Le Podologue

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Piégée par un podologue vicieux.
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Levisse
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Sur les conseils de mon mari, j'avais pris rendez-vous chez un podologue. Un ami à lui. En plus me précisa-t-il, il vient tout juste d'ouvrir un cabinet à côté de ton bureau. L'idéal pour moi qui ai un emploi du temps très chargé.

Le rendez-vous était prévu le lendemain du jour de ma mésaventure. N'ayant rien de prévu ce jour là en sortant du travail, j'avais prévu de m'habiller relativement sexy, comme j'en ai l'habitude. Mais ce jour là, c'était sans doute écrit, rien ne devait se passer comme prévu. Mon réveil ne sonna pas et c'est mon mari qui m'appela.

Mais j'étais déjà en retard.

Mon patron n'est pas du genre commode et tolère très mal les retards. Mon mari me proposa, gentiment, d'aller vite boire mon café, qu'il m'apporterait mes vêtements à la cuisine. Je n'avais pas le temps de prendre ma douche et me contentais d'un rapide coup de gant sur le visage pour me rafraîchir. Hormis la robe et les bas que j'avais préparé la veille, mon mari m'apporta mes vêtements, et notamment, ma culotte de la veille. Culotte sexy et largement transparente que j'avais déjà portée tout le week-end car nous avions dormi chez des amis. Celle ci sentait déjà très fort, mais je n'avais pas de temps à perdre et m'habillais bien vite avant d'embrasser mon cher et tendre.

Tout au long de la journée l'odeur de ma petite culotte remontait à mes narines et m'inquiétait. Mais il était certain que personne d'autre que moi ne pouvait se rendre compte de cela. Il n'empêche que je languissais mon petit bain de ce soir.

C'est vers 16 h qu'un coup de téléphone m'interloqua. Mon mari me prévenait que le podologue avait un empêchement de dernière minute et ne pouvait pas me prendre le lendemain. En revanche, il s'était mis d'accord avec mon mari et me recevrait le soir même à la sortie de mon travail.

J'essayais d'expliquer à mon mari que je ne m'étais pas préparée pour aujourd'hui, que j'étais en robe, que je n'avais pas pu prendre ma douche, etc..... Mon mari ne voulut rien savoir et me dit simplement que c'était trop tard, qu'il s'était engagé et que de toute façon, je devais lui obéir, comme d'habitude. Et il raccrocha, presque furieux que je puisse le contredire. J'avais l'habitude de cela et savais très bien qu'il valait mieux pour moi ne pas l'énerver.

Que faire? Il était 16 h passée et dans moins d'une heure, je sortais du travail pour être dix minutes plus tard dans le cabinet de ce podologue que je ne connaissais même pas. Pas le temps de rentrer chez moi me laver, me changer. Je me rendis vite aux toilettes pour voire les dégâts.

Je baissais ma culotte et m'assis sur le WC, j'attrapais ma culotte et la retournais pour voir le désastre. Elle était vraiment très sale. Trois jours que je la portais et en comptant 6 à 8 pipis par jour, cela en faisait une vingtaine + 4 ou 5 grosses commissions pas toujours bien essuyés, les traces étaient particulièrement immondes.

Ajoutez à cela le fait que j'ai une forte tendance à connaître des orgasmes solitaires et que je mouille énormément... Inutile de vous dire que la couleur dominante, devant comme derrière, n'était plus du tout le blanc. J'avais honte de moi. Je portais le fin et délicat tissu à mon nez et l'odeur me suffoqua pratiquement. C'était abominable. Je fis mon petit pipi et décidais de prendre un maximum de papier hygiénique pour me nettoyer la vulve et l'anus le mieux possible, mais c'était vraiment très léger...

Je me dis, qu'après tout, si je faisais bien attention en serrant bien mes jambes, j'arriverais à cacher mon intimité secrète aux yeux d'un praticien qui, de toute façon, ne serait certainement pas intéressé par ma lingerie.

C'est donc presque rassurée que je sonnais quelques minutes plus tard à la porte de ce monsieur. C'est lui même qui m'ouvrit, n'ayant visiblement pas de secrétaire. Il me fit patienter seule quelques courts instants dans la salle d'attente où il m'offrit un thé et revint me chercher.

