La Déchéance de Caroline - 01

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Séjour en Afrique - 1ère partie
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3
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 7 pièces

Actualisé 04/23/2024
Créé 04/02/2024
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Ce matin-là, en sommes en juin 2010, Caroline, maman de 3 jeunes enfants (9, 6 et 4 ans) approchant la quarantaine, se contemple dans la glace de sa salle de bains. Petite (1m58), fine (51 kilos), elle est bien proportionnée : des mollets galbés, des fesses fermes, une poitrine opulente (qui la complexe, car elle doit porter un soutien-gorge de taille C pour masquer ses beaux appas ronds), une bouche en forme de cœur invitant aux pensées les plus salaces. La pratique régulière du sport (2 heures de course à pied et 2 heures de salle par semaine) l'a maintenu en grande forme physique. Son ventre est plat, son corps tonique : personne ne peut se rendre compte ni de son âge ni de son statut de mère de plusieurs bambins.

Elle a décidé de porter une jupe printanière courte, s'arrêtant à mi-cuisses, et un chemisier assorti, avec des boutons sur le devant. De quoi lui permettre de dévoiler, mais pas trop, l'échancrure de ses seins, via un léger décolleté, et ses jolies gambettes. Aujourd'hui âgée de 37 ans, Caroline trépigne d'impatience : dans quelques heures, dans le cadre d'un échange entre institutions publiques, elle va exaucer son rêve : découvrir l'Afrique, via le Gabon, pays partenaire de l'organe public pour lequel elle travaille comme Directrice du Département « Culture et Enseignement ».

Elle fait partie d'une délégation composée de 4 personnes : le Président, 2 Députés et elle-même, en tant que représentante de l'Administration générale. Elle sera la seule femme :

- Un monde d'hommes, se dit-elle au moment de l'embarquement à l'aéroport. Le séjour doit durer une dizaine de jours. Le Secrétariat s'est occupé de toutes les réservations. Après un voyage tranquille en avion, les intéressés atterrissent à Libreville. L'aéroport international, même si celui-ci est situé dans la capitale du pays, ressemble plus à un entrepôt délabré. Ayant récupéré leurs bagages, les arrivants pénètrent à l'intérieur du bâtiment. Ils passent devant une petite salle d'attente où quelques compagnons de voyage - des autochtones rentrant à la maison- sont assis avec leurs malles. En s'approchant du comptoir marqué "Visiteurs", elle se rend compte qu'ils sont les seuls Occidentaux présents. Derrière le comptoir se tient un agent des douanes, un homme noir, grand et mince, vêtu d'une chemise blanche avec des épaulettes et un pantalon vert uni. Il a l'air de se sentir important lorsqu'il examine les passeports en les feuilletant attentivement.

Lorsqu'il a fini, il place les documents hors de portée et regarde lentement les blancs de haut en bas, surtout Caroline. Elle est jolie, vraiment désirable. Châtain foncé, les yeux bruns, elle porte une veste ouverte sur son chemisier, sous lequel on peut clairement discerner sa poitrine pleine. Sa jupe est assortie et dévoile une partie de ses jambes. Un mâle peut facilement désirer une telle dame, se dit le fonctionnaire.

Masquant son excitation, il s'adresse à la Directrice, d'une voix doucereuse : - Madame, nous procédons régulièrement à des contrôles aléatoires de bagages. Veuillez me suivre!

Puis donnant un ordre à une femme de forte corpulence, visiblement elle aussi douanière : - Sergent, merci de nous accompagner afin que les choses se passent selon les règles. Il termine enfin son speech à l'attention des 3 hommes de la délégation : - Rassurez-vous, Messieurs, nous en avons pour une quinzaine de minutes. C'est un simple contrôle de routine et Madame reviendra bientôt vous rejoindre.

Les 2 contrôleurs, suivis par Caroline, disparaissent rapidement dans une pièce adjacente, occultée, où se trouvent déjà 2 soldats en armes. Déjà le garde-frontière donne ses instructions : - Madame, veuillez déposer votre valise sur la table, demande-t-il gentiment, en indiquant une longue desserte basse située à sa gauche. Comme demandé, la femme blanche pose sa valise. Elle a apporté des vêtements de rechange et quelques présents à remettre aux officiels gabonais. Le contrôleur ouvre la valise avec un air zélé, en regardant à l'intérieur. Il bouge quelques objets.

