Un Centre Pour Roux Ch. 13

Informations sur Récit
Mag entre les mains de la mafia.
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1

Partie 13 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est l'épisode 13, Il y a résumé au début mais il est préférable de lire la série.

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Entre les mains de la mafia

Les évènements de la venue de John restèrent comme une parenthèse dans mon esclavage. Je n'osais pas demander à Allan ce qui c'était passé. En fait mes idées d'évasion s'étaient un peu évaporées après ma punition. Je restais une esclave modèle dont le ventre s'arrondissait. J'avais toujours du mal à accepter qu'après la naissance de cet enfant je serais séparée de lui.

Pourtant c'était la règle du centre de conservation des roux. Un centre qui achetait des esclaves roux pour les faire se reproduire ensemble. Officiellement le but était de conserver les roux menacés par le réchauffement climatique. Plus prosaïquement les enfants roux étaient proposés à l'adoption à des prix assez élevés à des couples persuadé de faire une bonne action. Ce centre je l'avais visité en tant que policière canadienne sans savoir que l'un des esclaves du centre me revendrait comme esclave à ce même centre. Mon ancien coéquipier avait réussi à trouver ma trace, et j'avais espéré qu'il me fasse libérer, ou me rachète. Plusieurs mois s'étaient écoulés, et Je n'avais eu aucune nouvelle de John.

Quand je n'étais pas à la cuisine, ou de ménage, je regardais les « clients » se présenter.

Avec le temps j'avais les miens. Ben un jeune homme avait plus de mal à venir, un peu rebuté par mon ventre, à moins que ce ne soit par la demande que je lui avais faite en vue de m'évader. Mon sang ne fit qu'un tour quand je vis un de mes ancien-collègues de la police arriver.

-Bonjour, voulez-vous que je vous fasse visiter? » dis-je, il me regarda avec des yeux exorbités.

-Oui, Madame, en fait j'ai pris une chambre, » me dit-il, visiblement plus mal à l'aise que ce qu'il voulait montrer.

-Je dois me déshabiller? » me demanda-t-il une fois dans la chambre.

-Je peux m'en charger » lui-dis-je. Mon rôle auprès de mes anciens collègues m'amusait, je me demandais pourquoi John n'était pas venu lui-même.

-John n'a pas voulu me voir dans mon état? » demandais-je à voix basse en essayant de faire du bruit en bougeant autour de lui, afin que le système d'écoute ne capte pas notre discussion.

-Euh, non... c'est plus qu'il n'ose plus aller aux Etats-Unis » me dit-il Je fus stoppée net.

-Il lui est arrivé quelque chose » demandais-je en repensant aux menaces masquées d'Allan.

-Non, Mais c'est grâce à votre... votre propriétaire » me dit-il.

-Allan? »

-Oui. »

J'en restais sans voix.

-Allan a proposé à John de le rapatrier par un autre moyen que le billet que John avait commandé. John a refusé, mais il a été attaqué au moment de rentrer dans sa chambre d'hôtel. Il suivi les conseils d'Allan ensuite. Et il pu rentrer sans plus de soucis »

-Mon Dieu » dis-je. Puis je me rappelais de mon rôle, et je fini mon travail de déshabillage.

-Par contre Allan refuse de te vendre. » me dit-il alors que je découvrais son sexe en érection.

-Il a une raison? » demandais-je en venant m'empaler sur son sexe.

-Il dit que tu es plus en sécurité ici. Il semble savoir ce qu'il dit. »

J'étais un peu pensive quand il est parti. L'espoir d'être rachetée s'éloignait. J'aurais bien voulu demander à Allan, mais je n'osais pas. Mes marques rouges avaient beau avoir disparues, leur mémoire me brûlait toujours un peu.

-Mag, on suit ton histoire. On ne te laisse pas tomber, mais en ce moment on ne peut rien faire » me dit-il.

-Mag, il faut que je te voie » me dit Allan quelques jours plus tard.

-Oui, Maitre » dis-je en allant le voir, un peu inquiète de ce qui allait m'arriver.

-J'ai de petits soucis avec une mafia locale. » me dit-il.

-Oui, Maitre » dis-je sans comprendre en quoi j'étais concernée.

-J'ai un acheteur au SCCM, au marché aux esclaves où tu as été vendue. C'est lui qui achète tous les esclaves roux. C'est lui qui t'a achetée. »

-Oui, Maître » répondis-je toujours sans comprendre.

-Quand il t'a acheté, il y avait d'autres personnes qui voulaient gagner les enchères. Ils me font régulièrement des propositions pour toi. »

-Euh... »

-Je ne peux pas te vendre à un acheteur Canadien alors que je refuse des offres régulièrement. »

-Je comprend » dis-je. Cette dimension m'échappait complètement avant cette discussion. Qui voulait m'acheter. J'aurais voulu poser la question, mais : une esclave pose toujours trop de questions

-Je ne pense pas. » me dit-il sèchement.

