Soumise ou Non 03 (Au Cinéma)

Informations sur Récit
Une rencontre dans un cinéma porno.
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Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/08/2023
Créé 06/08/2023
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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Inès s'est laissée pervertir par Hugo, son mari. Ses vacances à la mer lui ont permis de faire du nudisme et de profiter des attouchements d'un voyeur. Elle a aussi commis l'adultère avec un beau secouriste, sans respecter complètement les règles imposées par son mari. Inès a finalement préféré, pour profiter des plaisirs nouveaux, se plier à la domination d'Hugo en acceptant d'être son esclave sexuelle.

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Ce soir, Hugo et Inès terminent leur dîner en tête à tête dans un grand restaurant parisien. La douceur de cette soirée de juillet a permis à Inès de choisir une tenue légère. Elle porte une jupe de toile beige qui s'arrête à mi mollets. Pourtant ses jambes sont assez découvertes car un boutonnage sur le devant laisse la possibilité d'ajuster la longueur de la fente. Pour plaire à son mari, Inès a déboutonnée la jupe très haut. Ainsi, lorsqu'elle est assise, un pan glisse et découvre à demi une cuisse à la peau satinée. C'est aussi pour la même raison qu'elle a choisi un soutien-gorge qui ne couvre que la moitié des seins. La fine bordure de dentelle souligne le téton que le soutien-gorge laisse libre. Tout ceci reste très discret, car le chemisier fin qui recouvre la poitrine n'est pas vraiment transparent. Ainsi les pointes des seins d'Inès se devinent plus qu'elles ne se montrent.

Alors qu'ils attendent l'addition, Hugo dit à sa femme:

« Tu es très belle ce soir. Tu me donnes envie d'une fin de soirée excitante. Je t'emmène au cinéma voir un film porno. »

Inès tente alors de l'orienter vers un autre projet:

« Ne pourrait-on pas louer une cassette et regarder ce genre de film chez nous? Tu sais bien que je n'aime pas me trouver dans ce type de cinéma, entourée dans le noir par tous ces hommes. »

Mais Hugo n'a pas l'intention de renoncer à son idée, aussi lui répond-il:

« Non. Tout l'érotisme est dans cette situation. Je te verrai excitée par le film et alors je te caresserai, au vu de tout le monde. Le spectacle sera sur l'écran, mais aussi dans la salle. Et ce sera toi, offerte aux regards envieux des spectateurs excités. »

Inès veut protester par un « mais, Hugo... », interrompu par son mari qui ne lui laisse pas le loisir de discuter, en ajoutant, sur un ton qui n'admet pas la réplique :

« Vas-tu encore me désobéir? Tu sais pourtant ce qu'il pourrait t'en coûter. D'ailleurs, tu vas tout de suite ajuster ta tenue avant d'aller au cinéma. Retire ton slip et déboutonne ta jupe jusqu'à la taille. »

Inès pose sa main sur le bras de son mari et, le regardant droit dans les yeux, lui adresse ainsi une dernière supplique muette. Mais le regard de Hugo reste imperturbable et se durcit même, alors Inès glisse une main sous la table et fait glisser son slip le plus discrètement possible. Avant que quiconque puisse le remarquer, elle ramasse très vite la fine dentelle qu'elle chiffonne dans sa main et enfouit prestement dans son sac. D'un coup d'œil inquiet, elle fait le tour de la salle pour s'assurer que personne n'a remarqué son manège. Rassurée, elle souffle un peu, lorsque son mari lui rappelle sa demande :

« N'oublie pas de déboutonner ta jupe. »

Inès défait alors les boutons, un à un, et s'arrête tout en haut des cuisses, à la limite de son sexe. Mais un « j'ai dit jusqu'à la taille »" l'oblige à poursuivre, découvrant ainsi sa toison pubienne.

Elle rabat alors rapidement les pans de sa jupe, qu'elle tient de la main, lorsqu'elle se rend compte que le maître d'hôtel vient de s'approcher, apportant l'addition. A-t-il eu le temps d'apercevoir ma tenue, se dit-elle tout à coup en rougissant. Elle a l'impression que non, mais bien vite son inquiétude revient quand elle se demande comment elle va pouvoir dissimuler sa nudité au moment de se lever pour quitter le restaurant. Heureusement, elle est sauvée lorsqu'un serveur lui apporte son blouson, qu'elle refuse d'enfiler et garde à la main, masquant de cette façon son ventre nu.