L'homme avait une quarantaine d'année et ne m'inspira pas de crainte particulière. J'écartais de mes pensées la gêne d'être éventuellement découverte par son regard professionnel.

Il me fit asseoir à son bureau et me demanda ce qui m'amenait. Je lui expliquai que la plante de mes pieds me faisait souffrir les jours de grande chaleur notamment.

-Bien, nous allons examiner cela. Passez dans la pièce à côté, retirez vos collants et allez vous installer sur le fauteuil. Mettez-vous à l'aise, détendez-vous, je ne vais vous faire que du bien.

Le fauteuil me fit penser à une table de gynécologie et cela me gêna immédiatement. M'allonger, en robe courte face à cet homme ne pouvait qu'être ambigu. Il allait sans doute s'imaginer des choses à mon égard et peut-être me prendre pour une fille facile.

Il resta près de moi, me regardant retirer mes bas, ce que je trouvais immédiatement indécent. Je montais lentement sur le fauteuil en prenant garde de tenir mes genoux serrés, mais c'était très difficile. Le regard de mon « médecin » paraissait intéressé par mes cuisses blanches.

Dès que je fus allongée, il actionna le fauteuil qui monta et s'inclina. Je me retrouvais la tête largement en dessous du niveau de mes hanches et cette situation me mit immédiatement en position d'infériorité et de soumission.

Je craignais maintenant le pire. Il s'installa sur un siège juste à hauteur de mes pieds. C'était certain, tôt ou tard, il verrait ma culotte. Et il verrait sans doute même qu'elle n'est pas uniformément blanche, mais que le long week-end y avait laissé des traces évidemment peu ragoûtantes. Il était même inévitable qu'il sentirait les odeurs qui ne pourraient pas manquer de remonter de sous ma robe si courte.

Tenir mes jambes serrées. Tel était mon seul objectif.

Il attrapa mon premier pied, le souleva et commença à l'examiner. Puis il essaya de le tourner. Ce geste ne pouvait que me faire entrouvrir les cuisses et découvrir tout en haut de celles ci le léger tissu blanc, transparent, sale et odorant. Je résistai donc et sa réaction fut, à ma grande stupéfaction, violente.

- Laissez-vous faire si vous voulez que je vous soigne.

-

L'ordre était suffisamment ferme (comme le faisait mon mari) pour que je comprenne que toute résistance était vaine. D'autre part, je pensais que mon manège avait déjà été démasqué et qu'il avait compris que je souhaitais me cacher à son regard indiscret. Je connais suffisamment les hommes pour savoir que cela ne peut que les exciter davantage. Ma maladresse allait de toute évidence avoir l'effet inverse de celui escompté. Il allait certainement se jouer de ma résistance et de ma pudeur et prendre un malin plaisir à me regarder sous toutes les coutures possibles.

Ma gêne me tétanisait désormais. Il saisit mon pied encore plus fermement et le fit longuement pivoter pour l'examiner. Mais je sentais parfaitement mon entre jambe s'ouvrir et l'air frais pénétrer jusqu'à mon pubis. Je ne voyais pas son visage et ne savais pas s'il regardait mon pied ou autre chose. J'étais rouge de honte. L'examen me parut durer une heure, une éternité. Il prenait un pied, puis l'autre, puis revenait au premier et écartais chaque fois davantage mes jambes. Il ne disait rien. Pour moi, le doute n'était plus permis, la chose qu'il examinait était bel et bien ma toute petite culotte blanche... sale... et odorante.

Je commençais à m'affoler et à penser que ces intentions allaient peut-être carrément tourner au viol. Je paniquais complètement. Mais paradoxalement, une sensation étrange commençait à me gagner. Mêlé à une petite envie de faire pipi (le thé faisait son effet), je ne pouvais retenir un picotement honteux, mais ô combien, agréable.

Au bout de quelques minutes de ce petit jeu, je sentis nettement ma petite chatte s'humidifier. Ce que cet inconnu découvrait sous ma jupe l'excitait forcément. Cette idée ne pouvait que m'exciter aussi. L'idée que très bientôt, une nouvelle petite tache humide pourrait apparaître dans le fonds de ma culotte et ainsi dévoiler mes sentiments secrets m'affolait... et m'excitait encore plus.

Je fus rassuré lorsqu'il m'annonça enfin qu'il pensait savoir de quoi je souffrais et allait me donner le traitement adéquat.

