Un Centre Pour Roux Ch. 12

Informations sur Récit
Mag retrouve son collègue John
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2.3k
2

Partie 12 de la série de 15 pièces

Actualisé 10/06/2023
Créé 05/18/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci est une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Ceci est l'épisode 12, Il y a résumé au début de l'épisode. il est préférable de lire la série.

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Toucher du doigt la réalité

-Maitre, pourrais-je avoir une ceinture plus grande » demandais-je alors que mon ventre commençait à peine à s'arrondir. Mais la ceinture était serrée autour de ma taille.

-Attend moi là, Mag » me dit-il en se levant. Il revint quelques temps plus tard avec la clé de ma ceinture. Je retenais mon souffle. L'idée qu'il me retire ma ceinture m'excitait. Allais-je pouvoir me toucher? Je me doutais que Allan allait m'examiner, puis qu'il me dirait que je supporterais bien la ceinture quelques semaines de plus. Mais j'avais décidé de tenter ma chance.

Au début j'avais été furieuse de me retrouver enceinte. Puis j'avais décidé de préparer une évasion. Je devais trouver des vêtements, et un moyen de me débarrasser du collier. Ne plus avoir de ceinture était un élément indispensable. Bref la volonté était là, mais sans que je n'aie rien engagé.

-Installe toi sur la table d'examen » me dit-il. Dès que mes pieds furent dans les étriers, il appliqua les straps. Il vint à côté de moi, et baissa son pantalon. Son sexe était tendu.

-Suce moi, j'en peux plus de vous voir, et de ne pas pouvoir vous prendre parce que je ne suis pas roux! me dit-il, en m'attrapant les cheveux pour m'obliger à me pencher sur son organe.

Une esclave n'est pas un être humain, et donc le viol de s'applique pas, je n'étais donc pas violée. Après un mois et demi d'esclavage, je savais qu'elle était ma place. D'officier de la police canadienne chargée de lutter contre les trafics d'êtres humains, j'avais descendu les marches de l'humiliation une par une. J'avais découvert l'esclavage à l'occasion d'un séminaire à Atlanta, et je m'étais interrogée sur ce ça faisait. Puis Debbie, une esclave libérée était venue me rejoindre. Et elle était entrée dans mon jeu. Un jeu innocent au Canada. Puis nous sommes allées en Floride où ce jeu devenait dangereux. Ensuite en passant à Atlanta, elle a fait de moi une esclave légale. Enfin elle m'a vendue, et fait marquer au fer rouge. Aujourd'hui j'étais une des esclaves du centre de conservation des Roux. Des esclaves exploités comme des prostitués, mais aussi forcé de d'avoir des enfants vendus à l'adoption. Des enfants de parents roux étant roux, le centre conservait les roux dont l'existence était menacée par le réchauffement climatique.

Je me trouvais donc sur une chaise gynécologique, les jambes bien écartées, à sucer Allan, le seul responsable du centre que j'ai rencontré. En fait en ceinture j'étais tellement frustrée, que j'espérais qu'il me prenne avant de refermer la ceinture. Je profitais donc d'un moment de relâchement de sa part.

-Baisez-moi, Maître » demandais-je avant qu'il renfonce ma tête sur son sexe.

-Tu vois, toute policière que tu ais été, tu aimes être baisée comme une esclave » me dit-il, avant de me lâcher et de se mettre entre mes cuisses. Je retenais ma respiration, dans un mélange d'humiliation, d'anxiété et d'excitation intense. Il posa son sexe sur le mien, et alors que je m'attendais à ce qu'il me pénètre, il en resta là.

-Qu'est ce qui arrive aux esclaves qui donnent des ordres à leurs maîtres? » demanda-t-il.

-Elles... Elles sont punies? » dis-je angoissée. Jusque-là j'avais plutôt bien évité les punitions.

-Oui, Et combien de coups de canne mérites-tu? » me demanda-t-il. J'avais déjà vu des esclaves qui avaient pris des coups de canne. Cela semblait terriblement douloureux. De plus les marques rouges restaient longtemps.

-Je... ne sais pas 5 peut-être maître. »

-Non, là je referme ta ceinture, si je ne t'en donne que 5 » dit-il en s'éloignant.

