Révolte 03: Nabilla

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Inutile de préciser que Nabilla compte bien tout faire pour éviter un nouveau viol.

Mais elle n'a pas le temps de trop pensé, en tirant sur la laisse, le chef lui fait comprendre qu'il faut qu'elle avance. La jeune marocaine de dix-neuf ans obtempère, elle se met à avancer, en geignant de douleur à chaque mouvement. Laissant une traînée de sperme rosée derrière elle. Ils l'emmènent au bureau de la directrice. Nabilla comprend que la patronne de la prison à prit son temps, mais qu'elle s'est vengée de son refus. Les rumeurs étaient donc malheureusement vrai. Le chef frappe à la porte.

- Entrez.

La directrice est à son bureau, elle sourit quand Nabilla entre dedans à quatre pattes. Les trois gardiens sont allé bien au-delà de ses espérances les plus folles. Rien qu'a voir le visage atrocement tuméfié de la fille, elle comprend qu'elle a vécu un véritable calvaire. Nabilla reconnaît aux côtés de la directrice, Flora, une jeune espagnole qui a à peine six mois de plus qu'elle. Elles ont un peu parlé pendant les repas. Flora vient de prendre quinze ans de prison, pour possession de drogue. Deux doses de cocaïne ont suffit pour lui valoir une peine pareille. La jeune espagnole prétend qu'elle a été piégée. D'une, elle n'avait rien acheté, elle ne se drogue pas, de deux, on ne prend pas autant de prison pour si peu. Nabilla a eut tendances à la croire. Un an auparavant, le quartier femme, était vide pour un tiers. En moins de deux mois, il fut remplit à cent-cinquante pour cent. La plupart pour des peines bien au delà de leurs fautes. Quand on sait que les juges touchent un pourcentage sur ce que gagne la prison pour chaque prisonnier, il n'est pas difficile de penser qu'il y a un lien.Une prise de position, un conflit d'intérêt, un délit d'initié, appelé le comme vous le voulez, mais tout cela n'est pas innocent. Surtout que toutes ces nouvelles condamnées, n'ont aucune famille où sont issue de pays pauvres. Tant que l'on est étranger, c'est ici que l'on vient.

Nabilla voit que Flora est nue, pas difficile de comprendre qu'elle est devenue la nouvelle petite amie de la directrice. D'ailleurs cette dernière regarde son amante.

- Va m'attendre dans mes appartements, cette nuit on dort ensemble.

- Bien maîtresse.

Baissant la tête, sans un regard pour Nabilla, la jeune espagnole de vingt ans quitte la pièce.

Les trois gardiens regardent la directrice. Elle a cinquante ans. C'est une femme encore magnifique. Blonde, bien que ses cheveux tendent au gris, des petites lunettes rectangulaire, lui donnant un air de secrétaire salope. Bien qu'elle commence à prendre un peu de poids, elle est encore assez mince. Elle a de gros seins, du 95 d, et un cul un peu large, mais terriblement bandant. Les trois gardiens se disent qu'ils la baiseraient de bon cœur elle aussi, tant c'est une belle femme. En plus elle en impose vraiment. Une aura naturelle lui donne l'autorité et le respect d'emblée de ses interlocuteurs nécessaire à son poste. Elle a d'ailleurs fait muter la plupart des gardiens présent au moment de sa prise de poste. Pour les remplacer par une majorité de femme, jeune, belle et blanche. Soixante pour-cent pour être exact. Le reste étant les gardiens black les plus sadiques qu'elle est put trouver. Le chef et ses deux adjoints, sont les derniers de l'ancienne équipe. C'est sûrement les plus pervers de tout le pays. Même si de toutes façon, elle les auraient gardés pour leurs performances, elle en a été obligé par le fait que le chef, est un ami d'enfance, d'un général influent dans le pays.

- Beau travail messieurs, comme d'habitude vous ne m'avez pas déçu.

- Merci, boss.

Puis l'attention de Marijke se reporte sur Nabilla, toujours à quatre pattes.

- Toi, la petite pute, tu as compris la leçon, j'espère?

- Oui, madame...

Nabilla, toujours en pleure, a répondu d'une voix à peine audible.

- Bien, je vois que tu viens de salir le sol de mon bureau. Nettoie, avec la langue!

Nabilla voit qu'une petite flaque de sperme s'est formée sous elle. La jeune marocaine obtempère, c'est beaucoup mieux que se faire violer. Elle se recule, fait quelques pas en arrière, puis elle lape la flaque de sperme, la nettoyant entièrement. La directrice, qui vient de faire l'amour avec Flora, en remouille immédiatement. Une fois que le sol est propre, elle appelle la jeune fille.

- Nabilla, viens vers moi, toujours à quatre pattes.

Humiliée, la jeune fille obéit. Elle s'arrête devant la directrice. Cette dernière lui caresse les cheveux.

