Safari De Dépravation - Ch. 03

Informations sur Récit
Le couple blanc est asservi par la tribu africaine.
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3

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 07/03/2021
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Œuvre originale : « Safari of depravity », de Scatwoman (crédit à MercySlayer pour l'inspiration), traduite et publiée en français par sissy Hélène314 avec l'aimable autorisation de l'auteure.

Vous pouvez contacter Scatwoman pour lui faire part de vos commentaires (en anglais).

Vous pouvez aussi commenter mon travail ci-dessous (ne soyez pas trop sévères s'il vous plaît c'est ma première traduction et je suis loin d'être un professionnel ou un écrivain, je fais ça à mes heures perdues)

Partie 3 : « Une nouvelle vie »

Au cours du mois suivant, Hannah fut systématiquement enculée d'abord par le chef, puis laissée à la merci des autres hommes. Elle se balançait maintenant de haut en bas pendant que sa chatte et son cul étaient utilisés, ne faisant même plus semblant de résister. Et elle jouissait si souvent que Dylan se demandait si elle pouvait maintenir un certain degré de conscience.

Dylan était lui aussi enculé, mais seulement par les adolescents. Le couple blanc était parfois délié, nettoyé et autorisé à se reposer, puis de nouveau suspendu entre les arbres.

Ni l'un, ni l'autre ne mangèrent plus de vraie nourriture ni ne burent d'autre boisson que du sperme et de la pisse. Ils ne vivaient que sur un régime de merde humaine et de divers autres animaux (zèbre, chien, hippopotame, rhinocéros, et même éléphant), et parfois même celle de leur conjoint (Dylan pour Hannah et inversement). Dylan dût de nouveau s'occuper du cul de sa femme, mais à chaque fois uniquement pour manger sa merde très noire, concentrée et recyclée (parfois sous forme de diarrhée) ou pour boire le sperme et la pisse qui y avaient été déposés par le chef ou d'autres indigènes. Ce cul était méconnaissable pour Dylan : ce n'était plus le petit derrière mignon et serré dont il était tombé amoureux. Maintenant, il en sortait de la diarrhée ou d'énormes crottes qui remplissaient sa bouche, il n'était plus capable d'émettre les petits "toots" mignons dont il ne gardait déjà plus qu'un vague souvenir. Son anus et son sphincter ne se refermaient jamais complètement, et ses pets bouillonnaient à travers le sperme visqueux qui remplissait en permanence son canal anal. Désormais, son bouton rose jadis joli et serré était un trou à merde distendu, constamment utilisé et abusé, perpétuellement béant, le genre que vous trouveriez sur une pute de caniveau à deux dollars dans un parc à roulottes. La langue de Dylan ne lui donnerait plus jamais de plaisir. Au bout de quelques temps, les deux époux ne se parlaient plus, et ne se reconnaissaient même plus.

Les autochtones continuèrent à nouer un lien autour de la bite de Dylan, et ce dernier arborait maintenant une érection continue et douloureuse, qui n'était que peu apaisée par des éjaculations explosives, occasionnelles et incontrôlables qui survenaient quand il était violé ou nourri de merde.

De plus, Dylan remarqua qu'il avait commencé à développer des seins et qu'à l'inverse, ses boules et son pénis avaient rétrécis. Il remarqua aussi qu'il avait de moins de poils que ce soit sur son corps ou son visage. Il en déduisit que ses ravisseurs devaient leur donner des sortes d'hormones féminines dans leur alimentation quotidienne de merde animale (les herbes!), et le transformaient en femme! Ils devaient aussi nourrir Hannah de la sorte, car ses seins avaient grossi jusqu'à atteindre deux fois leur taille d'origine. Les herbes devaient sans doute également agir comme une sorte de contraceptif car, malgré les innombrables charges volumineuses de semence puissante injectées dans le ventre d'Hannah, elle ne tomba jamais enceinte. Dylan aurait aimé penser que c'était simplement parce qu'il faisait un travail très minutieux en suçant et en avalant tout le sperme noir de la chatte de sa femme après chaque viol collectif, mais il savait qu'il n'aurait pas pu tout avoir. Ils découvrirent plus tard que cette contraception était intentionnelle. La tribu avait estimé que leurs enfants auraient été des abominations - des métis inférieurs.