C'est ainsi qu'Inès arrive à rejoindre le cinéma, après une courte marche au bras de Hugo. Elle craignait qu'il lui impose de se dévoiler pendant le trajet, mais il n'en a rien été. Dans la salle obscure, le couple s'installe au milieu d'une rangée. A la dernière séance, un samedi soir, il y a foule. Seul un siège reste libre à la gauche d'Inès. Lorsqu'elle s'est assise, les pans de la jupe se sont écartés, découvrant son pubis. Elle s'est tout de suite empressée de poser son blouson sur le haut de ses cuisses, pour cacher son intimité. Dans la pénombre, personne n'a remarqué son manège.

Sur l'écran, le film se déroule sur un scénario sommaire qui permet d'arriver rapidement aux scènes torrides que tout le monde attend. Deux hommes déshabillent une jolie rousse qu'ils caressent ensuite ensemble, qui prenant sa bouche, qui fouillant son sexe trempé, qui suçant ses mamelons aux pointes érigées. Le jeu n'est pas bien fameux, mais la femme paraît cependant assez convaincante. Inès s'y laisse prendre et commence à sentir son sexe se mouiller. Lorsque la main de son mari se pose sur son genou puis remonte le long de sa cuisse, elle a envie de caresses et lui facilite la tâche en écartant largement les jambes. La main de Hugo glisse doucement, effleurant la peau jusqu'à l'endroit où elle est si douce, au creux de l'aine. Puis ses doigts viennent palper les lèvres humides, suivre les contours de la vulve pour atteindre enfin un clitoris qui réagit au moindre contact. Inès retient ses soupirs en se mordant légèrement les lèvres. Elle se laisse caresser ainsi par son mari, sans jamais quitter l'écran des yeux. Quelques fois, les attouchements qu'elle regarde sont les mêmes que ceux qu'elle subit. Alors, son excitation devient plus forte encore car elle a l'impression qu'elle est un instant la femme du film.

Soudain, Hugo retire sa main et se redresse pour laisser passer un spectateur retardataire qui vient s'installer dans leur rangée. Inès, surprise, se relève aussi, masquant comme elle peut sa tenue. L'homme s'assied à la place libre, à côté d'elle. Un rapide coup d'œil montre à Inès qu'il est jeune et a une allure de play-boy. Sans plus y penser, elle se concentre de nouveau sur le spectacle et reprend sa position, cuisses écartées, cachées par son blouson, pour permettre à Hugo de poursuivre ses caresses qui la font vibrer. Son mari vient de glisser en doigt entre ses lèvres, et, cassant son poignet, l'introduit le plus loin possible dans son vagin. Il le fait maintenant coulisser en elle. Malgré le plaisir qu'elle en retire, Inès pose la main sur le bras de son mari pour bloquer son mouvement, car les bruits de clapotis que produit le doigt dans son sexe trempé n'est pas vraiment discret. Alors, Hugo, sans pour autant retirer sa main, poursuit par des caresses plus superficielles et moins bruyantes.

Depuis un moment, Inès a cru percevoir un contact furtif contre son genou gauche. Elle a cru à un mouvement involontaire de son voisin et a resserré un peu ses jambes. Mais, excitée par le film qu'elle regarde, Inès reprend de nouveau sa position pour continuer à offrir son sexe aux caresses de son mari. Alors, le contact revient. Cette fois, pour en avoir le cœur net, elle ne bouge pas sa jambe. Le contact persiste et la pression est même plus forte, plus franche. Si un doute subsistait encore, il est levé lorsque Inès sent la main de son voisin de gauche se poser sur son genou. Elle est toute émoustillée de se trouver ainsi entre deux hommes, dont l'un la caresse au plus intime.

