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BÊTA PUBLIQUE

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- Putain, elle est bonne cette salope ! C'est la première fois qu'une tarlouze aussi jeune prend ma bite en entier dans son cul ! Elle va te rapporter gros, cette petite pute, Sacha ! 19 ans, c'est l'âge idéal pour faire le tapin !

- Ouais, j'ai eu du bol sur ce coup-là, il a la peau encore imberbe, une peau de fille.

Marcus se déchaîne, il accélère comme un taré, il me brutalise le cul, les chairs claquent, je hurle. J'aurais voulu me retenir, rester stoïque, ne pas lui donner ce plaisir, mais ça fait trop mal ! Je pleure, je supplie, mais je ne peux pas m'échapper. Il me bloque les jambes avec les siennes, et ses doigts s'enfoncent dans la chair de mes hanches.

Sacha est ravi, il se penche pour me filmer sous le bon angle, ma gueule déformée par la souffrance, mes yeux pleins de larmes, Marcus qui me défonce, et ma bite qui crache un petit jet de sperme. Violé, défoncé, maltraité, humilié, mais je jouis quand même ... Sacha est sidéré :

- Quelle pute !

Ce psychopathe de Marcus m'attrape les mains, me les bloque dans le dos, je pique du nez dans le matelas. Il monte sur le lit, ses pieds de chaque côté de mes genoux, il me chevauche. Il maintient mes mains d'une seule main, et il me claque le cul de toutes ses forces, pendant qu'il me défonce l'anus avec sa bite. Il m'ouvre en deux, mais le matelas étouffe mes cris. Sacha m'attrape par la tignasse, et me tourne la tête de côté, pour qu'on m'entende gueuler.

- Pitié j'en peux plus.

- Ta gueule, petit pédé, j'ai payé, tu m'appartiens, Ton mac m'a demandé de te dépuceler !

Son rythme se désunit, ses coups de bite s'espacent, je sens une chaleur m'envahir, sa bite bite palpite en moi. Je comprends qu'il est en train de jouir dans mon cul. Il reste un moment dans mon cul puis, quand sa bite se dégonfle, il se retire d'un coup, et ça me donne un dernier frisson.

- J'espère que ta pute ne va pas tomber enceinte avec la dose que je lui ai mis. Viens voir.

- Oh putain, tu l'as bien rempli, là.

Il filme mon trou du cul en gros plan, je sens le foutre qui s'échappe, qui coule sur mes bourses, qui dégouline sur mes cuisses, il y en a énormément.

- Petit pédé, on dit merci au monsieur qui t'as bien baisé.

- Merci.

- Merci qui, sale pédé?

- Merci monsieur.

- Et merci de quoi, sale pédé?

- Merci de m'avoir bien baisé, et bien rempli le cul, monsieur Marcus.

- Il faut tout leur apprendre, à ces petits pédés. Aucune éducation !

Tête basse, je m'habille sans un mot, et je file chez moi avec le cul et les cuisses qui collent. Je me faufile dans la salle de bain, je me masturbe sous la douche, je jouis plusieurs fois, je gicle de partout, ça me coupe les jambes, je vais me coucher direct, sans souhaiter une bonne nuit à ma mère.

Ma mère vient m'embrasser dans mon lit, me demande si j'ai passé une bonne soirée, et me refait encore une fois l'éloge de Sacha. Quand elle s'en va, j'éteins la lumière, et je passe et repasse mille fois dans ma tête le film de ma soirée. Je me demande pourquoi je ne peux pas leur résister, pourquoi je suis si docile et si excité par ces brutes, et qu'est-ce que je peux faire pour que cela cesse.

Le pire, quand je pense à tout ça, c'est que mon cul palpite encore, et que ma bite se dresse, comme si j'en voulais encore. Je serre les fesses, mais c'est encore pire.

Quelques jours passent, n'ayant pas de solution pour échapper à Sacha, je décide d'aller à l'église pour trouver un peu de réconfort, et de l'aide pour m'éclaircir les idées. Je vais à la sacristie, rencontrer l'Abbé en privé, je le connais depuis toujours, et il connaît toute ma famille. Il m'accueille comme d'habitude avec son air débonnaire.

Je lui dit que je viens lui parler pour lui demander de l'aide et un conseil. Il me propose d'aller dans son bureau, dans ses appartements privés, ce qui me paraît bien, vu les circonstances. Il me fait asseoir dans un fauteuil profond, et s'installe juste devant moi, une fesse sur le bureau. Il se penche sur moi, souriant :

- Je t'écoute, mon fils.