Les 2 soldats à l'air peu recommandable sont appuyés contre un mur, non loin, et observent chaque mouvement du policier des frontières. Alors que ce dernier fouille la valise de la Directrice, ses yeux sont fixés vers ceux de la donzelle, observant sa réaction.

Il semble vouloir l'intimider et, effectivement, elle baisse le regard. L'homme a manifestement un besoin de dominer les femmes, peut-être par sentiment d'infériorité. Il commence à retirer les vêtements de Caroline, les tenant en l'air afin de bien les montrer avant de les poser sur le bureau. 4 chemisiers, 5 débardeurs, 3 pantalons, 10 paires de chaussettes, 2 mini-jupes, 2 robes habillées, 3 shorts, 6 soutien-gorge, 10 strings, 4 paires de chaussures et enfin 1 maillot et 1 minuscule micro-bikini. La voyageuse essaie, plus ou moins, de rester impassible pendant qu'il montre ses dessous, mais à l'intérieur, devient de plus en plus stressée.

Et à l'extérieur, rouge comme une tomate!

L'agent sourit maintenant largement alors qu'il étale délicatement l'un des strings sur le meuble, le tenant par l'entrejambe entre ses doigts. Il examine chaque article, y compris le nécessaire de toilette : il s'arrête sur un petit flacon pulvérisateur de déodorant féminin, l'examinant avec une prudence factice comme s'il s'agissait d'explosifs. Lorsqu'il a complètement vidé le bagage, il le retourne, le secoue une dernière fois, le place sur la table avant d'inviter la jeune femme à le récupérer. Les joues de celle-ci continuent à rosir, de manière incontrôlée.

Elle referme la malle en adressant au douanier un air interrogateur. Si les fonctionnaires et les soldats gabonais traitent les étrangers blancs avec un certain degré de déférence, il est essentiel que les voyageurs montrent qu'ils comprennent le pouvoir exercé et, surtout, qu'ils le respectent. Un sourire se répand sur le visage du contrôleur alors qu'il semble prendre une décision importante. Se tournant vers sa collègue féminine, il prononce une petite phrase à son attention : - Sergent, veuillez poursuivre la procédure! Un large rictus illumine le visage bouffi de l'énorme femme, qui s'adresse alors directement à la mère de famille :

- Nous allons maintenant procéder à la fouille -ce qui est autorisé dans la plupart des pays et qui est en parfaite conformité avec le droit international- de vos vêtements. Vous vous souviendrez des instructions que je vais vous donner et vous ferez exactement ce que je vous dis et vous ne répondrez pas sans mon autorisation. Vous parlerez donc uniquement lorsque je vous pose une question. Comprenez-vous, Madame?

Bien qu'elle tremble intérieurement de peur, la Directrice sait qu'elle doit essayer de rester concentrée et maîtriser ses émotions. Avec le plus grand calme possible, elle regarde son interlocutrice et dit, d'une voix juste au-dessus d'un murmure :

- Oui, je comprends.

- Très bien, dit la fonctionnaire. - Maintenant, écoutez bien. Quand je vous le dirai, vous vous déshabillerez. Vous enlèverez chaque vêtement, me le remettrez et attendrez que je l'inspecte. Quand vous verrez que j'ai terminé, vous me donnerez un autre article. Est-ce bien clair?

Caroline répond doucement : - Oui.

- Parfait, à présent présentez-moi la veste!

Elle enlève sa vareuse et la tend à la préposée qui attend celle-ci. La grosse femme noire la prend et commence à ouvrir les multiples poches, en retirant les objets qu'elles contiennent : des lunettes de soleil, un paquet de lingettes humides, des comprimés. Bref, tous les accessoires habituels d'une touriste. La policière des frontières fait preuve de sérieux en examinant soigneusement chaque objet, avant de le placer sur l'un des fauteuils vides. Après avoir inspecté l'habit à l'intérieur et à l'extérieur, elle le pose sur le siège : - Le chemisier, s'il vous plaît!

