Soumise Ou Non 05 (Des Risques)

Informations sur Récit
Inès, sans pilule, n'impose le préservatif qu'à son mari.
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Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 07/08/2023
Créé 06/08/2023
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Soumise ou non 5 (des risques)

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Ce texte étant une fiction, les scènes décrites sont le fruit de l'imagination. Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Les personnages présentés sont tous majeurs.

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Inès, en contre-partie de sa liberté sexuelle, est devenue l'esclave de Hugo, son mari dominateur. Il lui a permis d'avoir des partenaires de plaisir de tout sexe et elle est visiblement heureuse d'avoir été guidée dans cette voie perverse.

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Hugo et Inès profitent du pont de l'Ascension pour faire quatre jours de ski d'été. Ils ont choisi un club réputé pour les multiples possibilités sportives mais aussi pour l'ambiance de fête qui y règne. Dès leur arrivée, ils se sont inscrits dans un cours de ski. Le couple sera séparé, car leur niveau de ski les a conduit dans des groupes différents.

Hugo n'est pas fâché de se retrouver seul. En effet, il a demandé à sa femme de se comporter comme si elle était célibataire pendant ces vacances. Il a envie de la regarder vivre, de l'épier sans cesse. En faisant comme s'il ne la connaissait pas, il sera en fait près d'elle, la recherchant toujours pour une surveillance discrète. Hugo lui a dit son désir de la voir vivre en femme disponible, de l'espionner lorsqu'elle se fait draguer. Il aura ainsi l'impression de s'immiscer dans une intimité excitante qui lui serait autrement interdite.

Pour lui faire plaisir, Inès s'est conformée à sa demande, négligeant de porter son alliance. Elle lui ai dit qu'elle dînerait le soir à une autre table en faisant mine de ne pas le connaître. Pourtant, elle sait qu'elle le rejoindra chaque soir dans leur chambre. Elle sait qu'il va la retrouver avec le plaisir d'un amant qui a soif d'elle. Elle sait qu'il va lui faire raconter les moindres détails de sa journée et en particulier les plus excitants, ceux qui sont teintés d'érotisme. Et il lui fera l'amour.

Lors de la soirée d'arrivée, après la fatigue du voyage, il sont allés directement se coucher après un repas rapide, sans même prendre le temps de vider complètement leurs valises.

Ce matin, au réveil et en pleine forme, Hugo a commencé à caresser sa femme, qui l'a repoussé, en disant :

« Ce n'est pas le moment pour ça. Il faut vider nos valises et nous avons juste le temps avant le cours de ski. »

Après avoir rangé ses affaires dans les placards, Inès en est à disposer différents produits de beauté dans la salle de bain, lorsqu'elle s'exclame :

« Oh, mon dieu ! Ce n'est pas vrai ! J'ai oublié d'emporter mes pilules... et je n'ai même pas l'ordonnance », puis elle ajoute, voyant la mine déconfite de son mari :

« Cela va remettre en cause les petits plaisirs excitants que tu espérais. Pas question que je fasse l'amour avec d'autres hommes dans ces conditions ! Nous serons juste tous les deux, en amoureux, mais tu devras tout de même trouver des préservatifs. Tu sais bien que je veux attendre quelques années encore avant d'avoir un enfant. »

Après un moment, Hugo la questionne :

« Inès, où en es-tu dans ton cycle? »

« Je ne suis pas certaine, mais je crois que je dois être à la fin d'une période sûre », répond-elle.

Hugo cherche à exploiter cette situation au mieux de ses envies, aussi dit-il :

« Tu vois, tu peux sans risque jouer à la femme libre, comme prévu. »

Inès n'est pas convaincue et montre ses craintes :

« A la fin notre séjour, je serai déjà au début d'une période dangereuse. »

Hugo ne veut pas se résigner, aussi insiste-t-il :

« Ce sera le tout début. Les risques seront faibles », avant d'ajouter :

« Et puis, un peu de risque pourrait être assez excitant, n'est-ce pas? »

Entendant ça, Inès sent son sexe se mouiller instantanément. Elle se trouve folle de réagir ainsi, alors que les conséquences pourraient être terribles, mais elle ne peut se contrôler. Inès n'ose pas montrer à son mari que cette idée l'excite, aussi répond-elle en lui laissant toute la responsabilité :

« Bon, c'est toi qui l'aura voulu. Alors, si tout ne se passe pas comme prévu, tu ne pourras pas me le reprocher, n'est-ce pas? »

Trop heureux d'avoir obtenu ce qu'il voulait, Hugo acquiesce.