- Vous pouvez vous rhabiller.

Ouf, pensais-je. Je suis sauvée. Et tant pis pour lui s'il a vu des horreurs.

Vite me rhabiller, prendre mon ordonnance, payer et m'en aller pour oublier rapidement cette mésaventure. Et surtout, vite prendre une douche et ce soir, jouir dans les bras de mon mari en repensant à cette après midi très sensuelle, finalement.

Je revins m'asseoir face à cet homme, vicieux certes, mais pas si méchant que cela. Il tapait sur son ordinateur. J'attendis quelques minutes en silence. Puis le téléphone sonna. Il décrocha, parla un temps, puis s'excusa auprès de moi.

- Pouvez-vous s'il vous plait, aller attendre à côté. Détendez-vous, prenez un livre, ce ne sera pas très long.

J'étais seule et l'attente dura plusieurs minutes. Le thé faisant son effet, c'est maintenant une très grosse envie d'uriner qui commençait à me tirailler. C'était là l'un de mes défauts, dont mon mari se jouait souvent, je ne pouvais pas me retenir longtemps. Il m'appelait d'ailleurs couramment (et pas gentiment) la pisseuse. Lors de nos jeux sexuels, il lui arrivait fréquemment de me forcer à me retenir, puis, lorsque la rétention devenait impossible, il me faisait faire dans des lieux et des positions incongrus sous son regard vicieux. Cela me gênait atrocement, mais déclenchait néanmoins en moi immédiatement un sentiment de soumission extrêmement jouissif.

Lorsque le podologue revint me chercher, je ne pouvais plus tenir.

-Où sont les toilettes, s'il vous plait?

-Je suis désolé, mais je viens juste d'emménager et les toilettes ne sont encore pas installées. Si vous voulez, j'ai installé une cuvette dans cette pièce. Ne vous inquiétez pas, je la viderai après.

Faire pipi dans une cuvette, dans un WC pas aménagé et laisser à cet inconnu mes cochonneries? Pouvais-je faire cela? Je voulais refuser, mais l'envie était tenace. Je ne compris pas le piège ignoble qui m'était tendu. Je me dirigeais vers le local en assurant l'homme que cela n'avait pas d'importance.

C'était un vrai WC entièrement aménagé avec le dérouleur de papier, etc.. Sauf que le trône était simplement posé au sol et pas raccordé. A côté se trouvait une cuvette. Parfaitement propre.

J'hésitais encore une seconde. Laisser là dans cette cuvette mon pipi odorant et le bout de papier avec lequel j'aurai essuyé mes lèvres vaginales sales à cet homme, inconnu, n'était pas raisonnable du tout. Mais je n'avais pas le choix et même si j'avais pu me retenir, il n'aurait pas compris que je n'ai pas fait alors que j'avais, soi-disant, une grosse envie.

Après avoir fermé la porte à clé pour ne pas risquer d'être surprise par mon docteur vicieux, je baissais ma jolie culotte sur mes genoux et m'accroupis tranquillement au dessus de la bassine. Je dus relever ma jupe pour voir ce que je faisais et bien viser la cuvette. Il n'était pas pensable que je fasse couler quelques gouttes à côté. J'écartais largement mes lèvres intimes avec deux doigts pour bien diriger le jet vers le centre de la cuvette.

Le pipi ne tarda pas à couler, d'abord doucement, puis à gros bouillons. Un pipi bien jaune et très odorant. Vraiment, c'était très gênant de savoir que cet homme allait voir et sentir ce qui était pratiquement mes sécrétions les plus intimes.

Heureusement, je n'avais pas envie de faire autre chose. Quoique? Non, je ne pouvais pas faire cela. Me retenir était indispensable. Mais rien que d'y penser, j'avais vraiment l'impression d'avoir une grosse envie de faire aussi un petit caca. C'était une angoisse terrible.

Le chaud liquide avait fini de s'écouler de moi. Vite, quitter ce lieu et rentrer chez moi faire tous mes petits besoins tranquillement, dans mon WC. J'avais chaud, j'avais honte, je devais être rouge comme une pivoine.

Je fis tourner le dérouleur de papier hygiénique. Horreur. Cauchemar. Il était vide.

Je regardais partout autour de moi. Rien. Pas un rouleau ne traînait dans la pièce.