La Directrice se tient debout, déboutonne celui-ci, l'ouvre et le remet à la douanière. Les sourires des bidasses et du contrôleur, qui font face à Caroline, s'élargissent devant le dessous noir et la vue de la peau blanche de la jeune femme. La plénitude de la poitrine compressée dans le dessous promet des délices à venir ; un air d'excitation plane dans la salle. La douanière black examine le chemisier entre ses doigts, le pose sur le siège et donne un nouvel ordre :

- Le soutien-gorge!

La visiteuse affronte cette situation de plus en plus affreuse en évitant de penser à ce qu'elle fait. Consciente de la nécessité de lui remettre sa pièce de lingerie, elle décroche celle-ci.

En la retirant, elle sait que ses seins, libérés, sont totalement exposés aux hommes, dont les yeux se sont écarquillés. Si ces derniers sont habitués à voir des poitrines « locales », la vue des globes mammaires d'une fille blanche est vraiment rare. Le policier et les soldats regardent les beautés jumelles, rondes et bien fournies, leurs aréoles rose pâle et leurs jolis mamelons qui leur reviennent en pleine face.

La Directrice se tient là, nue jusqu'à la taille. Après une longue minute permettant à ses collègues de se régaler les yeux, la douanière fait un geste pour le vêtement suivant et la jolie maman se penche pour défaire ses chaussures. Les hommes sont concentrés sur son dos lisse et sur les côtés de ses appas, qui se bombent vers l'extérieur et bougent au gré de ses efforts. Une fois les baskets inspectées sommairement, la future quadragénaire est invitée à enlever sa jupe, qu'elle fait glisser le long de ses jambes joliment galbées. Elle la remet à la contrôleuse, qui la reçoit d'un air sévère. Malgré son état d'engourdissement, la jeune femme est désormais très consciente de sa presque nudité. Son string noir laisse une grande partie de ses hanches et de son ventre plat nus. Ses fesses, splendides, sont désormais à découvert. Seules ses chaussettes blanches lui offrent une fine protection.

Les 3 hommes présents dans la pièce jacassent joyeusement entre eux dans leur langue maternelle, commentant évidemment ses charmes. La fonctionnaire sournoise fouille méticuleusement la jupe. La situation est terrifiante pour la jeune femme, qui sait qu'elle est complètement sous le contrôle de la douanière. Elle sait aussi qu'elle sera dépouillée dans quelques minutes. Elle peut voir combien les hommes scrutent son corps. En levant les jambes une par une, elle enlève ensuite ses chaussettes, comme elle y a été invitée par la grosse matrone noire, et pose ses pieds sur le sol. La fraîcheur du béton rayonne sur son corps et un frisson involontaire la traverse lorsque l'agente l'invite à enlever sa dernière protection :

- Le string, s'il vous plaît!

Caroline glisse ses doigts dans la ceinture de celui-ci et le glisse sur ses hanches. Son sexe, délicatement épilé, seul un « ticket de métro » ornant son mont de vénus, est soudain exposé à 4 paires d'yeux, 3 masculines et 1 féminine. Les Blacks la regardent en silence, hypnotisés. La plupart n'ont jamais vu une fille blanche sans le moindre vêtement. Ils s'émerveillent devant ce corps : les cheveux châtain tombant en cascade sur les épaules dénudées, une peau pâle, des mamelons roses et, plus fascinant encore, le peu de poils pubiens présents.

La douanière tend la main, réceptionne le dessous et, après l'avoir examiné, le dépose sur le fauteuil.

La pile de vêtements est maintenant complète.

Tout ce que la membre de la délégation portait lorsqu'elle est entrée dans la pièce est sur un vieux siège totalement défraîchi, la laissant nue comme à sa naissance.

Elle est figée, debout, les bras le long du corps, n'essayant pas de se couvrir, tandis que les trouffions la dévorent d'un regard libidineux.

- Mettez vos mains derrière la tête! ordonne brusquement la policière. Elle fait ce qu'elle demande, les coudes sortis. Son public regarde ses seins fermes être relevés et poussés vers l'avant, ses tétons sans défense pointant droit sur eux...

- Les jambes écartées, aboie l'agente. La femme blanche positionne ces dernières de façon à ce que les pieds soient à la largeur des épaules. Les yeux des bidasses se dirigent vers l'entrejambe de la jolie Caroline, où ils peuvent voir clairement les petites lèvres roses.

