Un Amour Non Conventionnel 03

La semaine qui a suivi mon retour, Beth a été prévenante, ne perdant pas un instant pour me démontrer l'amour quelle me portait, par des gestes de tendresses. Elle a même participé à l'essuyage de la vaisselle le soir. Une première depuis notre mariage.

Un soir, Beth me dit :

- Pierre. Tu sais que je t'aime. J'ai promis de ne plus rien te cacher. Ta langue est incomparable mais j'ai besoin d'une bonne pénétration par une grosse queue. J'ai un rendez-vous demain vendredi soir.

- Ah? D'accord.

- Un de mes amants, Antonin, m'a invité à diner demain soir. J'ai accepté. On ira ensuite baiser une partie de la soirée chez lui. Sa copine est en déplacement. J'ai besoin que tu me rendes un service.

- Lequel?

- En rentrant du boulot demain je n'aurais pas beaucoup de temps. Je veux que tu ailles dans une boutique de lingerie demain midi à coté de ton travail et que tu m'achètes de la lingerie sexy. Ça devrait exciter Antonin.

- Tu veux que j'achète de la lingerie que tu porteras pour ton amant?

- Oui. Je sais que tu veux mon bonheur, que je sois satisfaite. Pour cela je dois exciter mon amant pour qu'il me baise bien. De la lingerie sexy c'est ce qu'il me faut. Je te fais confiance pour trouver ce qu'il me faut.

- OK

- Dépose-les sur notre lit quand tu rentreras demain soir

- OK.

- Maintenant met toi à genou et broute moi le minou. Parler de ma soirée de demain m'a excité comme ce n'est pas possible.

Le lendemain midi, je me suis rendu dans la boutique de lingerie à proximité de mon lieu de travail. J'étais très gêné et ne savais pas comment m'y prendre. Devant mon hésitation, une jeune vendeuse vint vers moi.

- Je peux vous aider?

- Euh...oui, je cherche quelque chose de sexy....

- C'est pour offrir?

- Oui pour ma femme.

- Elle a bien de la chance que vous soyez si attentionné.

Si elle savait. Je rougis.

- Il y a une occasion spéciale?

- Je veux juste qu'elle soit irrésistible pour le rendez-vous

- Un rendez-vous coquin?

- Oui dis-je en rougissant.

- Cet ensemble sera parfait je pense, en me montrant un string noir, un soutien-gorge « push-up », un porte jarretelle et des bas noirs.

- Merci.

- Quelle taille?

- 36, 85 B

- Voici. Avec cela vous devriez passez une excellente soirée, me dit-elle en me faisant un clin d'œil.

- Merci mademoiselle.

Je déposais comme convenu lors de mon retour du bureau, l'ensemble sur le bord de notre lit. Beth arriva une heure après. Elle m'embrassa à pleine bouche et regarda ce que j'avais acheté?

- Merci Pierre. Très bon choix. Quand Antonin va les voir, je ne pense pas que je vais les garder bien longtemps. Bon il faut que je me dépêche. Fais-moi couler un bain. Veille à la bonne température.

- Oui Beth

Je me précipitais vers la salle de bain et fis couler l'eau. Beth me rejoignit 2 minutes plus tard, nue.

- Reste là. Tu m'essuieras quand je sortirai.

Je me mis sur le côté et attendis patiemment qu'elle me fasse signe

- Viens, essuie moi. Parfait. Aide-moi à sortir.

Elle se dirigea nue vers le rebord du lit et commença à s'habiller avec cette belle lingerie que je venais de lui acheter. Elle commença par mettre le porte jarretelle, puis les bas sur chaque jambe et les raccrocha au porte jarretelle. Enfin elle mit le string par-dessus le porte jarretelle.

- Ainsi Antonin pourra me retirer mon string sans retirer ce magnifique porte jarretelle. Je vais être super sexy. Merci mon chéri. Antonin va adorer. Va me chercher mes talons aiguille noirs dans mon dressing.

- Tout de suite Beth

- Attache-moi derrière. Utilise le petit fermoir. Merci. Bon quelle robe maintenant?

- J'aime beaucoup celle-ci, luis dis-je en lui apportant une robe verte émeraude avec un dos échancré.

- Parfait. Quelle heure est-il?

- 18h45

- Déjà. Faut que je file.

- Passe une bonne soirée. J'espère qu'Antonin te satisferas.

- Ne t'inquiètes pas. Il ne m'a jamais déçu. Il est monté comme un vrai étalon. Bon je file. Je devrais rentrer entre 1 ou 2 h du mat. Attends-moi. Je te raconterai tout.

Beth m'embrassa et fila. Je me retrouvais seul. C'était ma 1ère soirée de cocu pleinement conscient et certainement pas la dernière. J'essayais de faire passer le temps. Je me servis un whisky, un Glenmorangis, et alluma la TV. J'avais du mal à me concentrer sur ce que je voyais, mon esprit vagabondant sans cesse en imaginant ce que Beth faisait à cet instant même. J'avais très envie de me masturber, mais je réussis à lutter contre. En effet peut-être qu'à son retour Beth me permettrait de jouir en elle. Je devais garder ma semence ou cas où.

