avoir porté pour moi » me dit la femme en le caressant. Les larmes me montaient aux yeux. Mais après une dizaine de minutes la sage-femme plaça une baignoire entre eux et moi.

-Je le lave? » demanda la mère adoptive de mon fils. Je la vis l'immerger et laver mon sang sur sa peau. Je fermais les yeux. Encore une fois mon enfant m'était retiré. Une fois de plus ma dépression fut intense.

Pourtant je retournais au centre. J'étais effrayée à l'idée d'enchainer une troisième grossesse. Mais cette fois ci, Allan me proposa le pilori juste avant ou juste après mes règles. Evidement je ne tombais pas enceinte, mais je gardais ma ceinture de chasteté.

John passait régulièrement me voir, mais petit à petit c'était plus une rencontre sexe, que travail. Assez vite j'avais été agacée que rien ne progresse. Ni son enquête sur Debbie, si sur le juge de Savannah

Après un an, j'ai eu une autre grossesse, un nouveau garçon que ses parents lavèrent devant moi. C'est toujours difficile à dire, mais j'étais certaine que Terry était le père!

Cette fois encore Allan ne me mit pas au pilori juste avant et après mes règles, si bien que je n'enchainais pas les grossesses.

-Mag, je t'emmène en ville » me dit Allan. J'étais surprise, mais plutôt contente de sortir du centre. En un peu plus que 4 ans mes seules sorties avaient été pour aller à la maternité. En même temps, mon expérience d'esclave était que toute surprise pouvait comporter un aspect désagréable. J'avais un peu peur qu'Allan me mette à disposition de Pédro Alfonsi.

-Bien, Maître » dis-je.

Il attacha une laisse à mon collier, et me dirigea vers l'extérieur, appuyant sur une télécommande pour désactiver mon collier. Il me fit assoir à la place du passager, et j'étais consciente que c'était une marque de confiance : une esclave normalement dans le coffre d'un véhicule. Ce n'était sans doute pas neutre : Allan voulait que je voie où nous allions.

Nous allions dans un centre commercial! J'étais un peu mal à l'aise de me retrouver nue et en laisse dans les couloirs au milieu des personne habillées. A l'entrée un gyrophare rouge s'alluma. Allan s'arrêta : « C'est mon esclave » dit-il en sortant un acte de vente : mon acte de vente! Nous pûmes alors entrer. La présence d'esclaves était habituelle dans le Sud des Etats-Unis, et peu de monde se retournait sur moi dans le centre. Je retrouvais un peu de l'excitation que j'avais connue avec Debbie, d'être nue au milieu de personnes habillées. Allan se dirigea vers un magasin de chaussures.

-Je voudrais faire essayer des ballerines et des chaussures à petits talons à mon esclave » dit Allan.

J'étais amusée de voir que les vendeuses, habillées, portaient des colliers qui ressemblaient à des colliers d'esclaves.

-Maitre? Ce sont des esclaves? » demandais-je.

-Oui, mais avec des grades faibles » me répondit-il.

Notre esclave vendeuse posa différentes chaussures devant nous.

-Essaye, Mag » me dit Allan. J'étais étonnée qu'il ne choisisse pas des hauts talons. Mais une esclave pose toujours trop de questions.

-La taille va bien? tu voudrais lesquelles? » me demanda-t-il.

-Je... je n'ai plus l'habitude » commençais-je. Dans le centre des roux, les rares fois où je portais des chaussures c'était des sandales à haut talons.

-Je sais. Tu prends une paire. Celle que tu veux. » me dit-il.

-Mais quelle couleur, pour aller avec quoi? » demandais-je.

-Ah?... je n'y avais pas pensé... » me dit Allan visiblement embarrassé.

-Nous revenons plus tard » dit-il

-Vous pouvez me garder celles-ci, et celles-là » dis-je, mais l'esclave regardait Allan.

-Je confirme » dit Allan.

-Bien Monsieur » répondit l'esclave vendeuse.

Allan reprit ma laisse, et me tira vers lui.

-Une robe d'abord, ou les sous-vêtements? » me demanda Allan. J'étais amusée de la situation, et le shopping en tant qu'esclave fut assez amusant. Il était clair dans chaque boutique que le client était Allan, et pas moi. Les cabines d'essayages restaient ouvertes. Et les vendeuses faisaient l'article à mon Maitre

-Cette robe tombe bien, la couleur va bien avec ses yeux. » expliquait l'esclave vendeuse.

-Mag, elle te plait? » demanda Allan. J'étais aux anges : Une robe! Posséder une robe, je n'en avais pas eu depuis plus de quatre ans! Allan allait-il me confier une nouvelle tâche pour mes derniers mois en tant qu'esclave?

-Oui... mais je ne comprends pas dans quel contexte j'allais la porter, Maitre » répondis-je.

-une esclave pose toujours trop de questions. Retire là » me répondit-il.

-On la prend, » dit-il à la vendeuse.

Elle nous l'emballa, et nous sommes sortis avec une robe, mais moi toujours nue. Enfin simplement vêtue d'une ceinture de chasteté et d'un collier d'esclave. Allan avait le sac avec mes vêtements. J'étais très intriguée. Surtout quand après avoir acheté, robe sous-vêtements et chaussures il me conduit chez un photographe.