Sans vêtement devant des Africains habillés : une vague de honte la submerge, au moment où fusent de nouvelles instructions : - Marchez jusqu'au mur du fond et revenez, puis continuez de vous déplacer jusqu'à ce que je vous dise d'arrêter. La Directrice se retourne et se dirige vers le pan souhaité, 4 paires d'yeux la suivant des yeux, le regard rivé sur son cul, ses fesses rondes et fermes oscillant à chaque pas.

Atteignant le mur, elle se retourne et marche vers les Noirs, les seins tendus et le sexe visible. Les individus la regardent comme une meute de loups affamés pendant qu'elle fait plusieurs allers et retours. Finalement, l'agente lui dit de s'arrêter derrière la table :

- Tournez-vous, ordonne-t-elle.

Elle obéit.

- Penchez -vous et écartez vos fesses!

Caroline ne s'attendait pas à quelque chose comme cela. Elle tourne son dos aux militaires et douaniers, se cambre, prenant un globe complet dans chaque main et ouvrant largement ceux-ci. Quelle humiliation, pense-t-elle, ses yeux bruns embués de larmes. Les gardes-frontières et les fantassins regardent, dans une excitation intense, la belle touriste leur montrer son postérieur. Le pli entre ses globes fessiers s'est dégagé, révélant son anus, de couleur rosâtre, rappelant de façon presque obscène les lèvres de sa chatte dégarnie. Les Noirs la détaillent. Ils ont soumis plusieurs victimes à cette routine dégradante, surtout des opposants de sexe masculin. Mais c'est leur première beauté blanche. Le temps passe lentement, en silence.

Le dos et les jambes de la jeune femme commence à lui faire mal alors qu'elle tient cette position inconfortable. Elle peut sentir une légère brise contre son œillet exposé.

- Madame, je vais procéder à une fouille corporelle. Si celle-ci s'avère négative, vous serez libérée. Veuillez coopérer! Sur ce, la contrôleuse sort d'un des tiroirs de la seule armoire présente dans la pièce ce qui ressemble à un bidon de crème froide, dont elle dévisse le large couvercle. Elle met son doigt boudiné dans le pot et le ressort, enduit d'un gel jaunâtre à l'aspect désagréable. La Directrice, le regard horrifié, commence à comprendre ce qui l'attend. Regardant le plafond fissuré, elle se saisit des bords de la table et creuse ses pieds. La policière, écartant les lèvres intérieures de l'Occidentale, glisse son majeur graissé dans le sexe ouvert.

Les 3 hommes regardent avec fascination et envie le doigt de la douanière disparaître complètement dans le sexe de la jolie fille. Gardant celui-ci à l'intérieur, elle sent les parois du canal vaginal, tandis que la Blanche serre les dents devant cette intrusion intime et inconfortable. La douanière reprend la parole : - Madame, je constate qu'il n'y a rien de caché. A peine a-t-elle prononcé ces paroles qu'elle introduit profondément son doigt dans l'anus de Caroline. Celle-ci se cabre, mais tente de rester digne.

- Il n'y a rien non plus dans ce conduit! constate en s'esclaffant la douanière, qui fait désormais coulisser son majeur dans la petite porte qui s'élargi pour accueillir l'intrus, passant d'un point plissé à un anneau de muscle distendu, lisse et brillant, qui accueille l'extrémité de la grosse policière. La Directrice essaie de se détendre, de s'habituer au doigt logé dans son anus, alors que la grosse femme entreprend un va-et-vient, faisant maintenant entrer et sortir 2 de ses doigts. La douleur la traverse alors qu'elle tombe en avant, impuissante, sur la table. Elle tente de ne pas crier, mais l'agonie causée par les doigts massifs qui s'étirent et frottent la chair tendre de son œillet dilaté est difficile à endurer. Un grognement peu digne d'une dame lui échappe de la gorge chaque fois que la douanière enfonce ses doigts, suivi d'un faible gémissement lorsqu'elle les retire. Les 3 hommes, eux, bavent pratiquement à la vue obscène de l'anneau anal élargi de la jolie femme blanche, tandis que les doigts noirs et gras glissent sans relâche dans et hors de son rectum. Ses feulements sont une douce musique pour leurs oreilles perverses.