-10 peut-être? » corrigeais-je sans être bien sûre du jeu auquel nous jouions.

-10 c'est mieux. Tu les auras. Mais pour ça, je te sodomise sans préparation » dit-il en revenant entre mes cuisses, positionnant son sexe entre mes fesses. Jusqu'à présent je n'y avais pas gouté, chacune de mes sodomies ayant été soigneusement préparée. Le centre des roux prenait soin de ses esclaves. Juste, là Allan semblait comme fou. J'hésitais. Je me dis que 15 serait une sodomie préparée.

-20 Maitre » dis-je... alors en désespoir de cause, pour être certaine d'avoir une relation vaginale. Allan donna un coup de rein en faisant glisser son membre viril vers ma fente. Il me pénétra un peu à la hussarde, mais j'étais si mouillée que cela se fit assez facilement, et rapidement nous trouvâmes la satisfaction que nous cherchions. Quand il eut fini, il m'essuya l'entre jambes, puis défi les scraps.

-Aller file. Et pense à passer ce soir pour ta punition. » me dit-il. J'avalais ma salive. Soulagé de ne plus avoir de ceinture, mais angoissée de devoir revenir demander mes coups de canne.

Ce jour-là, Ben fut ravi de me trouver hors ceinture. Je le laissais me prendre, avec le secret espoir que son sexe ne me déclenche une fausse couche. Lui était ravi que je l'encourage à aller profond, plus profond encore! Je pensais à lui faire appeler John au Canada, mais sans oser tout de suite. Il me fallait des vêtements avant.

-Ben, tu crois que tu pourrais me trouver des vêtements et une pince coupante? » demandais-je.

-Mag, tu veux t'enfuir? Tu sais qu'aider un esclave dans sa fuite peut être puni de 5 à 10 ans d'esclavage. » me dit-il

-Excuse-moi, je ne t'ai rien demandé » dis-je en espérant qu'il ne dirait rien.

C'est après le repas, et devant la plupart des esclaves que je dus demander ma punition.

-Maitre, vous devez me punir » dis-je après m'être agenouillée devant lui.

-Karen, Edouard, préparez-là.

Ils attachèrent des cordes autour de mes poignets, et les tendirent jusqu'à ce que j'aie du mal à poser le talon au sol. La peur m'envahissait.

-On est là, on s'occupera de toi » me dit Karen.

Ensuite ils attachèrent des cordes à mes chevilles, et écartèrent mes jambes. Je me sentais déjà sans défense, mais là je me sentais offerte. Peut-être sacrifiée à un dieu du sexe. En plus, je me retrouvais sur la pointe des pieds. La position en elle-même était une punition. Sans compter le fait d'être ainsi punie face aux autres esclaves.

-Pense que c'est un jeu sexuel. » me glissa Edouard. Je réalisais alors que c'en était un : je payais mon orgasme du matin.

Allan arriva sans se presser.

-Tu veux donner des ordres à ton maître. Alors on va faire ça. Après chaque coup, je veux que tu comptes, que tu me remercies de te corriger, et que tu me dises où le coup suivant doit tomber. Tu auras 1 minutes le pour faire, sinon gare... » dit Allan. Il me fallut un moment pour réaliser ce qu'il me demandait.

-Je compte le temps, Mag. Pour l'endroit, c'est dos, ventre, cuisse, poitrine, mollet » me glissa Edouard accroupi devant moi. Il devait avoir une vue détaillée de mon sexe ouvert.

-Alors, Mag on commence? » demanda Allan.

-Oui, Maitre » dis-je d'un voix tremblotante »

-Dos » me glissa Edouard.

-Dos » dis-je.

Ce qui me marqua, fut le décalage temporel entre le coup et la sensation de brulure intense qui suivi ensuite, m'arrachant un cri. Edouard bougeait les mains, et je réalisais qu'il décomptait le temps.

-Un, merci Maître de corriger votre esclave. » dis-je en sanglotant.

-fesses » ajoutais-je en espérant que je serais moins sensible là. Je l'étais bien plus que je ne le pensais. Il en fut de même des cuisses, ou des mollets. L'idée de tester la poitrine ne me vient pas à l'idée, et c'est dans le dos et les fesses que je reçus les coups. Remercier d'être corrigée était une torture morale.