Les mamelons d'Hannah avaient été tellement tirés et abusés qu'ils ressortaient de près de 5 centimètres, et de même pour son clitoris. Dylan baissa les yeux sur son propre pénis et réalisa que les hormones l'avaient également fait rétrécir. Maintenant, sa bite et ses couilles étaient encore plus petites qu'avant. A vrai dire, même le clitoris étiré et engorgé de Hannah devenait comparable en taille à sa petite nouille inutile.

Lors d'un soir de pleine lune, que Dylan estima être au début de leur deuxième mois de captivité, quelque chose changea. Ni lui ni Hannah n'avaient été touchés ou utilisés d'aucune façon ce jour-là. Les indigènes avaient mis en place un grand feu et entamèrent une ce qui semblait être une danse de guerre frénétique lorsque l'obscurité tomba. Dylan et Hannah ne savaient pas ce qui les attendait.

Ils virent en premier pour Dylan, le détachant des arbres et le tirant au centre de la tribu. Il fut allongé sur le dos sur une table et une guérisseuse (la même qui leur apportait leur repas quotidien de merde d'animaux remplie d'herbes, réalisa-t-il) frotta une sorte de pommade sur ses tétons, son nombril et son pénis. Il n'était pas sûr de son but jusqu'à ce qu'il sente un anneau passer à travers sa peau sous son nombril. Dylan était choqué et effrayé, mais à sa grande surprise, il n'y eut pas de douleur (seulement de l'inconfort) et un minimum de sang. La pommade devait être une sorte de crème anesthésiante faite maison, réalisa-t-il. Il endura donc cet inconfort, jusqu'à ce que la grosse femme prenne une grosse plume et l'enfonce à travers la peau de sa bite juste en dessous du gland.

Là, Dylan se débattit alors qu'un autre anneau était placé dans sa verge et relié à l'anneau sous son nombril, bloquant son sexe en position verticale. Il avait développé de petits seins et ces derniers reçurent un traitement similaire, car des anneaux furent également insérés dans ses mamelons. Dylan tenta de se débattre, mais il était trop faible et à la fin resta allongé passivement pendant que les villageois le perçaient rituellement.

Finalement, il fut retourné sur le ventre, ses jambes chevauchant la table. Il ne pouvait pas voir ce qui se passait, mais il sentit la pommade frottée sur son scrotum puis une chaleur intense de brûlure sur ses couilles! Dylan hurla alors que le chef, qui tenait son scrutom, le marqua au fer rouge avec le symbole de leur tribu. Son cauchemar n'était pas terminé, car le chef ordonna à deux de ses hommes de le retenir.

Le chef s'adressa à un autochtone âgé qui lui répondit d'un « oui » enthousiaste de la tête, puis enleva son page et révéla une bite dont la taille rivalisait avec celle du chef, mais qui était plus épaisse et plus noueuse. Il se plaça derrière Dylan, qui commença à paniquer. Jusqu'à maintenant, il avait seulement eu des sexes relativement plus petits et plus minces dans son cul. Et si son trou s'était élargi et était habitué à recevoir leurs pénis de 30 à 35 centimètres, la massive trique de l'ancien ne jouait pas dans le même championnat! Dylan sentit quelque chose d'humide sur son anus, et espéra qu'il s'agisse de la crème anesthésiante de la femme-médecine. Mais il n'en était rien : elle se tenait debout face à Dylan, à quelques mètres de là. Il entendit alors l'ancien cracher un autre glaviot de salive sur son cul tremblotant.

Dylan s'agita quand le vieux poussa sa bite durcie au gland semblable à un champignon contre son sphincter rebelle. Lorsque la tête évasée de son sexe força le passage, l'ancien poussa un long soupir guttural. Le pieu de chair était légèrement plus fin juste après le gland, mais cette bite épaisse et veineuse s'élargissait de nouveau à partir du milieu de sa longueur jusqu'à devenir plus large que la tête. Dylan glapit, couina et se tortilla lorsque son violeur se saisit de ses hanches et l'attira à lui de toutes ses forces jusqu'à ce que chaque centimètre de son pieu ait pénétré dans le trou distendu du petit blanc. Lorsqu'il fut enfoncé jusqu'à la garde, l'ancien laissa sa bite monstrueuse quelques instants dans le cul de sa proie, puis commença à le baiser avec des mouvements de va et vient uniquement sur une dizaine de centimètres. Dylan sentait le gros gland lui ramoner les entrailles, tandis que l'ancien l'enculait plus profondément que n'importe lequel des adolescents qui lui étaient passés dessus.

