Safari De Dépravation - Ch. 02

Informations sur Récit
Le couple blanc capturé est "initié" par la tribu africaine.
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 07/03/2021
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« Safari de dépravation »

Œuvre originale : « Safari of depravity », de Scatwoman (crédit à MercySlayer pour l'inspiration), traduite et publiée en français par sissy Hélène314 avec l'aimable autorisation de l'auteure.

Vous pouvez contacter Scatwoman pour lui faire part de vos commentaires (en anglais).

Vous pouvez aussi commenter mon travail ci-dessous (ne soyez pas trop sévères s'il vous plaît c'est ma première traduction et je suis loin d'être un professionnel ou un écrivain, je fais ça à mes heures perdues)

Partie 2 : « Initiation »

Le trajet fut très court et bientôt le groupe arriva dans son camp avec ses captifs.

C'est à ce moment que Dylan put observer pour la première fois les femmes autochtones. Elles étaient tout aussi sombres que les hommes, très grandes comme eux, avec une taille d'1 mètre 80 en moyenne, et également très musclées. Les femmes âgées étaient assez épaisses. Toutes avaient des énormes seins pendants et des grosses fesses musclées.

Dylan entendit Hannah crier et regarda autour de lui jusqu'à ce qu'il la voie. De son point de vue, derrière sa femme et les indigènes, il pouvait observer toute l'action en détails. Hannah avait été détachée de la barre, puis déliée par les hommes noirs. Ils la forcèrent à se mettre à quatre pattes commencèrent à la baiser. Hannah était maintenant plus effrayée qu'excitée et essayait de fuir l'empalement de l'énorme bite du local.

Les villageois trouvèrent très amusant de regarder Hannah se déplacer à quatre pattes comme une chienne sur le sol pendant que leur camarade plongeait et retirait encore et encore sa bite de 40 centimètres dans son minou ravagé. Un autre indigène intervint cependant rapidement, attrapant Hannah par les hanches et l'attirant vers lui. Son chibre massif mesurait au moins 50 centimètres de long et 10 centimètres d'épaisseur. Il essaya de l'enfoncer à sec dans le cul d'Hannah, mais même avec tout le sperme qui avait coulé dans le trou de la blonde, le monstre ne s'enfonça pas au-delà du gland.

Contrarié, le natif du village se retira et poussa Hannah sur le dos. Les yeux d'Hannah s'écarquillèrent de terreur lorsqu'elle aperçut l'énorme engin de l'indigène prêt à lui déchirer le cul. Elle cria, tandis que deux femmes autochtones lui attrapaient les jambes et les tiraient au-dessus de sa tête, puis les poussaient sur les côtés, l'exposant complètement. Elles enfoncèrent leurs doigts dans le cul d'Hannah, envoyant une onde électrique de choc et de honte dans la colonne vertébrale de leur captive. Elles ouvrirent son trou du cul sans ménagement et en un rien de temps, il était béant et obscène. Les femmes commencèrent alors à relever la tête et à se gargariser, puis à cracher d'énormes quantités de salive dans l'anus ouvert. Hannah sentit les glaviots de salive atterrir au fond de ses entrailles et se mit à pleurer à cause de l'humiliation abjecte et de la pure dégradation qu'elle subissait. Les noires parurent satisfaites, estimant que le trou pouvait désormais accueillir la totalité de l'énorme bite. Hannah cria de nouveau - elle ne pouvait pas détacher ses yeux de la verge qui la pénétrait, à mesure que la pointe, puis la tête du pieu de chair glissaient dans son rectum. Par-dessus sa chatte rasée, elle regarda avec terreur son anus qui s'étirait et s'élargissait autour de l'épaisse queue.

Après avoir forcé le sphincter d'Hannah avec son gland, le reste de la bite glissa facilement dans la jeune femme. Avec ses jambes tirées au-dessus de sa tête et maintenues tendues, Hannah put sentir les couilles frapper contre ses fesses. Le poids et la taille de son scrotum étaient proportionnels à la taille de la bite de l'indigène. Hannah haleta et recommença à crier alors que l'africain tirait lentement ses 50 centimètres presque complètement hors d'elle, puis les repoussa rapidement jusqu'à ce que ses couilles lui giflent le cul comme une pagaie. Il continua à ce rythme, sortant lentement et revenant rapidement, arrachant à Hannah un hurlement à chaque coup.