La première journée de ski permet à Inès de faire la connaissance des membres de son cours. Le soir, elle dîne avec eux, mais, malgré son attitude une peu aguichante, aucun des hommes ne tente sa chance. Après une soirée se limitant à un cocktail de bienvenue et quelques informations pratiques, Hugo et Inès rejoignent leur chambre. Au lit, Hugo commence à caresser sa femme qui est toute chaude. Elle avait espéré rentrer dès ce soir dans son jeu de femme célibataire et elle est un peu déçue. Elle s'était dit aussi qu'une aventure le premier soir serait la moins risquée, ce qui accroît encore sa déception. A défaut, elle prend plaisir aux caresses de son mari qui suce ses tétons, puis fait glisser sa main sur elle, vers le bas, jusqu'à atteindre une vulve humide qui n'attendait que ça. Lorsque Hugo vient lui écarter les cuisses et se placer entre elles pour la pénétrer, Inès le repousse, en disant :

« Non, pas comme ça ! Il faut mettre un préservatif. »

Hugo, qui avait prévu ça tout en espérant y échapper, s'exécute en grognant.

Inès prend beaucoup moins de plaisir pendant ce coït protégé. Elle n'a jamais aimé les préservatifs qui réduisent trop ses sensations. Cependant son excitation monte lorsqu'elle se met à penser que, pendant ses jeux érotiques à venir, elle se fera prendre à nu, sans aucune protection. Se dire qu'elle va continuer à imposer le préservatif à son mari alors qu'elle va laisser ses amants éjaculer en elle lui fait atteindre un orgasme si hâtif que cela surprend Hugo.

Le deuxième jour est bien occupé par le ski et Inès a bien l'intention de rejoindre ceux de son cours pour le dîner. Elle espère se faire draguer un peu à cette occasion. Malheureusement, elle s'attarde un peu trop à des jeux qui ont lieu au moment de l'apéritif et, lorsqu'elle arrive au restaurant, il n'y a plus de place à leur table. Elle s'installe à une autre table où se trouvent des gens peu sympathiques. La soirée ne lui donne pas, cette fois encore, l'occasion des jeux érotiques que son mari attend avec impatience. Elle voit bien qu'il est déçu et lui fait un peu la tête. Après avoir assisté, chacun de son côté, au spectacle de la soirée, ils se retrouvent très tôt dans leur chambre.

Le lendemain, après le ski, Inès prend sa douche dans leur chambre, lorsque Hugo rentre. Elle sort à ce moment et s'enroule dans un peignoir.

« Mon chéri, comment veux-tu que je m'habille, ce soir? », lui dit-elle, pendant qu'elle commence à se sécher les cheveux.

Hugo n'hésite pas longtemps avant de lui répondre. La question est presque traditionnelle, car Inès sait que choisir sa tenue est un des plaisirs de son mari. Il y a pensé dans la journée. Il l'a vue, en pensée, vêtue comme il le souhaite, d'une tenue excitante, évidemment.

« Pourquoi ne mettrais-tu pas ton maxi-pull avec seulement un collant? », lui répond-il.

Quand Inès sort de la salle de bain, elle porte un gros pull de laine angora qui s'arrête juste en haut des cuisses. Dessous, ses jambes sont gainées d'un collant opaque, assez épais. A sa vue, Hugo fait un peu la moue.

« C'est bien », lui dit-il, « mais cela pourrait être mieux ».

« Pourquoi ne pas mettre plutôt un collant fin? », ajoute-t-il.

Après un « si tu veux », sa femme retourne se changer.

Cette fois la tenue est vraiment sexy. Le voile fin révèle ses jambes parfaites plus qu'il ne les cache. Le contraste avec le haut, avec ce pull volumineux qui masque complètement ses formes est saisissant. On a ainsi l'impression qu'elle est nue dessous. Il est vrai qu'elle n'a pas jugé utile de mettre un sous-vêtement sous son collant fin. De petites bottes western blanches accroissent encore le contraste. Grâce aux talons assez hauts, elles amplifient sa cambrure naturelle et font remonter le pull qui s'arrête maintenant juste sous ses fesses.

