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Il lui a révélé sa sexualité.
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Rainett
Rainett
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Ce matin, je me suis levé avec cette boule d'angoisse au creux de l'estomac. Elle me m'a pas quitté de la nuit. Pourvu qu'il soit discret, et qu'il ne mette pas sa menace à exécution. Surtout, qu'il n'aille pas cafter à ma mère. C'est à cause d'elle que tout est arrivé. Et cette putain de vidéo ...

Je suis descendu prendre mon déjeuner, ma mère m'a demandé comment ça s'était passé avec Sacha. J'ai pris mon air le plus innocent pour lui dire que tout s'était bien passé, et que si j'avais tardé, c'est parce qu'on avait discuté un peu. Elle m'a félicité, m'a dit que mes bonnes actions m'ouvriraient les portes du paradis ... Si elle savait ... ce sera plutôt l'enfer de la luxure.

Même à la fac, toute la journée, impossible de penser à autre chose. Pourquoi je m'étais laissé faire? En plus, j'avais pris du plaisir, et maintenant il avait cette vidéo de moi en train de gueuler mon bonheur ! Cela ne doit pas se savoir, quelle honte, faire ça avec un homme.

J'ai traîné à la bibliothèque de la fac, pas question de rentrer tôt, ou ma mère va encore m'emmener au Service aux Réfugiés. Notre commune a été choisie pour accueillir un groupe de réfugiés venu de l'Est. Pour la plupart, ils logent dans un bâtiment municipal désaffecté. Sasha lui, a choisi de construire une cabane avec des matériaux de récupérations, dans une clairière, près du village. Ma mère, comme beaucoup de Dames de la Paroisse, et sous la direction de Monsieur l'Abbé, va leur servir la soupe tous les soirs dans l'ancien gymnase.

Elle s'est prise d'affection pour ce grand type dégingandé, maigre à faire peur, mais qui a, selon elle, un regard si doux. Souvent, je vais l'aider à la cantine, éplucher les légumes, préparer les gamelles, et même servir les repas. Mais cette fois, elle m'avait demandé d'aider Sacha pour ses papiers. Il parle à peu près le français, mais ne peut pas se dépatouiller avec l'administration. Grâce à mon action, il a pu bénéficier d'une aide supplémentaire.

Hier soir, après le repas, je l'ai raccompagné jusqu'à sa cabane. Il voulait me remercier. Il m'a fait visiter, c'est pas mal foutu, tout d'un coup il me propose :

- Ça te dirait qu'on se branle tous les deux? Dans mon pays, on fait ça entre amis, ça soude les liens.

- Euh... non merci Sacha. Mais ici on ne fait pas ça.

- Tu es sûr? Regarde, tu vas aimer.

Il n'attend pas ma réponse, il baisse son pantalon et écarte les jambes pour me la mettre bien en évidence. Elle pend, énorme comme un bras d'enfant, je suis rouge de honte, je ne sais plus où me mettre. Catholique pratiquant, je n'ai que peu d'activité sexuelle, juste une petite branlette, je préfère me préserver en attendant de trouver l'âme sœur

Je n'arrive pas à détourner mon regard de sa queue et je sens une excitation me gagner, je suis à l'étroit dans mon boxer. Il le voit, attrape mon poignet et tire ma main sur sa queue. Je ne résiste pas, il a une poigne phénoménale, je suis complètement troublé, c'est la première fois que je touche une bite, c'est torride.

Elle est épaisse, lourde, et elle palpite dans ma main. Sans lâcher ma main, il lui imprime un mouvement de va-et-vient, je me laisse faire car je sens qu'il y prend du plaisir. Il lâche ma main et commence à me déshabiller, je continue mon mouvement, mécaniquement, je n'ose pas arrêter, je ne sais pas pourquoi.

J'ai un frisson quand il pose sa main sur ma queue. Il caresse ma bite qui s'érige, palpe mes bourses, je copie mes mouvements sur les siens, incapable de penser, comme si j'étais téléguidé.

- Tu me branles bien ! Ne t'arrête pas, c'est bon !

Il pose ses mains sur mes épaules et me repousse. Je recule, mes mollets heurtent le lit. Il continue de pousser, je m'assois au bord du lit. Il approche sa queue de mon visage, m'ordonne de continuer. Sa voix a changé, son ton est devenu autoritaire, j'ai peur de lui déplaire. Sa queue se balance sous mon nez, son odeur envahi mes narines, le musc capiteux du mâle en rut m'enivre.

- Ouvre la bouche, tu verras, tu vas aimer.