Sur l'écran, la situation a évolué. La femme s'est empalée sur le sexe d'un des hommes et coulisse sur lui. L'autre s'est placé derrière elle et s'est couché sur son dos, la forçant à se courber en avant, découvrant ainsi une croupe attirante. Inès voit alors sur l'écran l'homme sodomiser la femme, qui garde toujours le membre de son premier partenaire en elle. Cette scène l'excite au plus haut point, et sa vulve coule sur les doigts de son mari. Inès se croit presque dans cette situation, car, la main de son voisin remonte lentement sous son blouson, sur la face interne de sa cuisse nue, lui donnant encore plus de frissons que les caresses pourtant plus poussées de son mari. Le caractère anormal, voire interdit, de la situation y est certainement pour beaucoup.

Inès, se penchant un peu vers son mari, lui dit à l'oreille :

« Tu vas rencontrer une main. »

Hugo, retirant vivement ses doigts, a le temps de sentir le contact d'une main qui vient prendre possession du sexe de sa femme. Inès soupire sous les caresses, mais semble toujours regarder le film qui concoure à son excitation. Hugo, quant à lui, n'a plus d'yeux que pour elle. Il regarde le bras de l'homme qui bouge sous le blouson d'Inès. L'homme caresse le clitoris, le contourne, y revient, puis ses doigts écartent la vulve trempée et pénètrent le vagin. Pendant ce temps, Hugo flatte la cuisse de sa femme, lentement, amoureusement, sans jamais remonter trop haut, pour laisser ainsi à l'inconnu la possession du sexe féminin. Inès, trop excitée, soupire, sursaute, essaye de contenir la jouissance qu'elle sent venir, en resserrant ses cuisses sur la main qui la fouille, pour en interrompre un instant la caresse. Cette fois, prise ainsi par deux hommes, elle est la femme du film qui se déroule sous ses yeux. Elle vit d'intenses sensations, prise entre fiction et réalité qui se mêlent.

Elle est toute à ses pulsions, aux frissons qui la traversent, et ne se rend pas compte que des regards convergent vers elle. Les hommes assis dans la même rangée ont remarqué le manège et se désintéressent du film pour regarder le trio. Derrière eux, un homme s'est également douté de quelque chose en voyant l'attitude curieuse des spectateurs devant lui. Il s'est avancé entre les dossiers et regarde maintenant quasiment par dessus l'épaule d'Inès. Hugo glisse sa main plus haut et vient passer un doigt sur une lèvre de la vulve de sa femme. Dans ce mouvement il frôle parfois un autre doigt qui coulisse dans le vagin et ressort pour porter une caresse humide au clitoris maintenant hypersensible. C'est ce dernier contact qui, associé à l'image de la jouissance des trois personnages du film, déclenche l'orgasme violent d'Inès. Trop honteuse pour se laisser aller au plaisir en public, elle resserre fortement ses cuisses, emprisonnant ainsi la main de son voisin, et se mord les lèvres, vibrant de tout son corps d'une jouissance contenue.

Inès, reprend lentement ses esprits. Comme pour prolonger cet instant, elle a gardé la main de son voisin prisonnière entre ses cuisses. Dès qu'il cherche à bouger ses doigts pour la caresser encore, elle ressert l'étau de ses jambes pour immobiliser cette main dont elle ne peut plus supporter la moindre caresse, tant sa vulve et son clitoris sont en feu. Le spectacle du film, toujours aussi intense, lui interdit toute détente, toute baisse d'excitation.

Son voisin, qui n'a pas eu son plaisir, prend d'autorité la main d'Inès et la pose sur la bosse dure de son pantalon. Plaçant sa veste sur ses genoux, il sort son sexe sur lequel les doigts d'Inès se referment. Alors, pour le payer en retour du plaisir qu'il lui a donné, elle le masturbe. Elle sent combien ce membre est gros. Plus que sa longueur, c'est son épaisseur qui l'étonne. Hugo vient juste de se rendre compte que la main de sa femme bouge sous le blouson de l'homme, en un mouvement caractéristique qui ne peut laisser de doute sur ce qu'elle est en train de faire. Quelle salope, pense-t-il, alors que, sous l'excitation, son cœur bat encore plus vite. Pourtant, il est encore plus tendu, à l'instant suivant, lorsque l'homme rejette son blouson. Hugo voit alors les doigts de son épouse branler lentement le sexe, tirant la peau du prépuce pour dégager le gros gland humide. Il voit le pouce passer sur le méat pour étaler une première goutte et en lubrifier le membre.

