Soumise ou Non 04 (Nuit Féminine)

BÊTA PUBLIQUE

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Katia a tout de suite perçu le frémissement qui m'a parcourue à l'instant où j'ai compris. Elle a alors serré ses mains derrière ma nuque et pressé fortement ma tête contre son ventre. La bouche plaquée contre sa chatte odorante, j'ai perçu une légère contraction de son pubis, immédiatement suivie d'une courte giclée d'un liquide brûlant sur ma langue, alors qu'elle atteignait instantanément l'orgasme, m'inondant ainsi d'une autre liqueur bien différente. »

A ces mots, Hugo ne peut plus se retenir et éjacule d'un coup au fond du vagin de son épouse.

« Tu es une vraie salope ! Je t'aime ! », crie-t-il presque, au moment du plaisir.

Pendant qu'Inès parlait, Hugo avait gardé son sexe planté au plus profond d'elle, sans bouger. Et pourtant, sans faire aucun mouvement, il vient d'atteindre la jouissance par le seul effet du récit.

Sa femme est toujours accroupie sur lui et sent le sperme couler lentement entre les parois de son vagin et le pieu qui reste encore tendu en elle. En effet, Hugo est si excité qu'il ne débande pas après cette forte éjaculation. Alors, il prend sa femme par les hanches et la soulève doucement pour la faire coulisser sur sa tige. Inès est aussi excitée par ses souvenirs que par ses sensations présentes. Son sexe se mouille encore plus et inonde le ventre de Hugo, trempant ses poils pubiens d'un mélange de foutre et de sécrétions féminines. Inès profite en silence de ces instants de plaisir, puis termine son récit :

« Lorsque Katia a eu repris ses esprits », poursuit-elle, « elle m'a d'abord caressée lentement sur tout le corps. J'étais allongée sur le dos lorsqu'elle m'a relevé très haut les jambes en les écartant. Cela m'a excitée de me voir offerte aussi impudiquement à ses regards. Sa bouche s'est posée entre mes cuisses et sa langue m'a fouillée pour descendre ensuite plus bas et se poser entre mes fesses qu'elle a fortement écartées. J'ai un peu protesté, pour la forme, car je mourais d'envie de sentir sa langue sur ma rosette. Elle m'a léché longtemps l'anus, le mouillant de salive avec le bout de sa langue. Cela me faisait beaucoup de bien, surtout lorsqu'elle y introduisait un doigt, puis deux, qu'elle écartait comme si elle cherchait à m'élargir. C'était en fait ce qu'elle voulait, car elle a ensuite appuyé sur ma rosette le bout du gode qui nous avait servi la veille. J'ai tout de suite protesté :

« Non, c'est trop gros. Arrêtez, vous allez me faire mal ! »

Alors Katia m'a asséné sur les fesses une violente claque qui m'a chauffée fortement.

« Sois obéissante ! Ta rébellion pourrait me contrarier ! », a-t-elle ajouté d'un ton qui ne permettait aucune discussion.

Katia forçait le gode et je sentais mon anus se dilater douloureusement à chaque nouvelle pression. Mais lorsque le gland est passé tout entier, j'ai n'ai pas regretté cette épreuve, tant la sensation a été forte au moment où mon anus s'est refermé derrière lui. Katia a bien compris que cela me plaisait et en a profité pour le faire pénétrer encore plus profondément après quelques va et vient excitants.

Je m'attendais à ce qu'elle utilise l'autre extrémité pour elle-même, comme nous l'avions fait dans la nuit précédente. Aussi ai-je été surprise lorsque j'ai vu que, maintenant d'une main le gode double en place, elle commençait à le cintrer en son centre avec son autre main. Bien qu'elle le retienne d'une main, je sentais la pression du gland sur la paroi de mon anus, car le caoutchouc n'étais pas très souple et offrait une résistance à la torsion. C'était sensible, sans être vraiment douloureux. Katia continuait son mouvement. J'avais compris qu'elle voulait introduire l'autre bout dans mon sexe. J'étais si excitée que je ne pouvais détacher mes yeux de ce gland factice qui s'approchait de ma vulve ouverte.

J'ai vibré lorsque le bout m'a touchée et a commencé à glisser entre les lèvres. Katia l'a poussé plus loin. Elle tenait fermement le gode, mais la torsion du caoutchouc faisait pression à l'intérieur de mon vagin, vers le haut, juste sous mon pubis. Le thé faisant son effet, j'avais un peu envie d'uriner. Aussi, lorsqu'elle a continué à le pousser en moi, le bout s'est appuyé fortement sous ma vessie, augmentant tout à coup mon envie.

« Attendez ! J'ai envie... Laissez moi aller un moment aux toilettes », lui ai-je demandé, avant de l'entendre me répondre sèchement :

« Il n'en est pas question. »

Alors que je me contorsionnais, Katia a brusquement lâché le gode dont elle retenait la pression avec ses mains. J'ai poussé un cri lorsque le caoutchouc s'est détendu en moi, les deux glands s'écartant violemment l'un de l'autre. Je me sentais comme écartelée. J'avais l'impression qu'un bout allait perforer mon anus pendant que l'autre m'écrasait la vessie. J'accentuais la douleur en essayant encore de retenir mon envie. Et pourtant, tout à coup, la jouissance est venue, intense, fulgurante, atteignant son paroxysme lorsque Katia a brutalement arraché le gode d'un geste brusque. L'orgasme était si violent que je roulai frénétiquement sur le lit, n'arrivant pas à me calmer. Et tout à coup, je me suis précipitée à la salle de bain pour libérer mon envie. »

Cette fois, Hugo et Inès, à la fin du récit, viennent d'atteindre l'orgasme, dans un ensemble parfait. Elle se penche maintenant sur lui, pose quelques baisers sur ses lèvres, puis lui dit tout bas à l'oreille:

« J'ai beaucoup aimé cette expérience. Peut-être son côté anormal m'a-t-il particulièrement excitée. J'aime les hommes, tu le sais, mais les caresses d'une femme sont inégalables. J'ai été aussi sensible à cette alternance de douceur et de rudesse. Je me demande d'ailleurs si je n'ai pas une certaine attirance pour la soumission. Je me suis surprise moi-même lorsque, sortant nue de la salle de bain, j'ai vu cette femme, déjà rhabillée, debout devant moi, jeter mes vêtements à mes pieds. Elle m'a dit :

« Maintenant, habille-toi et va-t'en ! », et je n'ai pas réagi, j'ai obtempéré et je suis partie sans un mot, lui jetant seulement un dernier regard d'amante. Ne trouves-tu pas cela curieux? »

« Non, mon amour », lui répond Hugo, « tu te découvres peu à peu et il y a en toi tant de trésors cachés qui m'ouvrent des horizons pour de nouveaux plaisirs ! »

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... à suivre ...

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2 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 10 mois

Beau récit belle description

Assas78Assas78il y a 11 mois

Magnifique récit, rempli d'érotisme à chaque ligne.

J'ai dévoré ces 3 pages et suis presque déçu d'avoir terminé de lire.

Heureusement vous indiquez qu'il y aura une suite

Merci

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