- Mon père, j'ai fait une grosse bêtise, et j'ai besoin d'aide.

- Qu'as-tu fait mon fils?

- J'ai eu des rapports sexuels avec une personne.

- Bon, ce n'est pas un grand péché, mon fils. À 19 ans, c'est normal. Bon, c'est en dehors des liens sacrés du mariage, mais c'est l'époque qui veut ça.

- C'était avec un homme, mon père.

Il reste muet quelques secondes, et reprend :

- Bon, comme je le disais, c'est l'époque. Ce sont des choses qui arrivent, mon fils. C'est la nature.

- Oui, mais là c'était avec un homme plus âgé, beaucoup plus âgé, de l'âge de mon père, peut-être plus...

Encore un silence, l'Abbé respire fort. Il reprend :

- Raconte-moi en détail ce qui s'est passé.

Je lui raconte tout dans les moindres détails, dans la cabane de Sacha, combien de fois, comment. Il m'écoute sans m'interrompre, les yeux plissés, attentif. Je trouve curieux qu'il respire aussi fort, mais il reprend :

- Tu parles bien de Sacha, le réfugié que tu aides, et que tu sers régulièrement?

- Oui mon père.

- Tu as été contraint?

- Je ne sais pas mon père, je suis perdu.

- Mais tu as aimé ce qu'il t'as fait subir?

- Hein? Non, pas du tout ! Enfin non, je ne pense pas ! Non, en fait, NON !

- Ce n'est pas ce que m'a raconté Sacha, ni la vidéo qu'il m'a montré !

J'ai le souffle coupé, je suis sonné, il a tout raconté au curé, et il lui a montré la vidéo, putain !

- Tu es d'accord avec ça, mon fils?

- Euh, oui... Mais comment... Il vous a raconté? Et montré?

- Oui, mon grand, il m'a tout raconté, et tout montré ! Il a même ajouté que je pouvais faire ce que je voulais de toi.

- Je vous en supplie, mon père, aidez-moi, je ne sais pas quoi faire.

- Hélas, mon fils, je ne suis qu'un homme, avec ses faiblesses.

- Je ne comprends pas, mon père.

- Tu vas bientôt comprendre, ne t'inquiète pas.

Il ouvre sa soutane, il est nu dessous, et il me présente son sexe en érection. La mine sévère, il me dit :

- Les petites putes damnées comme toi, on ne les aide pas, on les corrige.

- Mais, mon père ...

- Te faire baiser par un vieux réfugié de l'âge de ton père, et couiner comme une salope quand il t'encule ! Et tu te prétends innocent ! Ton châtiment sera de me sucer !

- Pitié, mon père, pas vous ...

La claque a failli m'assommer.

- Obéis, petite pute !

Je suis encore sous le coup de sa gifle et m'exécute. Je me penche en avant et je le prends en bouche. Sa bite s'érige lentement dans ma bouche. C'est humiliant, mais le goût est agréable. Je prends plaisir à le sucer, je bave et je le suce bruyamment pour lui montrer mon contentement.

- Sacha m'a vanté ton petit cul de gonzesse, ça m'a fait envie, je vais y goûter. Monte sur le bureau.

J'enlève mon pantalon et mon boxer, je m'assois sur le bureau en bois, l'Abbé me pousse sur le dos, je me retrouve les pattes en l'air, la bite à moitié bandée, et le trou du cul qui palpite. Il admire le spectacle.

- Ton petit cul me fait envie, je vais me régaler, ça fait un moment que je n'ai pas goûté une jeunesse comme toi !

Il s'assoit à ma place, m'écarte les fesses et commence à me lécher le cul comme un chien affamé. Sa langue m'ouvre, m'aguiche, me fait bander. La sensation est sublime, j'accroche mes mains au bureau. Il secoue la tête, il est comme possédé, il écarte mon cul avec ses doigts et me sodomise avec sa langue. Je gémis comme une femelle, ma queue est dure comme une barre d'acier, c'est plus fort que moi, je le supplie de me baiser.

- C'est un délice ton petit cul de fille, je comprends que Sacha n'ait pas pu résister, et tu bandes en plus, salope.

Il relève mes bourses, et les presse avec ma queue dans sa main. Avec son autre main, il me fourre deux doigts dans le cul et commence ses va et vient. Je deviens dingue, je devrais me rebeller mais je ne peux pas, je laisse ce pervers jouer avec mon corps.