J'ai dû m'assoupir car je fus réveillée par Beth en entendant le bruit de ses hauts talons devant le porche de notre maison. Elle rentra et me fit un grand sourire. Son maquillage n'était plus qu'un vague souvenir. Elle sentait le sexe et était complétement débraillée.

- Alors mon petit cocu, tu as passé une bonne soirée? Tu attendais ta femme infidèle?

- Oui

- Je vais te raconter mon super coup du soir. Va dans la chambre et met toi nu et allonge toi sur le lit. J'arrive.

Je m'exécutais aussitôt et attendis.

Elle fit une entrée théâtrale. Elle laissa tomber sa robe à l'entrée de notre chambre. Elle ôta ses talons aiguilles, ne gardant que son porte jarretelle, ses bas et son string. Elle vint telle une chatte en chaleur se positionner sur mon visage, écarta du bout de ses doigts son string, me montra sa fente, toute rouge.

- Lèche-moi. Nettoie-moi. Antonin a joui 4 fois en moi ce soir.

Du liquide blanchâtre dégoulinait. Je rechignais. Puis n'en pouvant plus, fou de désir, je la lapais comme jamais, enfonçant ma langue au plus profonds d'elle. J'avalais tout.

- Oui c'est ça! Je savais que tu en mourrais d'envie. Avale bien tout mon petit cocu. OUI oh OUI....

Beth fut parcouru d'un immense orgasme, la faisant trembler de la tête aux pieds. Elle mit plusieurs minutes à revenir à la réalité. Beth se retira ensuite de mon visage, s'allongea à côté de moi et m'embrassa passionnément.

- Oh Pierre, comme tu me rends heureuse. Je t'aime plus que tout.

- Je t'aime aussi plus que tout Beth

- J'aimerais tant que tu puisses assister à mes ébats. Que tu sois témoin de ma jouissance!

- Beth? Me permet tu de te pénétrer?

- Quoi? Oh oui bien sûr. Antonin m'a tellement élargie avec sa grosse queue, qu'il est possible que je ne te sente pas. Mais vas-y car tu l'as mérité. Baise-moi.

Je bandais comme un fou. Je la pénétrais aussitôt et au bout de 4 ou 5 va et viens, j'éjaculais en elle. Elle n'avait pas eu le temps de crier quoi que ce soit tellement j'avais été rapide. Naturellement je sortis mon engin et me mis à nettoyer le vagin de Beth comme elle m'avait si bien conditionné à le faire.

Comme je continuais à la lécher, Beth me raconta sa soirée avec Antonin. Il l'avait emmené dans un beau restaurant. Ils avaient mangé vite car tous les deux étaient très excités. Elle me confia que la lingerie que j'avais acheté à Beth pour son amant avait rendu fou de désir Antonin. Une fois arrivé dans l'appartement d'Antonin, il s'était rué sur elle, la prenant dans le hall d'entrée, la plaquant le nez contre le mur, la pilonnant par derrière. Elle avait adoré. Puis elle l'avait sucé pour que son engin reprenne forme. Il l'avait baisé ensuite sur la table de la cuisine, sur le canapé du salon et sur le tapis de la salle de bain.

- Pierre. La copine d'Antonin est encore absente demain soir. J'ai invité Antonin à passer la soirée à la maison.

- Mais...

- Je veux que tu le vois me baiser. Je veux que tu te caches dans le dressing de notre chambre. Comme ça tu pourras nous entre apercevoir baiser en écartant discrètement le rideau, et nous entendre. Mais je ne veux pas que tu fasses de bruit. Je ne veux pas l'effrayer. C'est COMPRIS?

- Oui Beth

- Je lui ai dit que seras à un match de foot avec tes amis.

- Beth, je déteste le foot

- Antonin n'en sait rien. Je lui ai dit de venir pour 19h. Tu nous préparas un diner léger et ensuite tu iras te cacher dans mon dressing vers 18h45. Tu n'en sortiras que quand je t'en donnerai l'ordre. C'est COMPRIS? Antonin ne doit pas soupçonner ta présence.

- Oui Beth.

- Je suis épuisée maintenant. Déshabille-moi et dormons. Demain sera une grande journée mémorable.

La journée du lendemain passa lentement. J'étais à la fois stressé et dépité, et en même temps super excité. Beth était dans le même état. Je lui préparais une salade césar avec un rosé de Provence. Puis comme convenu je me dirigeais vers la chambre ou Beth terminait de s'apprêter.

- Tout est prêt?

- Oui

- Parfait. Comment me trouve-tu?

- A tomber comme à chaque fois.

- Bien. Va vite te cacher dans le dressing et que je ne t'entende plus.