Le noir finit par jouir tout au fond, et Hannah put sentir ses intestins s'élargir pour s'adapter à la taille de l'engin qui pulvérisait son sperme et lui remplissait le ventre. L'autochtone continua à jouir avec abondance à tel point que malgré le conduit anal étroitement serré autour de sa bite, du sperme déborda et s'écoula par les côtés. Les cris d'Hannah s'étaient transformés en sanglots. Lorsqu'il se retira, elle ne put s'empêcher de remarquer le sperme mélangé à sa merde qui s'écoulait de son trou souillé et ouvert. Les femmes relâchèrent ses jambes et Hannah se retourna, essayant simplement de s'échapper du cauchemar qui lui oblitérait l'esprit.

Dylan pouvait entendre les hurlements d'Hannah et observer son viol, mais il ne pouvait rien faire pour l'aider. À son grand embarras, il réalisa que sa propre petite bite avait durci à la vue de sa femme en train de prendre 50 centimètres de chair noire dans son cul, puis à la vue des fuites d'épaisses gouttes de semence et d'excréments mêlés.

A son tour, Dylan fut détaché de la barre. Des liens furent attachés à ses mains et ses pieds et les indigènes tirèrent dessus pour le suspendre entre deux arbres. Ses aisselles le lancèrent immédiatement alors que ses bras étaient étirés au maximum, sans toutefois lui démettre les épaules. Ses pieds étaient à quelques centimètres du sol, étirés au point de faire pivoter ses hanches douloureusement vers l'extérieur, de sorte que ses genoux pointaient vers les arbres.

Il pouvait toujours voir et entendre clairement Hannah, dont les pieds étaient maintenant tenus par une femme africaine. Mais peu à peu, ses cris de terreur s'étaient mués en cris d'extase. Dylan connaissait bien ces sons, pour les avoir entendus à de multiples reprises lorsqu'il mangeait le cul de sa femme jusqu'à la faire jouir. Le cul d'Hannah était très sensible, c'était une vraie source de plaisir pour elle. Et elle venait justement de vivre une succession d'orgasmes à vous remuer l'âme durant son viol anal extrême. Dylan tenta de se débattre contre ses liens, mais ils étaient trop serrés. Il fut laissé seul par les autres villageois qui se regroupaient autour d'Hannah pour profiter du spectacle. Le jeune marié promena son regard sur le camp autour de lui, et remarqua que toutes les femmes natives arboraient de larges poitrines nues. Certaines avaient un sein percé d'un large anneau d'or, les autres les deux seins percés. Elles portaient toutes de courtes pièces de tissu autour de leur taille. Les hommes, eux, étaient seulement vêtus de pagnes qui étaient juste assez longs pour couvrir leurs énormes parties intimes.

Dylan nota même qu'il pouvait parfois voir les extrémités de leurs bites molles au bas de leurs pagnes. Il se dit qu'ils devaient tous avoir d'énormes queues, même au repos. Son attention revint vers Hannah, car il pouvait maintenant l'entendre sangloter. Le jeune blanc se demanda s'ils survivraient à cette épreuve.

Dylan regarda Hannah être traînée près de lui. Il remarqua le filet de pisse qui coulait sur l'intérieur des cuisses de sa femme, et les quantités abondantes de sperme brunâtre séchant sur ses jambes. Elle avait dû perdre le contrôle de sa vessie, après avoir été baisée si fort. Ses yeux étaient vitreux, et elle ne lutta pas quand les indigènes l'attachèrent entre deux arbres comme son mari. Hannah était à environ 3 mètres de distance de lui. Dylan essaya de l'appeler, mais sa voix était trop faible à cause du temps passé dans cette position suspendue. Il pouvait néanmoins voir la poitrine de son aimée monter et descendre, ses yeux ouverts mais vitreux, ainsi que ses joues striées de larmes. Il savait qu'elle était toujours consciente.

Une femme indigène lui jeta de l'eau au visage pour refocaliser son attention. Immédiatement, Hannah se mit à supplier que ses tortures cessent. L'africaine l'ignora, et se contenta de laver le sperme, la pisse et la merde de ses cuisses avant de partir. Dylan resta suspendu entre les arbres, son menton reposant sur sa poitrine, tandis que sa femme gémissait sous la douleur résiduelle qu'elle ressentait dans son cul et sa chatte.