Le vieil homme sortit alors lentement presque toute sa bite, et Dylan commença à se relaxer en le sentant partir, se sentant comme s'il venait de chier un étron géant après quelques jours de constipation. Mais l'ancien stoppa soudain sa retraite, laissant le gland en lui. Dylan se demanda pourquoi il attendait pour sortir les derniers centimètres de son cul, et tourna la tête pour regarder l'ancien derrière lui. A ce moment précis, ce dernier poussa un cri de guerre et se jeta en avant avec toute sa force, enfouissant d'une seule poussée sauvage toute la longueur de sa large bite dans le rectum violé de sa proie! Dylan cria mais reçut immédiatement une seconde bite gigantesque dans sa bouche : c'était Muscleman! Les deux autochtones le baisèrent par les deux extrémités dans une scène obscène et primale, sans aucune pitié ou attention pour le blanc. Ils le baisèrent sauvagement, le ravageant de leurs bites en poussées puissantes et synchronisées, avec toute la vitesse et la puissance que leurs grandes carrures musculeuses leur permettaient. Pas moins d'un mètre de bites épaisses empalaient un Dylan attaché et sans défense par les deux côtés, encore et encore, le rabaissant à la plus misérable des putes, au niveau d'un animal, d'un trou à bites. Le mari violé chercha sa femme de ses yeux embués de larmes, et la trouva tenue par deux villageoises qui lui doigtaient la chatte et le cul. Elle gémissait et se tortillait en regardant son homme ravagé par deux monstres noirs.

Le vieil homme commença à grogner et gémir : il était prêt à déposer sa semence africaine dans le trou distendu de Dylan! Muscleman aussi grognait, il saisit la tête de sa victime à deux mains et la tira à lui de ses bras incroyablement musculeux, enfonçant sa trique d'ébène entièrement dans la gorge et l'œsophage de Dylan, jusqu'à ce que ses poils pubiens entrent dans les narines de Dylan et que ses grosses boules pendent contre son menton. Le petit blanc sentit ces boules noires se contracter et projeter leur sperme directement dans son estomac : il sentit la chaleur de chaque éjaculat s'écrasant contre les parois de son ventre! Au même instant, l'ancien hurla en saisissant et en tirant les anneaux des têtons de Dylan, étirant ses seins naissants tandis que le pauvre Dylan sentait la massive bite grossir encore à chaque explosion de sperme chaud dans son cul.

Cette humiliation finale, combinée avec la vue de sa femme toute excitée qui le regardait, fut la goutte qui fit déborder le vase pour Dylan. Il laissa partir tout ce qui restait de sa fierté, de sa masculinité et s'abandonna à son sort et à la séance d'insémination noire qu'il subissait : il jouit comme jamais auparavant. Giclée après giclée, il eut la plus volumineuse éjaculation de sa vie, et il entendit sa femme hurler sa propre jouissance en voyant cela.

Lorsqu'ils eurent fini, les deux géants noirs continuèrent à le baiser de leurs sexes à demi-durs. Dylan ouvrit les yeux et vit sa femme emportée dans les ténèbres par ses deux gardiennes. Il tenta de la suivre du regard, mais la perdit vite de vue. Pendant ce temps, les deux hommes continuaient à le violer sans ménagement, sans sortir leurs engins de ses trous. Le jeune mari se demanda s'il reverrait un jour sa jeune épouse.