Ma tête se vidait soudain. Je ne pouvais plus penser, plus réfléchir. Je restais inerte, interloquée, dans cette position si inconfortable, accroupie, culotte sur les genoux, cuisses grandes ouvertes...

Que faire? Mon sexe était trempé.

Trempé du gros pipi, mais aussi des pensées coquines de tout à l'heure. Je ne pouvais pas rester ainsi des heures. Il fallait que je sorte. J'ouvris mon sac à main dans l'espoir d'y trouver au moins un petit mouchoir. Mais rien.

Je tentais d'égoutter mes lèvres mais, si une petite goutte tomba bien, je sentais que ma chatte était détrempée. Pire, encore : en soulevant ma robe, je vis se détacher de ma chatte gluante une longue larme de mes liquides intimes qui descendait jusque dans le pipi au fonds de la cuvette. J'eus beau me secouer au dessus de mon trône, la longue coulée gluante ne voulait pas se détacher de moi.

C'était écœurant!..

Je ne pouvais pas rester comme cela. Mais que faire? Remonter ma culotte sur mon sexe si humide? Quelle horreur!

Je pris soudain une décision folle et que je devais ensuite amèrement regretter; je quittais ma culotte, pris le fonds de celle-ci (seul endroit un peu doublé) puis, écartant largement mes cuisses, j'essuyais profondément mon sexe, recommençant plusieurs fois ce geste parfaitement dégoûtant (je le sentais bien, mais n'avais pas d'autre choix) afin de m'assécher complètement.

Lorsque tout fut terminé, je laissais retomber ma jupe sur mes jambes et mon sexe nus. Mais cela n'avait pas une grande importance car je n'avais plus qu'à prendre mon ordonnance, payer et rentrer chez moi.

Personne ne saurait que j'étais sans culotte.

Je pliai soigneusement le fin tissu sale et fortement mouillé et le fis glisser au fonds de mon sac à main. Je revins dans le cabinet, laissant ma cuvette immonde, et rejoins mon cher médecin.

Il tapotait toujours sur son ordi..

Je m'assis face à lui, sentant le contact du siège sous mes fesses dénudés. Cela m'excita à nouveau. Etre là, cul nu, face à cet homme, inconnu, qui ne savait rien (du moins, le pensais-je)!... Quel délice, quel fantasme!

L'homme releva enfin son nez et ce qu'il me dit me tétanisa :

-J'ai vu que vous aviez une petite mycose à un doigt de pied. J'ai un produit ici. Je vais vous en mettre tout de suite.

-Je, heu,... Si vous voulez, je, heu,... je le ferai chez moi, répondis-je, soudain très inquiète.

-Ne soyez pas bête. J'en ai pour deux secondes, dit-il sur un ton péremptoire. Allez-vous réinstaller sur le siège, j'arrive tout de suite. Et quittez vos bas, bien sûr.

Je ne pouvais pas faire cela. Il ne manquerait pas de découvrir ma nudité. Lorsqu'il prendrait mon pied comme tout à l'heure, obligatoirement, il verrait mon sexe déculotté.

Et là, nul doute que je passerai à la casserole. Jamais, je ne pourrais me justifier.

- Je n'ai pas le temps, il faut que je rentre, murmurai-je.

- Non, vous allez obéir. Et vite, si vous ne voulez pas que je me fâche.

Je connaissais ce ton. Mon mari l'employait couramment. J'étais du genre soumise, sexuellement comme dans la vie courante. Il m'avait appris à ne prendre mon plaisir que dans l'obéissance, la soumission, la honte, l'humiliation. Nul doute que ce scénario lui aurait particulièrement plu. Il en inventait souvent de semblables dans ses jeux érotiques.

Je me sentais définitivement piégée et savais que rien n'empêcherait désormais cet homme de profiter de moi physiquement. Un seul espoir désormais : que mon mari ne sache rien de ma mésaventure. Donc, surtout, qu'il ne découvre pas ma culotte dans mon sac à main ni dans la panière à linge.

Je renonçais à résister à cet homme beaucoup plus fort que moi. Je me rendis donc très lentement dans la pièce à côté pour subir mon infamie. Je quittais mes bas et m'installai sur la chaise aux supplices. Je me dis que peut-être cette fois ci, je parviendrai à serrer suffisamment mes jambes pour qu'il ne voie rien, mais mon espoir était bien mince.