- Non pas ça, s'il te plaît, Sacha.

- Juste tu goûtes, tu ne pourras plus t'en passer, tu verras, ouvre ta bouche, mon poussin.

Je n'arrive pas à lui résister, je frotte le gland contre mes lèvres, j'entrouvre mes lèvres pour lui lécher le gland, la grosse bite frémit dans ma main. Impatient, Sacha empoigne ma tignasse et pousse. J'ouvre ma bouche et le gland s'engouffre.

- Voilà, suce bien, petit, tu vas aimer ça, je te promets.

Ses hanches ont un mouvement de balancier, il cherche à pénétrer plus profond, jusque dans ma gorge, mais je peux pas, j'ai la nausée. Alors, il se calme, finit de se déshabiller, me repousse plus loin sur le lit et s'allonge tout contre moi.

Ses mains caressantes explorent mon corps, jusqu'entre mes fesses. Je crains le pire, je serre les fesses, alors il me parle tout bas, dans sa langue, et je me calme. Il continue son exploration, un doigt dans mon rectum.

- Détends-toi, laisse-toi faire et continue de me branler.

- Pas dans mon cul Sacha. Pas ça. S'il te plaît, Sacha.

- T'inquiète pas, détends-toi, laisse-toi faire, tu vas aimer.

Nous sommes sur son lit, nus tous les deux, couchés sur le flanc, face à face, il m'enveloppe dans ses bras musclés, une main sous mon menton retient ma tête, sa langue explore ma bouche, son autre main, eh bien, son doigt s'agite dans mon rectum. Il lance sa jambe sur moi pour me presser contre lui. J'ai mes deux mains sur sa bite, l'une le masturbe, l'autre malaxe ses couilles.

J'agis dans un état second, en pensant que plus vite il aura fini, plus vite je serai débarrassé, et je pourrai rentrer chez moi. Son doigt est plus gênant que douloureux, je le sens pénétrer en moi une deuxième phalange, ma queue est dure comme de la pierre, je me frotte contre lui, il est velu de partout, un poil gris et rêche.

Je commence à gémir malgré sa langue qui remplit ma bouche, mes soupirs l'excitent et je le sens accélérer dans mon cul, il devient plus fougueux, il me baise le cul avec son doigt.

- Délicieux, ton petit cul joufflu, un vrai cul de fille.

Il reprend son souffle et rentre un 2° doigt, je gémis encore plus fort, ce qui a le don de l'exciter, il accélère et me baise comme un malade, agite ses doigts à toute vitesse, je couine comme une fille, il n'en a rien à foutre, il me mordille le cou, l'épaule, me raconte des trucs dans sa langue, je découvre une personne complètement différente, un vrai pervers.

- Putain, tu m'excites trop, bébé, faut que je te baise là ...

- Non ! C'est déjà trop pour moi, s'il te plaît ! On arrête maintenant ! S'il te plaît?

- On n'arrête rien, bébé, regarde comment tu bandes ! T'en as envie autant que moi ! Tourne-toi de l'autre côté, tu vas aimer. Fais-moi confiance, je vais te faire prendre ton pied.

Je n'ose pas résister, je me tourne en chien de fusil, les mains sur mes fesses que j'écarte, je bande à mort sans comprendre ce qui m'arrive. Il fait glisser sa queue gigantesque entre mes fesses, il va me déchirer, ou m'estropier, c'est sûr. Il crache sur ses doigts, me mouille le trou, puis sa bite, et se présente devant mon sphincter.

Je sens son gland brûlant de désir pousser contre mon trou, il force un peu, mon sphincter résiste, il me grogne de bien m'écarter, pour avoir moins mal, et pousse plus fort. Je gueule comme un malade, le gland passe l'anneau rectal, il s'arrête pour que je reprenne mon souffle.

Il m'écarte au maximum, c'est beaucoup plus large que ses doigts, je souffre et je halète comme un jeune chiot. J'étais venu pour l'aider, pour le secourir, un pauvre malheureux, et je suis tombé sur un commando, un type qui a fait la guerre, qui a vu des horreurs, qui a survécu, et qui se fout de ma souffrance, pour lui c'est que dalle.

- Tu es serré, mais c'est passé. Ta première bite, mon chéri, tu vas en avoir plein d'autres !

- Fais doucement, tu me défonces !

- T'inquiètes, le meilleur est à venir !