La policière retire enfin ses doigts du derrière de Caro avec un « plop » humide. Son anus, rose et rugueux, est resté ouvert pendant quelques secondes avant de se contracter lentement pour reformer un plissement normal. La pièce est calme, à l'exception de la respiration lourde de la jeune femme et des individus. Le silence -et, il faut bien l'avouer, l'érotisme de la situation!- est soudainement interrompu lorsque la douanière lui dit de se rhabiller. Une fois cette chose faite, la Noire lui indique qu'elle peut reprendre sa valise et sortir de la pièce. Avant que la Directrice ne s'engouffre dans la porte, sous les sourires hilares des 2 militaires et la policière, le garde-frontière lui lance un sonore : - Bienvenue au Gabon, Madame. Nous vous souhaitons un excellent séjour dans notre pays si hospitalier!

Bien que terriblement perturbée par ce qu'elle vient de vivre, la Directrice, rejoignant rapidement ses compagnons de voyage qui l'attendent près de la sortie de l'aéroport, masque ce qu'elle vient de vivre, ne dit mot et part avec eux dans la voiture qui les emmène vers l'hôtel. Celui-ci, réservé à la clientèle internationale, possède une piscine extérieure, une piscine intérieure avec jacuzzi et sauna, une salle de sport, un jardin et une terrasse. L'établissement dispose également d'un restaurant. Les chambres climatisées comportent un bureau, une bouilloire, un coffre-fort, une télévision à écran plat et une salle de bains privative avec une douche. Un petit-déjeuner continental est également servi chaque matin.

Après avoir pris un dîner frugal avec ses compagnons au restaurant de l'hôtel, Caroline, s'efforçant de faire bonne figure, se retire dans sa chambre. Malgré la qualité du lit, elle n'arrive pas à fermer l'œil de la nuit, repensant sans cesse à ce qui lui est arrivé.

Jamais elle ne s'est sentie aussi humiliée.

Les 2 jours suivants sont consacrés à des contacts officiels : réunions de travail avec le Préfet, ses adjoints, visite du Musée de l'esclavage, découverte de plusieurs écoles et rencontres avec des associations culturelles. Chaque nuit, la Directrice ressasse les événements survenus à la douane, même si, le matin du 3ème jour, elle se réveille avec son sexe légèrement humide. Elle se sent perturbée. Aurais-je aimé m'exhiber? s'interroge-t-elle. Pourtant, sa vie de femme mariée depuis 15 ans avec son premier et seul amour de jeunesse (elle n'a jamais connu d'autre homme) lui convient parfaitement, même si la routine s'est installée et que l'éducation de ses 3 enfants lui laisse peu de temps pour elle-même.

Après une nouvelle journée harassante, d'autant qu'il fait particulièrement chaud, elle se retire dans sa chambre, non sans avoir dîné avec le reste de la délégation. Elle a envie de se délaisser, seule, et de profiter de la piscine intérieure et des thermes. Il est déjà près de 21 heures et celles-ci doivent être probablement désertes.

Ouvrant la commode où elle a rangé ses vêtements, elle se déshabille et enfile son maillot. Et puis, pour elle ne sait quelle raison, se ravise et opte finalement pour le micro-bikini qu'elle a également emporté. Celui-ci, blanc, couvre uniquement les aréoles de ses seins et dévoile totalement ses globes fessiers, hormis une ficelle séparant ceux-ci. Le pubis, ou plutôt son « ticket de métro », est par contre plus au moins protégé. L'étendue de son corps n'est couverte que par la fine ficelle du string qui sépare ses fesses pour se relier à une mince bretelle autour de ses hanches, et au lien de son haut en travers de son dos. Son cul arrondi et pâle est bien sûr complètement exposé. La blancheur de sa nudité est brisée par les trois petits triangles couvrant ses points les plus intéressants. Ses beaux seins sont expulsés, les bouts de tissu reliés par d'étroites lanières ne servant qu'à les souligner. On peut voir leurs courbes tout autour de ceux-ci, qui font ressortir les mamelons, définitivement durs et dressés. Elle est éblouissante avec son ventre plat et son nombril parfait. La minuscule trigone cachant son pubis est, lui, tout juste suffisant pour recouvrir complètement ses quelques poils pubiens.

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