A la nuit tombée, les villageois allumèrent un grand feu. Dylan fut réveillé par de l'eau jetée sur sa figure. Des hommes et femmes autochtones l'entouraient. Ils étaient tous nus. Dylan constata qu'en plus des anneaux qui perçaient leurs seins, certaines femmes en avaient également sur leurs lèvres vaginales : certaines un seul, d'autres plusieurs. Il ne semblait y avoir aucune raison ou logique à cela, excepté le fait que les femmes arborant plusieurs anneaux étaient plus vieilles. Pendant qu'il les observait, les femmes du village pointaient du doigt la petite bite molle du captif blanc et riaient.

Dylan avait raison, les autochtones masculins avaient tous des sexes de plus de 30 centimètres. Celui qu'il supposa être leur chef, à en juger par sa coiffure et ses bijoux, avait un engin de pas moins de 50 centimètres de long et 10 d'épaisseur. C'était cette même bite qui avait sauvagement enculé sa pauvre femme un peu plus tôt, la première qu'elle avait jamais eue entre ses fesses. Dylan savait qu'après cela, sa langue ne pourrait jamais plus apporter un quelconque plaisir à ce joli petit trou autrefois si serré, devenu maintenant un tunnel à bites béant. Le jeune marié sortit rapidement de ses rêveries et tenta en vain de s'éloigner lorsque l'une des indigènes prit en main son sexe au repos. Dylan se sentit terriblement ridicule. Même en érection, il ne pouvait atteindre que 8 à 10 centimètres, et pas même trois de large, là où les adolescents du village le battaient d'au moins 15 bons centimètres.

La femme autochtone caressa doucement la bite de sa proie, essayant de lui donner vie. Dylan se débattit contre ses liens, mais il ne pouvait pas bouger. Son sexe refusa cependant de réagir à la stimulation, ce qui parut mettre la femme en colère. L'un des hommes qui les avaient enlevés lui cria alors quelque chose dans leur langue, ce qui fit rire tout le monde. La femme sourit puis glissa deux gros doigts dans le trou du cul exposé de Dylan, le doigtant brutalement. A sa grande honte, son sexe se mit immédiatement à grossir, devenant même douloureusement dur.

Cela fit rire la foule encore plus fort, ils le pointaient du doigt et parlaient entre eux. La femme indigène sourit avec fierté et satisfaction, n'ayant plus besoin de le masturber, se contentant de lui doigter le cul avec maintenant 3 doigts. Même arrivée à une érection complète, les indigènes riaient du ridicule de la taille du sexe de Dylan, n'ayant apparemment jamais vu un pénis aussi fin, pâle et petit. Cela semblait être la chose la plus drôle qu'ils aient jamais vue.

Ensuite, les hommes du village se sont approchés et ont comparé les tailles des bouts de leurs engins massifs avec la pitoyable extrémité de la tige minuscule de Dylan. Cela les fit rire encore plus fort, certains en pleurant ou roulant sur le sol. Muscleman prit un plaisir particulier à comparer sa propre bite massive à la nouille de Dylan - giflant le petit membre et ses petites boules blanches avec sa longue et lourde grosse bite noire. Quand les autres noirs virent à leur tour pour se mesurer à Dylan, Muscleman se repositionna sur le visage de sa victime, le giflant à plusieurs reprises avec sa grosse bite et l'enfonçant dans sa bouche contre l'intérieur sa joue, l'étouffant avec.

Dylan jeta un regard à Hannah, qui avait été réveillée par l'agitation et il rougit en constatant qu'elle regardait son humiliation avec une sorte de détachement - sans même montrer de pitié pour lui, lui semblait-il.

La femme noire continua de doigter Dylan. Ce dernier ne ressentait pas d'excitation, mais juste une érection douloureuse. Après qu'elle eut rendu le sexe du blanc aussi dur qu'il pouvait l'être selon elle, la noire ramassa un mince morceau de cuir brut humide et l'attacha étroitement autour de la base de sa bite, empêchant ainsi son érection de disparaître. Les hommes autochtones hochèrent la tête en signe d'approbation et suivirent ensuite leur chef jusqu'à l'endroit où Hannah était attachée, à l'exception des adolescents et de Muscleman, qui semblait prendre un tel plaisir sadique à abuser de Dylan qu'il resta près de lui. Toutes les femmes restèrent également avec Dylan.