Son attitude change complètement, il me choppe la cou et me tire en arrière contre lui. Il m'enlace, se colle contre moi, ses jambes et ses bras m'emprisonnent, et il commence ses va-et-vient, sa queue rentre plus profondément à chaque coup. Il me ramone le fondement en poussant des grognements sauvages, on dirait un animal, il se déchaîne, je suis pris dans une tempête, ses coups augmentent encore de puissance, mon cul est rempli, distendu, bourré, je couine comme une fille.

- Tu prends ton pied, salope? T'aimes comme je te baise?

- Aaaah !

Il me claque le cul. Une putain de claque !

- Dis-le, salope.

- Oui ... Oh, oui ! Baise-moi ! Baise-moi fort !

- Une petite salope comme toi. Il faut que j'immortalise ça.

Il prend son téléphone et commence à me filmer.

- Non, s'il te plaît, pitié, ne me filme pas, s'il te plaît...

- Ta gueule. C'est moi qui décide, chéri ! Tiens, prends ça !

Il accélère encore, comme un dément, je bave dans mon vertige, je couine, les chairs claques, mon cul est détruit par la puissance de ses coups. Il cale son téléphone sur le côté pour continuer à filmer, me paralyse entre ses bras costauds et me pilonne le trou, Je jouis pour la première fois, ma queue crache du foutre, j'exulte et je crie mon bonheur.

Il ressort sa queue, me chevauche, me coince entre ses cuisses musclées, se branle sur moi, et jouis. Une quantité impressionnante de sperme jaillit sur moi, principalement sur mon visage, mon cou et le haut de mon torse. Il me recouvre de foutre chaud et visqueux. Il y en a énormément, ça devait faire longtemps qu'il n'avait pas joui pour en produire autant. J'en ai partout, dans les yeux, dans le nez, dans la bouche. J'ouvre la bouche pour respirer, il en profite pour faire entrer sa queue.

- Tiens, suce-moi, petite pute, tu m'as bien fais jouir !

Je le laisse se finir sur moi, je suis épuisé, vidé, brisé. Il s'allonge contre moi pour reprendre son souffle, m'enlace et me caresse tendrement.

- Ça faisait un bail que j'avais pas baisé, t'as pris ton pied, hein?

- Non, enfin je ne sais pas ...

- Comment ça, tu sais pas? T'as gueulé comme une salope en chaleur. Vas-y, casse-toi maintenant, je t'appellerai.

- M'appeler? Pourquoi?

- Quand j'aurais envie de te baiser ! Ton cul m'appartient, maintenant.

Je flippe grave. Je file direct, la nuit est tombée, je me faufile, discret, la douche, j'empeste le foutre, et je me couche, épuisé. Impossible de trouver le sommeil. Je suis crevé, mais les images de la soirée, comme un mauvais film, défilent dans ma tête.

Les cours à la fac finissent à 17H, mais je traîne à la bibliothèque avant de rentrer chez moi, et je m'enferme dans ma chambre pour ne pas être dérangé. Depuis plusieurs jours j'évite tout contact avec ma mère, de peur qu'elle ne me traîne au Service aux Réfugiés. Pourtant, elle me parle de Sacha tous les jours.

- Il a demandé de tes nouvelles, il s'inquiète pour toi, il si gentil, si serviable, ça lui ferait plaisir si tu passais le voir. Il est si seul, tu es son seul ami.

Le pire, ce que je craignais est arrivé, mon téléphone sonne, c'est le numéro de Sacha qui s'affiche, j'ai un bloc de glace qui grossit dans mon ventre quand je décroche :

- Comment va mon petit chéri depuis l'autre soir? Je dois te remercier, tu m'as fais passer une excellente soirée.

- Je vais bien. Mieux. S'il te plaît, sois discret, ne dis rien, à personne, et arrête de baratiner ma mère. Je t'en supplie, pitié, c'est trop la honte !

- Ne t'inquiète pas, mon chéri, c'est notre petit secret à tous les deux.

Je pousse un soupir de soulagement, mais il reprend.

- Et ça restera notre petit secret ... si tu viens me faire une petite visite ...

- Euh non, pas possible, j'ai trop de boulot et je suis crevé, une autre fois, merci.

- Viens me voir maintenant, mon chéri, j'ai envie de te ... voir !

- Non merci, pas ce soir, c'est bon.

- Viens tout de suite, sans discuter, ferme ta gueule et rapplique (le ton a brusquement changé)

- Mais pourquoi?

- Parce que je t'ordonne de venir, sinon je peux montrer une vidéo à ta mère ... ou à Monsieur l'Abbé ...

- OK ! J'arrive !