- Tu sais Kevin, j'ai souvent pensé que tu étais une petite chienne comme ta mère. Cette bourgeoise hautaine, toujours à agiter ses gros nichons dans ses décolletés, je suis sûr que c'est une petite salope, comme toi.

- Non, pas ma mère, c'est une sainte !

- J'ai toujours voulu la baiser, cette truie, je vais te baiser en pensant à elle.

Là, il se dresse, présente sa bite devant mon trou, et pousse d'un coup. Je hurle ma détresse. J'étais venu chercher du réconfort, de l'aide, un conseil, une épaule amie pour soulager ma peine. Je me retrouve couché sur le bureau, les pattes écartées, sodomisé par un vieux pervers qui profite de ma faiblesse.

Il a posé mes mollets sur ses épaules, il me tient par les cuisses et commence à me défoncer le cul sans pitié. J'avais la rosette lubrifiée par sa langue, heureusement, mais le conduit anal me brûle et je couine d'une manière féminine.

Ça l'excite encore plus, je vois son visage devenir très rouge, son regard cruel me fixe avec mépris. Ses coups de reins sont puissants, les chairs claquent, il secoue le bureau à chaque poussée. Je gueule comme un possédé, ma queue est dure comme de la pierre, je suis conquis par sa virilité possessive. Je voudrais rester discret, ne pas montrer mon plaisir, mais je prends mon pied quand je suis traité comme une salope, ma queue dressée et mes cris de volupté me trahissent.

- T'aime ça, hein, salope? Tu couines comme une femelle en chaleur ! Comme ta mère, j'en suis sûr, elle doit gueuler comme toi quand elle se fait baiser ! J'adorerai la baiser sur ce bureau, l'enculer et la faire hurler.

- Non. Pas ma mère !

- Si. Pareil. Deux salopes, deux chiennes en chaleur.

- Je vous interdis de dire du mal de ma mère.

- Tu m'interdis? Alors que tu gémis de plaisir et tortillant ton cul sur mon bureau, salope !

Il s'énerve, sort sa queue d'un coup, je frémis. Je me calme, je reprends mon souffle, pendant ce temps il fait le tour du bureau, attrape ma tête à l'envers, la penche en arrière, et enfile sa queue dans ma bouche. Il force et me la rentre jusque dans la gorge. Il me maintient de toutes ses forces et baise ma bouche comme si c'était mon cul.

Il s 'amuse à me faire suffoquer. J'ai de la bave qui coule sur mon visage, je couine chaque fois que je respire. Il n'en a rien à foutre de ma souffrance. Il prend son pied en me voyant gesticuler. Impossible de résister, je ne peux pas me dégager. Il ralentit un peu pour que je respire, puis reprend sa baise buccale en m'insultant.

- Petite salope, ta gorge est un vrai bonheur, tout comme ta mère ! Je te baise la gueule et tu bandes, petite fiotte. Tu vas jouir bientôt, petite chienne, allez, crache ton jus ! Voilà, comme ça ...

J'ai un orgasme foudroyant, mon foutre jailli sur mon torse. Tout mon corps tremble de plaisir. Je ne sais pas si c'est la position de soumission, ses insultes, sur ma mère, sur moi, mais j'ai joui comme un malade.

Puis l'Abbé se retire de ma bouche. J'ouvre grand la bouche pour respirer et immédiatement, je reçois une énorme giclée dans ma bouche et sur le visage. Ce pervers arrose mon visage de son foutre qui forme un masque gluant. J'en ai de partout. Dans la bouche, dans les narines, dans les yeux, je suffoque mais il me maintient toujours avec une joie sadique. Il grogne comme un malade, j'ai l'impression que ça ne va jamais s'arrêter.

Au bout d'un moment, il me gifle avec sa bite, je tente de reprendre mes esprits, je suis encore sous le choc. Une fois calmé, il se reprend et me parle, comme pour s'excuser.

- Ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas baisé, quand j'ai vu la petite salope que tu es, et en pensant à ta mère avec ses gros nichons, comme elle me fait bander chaque fois qu'elle vient se confesser, j'ai perdu la tête. Mais tu me comprends et tu me pardonnes, n'est-ce pas?

- Vous êtes un vrai pervers.

- Pas autant que toi mon chéri, regarde-toi, tu as gémi comme une femelle, et joui comme une petite fiotte.

- Non, ce n'est pas vrai. Vous m'avez violé. C'est un crime !

