Safari De Dépravation - Ch. 02

BÊTA PUBLIQUE

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La grosse femme, totalement déçue, déféqua sur la petite queue de sa proie en signe de mépris. Puis elle se retira, laissant le petit sexe maculé de ses excréments et toujours dur. Les femmes produisirent des sons de dégoût en se tenant le nez et en chuchotant pour elles-mêmes à cette vue. Le chef s'approcha alors, et cria un ordre aux femmes. Il ignora Dylan, qui se faisait maintenant enculer par un troisième adolescent.

Après le départ du chef, la grosse femme demanda aux autres de l'aider à placer Dylan dos au sol, tout en le maintenant attaché de manière à ce que ses bras soient tendus et ses jambes en l'air, largement écartées pour donner aux adolescents un accès facile à son trou du cul béant qui se remplissait rapidement de leur sperme chaud. L'imposante villageoise s'assit alors sur le visage de Dylan, si soudainement qu'il ne le vit pas venir. Une des autres femmes lui serra alors les couilles douloureusement, pendant que la grosse lui hurlait dessus, remuant son cul maculé de merde sur sa bouche. Il savait ce qu'elle voulait et embrassa à contrecœur son trou sale. La grosse se tortilla davantage et continua à lui hurler dessus. Craignant pour ses couilles, Dylan plaça sa langue dans le cul et goûta à la merde forte de l'autochtone. Il se rendit compte avec une ironie perverse que toute son expérience pour satisfaire sa belle femme blanche avec ses anulingus allait désormais lui servir à offrir du plaisir à ces femmes noires sadiques. Sa tourmenteuse assise sur son visage lui sourit alors tandis qu'il nettoyait son trou du cul, puis ses traits se tordirent et elle commença à grogner. Dylan ne voulait pas croire ce à qui se produisait, et réalisa qu'il ne serait bientôt plus jamais le même... Car il sentait l'énorme et répugnante crotte de la grosse femme noire glisser le long de son intestin, puis sur sa propre langue tendue, à travers ses lèvres largement étirées et jusque dans sa bouche. Elle le remplit de tant d'excréments qu'il dut mâcher et avaler à plusieurs reprises pour éviter de s'étouffer à mort. La noire sourit largement et hurla sur un ton excité quelque chose aux autres femmes qui se mirent toutes à rire bruyamment, s'approchant pour voir Dylan manger la merde de cette grosse et grande femme noire directement à la source. Il se sentit vraiment plus bas que tout, à peine conscient que l'énorme bite d'adolescent venait de lui décharger une dose phénoménale de sperme dans ses intestins au même moment. Il était tellement humilié et impuissant qu'il abandonna le combat et fut réduit ce qu'ils avaient fait de lui: une pute anale, un garçon blanc suceur de bite et mangeur de merde, disponible pour tous les noirs africains qui voulaient l'utiliser. Un pédé-chiotte humaine blanc pour bites noires. Dylan ne pouvait pas voir Hannah sous cet angle, mais pour une fois, il espérait qu'elle était trop occupée à subir un viol collectif pour être le témoin de sa dégradation.

Malheureusement pour lui, elle n'en rata pas une miette, et était excitée malgré elle par la vue de son pauvre mari au sexe minuscule en train de manger étron après étron de merde nauséabonde directement depuis les culs de femmes noires sales, tout en se faisant défoncer la rondelle à tel point que le sperme débordait littéralement trou béant et violé. La chatte de la blonde était humide, et elle tremblait en regardant ce spectacle, mais sans pouvoir se masturber. Toutefois, quand l'odeur forte de la merde des femmes indigènes atteignit son nez, une vague de répulsion la submergea et, sachant que son mari goûtait mille fois pire, elle jouit sauvagement, tirant sur ses liens et pissant partout sur elle-même, avant de finir par s'évanouir.

Le reste de la nuit, les noires se relayèrent pour sucer les tétons du blanc et les mordre pendant que les adolescents l'enculaient. Dylan avait perdu le compte de ses violeurs à 22, lorsqu'il s'était évanoui, étouffé par l'une des nombreuses crottes qu'une femme avait lâchée dans sa gorge. Quand il se réveilla, au matin, il sentit un goût de merde. Quelques morceaux étaient encore là, dans sa bouche ouverte et baveuse. C'était la sensation la plus dégoûtante du monde, se réveiller la bouche pleine de merde qui avait fermenté toute la nuit. Son cul était encore endolori, et il pouvait sentir le sperme sec collé sur son cul et ses cuisses, mais aussi remplissant ses entrailles. Il se demanda combien de noirs avaient continué à déposer leurs grosses charges dans son cul après s'être évanoui. Il réalisa également qu'il avait toujours son érection douloureuse et baissa les yeux sur sa petite bite dure. Le mari regarda aussi sa femme, qui était couverte de marques de morsure, de merde séchée et de sperme.