Alors qu'une des femmes plaçait un grand bol en poterie sous Hannah, cette dernière se débattit contre ses liens, mais se rendit vite compte qu'elle aussi ne pouvait que très peu bouger. Son regard fixé sur la horde d'indigènes debout devant elle et caressant leurs bites dressées, Hannah recommença à crier. Sa voix était si rauque qu'elle pouvait à peine être entendue. Le chef s'approcha d'elle et a écarta les lèvres de sa chatte enflée, révélant son clitoris agrandi. Il pinça violemment le clitoris d'Hannah et le tira, riant tandis que sa proie se tortillait de douleur et de plaisir mêlés.

Satisfait de sa réaction, le chef plaça de nouveau son pieu massif dans le cul de la blonde. Cette fois-ci, la longue et épaisse barre de chair glissa jusqu'au bout sans rencontrer de réelle résistance. Suspendue entre deux arbres, Hannah était à la hauteur parfaite pour être baisée debout. Tout en commençant à pomper avec des mouvements de va et vient dans le rectum de sa victime, le chef promena sa bouche sur ses seins exposés, facilement accessibles, pour les sucer et les tirer.

Trop effrayée pour bouger, Hannah resta immobile et silencieuse alors que l'agression du chef continuait, mordant ses mamelons et les tirant pendant que son corps se balançait de haut en bas au rythme du viol brutal qu'elle subissait. Malgré elle, la jeune mariée se mit bientôt à gémir et Dylan vit ses hanches commencer à se balancer. Les sensations devaient être trop fortes, et elle était maintenant en train de s'enculer sur l'énorme bite d'ébène qui la baisait pour la seconde fois.

Enfin, le chef projeta son corps avec une telle force que les arbres auxquels était attachée Hannah bruissèrent, et il lâcha son sperme dans les tréfonds de ses entrailles. Dylan vit la tête de sa femme basculer vers arrière, la jeune femme se tendant contre les cordes qui la maintenaient, tout son corps tremblant alors qu'elle hurlait de plaisir et de douleur, jouissant de la pénétration anale la plus profonde qu'elle ait jamais connue, jouissant de l'humiliation, jouissant du sentiment d'avoir ses tripes remplies de sperme noir, éjaculant de sa propre impuissance, ligotée et violée.

Comme le chef sortait sa bite du trou béant de sa victime, le sperme coula en grosses gouttes épaisses dans le bol placé en dessous d'elle. Quelques morceaux de merde tombèrent également, provoquant des éclaboussures dans l'immense flaque de semence indigène. Le grand noir regarda Hannah dans les yeux, la gifla deux fois de chaque côté du visage et cria quelques ordres aux hommes qui se tenaient autour d'eux. Puis il s'assit directement à droite d'Hannah alors que les hommes s'alignaient devant et derrière elle.

Affaiblie par le viol qu'elle venait de subir, Hannah opposa seulement une résistance symbolique lorsqu'elle vit les rangées d'hommes qui se formaient devant et derrière elle. Elle devint folle lorsqu'elle réalisa ce qu'ils avaient l'intention de faire, mais trop faible pour résister, elle baissa simplement la tête quand le premier homme enfonça sa bite dans sa chatte encore endolorie et commença à la baiser. La combativité d'Hannah reprit pour livrer un dernier simulacre de lutte lorsqu'elle sentit un doigt envahir son rectum. L'indigène qui lui baisait sa chatte s'arrêta et tendit les mains derrière Hannah pour lui écarter les fesses, exposant son cul à l'homme derrière elle.

Un cri d'approbation monta des africains dans la file lorsque son trou du cul fut pénétré. Hannah retrouva sa voix et pleura pendant que l'indigène poussait 35 centimètres de bite dure comme du roc dans son trou du cul trempé de sperme ; elle se tordit contre ses liens, puis s'arrêta de bouger alors qu'elle s'adaptait à la sensation de son cul et de sa chatte remplis en même temps.