Après que les deux noirs aient joui chacun 3 fois en Dylan d'un côté et de l'autre, ils relevèrent leur proie et l'amenèrent dans leur case. L'esprit de Dylan avait été brisé. Il réalisait que les locaux l'avaient transformé en femme et donné au vieil homme et à son jeune frère, Muscleman (il découvrit plus tard que le jeune fils de Muscleman était le premier adolescent à l'avoir enculé lorsqu'ils avaient été assaillis près de leur voiture). Dans la hutte, les hommes baisèrent de nouveau Dylan et s'endormirent avec lui comme s'il était leur femme. Cette nuit là, Dylan fut enchaîné par ses nouveaux piercings à un anneau dans le sol de la hutte. Il s'endormit avec un sexe dans sa bouche et un autre dans son cul. C'était le début d'une longue et douloureuse vie de servitude et de torture en tant que pathétique petite sissy blanche.

Hannah avait fini de boire la pisse chaude de se deux ravisseuses et s'agita en entendant les derniers gémissements de son mari qui était déplacé au loin. Il faisait noir et elle ne pouvait voir où il était emmené. Elle ne comprit pas ce qui se passait lorsqu'on la libéra de ses liens et qu'on l'amena au centre de la tribu. Elle fut couchée sur la même table que Dylan quelques instants plus tôt, et le chef fit un long discours.

Quand il eut fini, une femme plaça un cylindre de bois juste contre les lèvres vaginales de Hannah et appliqua une pommade sur son clitoris et son sexe. Hannah n'avait pas émis un son depuis plusieurs jours, mais elle commença à crier lorsque la femme perça son clitoris avec une plume pour y fixer un anneau, avant de réaliser la même opération dans la foulée en plaçant deux anneaux sur chaque lèvre de son sexe.

Hannah secoua la tête d'un côté à l'autre en voyant la femme s'approcher de ses seins et lui percer les têtons, y fixant deux larges anneaux d'or par auréole. La jeune blonde entendit alors les tambours et sentit ses jambes se faire relever.

Le chef s'avança entre elles et glissa facilement sa bite de cinquante centimètres dans la chatte d'Hannah. Il pompa plusieurs fois sans le moindre effort, puis ressortit et entra dans son cul, toujours sans le moindre effort. Tous les sexes énormes et larges qui avaient baisé et enculé Hannah l'avait préparée à cela, et tant sa chatte que son cul s'accommodaient désormais de la taille de la bite du chef. Ce dernier commença à alterner entre le sexe et le cul d'Hannah.

Enfin, il commença à jouir, mais pour la première fois, il sortit sa bite couverte de merde et la força d'une seule poussée entièrement dans la gorge de sa proie. Hannah sentit la trique grossir dans sa gorge tandis que le sperme se répandait directement dans son estomac. Après cela, la blonde fut relevée et le chef la poussa dans sa case.

***

Une semaine plus tard, alors que Dylan était seul dans la case de l'ancien, il remarqua quelque chose qui lui parut bizarre. Il était responsable de la propreté de la hutte, aussi il tira dessus. C'était quelque chose qui lui paraissait à la fois étranger et familier. Les matériaux dont l'objet était fait n'étaient pas locaux. Il retourna l'objet et constata avec stupéfaction qu'il s'agissait du sac d'Hannah, celui qu'elle avait laissé dans la voiture! Il regarda autour de lui, en panique, ne souhaitant pas être vu, mais heureusement pour lui, tous les hommes (les vrais hommes, pas lui) étaient dehors à la chasse, aussi il sut qu'il était en sécurité pour un moment. Il ouvrit la fermeture éclair et remarqua un rectangle aux bords arrondis, métallique et froid au toucher. Il le prit et réalisa qu'il s'agissait de l'iPad de Hannah! Il le contempla avec une sorte de crainte mêlée de révérence : c'était comme une relique d'un autre temps, d'une vie passée. Les autochtones avaient dû le trouver dans la voiture avec leurs autres possessions et les garder, ne sachant pas quoi en faire.