Hannah avait elle aussi été descendue au sol, déliée. Cependant, elle n'avait fait aucun effort pour s'échapper. Les femmes du village l'amenèrent à son mari, la firent asseoir sur sa bouche et forcèrent ce dernier à avaler tout le sperme et la merde qui suintaient des trous de son aimée. Sa bouche s'ouvrit sur le cul béant de sa dulcinée, et il enfonça sa langue dans l'épais mélange gluant d'innombrables dépôts de sperme d'hommes noirs. La blanche contracta ses muscles rectaux du mieux qu'elle le pouvait encore, et des gouttes de la décoction dégoûtante giclèrent dans la bouche de son époux. Il déglutit par réflexe, en se disant qu'au moins, ce n'était pas encore des excréments de négresses. Hannah lui jeta un regard tandis qu'il faisait cela pour elle et parut sourire, juste un petit peu, même à travers sa transe provoquée par son viol. Puis elle grogna et pèta dans sa bouche - intentionnellement, semblait-il -, comme au bon vieux temps. Le pet était humide et dégoûtant, accompagné d'une poussée puissante de sperme chaud provenant de quelque part au fond de ses entrailles.

Quand Hannah se fut entièrement vidée, les locales lui apportèrent le large bol qui était maintenant rempli à ras-bord. La jeune femme blanche les regarda avec des yeux écarquillés, craignant ce qu'elles comptaient en faire. Elles lui indiquèrent alors par des signes qu'elle devrait en nourrir son mari. Dylan hocha frénétiquement la tête négativement, et essaya de protester, mais il ne put rien faire. Deux femmes locales, plus fortes qu'il ne les avait imaginées, le saisirent et maintinrent sa bouche ouverte, tandis que la femme qui tenait le bol le tendit à Hannah en faisant bien attention à ne rien renverser de son répugnant contenu.

Hannah se saisit du bol, et fut surprise de son poids. Elle dut forcer pour le tenir, car il était très lourd. Elle observa son contenu et en fut toute retournée. La blonde commença à se sentir mal. Elle tourna la tête sur le côté et laissa presque tomber le bol. Mais la femme à côté d'elle le retint fermement, et attrapa la blanche par les cheveux. Elle lui tira la tête en avant juste au-dessus du mélange nauséabond. Hannah ne put éviter de respirer cette puanteur et se mit à vomir de manière incontrôlable - directement dans le bol. Dylan entendit et sentit tout cela. Il regardait sa femme vider le contenu de son estomac dans le bol et se mit à sangloter. Tant pour elle que pour ce qu'il savait être à venir pour lui-même.

Hannah se rétablit et leva les yeux vers la femme qui la tenait par les cheveux. La noire ne montra aucune pitié et indiqua à nouveau ce que Hannah était censée faire. La jeune épouse baissa les yeux sur le bol, s'en saisit une nouvelle fois, et baissa les yeux sur son mari. Lentement, inévitablement, elle porta le bol à la bouche de ce dernier, ouverte de force et, avec une expression de douceur ... voir d'amour? Elle lui dit: "Avale tout, Dylan chéri. C'est ton lot, c'est ta vie, maintenant."