-Je voudrais des photos d'identité pour mon esclave » dit-il à l'employé.

-Bien sûr, Monsieur. Mets-toi là salope » dit-il en s'adressant à Allan puis à moi.

-Elle n'est pas américaine, il faut qu'elle soit habillée sur la photo » précisa Allan, en me donnant la robe. Avec une clé, il me retira ce collier que j'avais gardé jusqu'en salle de travail, puis je m'installait sur le tabouret, nue sous ma robe.

Évidemment, dès que les photos furent réalisées je troquais la robe contre le collier. Nous retournions à la voiture en repassant dans la zone ou ma puce RFID signala à nouveau mon statut d'esclave.

Une fois au centre, Allan me fit venir avec lui pour remplir une demande de passeport. J'étais un peu frustré de na pas voir nos achats les jours suivants.

C'est plus d'un mois plus tard que Allan me rappela.

-Mag, vient te changer, on va au consulat du Canada. » me dit-il. J'étais toute contente de trouver les vêtements et de l'accompagner en ville. En fait j'étais inquiète de savoir pourquoi j'avais besoin d'un passeport et de vêtements.

Mais Allan ne me dit rien. Il récupéra, passeport et vêtements à notre retour.

J'avais une idée de ce qu'Allan préparait, mais je n'osais y croire.

C'est environ 15 jours plus tard, un matin qu'Allan me dit : « tu retournes au Canada ce soir. Dit au revoir aux autres. On part tout de suite après midi, là tu passes à l'infirmerie»

-L'infirmerie, Maitre? »

-Oui, tu es arrivée avec un stérilet. J'ai prévu de t'en poser un avant ton départ »

Il me retira mon collier du centre et ma ceinture de chasteté et me fit monter nue dans le coffre de la voiture. Décidément, je ne comprenais rien. Je craignais un coup fourré. Et quand on est esclave, on est facilement fourrée. Lorsque je sorti de la voiture, nous étions au marché aux esclaves. Allan semblait fier de lui. Moi j'étais exaspérée. Je me doutais de ce qui allait se passer, et je n'avais pas envie d'être vendue à nouveau. Malheureusement nous descendions les escaliers où l'on dépose les esclaves à vendre. J'éclatais en sanglots.

-Allons Mag, soit forte » me dit Allan. J'avais envie de lui mette une claque. Mais en tant qu'esclave j'allais prendre une punition exemplaire!

- Sarah Vigil, à votre service. C'est pour vendre votre esclave? »

- Non au contraire, il lui reste quelques mois, je voudrais l'affranchir. » dit Allan. Je n'en croyais pas mes oreilles.

-Il ne te reste pas le temps de me faire une nouvelle grossesse » me dit-il.

Sarah, vérifia mon tatouage, et ma puce. Vérifia les papiers d'Allan. Puis fit une manipulation.

-Je vous rappelle que quand on libère un esclave, on doit lui fournir des vêtements, une pièce d'identité, et l'équivalent de $50,00. » expliqua Sarah à Allan

-Madame, vous n'êtes plus une esclave, il faudrait vous habiller » me dit-elle avec un bien de taquinerie. Allan me tendit mes vêtements. J'étais heureuse de pouvoir enfin m'habiller, et d'être de nouveau 'Madame'!

-ça va Mag? j'ai l'impression que non? » me dit Allan sur la route de l'aéroport, alors que je contorsionnais dans la voiture.

-Je... ça me gratte, c'est une horreur de porter des vêtements! Maître! » m'exclamais-je.

-Plus de Maître entre nous Mag. Et je veux bien croire qu'après presque 5 ans sans en porter c'est difficile. Si tu regrettes l'esclavage, contacte-moi » me dit-il avec un grand sourire.

-Je crois que je vais essayer de me faire aux vêtements. »

-Je te donne un billet d'avion pour Toronto. » me dit-il.

-Je ne voulais pas attendre la fin officielle de peur que Pedro ai une idée pour toi. Malgré l'enregistrement. »

A l'entrée dans l'aéroport j'étais soulagée qu'un gyrophare comme celui du centre commercial reste muet. L'embarquement était prévu pour dans une heure.

-Vas-y, le passage des douaniers est toujours casse-pied. » me dit Allan.

Un peu mal à l'aise dans ma robe, et mes chaussures je traversais l'aérogare.

-Bon retour à la maison, Madame » me dit le douanier. Je n'en croyais pas mes oreilles.

Je devais être la seule sans journaux, ou sac. Je n'avais donc rien à lire ou pour m'occuper pendant les trois heures de vol. Pour autant me gratter m'occupa une bonne partie du vol. Ce n'est que pendant la descente que l'inquiétude revint : Qu'allais-je faire une fois arrivée? Mon appartement existait-il encore. Pourrais-je reprendre mon travail?

Ces questions allaient devenir urgente dès mon arrivée dans l'aérogare. Quelque par être esclave avait cet avantage de ne pas avoir à se poser de questions!

J'étais franchement mal à l'aise en traversant les arrivées des bagages : tout le monde devait se demander qui voyage comme ça sans rien?

La porte de l'aérogare me laissa passer. Je regardais ceux qui étaient venus chercher des proches.

Je là je vis John qui était venu pour moi!

Je me dirigeais vers lui quand je vis la personne à côté de lui. Je m'arrêtais bouleversée.

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