Dix minutes plus tard, le carillon de la porte sonna. Antonin était pile à l'heure. J'entendis Beth aller ouvrir. J'entendis des murmures, ce qui ressemblait à un long baiser. Beth dit :

- Hum mon bel étalon. J'ai préparé une petite salade légère. Mangeons vite et on pourra alors passer aux choses sérieuses. Je veux que tu me prennes dans le lit conjugal.

- Beth tu es une sacré vicieuse. Tu n'as pas peur que ton mari s'aperçoive de quelques choses quand il viendra se coucher?

- T'inquiètes. Quand il rentre du foot, il est tellement bourré, qu'il ne remarquera rien.

Je n'entendis plus que des bouts de phrases ensuite, le bruit d'assiettes, une bouteille de vin débouchée.

De longues minutes plus tard, j'entendis les pas de Beth qui ouvrait la porte de notre chambre. Je retins mon souffle. Je pu voir qu'elle tenait Antonin par la main, tandis qu'il s'avançait dans la chambre. Antonin était un très bel homme. Environ la trentaine, un corps de sportif, blond aux yeux bleus, 1m85 à peu près. Bref je faisais pale figure en comparaison.

- Baise-moi là tout de suite. J'en peux plus. Je veux ta grosse bite au fonds de moi

- Tu n'es qu'une chienne

- Oui je suis ta chienne. Baise-moi comme la dernière des putes

- Ça ne t'a pas suffi hier. Tu en redemandes?

- Oui j'aime ta grosse queue

- Tiens suce moi.

Des bruits de succion me parvinrent aux oreilles. J'écartais tout doucement les rideaux. Je vis Beth à genou, complètement nue en train de sucer une énorme verge mesurant à vue d'œil bien 25 cm. Elle suçait avec passion, comme si sa vie en dépendait. Antonin fermait les yeux, savourant cet instant divin.

- Ça suffit chienne. Tu vas me faire jouir. Met toi à 4 pattes sur le lit. Je vais te prendre en levrette comme la pute que tu es.

- Oh oui je suis une grosse pute

- Tu la sens bien?

- Oh oui. Continue. Ne t'arrêtes pas. Baise moi bien profonds. Tu atteins des zones que mon mari est incapable d'aller. OUI PLUS FORT!!! ENCORE!!!

Au cri de Beth, je compris qu'elle subissait un orgasme dévastateur. Antonin ralentit alors sa cadence, puis quand Beth revint à ses esprits continua de plus belle. Un second orgasme tout aussi puissant submergea Beth.

- Je vais jouir. Ou veux-tu que j'éjacule?

- Reste en moi. Je veux sentir ton foutre tout au fonds de mon vagin.

- Arghhh. Prends ça salope.

Beth subit alors son 3eme orgasme. Les deux amants s'écroulèrent sur le lit, épuisés, vidés. Le silence régnait dans la pièce. Puis j'entendis des bruits de baisers. Beth avait la tête reposée sur le torse d'Antonin.

- A quelle heure rentres ton mari?

- Il devrait se pointer vers 22h30. Ça nous laisse encore un peu de temps pour remettre ça.

- Beth, tu es insatiable

- J'aime trop ta queue. Elle me fait du bien.

Beth reprit la verge d'Antonin et se remit à le sucer. Elle revint au garde à vous en un rien de temps.

Beth se tourna pour faire face au dressing. Antonin se positionna pour la pénétrer en « missionnaire », me tournant le dos. Beth me fit alors un clin d'œil.

- Baise-moi encore une fois. Fais-moi crier encore une fois

Antonin ne se fit pas prier. Il la pilonna pendant de longues minutes. Beth hurlait, entourant les hanches d'Antonin de ses pieds, appuyant sur les fesses d'Antonin pour accentuer sa pénétration. Puis il éjacula une nouvelle fois en Beth.

- File maintenant. Mon mari ne devrait plus tarder.

- OK. Je ne voudrais pas être responsable d'un drame.

- T'inquiètes. Je gère.

- Fais-moi signe quand tu pourras être à nouveau disponible.

Antonin se rhabilla, embrassa Beth et rentra chez lui.

- Tu peux sortir.

Je m'extrayais du dressing, tout penaud, n'osant à peine regarder Beth.

- Regarde-moi.

- Oui

- Voilà ce que je suis. Voilà ce que j'ai besoin.

- Je suis désolé Beth. Je ne suis pas à la hauteur.

- Pas du tout. Tu es douceur et amour. J'ai besoin de ça aussi. Antonin n'est qu'une queue!

- Merci.

- Maintenant, déshabille-toi et viens me nettoyer la chatte. Mon amant m'a remplie. Je veux que tu lèche et avale jusqu'à la dernière goutte de sa semence. Quand tu auras fini ton devoir, je te permettrai de te branler et d'éjaculer sur mes pieds.

Je m'exécutais, fou amoureux de ma déesse. Ce soir-là, nous venions d'établir une nouvelle routine dans notre vie de couple.