« Tu es magnifique. Tu vas faire tourner la tête de tous les hommes, ce soir", lui dit Hugo.

Alors, Inès, se dirigeant vers la porte, lui lance un « peut-être », accompagné d'un regard polisson, et lui adresse un baiser du bout des lèvres avant de sortir.

Lorsqu'elle passe ainsi devant le bar, les regards convergent vers elle. Hugo la surveille de loin et profite des réactions des hommes qui détaillent la tenue de sa femme. Deux de ses voisins commentent cette vision en disant :

« C'est incroyable d'oser se promener dans une tenue pareille ! »

Avant le dîner, les organisateurs font une petite cérémonie pour distribuer des médailles, suite à une compétition de ski qui a eu lieu dans la journée. C'est un des moniteurs du club, un grand noir très athlétique, qui remet les médailles. Cet homme a la taille d'un basketteur professionnel. Lorsque c'est au tour d'Inès, très bien placée, de monter sur l'estrade, sa tenue est encore plus mise en valeur lorsqu'elle gravit les marches. Certains, qui n'avaient pas trouvé de siège disponible et s'étaient assis sur le sol, juste devant l'estrade, captent une vue fugitive sur l'intimité d'Inès et osent un petit sifflement qui fait rire l'assistance.

Le grand noir met la médaille autour du cou d'Inès, en se penchant vers elle, tant la différence de taille est importante. La tradition veut qu'il fasse la bise à la réceptrice, aussi le moniteur soulève-t-il Inès dans ses bras, comme si elle ne pesait rien, pour l'embrasser sans se baisser. Avec ce mouvement, qui fait bien remonter le maxi-pull, et la surélévation, toute l'assistance peut constater que le collant transparent ne recouvre qu'un fessier nu. Il s'en suit, dans toute l'assistance, un brouhaha, qui se renforce lorsque le grand noir embrasse Inès sur les lèvres pendant un moment qui paraît à tous bien trop long.

Pour le dîner, Inès rejoint les participants de son cours de ski qui lui ont réservé une place, alors que son mari s'est installé à une autre table, d'où il peut la surveiller. Il y a visiblement une bonne ambiance à la table d'Inès où les rires fusent. Hugo voit bien qu'un voisin d'Inès lui remplit son verre de vin dès qu'il est vide. Inès a tellement chaud avec son maxi-pull qu'elle boit plus que de raison. Dans son état de semi ébriété, elle rit beaucoup, facilement, à chaque plaisanterie. Elle se rend à peine compte que les deux hommes qui l'entourent ont posé, de chaque côté, une main sur un genou. Lorsque les deux mains remontent, elle laisse faire. Chacun exerce une pression de côté et Inès suit le mouvement, écartant bien ses cuisses sous la table. Lorsqu'ils en sont au dessert, les deux mains alternent leurs caresses sur la chatte à travers le fin collant. A la fin du repas, Inès est trempée de sueur du fait de la chaleur du gros pull et... d'autre chose.

Inès se lève en disant :

« J'ai trop chaud. Je vais me changer pour la soirée. »

Malgré les protestations de ses deux voisins, Inès les quitte comme annoncé.

Pour le cocktail qui suit, Inès revient, portant un ensemble noir assez habillé, veste, pantalon et bustier, tout cela dans une toile très légère. Elle retourne alors s'installer avec le même groupe. Elle boit encore deux cocktails et elle se sent maintenant vraiment un peu pompette. Elle regarde ensuite le spectacle avec eux. Ses deux voisins de table ne peuvent continuer leur approche car ce serait moins discret qu'à table et la nouvelle tenue d'Inès s'y prête moins.

Après le spectacle, Inès rejoint la piste de danse.

Les premiers morceaux que met le DJ ne se dansent pas à deux. Inès bouge au rythme de la musique d'une façon très sensuelle. Hugo, qui la regarde de loin, trouve qu'elle est vraiment magnifique. Elle est entourée de tous les membres de son cours de ski avec qui elle a dîné ce soir. Inès est ainsi au centre d'un cercle d'hommes qui n'ont d'yeux que pour elle. Hugo se rend compte que sa femme est plus exubérante que d'habitude. C'est probablement l'effet de l'alcool, se dit-il. Puis elle danse un rock avec un de ses deux voisins de table. Cette danse ne permet pas de contacts sensuels et celui-ci se contente de laisser une main glisser un peu plus bas que la taille pour la frôler lorsqu'il la fait tourner.

