Revolution Chapitre 02

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Ma chemise était trempée et une flaque s'étalait sur le parquet. J'avais dans la bouche ce goût âcre d'urine et ma gorge était vaguement irritée par le liquide acide que j'avais absorbé.

Je n'en revenais pas. Elle m'avait pissé dessus. C'était à la fois écœurant et étrangement éro- tique. Et dire qu'il y a quelques mois, elle se cachait pour pisser.

Elle me rappela à la réalité.

«Nettoie ça et remet-toi en place »

Après avoir épongé la flaque qui était sur le parquet, je me remis à quatre pattes entre ses jambes, préoccupé par ce qui venait de se passer. Je léchais les dernières gouttes d'urine sur ses lèvres et dans ses poils et repris mon lent cunilingus.

«Tu en a mis partout, il va falloir qu'on trouve une solution »

Sa réplique me fit froid dans le dos. Ainsi, elle envisageait sérieusement de pérenniser cette pratique dégoûtante. Qu'était-je devenu pour elle, une sorte de toilette ambulante? Ma chemise mouillée et froide me collait au corps, l'odeur que j'avais dans le nez et le goût dans ma bouche me mettait le cœur au bord des lèvres, et pourtant, l'inconfort de ma cage prouvait que malgré mon écœrement, tout cela m'excitait.

Ce samedi là, comme souvent maintenant, elle m'attacha sur le lit, me bâillonna mais me retira ma cage et sortit. Elle avait tiré la porte, mais ne l'avait pas fermé. Je commençais à me morfondre quand j'entendis la clé dans la porte d'entrée. Elle ne devait pas être partit pendant plus de deux heures et je commençait à espérer que l'aventure avec Marc tirait à sa fin. Les paroles de Françoise me revinrent en mémoire :

«...elle reviendra vers toi....»

Sa réplique me fit froid dans le dos. Ainsi, elle envisageait sérieusement de pérenniser cette pratique dégoûtante. Qu'était-je devenu pour elle, une sorte de toilette ambulante? Ma chemise mouillée et froide me collait au corps, l'odeur que j'avais dans le nez et le goût dans ma bouche me mettait le cœur au bord des lèvres, et pourtant, l'inconfort de ma cage prouvait que malgré mon écœrement, tout cela m'excitait.

Ce samedi là, comme souvent maintenant, elle m'attacha sur le lit, me bâillonna mais me retira ma cage et sortit. Elle avait tiré la porte, mais ne l'avait pas fermé. Je commençais à me morfondre quand j'entendis la clé dans la porte d'entrée. Elle ne devait pas être partit pendant plus de deux heures et je commençait à espérer que l'aventure avec Marc tirait à sa fin. Les paroles de Françoise me revinrent en mémoire :

Mais tout de suite, mon espoir fut douché. Carole parlait avec quelqu'un et c'est une voix d'homme qui lui répondait. Je compris son stratagème délirant, je hurlais dans mon bâillon et des larmes me vinrent aux yeux. Elle allait baiser avec lui dans notre lit. Elle n'avait pas le droit. On avait en ce moment une vie bizarre, mais c'était notre maison, notre chambre notre lit, même si ça faisait un moment que je n'y avais pas mis les pieds. Je me souviens à peine du reste. C'est comme si un autre que moi était là, attaché sur son lit, à écouter attentivement les bruits qui lui faisaient tant de mal.

Il eut d'abord une musique douce dans laquelle je reconnus les gymnopédies de Satie. Puis la musique changea ...du Clapton...et les bruits de paroles entrecoupés de silence où j'imaginais avec détresse qu'ils s'embrassaient et se caressaient. Des bruits de vaisselle. Ils dînaient. Ils parlaient à voix haute mais je ne parvenais pas à comprendre ce qu'ils disaient

Et puis, ils montèrent dans la chambre.

«Ça me gène un peu pour ton mari »

«Ne t'inquiète pas, il est en voyage »

Un bruits de ceinture, puis des gémissements masculins.

«Il n'y a pas à dire, tu suces bien »

Elle le suçait!!! Cela faisait des années qu'elle n'avait pas fait ça avec moi et je savais qu'elle n'aimait pas ça...enfin, avec moi.