Inès continue. Le gland jute de plus en plus, mouillant les doigts qui le caressent. L'homme sort un mouchoir de sa poche et vient le placer à l'extrémité de son sexe. Inès sait qu'elle doit maintenant le faire jouir. Alors, elle le branle plus vite, en mouvements rapides et saccadés. Le membre est tellement mouillé que le bruit n'est pas discret du tout. Les voisins immédiats ne quittent pas la scène des yeux. Une femme, assise devant, se retourne et jette un regard réprobateur, avant de reprendre sa position. Inès, malgré un sentiment de honte, poursuit son mouvement en l'accélérant fortement, déclenchant ainsi l'éjaculation de son voisin. Le sperme gicle dans le tissu et inonde la main d'Inès.

L'homme, avec son mouchoir, essuie son sexe et les doigts de sa voisine, avant de reprendre une attitude plus décente. Il parle à Inès, avec beaucoup de gentillesse. Il lui propose de finir la soirée avec eux, mais elle refuse. Il s'en étonne et lui demande si son mari s'y oppose. Elle lui fait alors comprendre que c'est elle qui n'y est pas prête. Hugo, de son côté, caresse doucement le bras de sa femme, pour lui montrer qu'il est heureux du plaisir qu'elle lui a donné.

Tout en parlant, l'homme déboutonne le chemisier d'Inès et y glisse sa main. Ses doigts palpent lentement les seins à travers le soutien-gorge. Ils touchent les pointes apparentes. Excité par cette découverte, l'homme glisse ses doigts dans le soutien-gorge et soulève les globes qu'il fait sortir complètement. Puis il écarte les pans du chemisier, laissant ainsi Inès, seins nus, aux yeux de tous. Moins inquiète, moins gênée peut-être dans ce climat de douceur, elle se laisse faire, fière de sa poitrine dénudée, que le soutien-gorge ainsi placé rend arrogante. L'homme, continuant à insister pour finir la soirée avec elle, caresse légèrement les seins nus. Peu à peu, Inès se sent plus en confiance face à cet inconnu. Lorsque la fin du film arrive, l'homme, avant que les lumières ne se rallument, prend la peine de rajuster lui-même la tenue d'Inès, avec une attention, une gentillesse qui la touche. Elle sait alors qu'elle va accepter sa proposition.

Dès la sortie du cinéma, Inès se retrouve entre les deux hommes. L'inconnu lui passe un bras autour des épaules, alors que son mari la tient par la taille. Elle ressent une sensation curieuse d'être ainsi entre deux hommes. Elle est même assez gênée lorsque, marchant ainsi sur le trottoir, ils croisent des couples, où le regard réprobateur de la femme fait invariablement le pendant du coup d'œil amusé voire excité de l'homme. Heureusement, le trajet est court et ils atteignent vite le studio de l'amateur de cinéma.

L'homme les fait entrer dans une grande pièce, meublée simplement mais avec bon goût. Le couple refusant le verre traditionnel proposé, leur hôte ne va pas par quatre chemins et ouvre tout de suite le grand lit qui occupe un angle. Inès est surprise d'une entrée en matière aussi directe et ne sait comment se comporter, restant debout, figée au milieu de la pièce, regardant l'homme se déshabiller rapidement. C'est Hugo qui prend alors l'initiative et commence à dévêtir lentement Inès. L'homme, assis sur le lit, parait sensible à ce strip-tease et son sexe reprend alors une érection imposante. Lorsque Inès est entièrement nue, Hugo la pousse gentiment mais fermement dans les bras de l'homme dont ils ne connaissent même pas le nom.

Le couple d'un soir roule sur le lit, bouches soudées en un long baiser. Les mains de l'homme enserrent le corps d'Inès. Elles se font caressantes et lui massent le dos, alternant effleurements et fortes pressions, déclenchant ainsi des frissons répétés. C'est au tour d'Inès de caresser son partenaire. Couchée sur lui, elle pose de petits baisers sur sa bouche, puis se relève un peu sur les coudes et, bougeant lentement la poitrine, lui caresse le torse du bout de ses seins. Elle aime faire cela. Elle sait que les hommes sont souvent sensibles à ce traitement. De plus, ses tétons profitent aussi de la caresse, qu'elle peut ainsi doser elle-même selon son plaisir. Puis, elle vient poser ses lèvres sur la poitrine de cet homme qui, finalement, lui plaît beaucoup.