J'attendis plusieurs minutes interminables. Je l'entendais se déplacer dans l'autre pièce. Que pouvait-il bien faire? Y aurait-il un miracle de dernière minute? Peut-être ne trouvait-il pas son fameux produit? Pouvais-je me relever, lui demander si je pouvais revenir, partir? Je n'osais pas. Et quelque part en moi, quelque chose aurait regretté qu'au point où j'en étais, il ne se passe rien.

Je souhaitais secrètement subir ma punition. Cela m'excitait, même si je refusais de l'admettre.

L'homme entra enfin dans la pièce. Il s'installa à sa place habituelle et releva mon fauteuil, encore plus que tout à l'heure. J'attendais la suite, avec désespoir. Plus rien ne pouvait me sauver. Il saisit mon pied et tout doucement le fit tourner. Je résistais désespérément, mais il se fit violent. Mon pied tourna et mes cuisses s'ouvraient lentement, très lentement. Il semblait prendre plaisir à mon supplice et ralentissait au maximum ses gestes.

Dans une seconde, certainement, il découvrirait mon triangle doré tout en haut de mes cuisses. Il tournait et retournait mon pied, prenait l'autre et ne disait rien. Je me doutais qu'il voyait, mais je ne savais pas réellement.

Se pouvait-il qu'il ne voie pas mon cul libre de toute protection? Ou bien qu'il se contente de mâter sans rien dire et surtout sans me toucher. Je reprenais espoir. Un simple voyeur peut-être.

Il leva encore davantage mon pied (toujours sans me soigner, d'ailleurs), plia encore ma jambe, écartant toujours plus mon entrejambe. Ma jupe se releva soudain sur mes cuisses.

Je sentais l'air frais sur ma vulve. A la pensée de ce qu'il devait obligatoirement voire maintenant, un début d'orgasme me transperça. Ma chatte s'ouvrait largement et recommençait à couler, je le sentais nettement.

-Comment allez-vous justifier que vous ayez retiré votre culotte?

Je tressaillis au son de sa voix. Que pouvais-je répondre? La situation était, pour moi, cauchemardesque. Et pour lui, sans aucun doute, jouissive au plus haut point. Lui dire la vérité, qu'il n'y avait pas de papier toilette et que je m'étais essuyée avec ma culotte et que je ne pouvais pas la garder sur moi sur moi vue sa saleté, désormais? C'était inimaginable.

Jamais de toute ma vie, je n'avais connu pareille honte. J'étais là, devant un inconnu, les jambes écartées, la vulve nue, ouverte et offerte, dégoulinante d'une jouissance honteuse que je ne parvenais pas à maîtriser.

Si j'avais été certaine des intentions de l'homme, si j'étais sûre qu'il voulait me baiser, j'aurai été plus tranquille. Mais là, ma situation était atroce. Je passais de toute évidence pour une fieffée salope.

-Tu sais, je connais très bien ton mari. Je ne pense pas que ce comportement de ta part lui fasse plaisir. Voudrais-tu que je lui raconte comment tu t'exhibes devant des inconnus?

-Oh, non, je vous en prie, ne faites pas ça. Ce n'est pas ma faute, je ne savais pas que vous alliez me réexaminer.

-Tes explications ne me convaincront pas. Premièrement, tu te fais examiner les pieds avec une robe si courte que je ne pouvais que voir dessous. Deuxièmement, ta culotte, justement, est très sale et son odeur m'a immédiatement sauté au nez. Troisièmement, après l'examen, tu ne trouves rien de mieux que de carrément l'enlever et te présenter de nouveau devant moi, les fesses à l'air. Il ne fait aucun doute que tu réalisais là un fantasme. Enfin, tu te laisses admirer la chatte, grande ouverte par un inconnu. Si ça, c'est pas être salope, alors, je n'y connais rien. D'autant que je vois ton manège : tu commences à gémir sous mon regard et ta chatte s'humidifie à vue d'œil, sans même que je te touche.

-Mais vous m'avez obligée, dis-je en sanglotant, tandis qu'il me maintenait toujours les jambes écartées. Je n'avais pas rendez-vous aujourd'hui. Et il n'y avait pas de papier...

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