Je ne suis pas bien sûre d'avoir été capable de compter jusqu'au bout, et je suspecte Karen d'avoir parlé à ma place. Elle et Edouard me détachèrent et me conduisirent sur un lit.

-On va appliquer une crème » me dit Edouard.

Mais pendant que lui l'appliquait dans mon dos. Karen l'appliquait sur mes fesses, puis sur mes cuisses. Puis elle continua entre mes cuisses.

-Un orgasme fait passer la douleur dit-elle en caressant mon clitoris. »

-Après avoir été punie comme ça on a des orgasmes très puissants » ajouta Edouard.

Effectivement je fus lessivée par un orgasme d'une puissance inconnue, et je ne me réveillais que lendemain.

-Ça va? » me demanda Karen.

-J'ai l'impression d'être toute cassée »

-Il y a un peu de ça! » me moqua Karen en me donnant un comprimé et un verre d'eau.

Elle commença sa journée avec moi alors que j'avais du mal à bouger. Karen sans ceinture comme moi avait des idées à réaliser entre filles. Et lors d'une pause une question me taraudait.

-Tu as des nouvelles de Debbie? » demandais-je.

-Non pourquoi en aurais-je? » me dit-elle sur un ton un peu agressif.

-Je suis désolée, je ne voulais pas te blesser. » dis-je.

-Pour ne pas me blesser, le mieux est de ne plus me parler de cette traitre! » dit Karen, en me laissant seule.

Je refis un somme, puis je fus réveillée par Eléonore.

-Il faut reprendre les médicaments. Dans ta punition tu as la chance de ne pas être en ceinture » me dit la jeune française. »

-Eléonore, j'ai vexé Karen en lui parlant de Debbie. » dis-je

-Je sais, elle m'a dit de venir te donner tes médicaments, et te caresser, mais que tant que tu t'intéresserais à Debbie, elle ne voulait pas te voir. »

-Oh. Qu'est ce qui s'est passé? »

-Personne ne sait. Mais Debbie est partie. Peut-être a-t-elle été rachetée. En général, les esclaves le savent quelques jours avant, et ils en parlent. Elle n'a rien dit. Karen en a été vexée. Elles étaient proches.

-Tu crois que Debbie a pu être libérée? »

-Libérée? Non, il lui restait 5 ans à faire sur 10! » rit Eleanor.

Je me sentais ridicule d'avoir cru à l'histoire de Debbie. Moi aussi j'étais vexée.

Quelques jours après j'arrivais à marcher, et j'allais de l'endroit où on peut observer la cour.

-Bonjour Edouard »

-Bonjour Mag. Tu as impressionné tout le monde tu sais. Ça va, tu récupères? »

-C'est un peu difficile, mais je récupère. C'est curieux, j'ai comme de la fierté de l'avoir fait. »

-Il faudra que tu me racontes. C'est ce genre d'expérience que je cherche à collecter. Je devrais même les vivre, mais j'ai un peu peur. »

-C'est courant les transferts d'esclaves d'un propriétaire à l'autre? »

-Oui, mais pas au centre des Roux. Il a des exceptions. » me dit-il un peu gêné.

-C'est quoi les exceptions? »

-Mag, je ne dois pas en parler! »

-Je ne dirais rien. Et tu m'en as déjà un peu trop dit. »

-OK... Je dois repasser en vente aux enchères... » me dit-il. Ce n'était pas ce que je cherchais.

-Mais pourquoi? »

-Tu sais, je dois vivre des expériences d'esclaves, et pour plus de variété... » commençait-il à dire.

-Tu dis ça mais tu n'y crois pas. » lui-dis-je.

-L'université a trouvé que mon expérience était trop douce, et pas représentative » me dit-il en blanchissant. Je l'embrassais sur la bouche.

-Merci de ta confiance Edouard »

-Tu sais que j'ai appris un truc ici? »

-Quoi? »

-J'aime bien me faire prendre par des hommes »

-En même temps on n'a pas trop je choix » dis-je.

-Mais si, et lui il est pour moi » me dit-il en me montrant l'homme dans la cour : John!

-Je ne crois pas, je le connais! » dis-je.

-Merde »

-C'est ce qu'on dit quand la sodomie part mal » lui dis-je en allant vers la cour.