Elle sent alors une main se poser sur sa tête et la pousser vers le bas. Cette pression est sans équivoque. Inès a compris ce que son amant attend d'elle. Alors, elle se laisse faire et glisse vers le ventre, jusqu'à ce membre qui bande pour elle. De deux doigts précis, elle décalotte le gland et vient le caresser d'un coup de langue avant de l'entourer de ses lèvres. Il est gros et lui remplit la bouche. Elle le pompe longuement, l'enduisant de salive, faisant coulisser ses lèvres le long de la hampe. Sous la caresse, l'homme gémit de plaisir.

Hugo, qui s'est mis nu également, est à côté d'elle, à genoux sur le lit. Il la regarde et parait excité par le spectacle qu'elle lui offre, comme le montre son sexe tendu. Pour lui faire partager leur plaisir, Inès tend alors la main vers le membre de son mari et entreprend une lente masturbation, tout en continuant de sucer le sexe qu'elle a en bouche. Mais, cette fois, c'est la main de Hugo qui se pose sur sa tête et accompagne ainsi le mouvement de succion. C'est lui qui, à chaque va et vient, appuie sur elle pour rythmer le coït buccal de sa femme et la forcer à recevoir le membre de l'homme jusqu'au fond de sa gorge.

Lorsqu'elle sent, dans sa bouche, sur sa langue, une grosse veine palpiter le long du sexe qu'elle suce, Inès sait que l'homme ne pourra bientôt plus se retenir. Alors, elle l'abandonne, et, d'elle-même vient s'accroupir au-dessus du membre tendu, qu'elle guide en elle pour s'y empaler. Elle aime cette sensation de plénitude, lorsqu'elle est pénétrée dans cette position. Elle commence un lent mouvement du bassin, de haut en bas, puis tournant, ondulant, pour bien sentir le large gland frotter ses parois vaginales. L'homme l'accompagne de mouvements du bassin, qui poussent plus loin son sexe dans le ventre féminin. Inès aime sentir le gland buter sur le col de son utérus et lui arracher des frissons profonds.

Pendant ce temps, les mains de son mari s'attardent sur ses fesses, frôlant par moments la rosette sensible du bout d'un doigt. Puis l'inconnu, dont le sexe est toujours planté profondément dans son vagin, la serre dans ses bras puissants, la forçant ainsi à plaquer ses seins contre son torse. Dans ce mouvement, la croupe d'Inès est offerte aux regards de son mari. Celui-ci en profite pour écarter fortement de ses mains les globes charnus, tendant ainsi la peau fine qui ourle l'anus. Il vient alors y appuyer son gland déjà bien lubrifié par une intense masturbation. Inès, surprise, repense instantanément à la scène du film qu'elle a vu ce soir, où une femme était prise en sandwich. Et une envie folle de cette sodomie, de cette double pénétration qu'elle n'a jamais connue, l'envahit. Elle se cambre encore plus. Il lui semble qu'elle commande à son sphincter de s'ouvrir, tant elle attend avec impatience cette sensation nouvelle. Pourtant le volume que prend dans son vagin le membre gonflé de son amant parait s'opposer à cette sodomie. Sous une pression plus forte de Hugo, le gland force le barrage et s'enfonce dans l'anus en une lente progression. Pour Inès, le mouvement s'accompagne d'un plaisir inconnu, mêlant aux sensations qui la font vibrer à chaque pénétration anale l'impression d'être écartée, remplie, envahie au plus profond d'elle-même. La progression du sexe de son mari tire sur la fine peau qui sépare anus et vagin, comme s'il cherchait à l'amincir encore. Les deux hommes commencent à la limer lentement, parfois dans un parfait ensemble qui lui fait croire à l'introduction d'un énorme membre dans un vagin démesuré, parfois en mouvements contraires qui cisaillent douloureusement la peau qui sépare ses deux orifices. Inès sent son anus couler autant que sa vulve, facilitant ainsi la double pénétration. Ils me baisent et m'enculent en même temps, et j'aime ça, pense-t-elle avec un certain sentiment de honte, et cependant, elle voudrait que cela ne s'arrête jamais. Elle se laisse aller à crier son plaisir, à chaque percussion d'un membre.

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