- Mais oui, bien sûr... Allez, rentre chez toi. Va raconter à ta maman ce que je t'ai fait subir. Et dis-lui bien que j'en ai autant à son service. Si elle veut se faire baiser, je suis son homme !

Je suis furieux, vexé, humilié, mais pas en situation de force. Je m'essuie le visage comme je peux, j'ai le visage dégueulasse, gluant de salive et de foutre mélangés. Je me rhabille en vitesse et fonce chez moi, prendre une douche. Je croise ma mère en sortant de la salle de bain. En la voyant, je ne peux m'empêcher de repenser à ce que m'a dit l'Abbé, et j'ai le cul qui se remet à palpiter.

Le reste de la semaine se passe, sans nouvelles de Sacha ni de l'Abbé. Je ne suis pas mécontent qu'ils me laissent tranquille, mon cul et ma bouche ont assez souffert comme ça.

Ce soir je dois aller à la cantine pour servir les réfugiés. J'ai bien essayé de refuser mais ma mère a insisté. J'ai peur de croiser Sacha, mais je ne peux pas l'esquiver indéfiniment. Je décide de prendre mon courage à deux mains et de l'affronter. J'accompagne ma mère en lui tenant le bras.

Depuis que ces salauds m'ont mis cette idée en tête, je n'arrête pas de penser à ses grosses loches qui se balancent quand elle marche, et j'ai mon cul qui palpite et ma bite qui se dresse. Je dois me calmer pour rencontrer Sacha et ne pas être en état de faiblesse.

Nous saluons les autres bénévoles et nous commençons à servir les repas. Quand je vois Sacha apparaître dans la queue, je panique, j'ai une boule au creux de l'estomac et mes mains tremblent. En même temps, bizarrement, ma rosette palpite et mon kiki frétille, comme s'ils étaient impatients de le revoir.

Il me voit de loin et me sourit d'un air chagrin. J'essaie de rester calme mais je suis intrigué. Il est passé où, le pervers qui m'a tant fait souffrir. Pourquoi cette attitude poignante, joue-t-il la comédie? Il arrive dans les derniers et nous salue.

- Salut Kevin, bonjour madame, ça me fait plaisir de vous voir ici tous les deux.

Ma mère le salue : - Bonsoir Sacha ! Tout va bien? Vous avez l'air contrarié.

Là, il prend un air encore plus malheureux. Toute la détresse du monde.

- Hélas madame, une grosse branche est tombée sur ma cabane, et elle a détruit une partie du toit, rendant mon logement inhabitable.

- Oh ! Malheur ! Mon pauvre ! Comment faites-vous alors avec ce froid?

- Eh bien, madame, j'ai tendu une toile qui me protège du vent et du givre, mais le froid a réveillé de vieilles douleurs dans mon dos.

- Mais vous ne pouvez pas réparer votre cabane, Sacha?

- Je dois trouver quelques matériaux de récupération, des planches ou des tôles feraient l'affaire. Mais d'abord je dois dégager cette grosse branche. Elle est trop lourde, alors je la coupe morceaux par morceaux.

Il continue ses plaintes, et connaissant le personnage, je me demande ce qu'il manigance.

- Si seulement pendant quelques nuits je pouvais avoir un endroit chaud et sec pour dormir.

Je vois ma mère avec les yeux humides, et je comprends ce que cet enfoiré essaie de faire.

- Écoutez, si c'est seulement pour quelques jours, venez dormir chez nous ! Nous avons de la place.

J'ai le cœur qui rate un battement, j'ai envie de vomir, ma mère ne va pas faire rentrer ce mec chez nous !

- Vous êtes trop bonne, madame, vous avez votre place au paradis, c'est sûr !

- C'est normal, mon ami, vous avez déjà tellement souffert !

Je suis en plein cauchemar, je ne trouve pas de mots ! Ma mère appelle mon père pour le prévenir, pendant que Sacha me dévisage avec son regard vicieux en se pourléchant les narines. De loin, on pourrait croire qu'il s'extasie devant le repas servi, mais pour moi, pas d'équivoque, d'ailleurs il me montre clairement ses intentions en se touchant la bite.

- Ta mère est vraiment une femme BONNE. Je la remercierai à ma façon, elle le mérite, non? T'es d'accord?

- Arrêtez ça tout de suite, vous êtes un monstre, c'est horrible.

- T'inquiètes, petite pute, je sais que je vais me la faire, et elle va adorer ! Comme toi !