Les autochtones commencèrent à la baiser en rythme, mordant ses seins par devant, et par derrière les serrant et lui tirant les tétons. Les indigènes qui attendaient dansaient, nus, l'érection prête pour leur tour. Hannah resta attachée entre les deux arbres toute la nuit, les hommes du village usant et abusant de sa chatte, de son cul et de ses seins. Le seul trou épargné était sa bouche. Sous elle, le grand bol recueillait le sperme de noir et la merde qui s'échappait de ses trous violés, béants et ruinés. Il reçut également la pisse de la jeune blanche, qui perdit à plusieurs reprises le contrôle de sa vessie cette nuit-là.

Au matin, Hannah avait été baisée par plus de 50 hommes, dont aucun n'avait une bite de moins de 30 centimètres de long. Sa chatte et son cul étaient depuis longtemps restés ouverts pour prendre plus facilement chacun d'eux. Maintenant que le soleil se levait, elle gisait là, juste suspendue à ses liens, avec des marques de morsure sur sa poitrine, ses mamelons douloureux, et du sperme dégoulinant de sa chatte et de son cul comme de l'eau d'un robinet qui fuyait. Elle avait atteint l'orgasme plus de fois qu'elle n'avait pu le compter, et était complètement groggy. Dylan sanglotait et des larmes coulaient sur son visage. Il voyait les lèvres vaginales de sa femme étendues à trois fois leur taille normale, et son clitoris ressortir, engorgé comme une petite bite. Les hommes du village étaient partis après avoir fait sucer à Hannah sa propre merde sur chacune de leurs énormes queues. Cette dernière se retourna et regarda son mari Dylan, qui avait enduré un sort encore pire.

En effet, les femmes étaient restées et avaient continué à torturer Dylan. Avec le mince morceau de cuir brut noué autour de la base de sa queue, son érection était devenue très douloureuse et il ne pouvait pas se détendre. Une grosse femme indigène avec des seins qui pendaient jusqu'à sa taille s'était tenue devant Dylan, tirant sur sa bite. Dylan remarqua que ses deux seins étaient percés d'anneaux en or et qu'elle avait au moins une douzaine d'anneaux en or dans les lèvres de sa chatte, six de chaque côté.

La femme parla, et les autres femmes se mirent à rire. Dylan tenta de s'éloigner alors que la négresse tournait son gros postérieur vers lui, écartait ses fesses et commençait à revenir sur la sa bite dressée. Son trou était sec, et lorsqu'elle le poussa contre la bite de Dylan, cela ne faisait que pousser le petit blanc en arrière. Son petit sexe dressé ne lui pénétrerait pas le cul.

La violeuse a alors crié quelque chose à l'un des adolescents, qui a rapidement enlevé son pagne et s'est placé derrière Dylan. Ce dernier réalisa ce qui allait se passer au moment où le garçon dirigea sa bite à l'entrée de ses fesses. Puis, la grosse femme se recula de nouveau contre la bite de son captif et tandis que son corps était poussé vers l'arrière, le prisonnier blanc fut inexorablement empalé par l'adolescent. Dylan se mit à hurler en se tortillant, mais il ne put éviter la pénétration de son cul.

Lorsque la bite de l'adolescent fut complètement enfoncée dans le cul de Dylan, alors seulement le trou culier de la grosse femme commença à s'ouvrir et elle glissa sur la bite de Dylan. Son postérieur était si gros qu'il couvrait complètement le bas du corps de sa victime. Dylan n'était plus lui-même lorsqu'il sentit sa queue disparaître entre les fesses de la femme noire. Quand ses fesses furent pressées contre Dylan, l'africaine cria quelque chose et l'adolescent commença à enculer vigoureusement le prisonnier.

Profitant de cela, la grosse femme se balança d'avant en arrière, essayant de se baiser avec la petite bite de Dylan... Mais elle était juste trop courte pour atteindre son trou du cul, et encore moins pour la pénétrer! Cela sembla vraiment l'énerver, et l'autochtone se contenta de frotter ses fesses sur la petite queue blanche, frustrée. Dylan était impuissant. Il ne pouvait pas échapper à l'enculade, ni jouir sur les fesses de la grosse femme et redevenir mou à cause du morceau de cuir. Au bout d'un moment, l'adolescent vida ses couilles profondément dans le côlon de sa victime et enleva sa bite avec un pop dégoûtant. Un autre adolescent prit rapidement sa place.

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