«Arrête, je vais jouir »

«T'as pas intérêt, prends moi »

Et puis le bruit du sommier quand il allait et venait en elle,

«Ça te plaît de te faire baiser salope »

«Tu n'es qu'une putain » «Regarde moi cette chatte, elle n'a qu'une envie, c'est de se faire fourrer »

Il était très expressif quand il baisait. Souvent, elle m'avait reproché mon mutisme. De ce point de vue elle devait être heureuse. Assez vite, je compris aux gémissements précipitées de Carole, quelle allait jouir.

«Non, non, n'arrête pas, continue »

«Je vais jouir chérie...on a tout le temps »

«Oh merde...alors je me finis toute seule »

Ses gémissements crurent jusqu'à l'explosion finale dans un soupir étouffé.

«Attend un peu »

«Vas y »

Et à nouveau les bruits du sommier.

«Tu es vraiment une salope »

«Quand tu n'as pas assez de bite, tu te branle »

«Je devrais te punir pour ça »

«Oui, comment? »

«À coup de ceinture »

Et le cri de bête blessée de Carole quand elle jouit à nouveau.

Cela dura longtemps. Je pleurait à chaudes larmes en les entendant baiser dans la chambre d'à coté. J'entendis Carole jouir encore avec un sourd gémissement avant que Marc ne finisse par réagir.

«Je vais jouir »

«Oui, vas-y, remplis moi »

«Oh putain....oh..... »

C'était un cri de plaisir. Ce mec jouissait dans ma femme. Une question con me m'était venu à l'esprit : Avait-il mis un préservatif? . Mais, ce qu'elle venait de dire ne laissait guère de doute à ce sujet.

Le calme revint dans la chambre. Je les entendais murmurer sans comprendre ce qu'ils disaient.

«Bon allez, je vais me doucher » Le bruit de la douche et Carole nue, adossée au chambranle de la porte en souriant.

«Tu pleures »

«Mmm »

«Mais tu bandes »

«Mmm,Mmm, Mmm »

La douche s'arrêta et Carole partit

Je voulais lui dire que ce qu'elle venait de faire était inacceptable, et que si ça me faisait bander, c'était parce que je l'avais entendu jouir elle. Je n'en étais pas tellement sur moi-même. Marc se rhabilla, embrassa Carole, du moins je le pense au silence qui suivit, et partit.

Carole revint me voir.

«Tu bandes toujours »

Elle ôta mon bâillon et essuya mes larmes avec sa culotte.

«Pourquoi tu as fait ça? »

«Pour que tu saches. Je n'éprouve aucun amour pour Marc. C'est un beau mec et j'ai une profonde amitié pour lui, mais ça s'arrête là. »

«Il t'appelle 'Chérie' »

«Moi aussi, ça n'a rien à voir, on couche ensemble, ça rapproche, mais quand je lui dit 'Chéri' à lui, et 'Chéri' à toi, ça n'a pas le même sens »

je me sentais rasséréné mais j'oubliais qu'elle adorait souffler le chaud et le froid.

«Bon, je vais me doucher, je sens son sperme me couler sur les cuisses »

L'aventure avec Marc finit par se terminer un beau jour. Elle me raconta qu'il s'était fait prendre par sa femme et qu'elle lui avait donné un ultimatum

«C'est elle, ou moi »

Les conditions étaient claires et il rompit avec Carole.

«C'est pas à nous que ça arriverait hein? »

«Non, tu le sais bien, jamais je ne te quitterai...et toi? »

Elle me regarda comme si je venais de prononcer une absurdité, puis son regard redevint sérieux lorsqu'elle répondit.