-Oh, Mag... il faut que tu saches... les salles sont écoutées. Allan sait ce que tu as demandé à Ben. » me glissa Edouard.

-Bonjour John » dis-je, la tête baissée en ayant honte.

-Mon dieu, Mag, qu'est-ce qu'ils t'ont fait? »

-J'ai été punie, c'est assez rare, tu tombes mal. »

-Comment... Comment t'es-tu retrouvée ici? » me demanda-t-il.

-Tu as pris une chambre, je ne pense pas qu'il faille en parler ici »

-Euh, Mag... non » dit-il choqué.

-John, on ne peut pas parler ici... et je suis une esclave » dis-je en le prenant par la main pour le guider vers l'accueil.

-En tout cas je retrouve mon équipière » plaisanta-t-il.

-Ne le dit pas trop. J'ai été battue pour avoir donné des ordres à mon propriétaire » dis-je.

-Tu dois être battue souvent. En tout cas, ils vous nourrissent bien! » plaisanta-t-il.

-Non, John, je suis enceinte » dis-je agacée.

Quelques minutes plus tard, nous étions dans une chambre. John était grave et me demanda

-Qui t'a fait ça, c'est qui le père? »

-Je ne sais pas. » il m'agaçait de plus en plus. Je m'approchais de lui, et lui enlevait sa veste.

-Marguerite! »

-C'est mon travail ici. Je vais t'expliquer où tu es. » lui dis-je en le basculant sur le lit.

-Mais...Mag... »

-Tu ne voudrais pas que j'aie plus de soucis que ce que j'ai déjà » dis-je et John se laissa déshabiller. J'appréciais son érection.

-Mag, ma visite est professionnelle » souffla-t-il.

-Si j'avais pu t'appeler je l'aurais fait, donc je ne pense pas qu'il faille que ça fasse trop professionnel. » expliquais-je.

-J'ai trouvé que tu avais été vendue comme esclave quand je me suis rendu compte que tu n'etais pas revenue » A califourchon sur lui, je guidais son sexe.

-Je sais ça, Debbie m'a vendue » lui dis-je.

-Oui, Debbie McOlly » mais comment lui appartenais-tu?

-Elle m'a piégée » il y a quelque chose de louche, comment est-elle devenue libre, cherche » dis-je.

-Oui, Oh oui, Mag » dit-il alors que je m'empalais sur lui. Je repensais à ce jour où il m'avait accompagné chez moi. Je regrettais de ne pas en avoir profité à ce moment-là.

-Je vais chercher, il y a autre chose que je peux faire? » me demanda-t-il une fois que nous eûmes finis.

-Je crois que ce sera difficile, mais si tu peux me racheter, ça serait cool » lui-dis-je.

-Je vais voir ça » me dit-il, en m'embrassant.

Une fois douchés et John rhabillé, j'ouvris la porte.

-John O'Reilly? » demanda Allan. John me regarda. J'avalais ma salive.

-Oui. »

-Jamais vous n'auriez dû venir ici. »

-Je... cherchais ma co-équipière. »

-Croyez bien qu'elle est en sécurité en étant mon esclave. Vous par contre n'êtes pas mon esclave. » dit Allan.

-Est-ce une menace » demanda John.

-Non c'est un fait, monsieur O'Reilly. Je veux vous faire toucher la réalité du doigt, » dit Allan calmement.

-Vous... voudriez bien m'expliquer? »

-Oui, mais pas ici. En tête à tête. » dit Allan, en guidant John vers son bureau. Je les suivais.

-Mag où vas-tu? » Dit Allan en se retournant.

-Je vous suis » dis-je.

-Tu as déjà des belles rayures rouges, voudrais-tu une nouvelle série, ça pourrait faire un beau cadriage, » dit Allan.

-Non, Maître » dis-je.

-Voilà, Monsieur O'Reilly. Là c'était une menace » dit Allan en s'éloignant avec John.

-A propos, Mag est enceinte? »

-Oui, c'est l'activité de notre centre : faire des bébés roux. Les siens seront magnifiques. Les acheteurs se les arracheront » John me jeta un regard avec des yeux exorbités.

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1 Commentaires
HistoiresdOHistoiresdOil y a 7 mois

Formidable! Enfin la suite! Merci! Meg va t-elle se venger de Debbie un jour?

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