-Je veux des esclaves roux... eux veulent une policière Canadienne : Marguerite O'Sullivan. »

-Pour faire quoi? » demandais-je finalement.

-Je crois qu'ils veulent se venger... de ce que tu faisais en tant que policière. » Je ne pus qu'avaler ma salive. Je comprenais mieux pourquoi je pouvais être en danger hors du centre.

-Il veulent évaluer la marchandise. » dit-il.

-La marchandise, c'est moi? » demandais-je. J'avais du mal à me faire à l'idée que j'étais un objet.

-Oui. »

-Vous allez me vendre, Maître? » demandais avec inquiétude.

-Non, mais je dois leur donner quelque chose, pour ne pas qu'ils deviennent plus agressifs. Ton collègue John leur a échappé, et ils n'ont pas aimé. »

-Je comprend, Maître »

Allan m'a alors conduit dans une chambre qui ne donnait pas sur la cour.

-Maitre, ce n'est pas une chambre habituelle? » demandais-je, en constatant qu'il n'y avait pas de lit.

-Une esclave pose toujours trop de questions » me répondit-il en me montrant un anneau. Je me doutais de ce qu'il voulait, et j'ouvris la bouche. Il le glissa entre mes dents, si bien que je ne pouvais pas refermer la bouche. Il referma une sangle derrière ma tête. Manifestement je ne poserais plus de question, mais ma bouche serait ouverte à qui veut.

-Ces chambres sont pour les clients qui font des réservations » me dit Allan, avant de frapper avec le plat de la main sur la table.

-A plat ventre sur la table... enfin aussi plat que tu puisses » Ajouta-t-il en regardant mon ventre. Ce n'était pas l'abus de bière qui lui avait donné cette forme ronde. Je le fusillais du regard et je me mettais en position. Il attacha mes mains ensemble dans mon dos. Puis il tira sur les jambes pour attacher mes chevilles ensemble pour en écartant mes cuisses au maximum. Je n'étais pas si souple que ça et je soufflais tant que je pouvais, mais avec l'anneau, mes protestations ne risquaient pas de provoquer de punition.

Il attacha ensuite une corde dans mes chevaux, la fit passer entre mes bras puis il l'attacha à mes chevilles avant de tendre. J'étais offerte en « Hog-tie » sur cette table. Et mes orifices étaient accessibles et à la bonne hauteur. Allan en profita pour étaler du lubrifiant entre mes fesses, puis il introduit délicatement un plug.

-Hummm! » dis-je en protestation.

-Je comprend, mais tu sais bien qu'il y a un système d'écoute dans la chambre. S'ils deviennent agressifs, j'interviens. Je ne voudrais pas qu'ils endommagent ma marchandise. » me dit-il avant de me laisser seule sur cette table. C'est à ce moment que j'ai réalisé le comble du raffinement de mon immobilisation : je tournais le dos à la porte. Je ne pourrais donc pas les voir entrer. Une seconde pensée fut ce qu'eux verraient de moi en premier!

Je n'avais pas de moyen d'évaluer combien de temps j'ai passé troussée comme ça. J'avais peur. J'essayais de m'exciter en me disant que quoi qu'il se passe se serait sexuel. Je savais aussi que ce serait sans doute humiliant et douloureux. Je repensais à ma punition, et je me dis qu'il fallait que je me mette dans un autre était d'esprit. Celui de montrer que j'étais capable de supporter ce qui allait se passer.

Finalement, la porte s'ouvrit et aux bruits de pas je devinais que deux hommes, peut-être plus venaient d'entrer.

-Alors voilà notre terrible policière... » dit une voix.

-ça lui va bien d'être dans la position de la dinde de Thanksgiving » dit une autre voix. Je me fis la réflexion, que j'avais bientôt être fourrée avant de passer à la casserole.

-Tu m'a couté cher, ma salope. Mais t'inquiète... Je vais finir par pouvoir te racheter. » dit la première voix en me donnant une claque sur la fesse. La voix était vraiment menaçante. Il venait vers moi, et passa dans mon champ de vision, et je vis un homme que je n'avais vu jusque-là qu'en photo. Le propriétaire de certains camions que John et moi avions interceptés à la frontière entre le Canada et les Etats-Unis. Il ouvrit sa braguette et sorti son sexe. Sans plus attendre, il l'enfila dans l'anneau et s'enfonça aussi profond qu'il le pouvait. C'est-à-dire tout au fond de mon gosier déclenchant mon reflexe anti étouffement, et me coupant la respiration. Il maintenait la position si longtemps que son collègue eut le temps de retirer le plug. Quand il relâcha, derrière son collègue m'encula d'un coup, s'enfonçant aussi profond que possible également.

En tant qu'esclave on rencontre beaucoup d'hommes qui ne pensent qu'à leur plaisir. Dans un sens, c'est un peu le principe de l'esclavage. Si l'esclave arrive à y trouver son plaisir, tant mieux pour lui. Là c'était différent. Ils cherchaient à me faire mal. Ils cherchaient à me faire peur. Peur du traitement que je subirais si je tombais entre leurs griffes!