- Bien, tu es une bonne chienne.

Marijke relève sa jupe, dévoilant un sexe glabre, sans culotte. Elle écarte les cuisses.

- Viens me lécher!

Nabilla enfonce sa tête entre les cuisses de la directrice sadique. La faisant gémir de plaisir, quand la langue de la jeune fille touche son sexe.

Pendant une heure, Nabilla a dut lécher le sexe de Marijke, se faisant éclabousser le visage de cyprine. Mais même si pour elle, totalement hétérosexuelle, cette relation lesbienne est très difficile, c'est beaucoup moins dur qu'un viol. Elle donnera cinq orgasmes à la directrice. Une fois qu'elle en a marre, Marijke repousse la tête de Nabilla. Le chef reprend la laisse de la marocaine, et la tire en arrière. Marijke regarde les trois gardiens.

- Elle est à vous. Mettez-là dans la petite chambre qui se trouve dans la salle de repos des gardiens.

- Pitié, madame...

Le chef tire violemment la laisse de la fille, la faisant crier de douleur. Nabilla comprend qu'elle ferait mieux de se taire. La directrice reprend.

- Vous l'avez à votre entière disposition. Vous pouvez l'offrir aussi aux prisonnier méritant et aux caïds qui assure la paix de la prison. Pas de contraceptif. Quand elle accouche, vous vendez l'enfant par le moyen habituel. Il aura une vie prospère en Europe faisant le bonheur d'un couple riche.

- Bien madame.

Les trois gardiens font demi-tour, avec une Nabilla horrifiée par ce qu'elle vient d'entendre. Le reste de sa vie ne sera plus qu'un enfer total.

- Au faîtes gardien-chef, le médecin à fait une fausse déclaration de décès, vous pouvez user d'elle autant que vous le voulez, et lui faire tout ce qu'il vous passera par la tête.

- Merci madame.

Nabilla est transformée en putain. Pendant des années, gardiens comme prisonnier lui passe sur le corps à longueur de journée. Elle n'a que six heures de repos, plus une pour les repas et la douche, pendant dix-sept heures, tout n'est que viol pour elle. Quand la révolution éclate huit ans plus tard, le chef prendra le pouvoir dans la prison, le nouveau président lui offrant le poste de directeur, et nationalisera la prison privé. Prisonnières et gardiennes étrangères seront violées et transformée en putain pour les soldats et le peuple. Même la directrice et le personnel de santé. Puis la prison sera un des lieux où seront enfermée les étrangères victime de la révolution.

Nabilla à eut six enfants, qu'elle n'a jamais vu. C'est le jour de son vingt-septième anniversaire. Le chef l'a réveillée comme tout les matins depuis son premier viol. Seulement, aujourd'hui, il la conduit dans une grande tente, érigée dans la cours, où se trouvent une cinquantaine de lit vide. Le gardien-chef est là. Il ne se lasse pas de la marocaine, qui a maintenant vingt-sept ans, et qui malgré l'enfer qu'elle vie, est toujours une vrai splendeur au corps de rêve. Souvent elle doit partager sa couche d'ailleurs. Nabilla le regarde, pleine d'incompréhension.

- C'est ton anniversaire, j'ai une surprise pour toi.

Nabilla ne répond pas, se demandant quelle infamie sexuelle, il a bien put encore inventé. Puis quand sa surprise arrive, Nabilla s'écroule au sol, a genoux, hurlant, se tenant la tête entre ses mains. Sa mère, ses sœurs, ses tantes, ses nièces, toutes sont là, escortés par des soldats. Même la plus jeune de ses sœurs, qui a eut dix-huit ans quelques jours plus tôt, qui est tout juste majeur, est là. Toutes sont nues, elle comprend immédiatement aux traces de spermes qui souillent leurs corps, qu'elles ont vécu la même chose qu'elle. Le chef s'agenouille à sa hauteur.

- Le gouvernement va ériger une grosse base militaire, ainsi qu'une ville nouvelle ici. Il faudra nombre de vide-couilles, d'abord pour les ouvriers qui construiront tout cela, puis pour les soldats et les civils. Ils ont peur que les putes emprisonnées ici ne soient pas assez nombreuses, alors ils ont envoyé des renforts. J'ai personnellement demandé que ta famille complète soit ici. Tu as de la chance, il n'en manque aucun, et toutes sont majeurs. Je te promets qu'elles subiront toutes la même chose que toi!

A ces mots, Nabilla s'évanouit, elle se réveillera quelques instants plus tard, quand le chef l'enculera. La tente est emplit de hurlements. Celui de la famille de la jeune marocaine, toutes violées par des soldats. Inutile de vous dire que leurs enfer à toutes sera sans fin...

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
très bon texte

Très bon récit, bien écrit, avec beaucoup de détails

Dommage que la partie avec sa famille soit si courte ...

Merci pour ton travail

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