Ma mère revient, et dit que c'est OK avec mon père. Nous aidons les autres bénévoles à ranger, et nous ramenons Sacha à la maison. Il donne le bras à ma mère, il lui parle, lui dit des bêtises, il la fait rire, elle semble subjuguée par ce type qui la drague ouvertement. Moi, je marche deux pas derrière, la tête basse. Je me demande comment je vais me sortir de son emprise sous mon toit.

À la maison, mon père a déjà déposé un matelas dans ma chambre, parce qu'on est "copains". Je n'ose pas protester, mais je pense que la nuit va être longue. Pendant le dîner, Sacha est un convive agréable, et il fait rire mes parents. Ma mère semble sous son charme. Mon père boit un peu trop.

Progressivement, Sacha pose ses jalons. Il jette de fréquents coups d'œil dans le décolleté de ma mère qui ne s'offusque pas, il me semble même qu'elle a défait un bouton de plus. Mon père a le regard brumeux, Sacha le ressert dès que son verre est vide. Le repas se termine, Sacha aide ma mère à débarrasser la table, pendant que j'aide mon père à regagner sa chambre.

Lorsque je reviens, après avoir aidé mon père à se coucher, ma mère et Sacha sont côte-à-côte à la cuisine, en train de faire la vaisselle. Ils rigolent, ils plaisantent, ils chahutent même. Ma mère doit être un peu pompette, je ne l'ai jamais vue comme ça. À un moment, il se penche hardiment sur son décolleté en lui déclarant qu'elle est une très belle femme.

Elle rit, d'un rire de gorge, un rire énervé, mais elle ne paraît pas particulièrement gênée, elle semble un peu flattée, peut-être un peu rougissante. C'est à ce moment que je remarque que deux boutons de plus sont défaits dans son décolleté. D'ailleurs, lorsqu'elle se penche sur l'évier, elle se débrouille pour faire saillir encore plus ses gros nichons.

Lorsqu'elle a fini, elle me demande de montrer la salle de bain à Sacha, et va dans sa chambre rejoindre mon père. Nous avons deux salles de bains. Une dans la chambre parentale, et une salle d'eau à côté de ma chambre. Je le guide et lui ouvre la porte, mais il me pousse à l'intérieur, rentre et referme la porte à clé. Il a retrouvé son regard pervers et dominateur :

- À ton avis, je baise qui ce soir? La mère ou le fils?

- Arrêtez ! C'est horrible ce que vous dites.

- Je suis sûr que c'est une salope qui aime la bite, est-ce qu'elle a de la lingerie sexy?

- J'en sais rien.

- Eh bien moi je veux savoir, va fouiller dans le linge sale et ramène-moi ses culottes.

Je suis en panique, je le supplie d'arrêter. Il s'en fout et me balance une gifle. Je cède et je vais lui chercher ce qu'il réclame. Je lui ramène trois culottes, pas très sexy. Dans la bassine, il y avait aussi un string, mais j'ai jugé trop impudique de lui ramener. Il les porte à son nez. Les trois ensembles, puis séparément. Il hume longuement, comme un chien de chasse. Il en choisit une, et me la tend :

- Tiens, celle-là. Sent-moi ça. Elle a eut ses chaleurs, là. Elle a bien mouillé sa culotte, cette fois-là. Ça sent la chienne, elle doit bien mouiller quand on la baise.

- Vous êtes horrible.

- C'est une salope, ta mère, comme toi. Vas-y, rapporte ces deux-là, j'en ai pas besoin.

- Vous êtes un monstre.

- Ta gueule, fais ce que je te dis, sinon demain ta mère aura une nouvelle vidéo à montrer pour les repas en famille.

Cet enfoiré continue son chantage jusqu'au bout. Encore une fois, j'obéis. Lorsque je reviens, il m'examine de la tête aux pieds :

- À poil !

- Quoi? Pourquoi?

- On va prendre la douche ensemble !

On se déshabille et il me pousse sous la douche. Il se colle contre moi et frotte son paquet contre mes fesses. Sa queue est déjà dressée. Il s'amuse à la glisser entre mes cuisses, contre mes bourses, puis dans ma raie culière.

- Je t'ai manqué, chéri?

Sacha commence à bien s'exciter, il me plaque au mur et me pelote le cul. Il est de plus en plus chaud et dur.

- Petite pute, tu m'excites avec son petite cul de femelle. Regarde comme tu bandes. T'aimes te faire baiser, salope !