J'appréciais la préparation dont j'avais bénéficié de la part d' Allan. Assez pour minimiser, Pas trop pour qu'ils ne cherchent pas plus. Pour autant, un sexe d'homme peut faire mal. Ils commencèrent par alterner, puis au contraire à synchroniser. J'avais hâte qu'ils jouissent et débandent.

-Humm, ma salope, je vais te montrer un truc dit-il en s'excitant. Il me pinça le nez. Puis le relâcha alors qu'il éjaculait. La respiration coupée, le sperme gicla au moment où je pus respirer, provoquant une fausse route, qui me fit tousser. Une partie du sperme de cet abruti ressorti par mes narines. Provoquant un fou rire chez ces deux hommes.

Ayant eu leur plaisir, je pensais qu'ils partiraient. Mais non, ils se déshabillèrent complètement.

-Tu vois, si tu étais à moi, je pourrais faire ça tous les jours! » me dit-il. Son collègue entra dans mon champ de vision, et je reconnu l'homme qui m'avait parlé pendant mon évaluation. Il me montra son sexe enduis de mes excréments.

-Nettoie moi » me dit-il. En enfila son sexe dans ma bouche. J'avais envie de vomir.

-Mais si tu étais à moi, je te ferais plutôt bosser dans un de mes bordels au tout est permis aux clients. Ils payent cher pour ça... Les filles ne tiennent pas longtemps, alors après elle ne sont plus bonnes qu'à participer à des snuffs films. » me dit-il

-Tu vois, on pourrait convenir que si tu me demandes de m'occuper de toi chaque jour, je t'éviterais de devenir actrice! » dit-il content de me faire frémir de peur.

-C'est que ça m'a couté cher, toutes ces salopes que tu m'as volées. » expliquait-il. Son collègue reprenait de la vigueur dans ma bouche.

-Tu vois, on les recrute dans des boites de nuit. Une dose de GHB. Elles signent tout ce qu'on veut, et on les embarque aux US. Un juge valide tout ça, une salle des marchés pas trop regardante, et hop. » me dit-il fier de lui.

Etait-ce le spectacle de son associé, ou de m'avoir raconté tout ça, mais son érection revenait. J'avais un peu peur pour le second round qui allait commencer. Il se leva et se plaça derrière moi. Dans ma bouche le sexe devenait plus volumineux. Je senti le un sexe se poser sur mon anus. Un homme devant, un derrière, j'était pris en sandwich, mais chacun d'eux avait comme objectif que je n'en prenne pas de plaisir. Pour autant la situation avait un côté excitant, et mon entrainement à la sodomie me la rendait plutôt agréable. Je pensais à Allan qui m'avait fourni un minimum de préparation : Il avait à cœur de protéger son investissement.

Ce second tour me paru interminable. Pour la seconde fois leurs jouissances étaient plus difficiles. Ils éjaculèrent sur mon visage.

-Quand tu seras à moi, tu testeras la sodomie à sec. » me dit celui qui venait de m'enculer. Ils se rhabillèrent et quittèrent la pièce.

Allan arriva quelques temps après pour me détacher.

-Il y a une douche là. Ça va aller? » me demanda-t-il.

-Je crois. Ça fait parti de mon travail ici?... Maître » dis-je oubliant un peu le respect que je devait à mon propriétaire.

-Je crois que tu as mérité de pouvoir appeler tes collègues. Je garde l'enregistrement au cas où il arriverait malheur à l'un de nous. » dit-il.

-Nous, Maitre? »

-Oui, toi, Ton Copain John, ou ...moi » me dit Allan.

Quelques minutes plus tard j'avais un téléphone entre les mains... j'eut un peu de mal à me souvenir du numéro de John! J'en avais des choses à lui raconter.

Quand je rendis le téléphone à Allan, je vis quelque chose dans ses yeux.

-ça va Maître? »

-Je sais que tu as passé un moment difficile. Mais j'ai eu peur pour toi? » me dit-il. Je me demandais ce qu'il voulait me dire. Je savais que j'étais une immobilisation financière importante. Mais il semblait parler d'autre chose.

-C'est qu'enceinte, j'ai plus de valeur, Maitre? » dis-je.

-J'hésite à te punir pour impertinence ou à te renverser sur le lit...

-Pour tester ce que vous proposez à vos clients, Maitre? » dis-je. Après coup j'eut un peu peur d'être punie.

-Tu as raison, les deux ne sont pas incompatible. Fais-moi ton numéro, sir je suis déçu, je dessinerais de belles lignes rouges sur tes fesses.

Je serrais les fesses en venant déshabiller Allan. J'avais intérêt à être convaincante.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 8 mois

Je me demande si Debbie n'a pas été rachetée par les mafieux dans le seul but d'amener la policière en esclavage...

OlivX

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