Et sur ce, Hannah versa la première gorgée de pisse, merde, sperme et vomi dans la bouche de son mari. Ce dernier commença immédiatement à se sentir mal, mais deux femmes autochtones le forcèrent à fermer la bouche. Il ne tarda pas à vomir, mais les femmes avaient scellé sa bouche de leurs mains et rien ne pouvait s'en échapper. Ses joues se gonflèrent, et soudain, du vomi se mit à jaillir par son nez! D'autres femmes locales pincèrent alors son nez pour le maintenir douloureusement fermé, et tout ce qu'il pouvait faire était de crier silencieusement dans l'affreuse mixture et agiter ses yeux paniqués. Il entendit alors une douce voix à son oreille. C'était sa femme. "Dylan, mon chéri, ne résiste pas. Tu peux le faire. Tu es né pour faire cela. Tu m'as servi avec ta bouche, tu te souviens? Tu aimais quand je pétais dans ta bouche, je le sais. Et tu as mangé toute les étrons de ses grosses femmes noires, n'est-ce pas? C'est ta place dans ce monde : tu es une chiotte humaine, chéri. Je le sais, et tu le sais. Ils ne vont jamais nous laisser partir, tu le sais aussi. Leur dialecte est inconnu, mais j'ai suffisamment étudié les langues de cette région pour comprendre qu'ils disaient que nous ne rentrerons jamais plus à la maison. C'est notre vie maintenant. Alors fait ce pourquoi tu as été fait et avale. Je vais te nourrir avec ce bol en entier, et tu vas tout avaler, n'est-ce pas? Tu vas tout avaler car tu n'es rien d'autre qu'un inutile dépotoir à foutre, une toilette humaine mangeuse de merde. Et je t'aime pour ça. »

Dylan n'arrivait pas à croire ce qu'il venait d'entendre de sa douce et aimante femme, mais il ne pouvait nier que cela le touchait au plus profond de son âme. Il fixa son regard sur les yeux aimants de sa femme et avala. A sa grande surprise, il jouit à cet instant, malgré la sangle de cuir brut serrée autour de la base de son pénis. Il jouit plus fort que jamais auparavant, une véritable fontaine de sperme se répandant sur sa poitrine et son visage, un volume important accumulé tout au long d'une journée d'abus sauvage de sa prostate enflée.

En voyant cela, Hannah poussa un cri de joie et lui tapota la tête pour le récompenser de son travail bien fait. « Je savais que tu pouvais le faire, toilette, » le complimenta-t-elle en l'embrassant sur le front.

Alors qu'il avalait le dernier morceau dans sa bouche, les deux indigènes lui rouvrirent la bouche et la fouillèrent de leurs doigts pour s'assurer qu'il avait bien tout avalé. Elles furent surprises et impressionnées de voir qu'il ne restait rien. Elles sourirent, puis éclatèrent de rire, criant fort aux autres de venir regarder Hannah verser la prochaine bouchée - cette fois, un gros morceau de l'une de ses crottes qui avait été délogé par son abus anal tomba dans la bouche de son mari. Une fois qu'elle fut pleine les femmes la fermèrent de nouveau par la force, et Dylan mâcha et avala docilement, sans jamais rompre le contact visuel avec le regard attentif et aimant de sa belle femme.

Il lui fallut 18 bouchées et 30 minutes pour consommer jusqu'à la dernière goutte et au dernier morceau de son repas révoltant, mais quand tout fut terminé, la foule applaudit, hurlant ses félicitations, toute étonnée qu'il ait pu réussir une chose aussi incroyable. Hannah rayonnait de fierté devant l'exploit de son époux et les femmes lui donnèrent de petites tapes dans le dos pour la féliciter elle aussi d'avoir participé à l'humiliation de son mari.

Il était tard, maintenant, le feu était mourant, et après encore quelques temps de discussions, de danses et de beuverie, les fêtards commencèrent à se disperser et à rentrer dans leurs tentes. Dylant fut laissé attaché dos au sol, mais Hannah, elle, était libre. Elle ne tenta pourtant pas de fuir. Elle se coucha simplement à côté de son mari, sa tête sur sa poitrine, et tomba rapidement dans le sommeil.

Le matin vit le retour de la grosse femme. Dylan pensa qu'il mourrait s'il était encore baisé ou nourri de sa merde dégoûtante. Mais cette fois, la femme semblait avoir apporté une sorte de nourriture qu'elle mélangea avec ce qui ressemblait à des herbes. Dylan n'avait pas mangé depuis des jours et accepta sans rechigner le mélange que la grosse femme fourra dans sa bouche. Trop tard, il réalisa qu'il s'agissait d'excréments d'animaux qui avaient été mélangés aux étranges herbes. Il regarda autour de lui et vit que Hannah était nourrie également à la même mixture. D'après l'expression de son visage, elle aussi venait juste de réaliser ce qui constituait leur pitance, mais n'ayant rien mangé depuis deux jours, elle avala docilement la décoction dégoûtante.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Et ça ne fait que commencer ?

Le mystère des piercings ?

Rudy

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