Quand arrive un slow, c'est son autre voisin de table qui l'invite. Inès danse, très abandonnée. Elle s'appuie contre lui, mettant sa tête sur son épaule. Hugo voit bien qu'elle est prête à se donner. Curieusement, son cavalier n'ose pas en profiter, probablement gêné par le regard de tous les autres membres du groupe, qui les attirent alors vers le bar pour un dernier verre. Inès, qui se rend bien compte de son état d'ébriété, refuse de les accompagner et reste sur la piste de danse.

La musique est de nouveau devenue rapide et Inès danse de façon très excitante, très sensuelle, avec une ondulation du corps très suggestive. Elle ne danse comme cela que lorsqu'elle est un peu éméchée, se dit Hugo, qui ne la quitte pas des yeux. Comme Inès a retiré sa veste, les bretelles de son bustier glissent sans arrêt sur ses épaules, ce qui la rend encore plus envoûtante. Son attitude est d'autant plus explicite qu'elle se retrouve maintenant seule sur la piste de danse, les autres participants ayant reflué vers le bar.

Nombreux sont ceux qui se sont installé au bord de la piste, un verre à la main. Inès est devenue le spectacle sans qu'elle s'en rende compte. L'éclairagiste du club enferme Inès dans un cercle de lumière, la suivant comme si elle était la star d'un 'One Woman Show'. C'est alors qu'un homme qu'elle ne connaît pas vient danser en face d'elle. Sans hésiter, malgré la lumière qui ne les quitte pas, il pose ses mains sur les épaules d'Inès et glisse ses doigts sous les bretelles du bustier qu'il fait descendre encore plus bas. Les seins d'Inès, qui ne porte pas de soutien-gorge, sont visibles presque jusqu'aux pointes tendues par l'excitation.

Alors que le rythme de la musique est toujours rapide, l'homme l'entraîne dans un mouvement très lent dans une ondulation de leurs corps qui se frottent avec une incroyable sensualité, tout en embrassant Inès sur la bouche dans un baiser, où leur langues se mêlent et qui s'éternise, alors que l'éclairagiste fait flasher le rond de lumière qui les entoure. C'est alors un tonnerre d'applaudissements qui ponctue ce spectacle improvisé.

Lorsque Inès quitte précipitamment la piste de danse, suivie par son compagnon dragueur du moment, elle croise son mari qui ne peut que lire sur ses lèvres ce qu'elle essaie de murmurer le plus bas possible :

« Reste un peu là. Moi, je monte. »

Malgré la demande d'Inès, Hugo ne reste là qu'une minute et rejoint le couloir de leur chambre. Il n'y a personne à cet endroit à cette heure, aussi peut-il plaquer son oreille contre la porte de leur chambre. Il ne peut malheureusement pas comprendre ce qu'ils disent. Il s'étonne d'entendre couler l'eau de la douche. Puis ce sont des soupirs caractéristiques et, là, malgré le risque d'être surpris, Hugo sort son sexe et se branle en les écoutant. Cela dure longtemps, jusqu'à ce que les petits cris de sa femme annoncent un orgasme prochain. Au moment où Inès crie de plaisir, Hugo ne peut retenir sa jouissance, maculant la porte de leur chambre de traînées blanches.

Hugo s'éloigne, pour laisser le champ libre à l'homme qui vient de baiser sa femme.

Les heures passent et, la porte restant close, Hugo pose de nouveau son oreille sur la porte. Il entend un léger ronflement. Les deux amants se sont endormis ! Obligé d'attendre ainsi leur réveil pour rejoindre sa chambre, Hugo se sent vraiment cocu à cet instant. Lui qui aime tant guider, dominer, est là à subir.

Aux premières lueurs de l'aube, l'homme sort de leur chambre et Hugo s'y précipite dès qu'il s'est éloigné. Inès dort encore profondément, aussi se couche-t-il à côté d'elle précautionneusement. Il est toutefois surpris de se coucher dans un lit trempé.