L'iPad avait encore un reste de batterie, et après avoir fait travailler sa mémoire pour se rappeler comment faire, Dylan l'alluma. Il y trouva les fichiers personnels de sa femme sur le Congo et les ouvrit. Il fut choqué de découvrir qu'elle en savait bien plus qu'elle ne l'avait admis! La tribu n'était pas inconnue : en réalité, elle était même très bien documentée. Ils avaient été étudiés médicalement (et signalés comme étant en moyenne grands de 2 mètres et très musclés pour les hommes, avec des pénis mesurant en moyenne 40 centimètres!) et leurs cultures et leurs pratiques aussi avaient été étudiées et décrites exhaustivement! Chaque détail, y compris leur traitement des femmes et les herbes utilisées pour magnifier leur féminité et leur pratique de prendre des captifs d'autres tribus pour les violer et les utiliser comme toilettes humaines... Tout était là.

Il arriva à une section de l'étude où les anthropologistes qui avaient étudié la tribu leur avait tout juste échappé et recommandaient à tous de ne jamais revenir les étudier par prudence pour leur sécurité et de laisser la tribu évoluer par elle-même jusqu'à ce qu'elle soit assez civilisée pour rejoindre le reste du monde. Personne ne viendrait jamais les sauver, jamais. Quelque part au fond de lui, Dylan avait jusqu'ici pensé que c'était une situation temporaire. Qu'ils pourraient s'enfuir un jour, ou que quelqu'un de l'extérieur viendrait les chercher et les ramener au monde civilisé, blanc. Mais il savait maintenant que c'était un espoir impossible.

Une réalisation lui brisa le cœur, aussi lourde de sens qu'une tonne de briques : ce n'était pas un accident. Hannah savait EXACTEMENT ce dans quoi elle les avait amenés. Elle avait tout planifié. Dans ses fichiers personnels, il y avait des centaines, non, des milliers, d'histoires, d'images et de vidéos de pornographie interraciale : toutes avec des hommes noirs incroyablement dotés qui dominaient et baisaient des blancs et des blanches de toutes les manières possibles. Son historique de recherche était rempli de mots comme « plus grosse bite du monde », « supériorité noire », « esclavage blanc », « cultures Africaines primitives », etc. etc. Il devint évident pour Dylan que la seule raison pour laquelle sa femme avait étudié l'anthropologie culturelle était de satisfaire ses envies perverses pour les plus grosses et les plus noires bites du monde, et se soumettre totalement et à vie à elles. Et elle avait trouvé l'endroit sur Terre qui serait son paradis. Et elle y avait amené Dylan.

Dylan s'assit et pleura, alors que la batterie de l'iPad mourait et que l'écran devenait noir, comme son ancienne vie, étouffée et disparue pour toujours. A partir de ce jour, il n'était rien de plus qu'un jouet sexuel blanc, une toilette humaine pour ses maîtres noirs, et il l'accepta complètement, corps et âme.

***

Six mois avaient passé et Dylan et Hannah s'étaient adaptés à leurs nouvelles vies. Dylan cuisinait et nettoyant la case pour ses maris. Ses seins continuaient de grandir et il portait maintenant une jupe nouée autour des hanches comme les autres femmes autochtones. Il ressemblait en tout point à une femme, excepté son perpétuellement dur micro-pénis attaché à son abdomen par les anneaux d'or. Son seul réconfort était désormais de n'être baisé que par ses maris, et bien que les bites fussent parmi les plus grosses du village, ce n'était que quatre ou cinq fois chacun par jour. Il était aussi leur toilette humaine, ainsi que la chiotte de tout homme ou femme qui croisait son chemin et décidait de l'utiliser. Et, bien sûr, il était nourri quotidiennement par les déjections animales mixées aux herbes aux œstrogènes par la femme-médecine. Mais Dylan s'était habitué au goût rance et fort de la merde et de la pisse de la tribu, et même de l'horrible, de l'affreuse et chaude merde animale qu'il devait manger.

Hannah portait également la jupe tribale nouée à sa taille. Elle était devenue la troisième femme du chef et ses journées étaient remplies par la cuisine, la récolte de bois, les séances de baise et le service oral des autres femmes du chef, sans compter son rôle de toilettes familiales. Elle avait reçu deux anneaux supplémentaires sur sa chatte. Fréquemment, alors qu'elle cuisinait ou nettoyait près de sa hutte, le chef arrivait et la poussait simplement sur ses genoux pour l'enculer en doggystyle sans aucune considération pour elle. Elle se résolut à n'être qu'une simple propriété.

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