Je suis en panique, je me demande quel plan a germé dans sa tête de malade, c'est sûr qu'il a une idée derrière la tête, mais cette fois pas question de me laisser faire. Je préviens ma mère que Sacha a besoin de moi, elle me répond qu'il est si gentil, et reconnaissant, pour tout ce que je fais pour lui. La pauvre, si elle savait.

J'arrive devant la cabane de Sacha, il est avec un copain à lui, Marcus, un réfugié que je connais aussi. On se salue, je suis un peu rassuré, je me dis que tant qu'il y a du monde, il ne pourra rien tenter. Mais Sacha me saisit par la taille, m'enlace, et m'embrasse à pleine bouche. Un baiser long, profond, dominateur, il me renverse la tête en arrière, pour bien montrer ma docilité.

- Tu vois, Marcus, c'est comme je t'ai dit, il est très soumis !

Il m'entraîne à l'intérieur, m'assoit sur le lit, je suis en panique, qu'est-ce qu'il m'a préparé? Marcus nous a suivi, il ne dit rien et me regarde en souriant.

Sacha me caresse doucement la tête, l'air pensif, sa main descend lentement, caresse ma joue tendrement, son pouce caresse mes lèvres, insiste un peu.

- Ouvre !

- Hein? Quoi? Mais pourquoi? Ça ne va pas la tête ou quoi?

Bing, la gifle a claqué, sonore.

- Écoute moi, petite merde, tu fais ce que je te dis, sinon je mets mes menaces à exécution !

Je deviens blanc, j'ai un iceberg dans le ventre, et je me mets à flipper total.

- Pitié, s'il te plaît, pas ça, laisse-moi partir, s'il te plaît !

- Ne t'inquiète pas, tu repartiras tranquillement, tout à l'heure, quand on en aura fini avec toi !

Vu le ton qu'il prend, je ne résiste pas et fais ce qu'il dit. J'ouvre la bouche et je tire la langue en direction de Marcus, pour lui montrer que sa bite rentrera là-dedans sans problème. Marcus est dubitatif.

- Ouais, bof, et son cul?

- Ouais, tu as raison, regarde.

Là, il me fait lever, les deux mains en appui contre la cloison, me baisse le pantalon d'un coup avec le boxer, je me retrouve le cul à l'air devant eux, je suis en panique, humilié, j'ai les larmes aux yeux, je suis apeuré et je ne bouge pas.

Il me prend les fesses et commence à les malaxer, les serrant puis les écartant, il joue avec pendant un moment et puis m'oblige à me pencher plus, à me cambrer, en écartant mes fesses au maximum, j'ai l'anus bien en évidence, il le montre à Marcus en insistant sur le fait que je suis à la fois serré et souple, une vraie chatte de gamine, et il termine en me claquant joyeusement les fesses.

- T'as vu son trou, on est bien serré là-dedans, une vraie petite chatte de gamine, fais-moi confiance, tu seras très bien là-dedans, d'ailleurs t'as bien vu sur la vidéo ...

Le salaud ! J'en étais sûr, il a montré la vidéo à ses potes, j'aurais dû le prévoir. Je tourne la tête pour voir Marcus s'approcher de moi.

- Ouais, ça à l'air pas mal, je vais voir ça, vas-y, écarte-là au max, ta pute.

Sacha écarte mes fesses au maximum, mon trou est bien exposé là, il palpite un peu, j'ai honte comme jamais, Marcus se penche, il se racle la gorge, et crache sur mon trou.

- Je vais voir comment elle prend la bite, ta pute.

- Je ne suis pas une pute, rétorquais-je.

- Ouais, c'est ça, et les 50 euros que j'ai payé pour te baiser, c'est quoi?

Putain, mais quel salaud ! 50 euros, ce bâtard m'a vendu !

Sacha me maintient et m'écarte les fesses. Marcus me mets un doigt. Il se fraye un chemin dans mes chairs, il a des doigts hyper longs, il prend son temps, je respire fort, je n'ai pas vraiment mal, plutôt une gêne, Sacha l'encourage.

- Vas-y mon pote, tu peux y aller plus fort, il est là pour ça.

- Allez, d'accord, c'est parti, dit Marcus.

Il retire son doigt et m'en rentre deux d'un coup, puis il me ramone fort. Je gueule, ce salaud me martyrise, sans pitié, il se défoule sur mon cul. Tous les deux, ils rigolent, plaisantent, Sacha l'encourage, il me claque le cul pendant que Marcus me pistonne.