Quelques heures plus tard, c'est un baiser de sa femme qui le réveille. Il ne peut que la complimenter :

« Tu étais magnifique, hier soir. Je ne t'avais jamais vue danser de façon aussi sensuelle. »

« C'est que j'avais un peu trop bu », explique-t-elle.

« Dans ce cas, je te ferai boire plus souvent, mais raconte-moi ta nuit. Je t'ai espionnée derrière la porte, mais je n'ai pas pu profiter de tout, alors raconte-moi », dit Hugo.

« Tu mériterais que je ne te dise rien, gros cochon d'espion », réplique-t-elle, mais elle poursuit cependant :

« J'ai voulu prendre une douche, car j'avais eu trop chaud pendant cette soirée. Il s'est alors mis nu pour me rejoindre. Il m'a caressée longuement, alors que l'eau ruisselait sur nous. C'était bizarre : j'avais l'impression d'une intrusion dans mon intimité. Mais c'était aussi ça qui m'excitait. Il m'a sucé les seins, puis la chatte. Je me sentais brûlante et ce n'était pas seulement l'effet de l'eau chaude. Il nous a fait sortir de la douche, nous entraînant vers le lit, sans même nous laisser le temps de nous essuyer. A cet instant, j'ai pensé à toi qui allait devoir bientôt te coucher dans ce lit trempé. Ce serait comme te montrer que je t'avais fait cocu et que tu ne pouvais rien y faire. Ça m'a encore plus excitée. M'en veux-tu, mon chéri? »

« Non », lui répond Hugo, « allez, raconte ! »

« Il m'a embrassée très tendrement et m'a sucé doucement les seins. Puis il a pris ma main et l'a guidée vers sa pine. Je l'ai regardée et touchée. Elle était très fine mais d'une surprenante longueur. En branlant, je l'ai sentie durcir incroyablement. J'avais l'impression d'une tige de fer dans ma main. Il s'est couché sur moi et m'a écarté les jambes. Alors il m'a pénétrée doucement. Je sentais à peine sa pine toute fine pendant sa lente progression en moi, mais son gland a fini par toucher le fond de mon vagin et y presser comme pour me perforer. En même temps, il m'embrassait avec une infinie douceur, léchant mes lèvres du bout de sa langue. Cette pression de son sexe, presque douloureuse, associée à a douceur de ses baisers m'a fait me sentir comme une femme soumise à l'homme qui lui plaît.

Ensuite, il m'a dit de me retourner. Je me suis allongée sur le ventre et, de moi-même, je me suis cambrée pour lui monter combien j'avais envie de m'offrir à lui. Il a de nouveau enfoncé sa pine dans ma chatte. Il m'a baisée plus rapidement, plus fortement. Je sentais bien qu'il me touchait au fond avec sa bite vraiment très longue. Je remuais et levais mes fesses à la rencontre de son sexe. Alors je me suis mise à jouir la première et j'ai contracté mon vagin pour le faire éjaculer tout au fond de moi. »

Inès interrompt son récit. Elle paraît hésitante, mai son mari l'encourage :

« Continue. Tu peux tout me dire. »

« En fait », poursuit-elle, « j'aurais dû lui demander de se retirer. C'est ce qui aurait été raisonnable dans ces circonstances... mais j'avais envie... qu'il éjacule en moi. Tu sais que j'aime bien sentir le sperme gicler au fond de mon vagin, mais il n'y avait pas que ça... c'était aussi le risque qui m'excitait. Penser que je pourrais être enceinte d'un inconnu, d'un homme dont je ne connais même pas le nom, c'était d'un érotisme... comment te dire... vraiment torride. J'ai tellement honte d'avoir eu ces pensées. Me pardonnes-tu? »

Hugo acquiesce d'un « oui » avec une voix rauque, qui montre son excitation, et Inès poursuit :

« Puis, nous avons basculé sur le côté. Son sexe est resté en moi. J'étais bien, si bien ! Alors qu'il restait ainsi, me caressant doucement les seins et déposant des baisers sur ma nuque, j'ai eu de drôles de pensées... »

Hugo a senti, dans cette hésitation d'Inès, que sa femme n'osait pas en dire plus, aussi la presse-t-il :

« Allez, dis-moi ce que tu as pensé à ce moment-là. »

« Veux-tu vraiment le savoir? Je crois que ça ne va pas te plaire », répond Inès, qui se reproche intérieurement d'en avoir déjà trop dit.

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