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BÊTA PUBLIQUE

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Je ne peux pas répondre, sa bite contre mon trou me rend totalement fou. Il caresse ma rosette palpitante avec son gland, sans jamais essayer de rentrer. Il me mordille l'épaule, m'embrasse dans le cou, me palpe les bourses, je geins et je me cambre, m'offrant à sa convoitise.

Il ouvre le robinet de la douche et commence à me savonner, en insistant sur mes parties génitales et sur mon cul. De temps en temps, il s'interrompt pour m'embrasser à pleine bouche. Il joue avec mon corps, s'amuse à me pénétrer avec ses doigts savonneux, pendant que je caresse sa verge tendue.

Obéissant à ses exigences, je me penche pour le sucer pendant qu'il élargit mon orifice avec ses doigts. Cet enfoiré m'insulte et se moque de moi mais j'exécute ma tâche à la perfection. J'introduis sa queue profondément dans ma bouche, je le suce, je le pompe, le goût viril et âcre de sa queue ne me dérange plus. Il pousse des soupirs, il aime, et ses doigts s'acharnent dans mon cul.

Il me relève, me plaque face contre le mur, mes mains sur le mur, au-dessus de ma tête. Il écarte mes fesses avec ses énormes mains, et me fourre sa bite dans le cul. Il le fait avec des mouvements impétueux qui trahissent sa fièvre. Il me baise ardemment, ses coups me soulèvent presque du sol, je suis en extase, j'ai les bourses qui vont exploser, tellement je prends mon pied. Il me baise le cul avec tant d'ardeur et de fougue que ma bite crépite des petits jets de sperme. Ce pervers sait y faire. Il me bâillonne avec sa main pour que je ne gueule pas trop fort.

- Tu aimes comme je te baise, salope? T'es une pute, comme ta mère, et je vais bien la niquer celle-là aussi !

Je gémis, sa queue m'écartèle le cul, il me bourre violemment. Sa bite magnifique m'ouvre en deux, et au lieu d'avoir mal, je prends mon pied, elle irradie une chaleur bienfaisante à travers tout mon corps. Il me baise de toutes ses forces, les chairs claquent, je veux jouir et j'essaie de me branler, mais il me bloque les mains en l'air.

- Tu es à moi, tu es mon jouet, c'est moi qui dis quand tu peux jouir, salope.

- J'en peux plus, pitié, je souffre trop, laissez-moi.

Là, il se retire, me retourne, et me fout à genoux en m'ordonnant de le branler. Je lui branle la queue quelques secondes à peine, et je reçois ses énormes giclées sur le visage. C'est gluant, épais, j'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter, j'en ai partout, dans la bouche, sur les yeux. Il me fait un masque au jus de couille.

- Voilà, ma petite chienne, tu m'as bien fait jouir. Nettoie ma queue avec ta langue, et après tu pourras te branler.

Je reprends sa queue en bouche, je le suce, mais je n'ai pas le temps de me branler, je jouis instantanément, des jets hyper puissants, sans me toucher. Ensuite, on se lave mutuellement, puis on va se coucher. De retour dans ma chambre, il refuse que j'enfile mon pyjama, et me tends la culotte odorante de ma mère.

- Tiens, mets-ça pour dormir, tu sentiras bon.

Il rigole en disant ça, et s'allonge avec moi dans mon lit, négligeant le matelas jeté au sol. Aussitôt, il m'enserre entre ses bras et ses jambes. C'est captivant, je suis asservi entre ses membres puissants. Il est insatiable. Il me caresse et m'embrasse langoureusement, à pleine bouche. Je suis docile et je le laisse me faire tout ce qu'il veut. Je me méprise.

Le lendemain matin, nous descendons prendre notre petit-déjeuner. Ma mère est horrifiée en voyant Sacha vêtu avec ses affaires sales de la veille.

- Venez avec moi, je vais vous prêter des affaires de mon mari pour laver votre linge.

Sacha la suit, docile. Ils réapparaissent un long moment après, Sacha n'a qu'une vieille sortie de bain sur lui. Ma mère explique, gênée, qu'il est trop grand, trop maigre, et qu'aucune affaire de mon père ne lui va. N'empêche que son air troublé, ses joues rougies, et son regard rêveur trahissent son émoi. Elle a vu quelque chose qui l'a impressionnée. Le sexe de Sacha?

Mon père part au travail, je vais à la fac, nous sommes obligés de laisser ma mère seule, avec Sacha à moitié nu. Elle a mis une machine en route, et elle attend que le cycle se termine. Je suis mort d'inquiétude en pensant à ce qu'il pourrait lui faire subir. Toute la journée, cette question obsédante trotte dans ma tête. Saura-t-elle lui résister?

Je rentre tôt à la maison. J'ai fait craquer la dernière heure. Personne. Ni ma mère, ni sa voiture. Où a-t-elle pu aller? Je suis en train de regarder un porno dans ma chambre lorsque ma mère rentre. J'ai entendu la porte d'entrée claquer. Mais je n'ai pas été assez rapide, et je l'ai juste aperçue de dos, en train de s'engouffrer dans sa chambre. Pourtant, il me semble que sa tenue était assez débraillée, et que son chignon avait pris mal au cœur.

Je vais coller mon oreille à la porte de sa chambre. Elle prend une douche. Elle ne s'est pas aperçue que je suis déjà rentré. Je me faufile en catimini dans sa chambre. Par la porte de la salle de bain entrebâillée, je vois qu'elle est sous la douche. Ses affaires sont en tas au milieu de la chambre. Ça sent fort. Je fouille, mais je ne trouve ni sa culotte, ni son soutien-gorge.

Est-ce qu'elle a subi des outrages? A-t-elle été forcée? Violentée? Je retourne me cacher dans ma chambre. Sitôt douchée, elle descend faire tourner une machine. Je descend derrière elle. Elle sursaute. Elle n'a qu'une sortie de bain sur elle, et un de ses gros nichons s'échappe par l'ouverture. Elle se rajuste, rougissante :

- Tu es rentré? Depuis longtemps?

- Ouais, je bossais dans ma chambre. J'ai entendu du bruit, je suis venu voir. T'étais où?

- J'étais avec Sacha. Ce matin, il n'avait pas de quoi se vêtir. Je n'allais pas le garder ici toute la journée, en attendant que son linge sèche. Alors, je l'ai raccompagné chez lui, pour qu'il s'habille, et qu'il puisse réparer sa cabane. Mais quand j'ai vu l'étendue des dégâts, j'ai eu pitié de lui, et je suis restée pour l'aider. Une chose en entraînant une autre, j'ai passé ma journée là-bas. J'étais crasseuse et toute dépenaillée, alors j'ai pris une douche, et je fais tourner une machine. Voilà, je vais me faire un thé, t'en veux un?

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