Je me plains, je les supplie, ça les excite encore plus, ils sont sans pitié, et ma queue se dresse toute seule. Sacha le voit et lui dit :

- Regarde il bande ! Je te l'avais dit, il adore ça,

- Putain quelle salope ce gamin, une vraie pute, renchérit Marcus.

- Vas-y continue, je vais filmer ça.

Sacha me lâche, prend son téléphone et commence à filmer. Je voudrais me retenir, ne pas leur montrer l'effet que ça me fait, mais je craque et je commence à gémir, c'est plus fort que moi. Marcus se déchaîne sur mon trou.

- Quelle salope, je ne sais pas où tu l'as dégoté ce mioche, mais tu as touché le gros lot, cette fois.

- Et encore, lui c'est rien, tu verrais sa mère !

Il retire ses doigts d'un coup sec en m'arrachant un cri, il me retourne et me fous à genoux direct, baisse son pantalon et me met devant la bouche sa queue tendue, longue et fine, avec les couilles pendantes. Il agite sa queue me la frotte sur la bouche. J'essaie de serrer mes lèvres et de tourner la tête, mais la voix grondante de Sacha me ramène à la raison.

- Un conseil, ouvre ta gueule et suce comme une salope, sinon tu vas morfler !

Je n'ai pas vraiment le choix et sa queue s'engouffre dans ma bouche, enfin la moitié pour commencer, elle est beaucoup trop longue. Je passe ma langue dessous pour la lubrifier. Marcus tient ma tête et commence à me forcer à le sucer. Sacha, qui n'en perd pas une miette, en rigole. Marcus pousse de plus en plus fort, je sens sa queue rentrer dans ma gorge, je tousse, bave et ça l'excite encore plus.

- Ce petit pédé suce mieux que les filles, n'y a pas à dire. Une vraie pompe suceuse.

- Je t'ai dit que tu en aurais pour ton argent, et encore t'as pas vu son cul.

- Ouais, fais voir ça maintenant.

Il retire sa bite de ma bouche, je suffoque, je tousse et je crache, au bord de l'asphyxie. Eux se marrent et se foutent de ma gueule. Je pleurniche, je les supplie d'arrêter, ils rigolent encore plus, me disent de la fermer et de me mettre en position, penché en avant, mes mains sur le lit. Je regarde Sacha en le suppliant du regard, il se contente de me filmer avec son téléphone, et m'ordonne d'obéir.

Je pose mes mains sur le lit, jambes écartées, dans la position de soumission exigée. Mes jambes tremblent de peur et de rage mêlées, je baisse la tête, honteux. Sacha qui a fait le tour du lit me glisse à l'oreille de supplier Marcus de me baiser pour faire une bonne vidéo. Il me précise que j'ai intérêt à être coopératif, si je veux que tout cela reste secret.

Derrière moi, Marcus qui me tâte les fesses me demande :

- Mon petit Kevin, à 19 ans, on rêve de se prendre une grosse bite dans le cul ! Tu veux que je te baise?

Je comprends qu'il fait ça pour la vidéo, et je rentre dans son jeu comme l'a exigé Sacha.

- Oh, oui, monsieur Marcus, mettez-moi votre grosse bite dans mon petit cul.

- Tu veux que je te défonce le cul, c'est bien ça?

- Oui, oui, défoncez-moi le cul avec votre grosse bite.

Il crache sur ma rosette plissée, puis sur son gland, se présente dans l'axe et pousse fermement. Son gland entre difficilement, il progresse lentement, je respire fort, sa queue est plus fine que celle de Sacha, mais plus longue, beaucoup plus longue.

Je serre les dents, je me sens rempli, mon conduit anal écartelé me brûle, mes yeux s'emplissent de larme, douleur et honte mélangés. Marcus respire fort en grognant. Il aime infliger la souffrance ce salaud, il ne s'arrête pas, il va de plus en plus loin. Je me cale pour mieux encaisser, mes genoux contre le lit, mes mains le plus loin possible sur le matelas.

Ma queue est raide et fiévreuse, des pulsions malsaines m'envahissent, le désir d'être traité comme une merde, mais je ne dois pas gémir, sinon il va me défoncer.

Puis je sens son ventre collé contre mon cul, il a tout rentré, je ne comprends pas comment, une bite aussi longue dans mon cul presque vierge. Il commence à me baiser, sortant sa queue presque entièrement, et me la remet d'un coup, le plus brutalement possible. Je ne peux pas me retenir, j'ai trop mal, je gueule à chaque coup de bite. Marcus prend son pied en me faisant souffrir et en m'insultant copieusement:

Rainett
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