«Non, moi non plus jamais mon amour, nous jouons ensemble à des jeux qui peuvent prêter à confusion, mais soit certain de mon amour pour toi, quoique tu fasses »

Cette soirée se finit en apothéose, elle me libéra de ma cage et nous fîmes l'amour comme je crois que nous ne l'avions jamais fait. Bien que je sois excité au delà du possible, j'avais appris à prendre mon temps et à l'amener doucement par des préliminaires. Contrairement à ce que je faisais avant, je ne faisais pas ça pour le chauffer rapidement avant de pouvoir la prendre, j'y attachais toute mon attention dans le seul objectif de lui donner du plaisir. Je la fis ainsi jouir sous mes doigts et ma langue et je crois que si elle avait arrêté là, bien que terriblement frustré, j'aurais eu la sensation d'avoir fait l'amour. quand elle me repoussa doucement, et me dit

«Viens »

Je la pénétrais doucement. Elle s'arquait pour venir au devant de mes coups de reins. Je n'allais pas trop vite autant pour le faire attendre, que parce que je sentais le plaisir monter et que je ne voulais surtout pas gâcher cet instant en jouissant trop vite. Elle s'impatienta

«Prends moi merde...Baise moi »

J'accélérai le rythme et il se passa alors quelque chose d'étrange. Malgré mes mois d'abstinence, malgré l'excitation incroyable que je ressentais à la voir ainsi offerte, ses paroles avaient pro- voqué comme un électrochoc et je ne sentais plus dans qu'un vague plaisir diffus tandis que je m'enfonçais en elle.

Comme je l'avais lu, je variais le rythme, non pour me préserver, mais pour accroître son plaisir. Comme à son habitude, elle se caressait le clitoris pendant que j'allais et venais en elle. Elle devint comme folle, gémissant et basculant le tête de gauche à droite et elle ne tarda pas à jouir à nouveau. Je sentis son vagin se contracter tandis qu'elle atteignait l'orgasme. Habituellement, cette sensation, ce chaud subit, ce spectacle aphrodisiaque d'une femme qui jouit, auraient suffit pour me faire exploser, mais pas cette fois.

Je ralenti seulement avec un sentiment d'amour pour ma femme et de fierté pour ma contrôle. Quand elle eu récupéré, elle me lança d'une voix sourde.

«Vas-y, viens en moi mon amour »

Il n'en fallait pas plus pour que j'éjacule à grandes pulsations, ressentant le plus grand orgasme que j'ai jamais ressenti. Un plaisir indicible accompagné d'un amour absolu. Nous restâmes un moment, allongé l'un à coté de l'autre, sans rien dire. Bien que mon excitation soit tombée, je m'émerveillais de l'odeur de ses cheveux, de sa peau, de son corps. Dieu, que j'aimais cette femme.

«Ouahou...j'avais oublié comme ça pouvait être bon »

Je ne répondis rien. J'avais dépassé le sentiment de fierté ressenti un instant. Je venais juste de faire l'amour pour la première fois de ma vie.

Cet épisode trouble s'est passé il y a trois ans. Nous vivons depuis un amour qui, loin d'être idyllique tous les jours, est profond. Nous faisons l'amour à notre rythme, des fois j'ai envie et pas elle, des fois, c'est le contraire... et des fois, nous nous retrouvons.

Françoise est restée une grande amie, une grande sœur.

Je sais qu'elle et Carole ont nouées des liens particuliers mais ni l'une, ni l'autre de m'en ont jamais parlé

Quand j'ai décidé de prendre le taureau par les cornes, et d'aller voir un sexologue, je ne m'attendais pas à ça. Il y eut des moments difficiles, insupportables même parfois, mais le résultat est là. Carole est heureuse comme elle ne le fut pas pendant des années et je suis heureux d'être à coté d'elle.

Si seulement elle enlevait ma cage plus souvent ....

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Magnifique récit. Une immense histoire d'amour. J'ai envié ce mari tout au long de ma lecture. Eten grand fétichiste des pieds j'ai adoréle passagede la enteur des pieds puants de cette épouse et du léchage de son sperme .....

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 4 ans
Ode à l'amour

Ça valait la peine d'attendre la suite. Texte en tout point cohérent et qui met en évidence nos interdits et démontre magnifiquement que le sexe est un formidable ciment pour un couple

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Revolution Chapitre 01 Partie Précédente

Histoires SIMILAIRES

Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
Domination Noire Mme Martin assiste à la déchéance de sa fille...
Le Podologue Piégée par un podologue vicieux.
Une Fille Bien Sage Un couple repousse ses limites dans une session abdl et bdsm.
Châtiment Extrême Séjour forcé au château.
Plus d'histoires