Révolte 03: Nabilla

Informations sur Récit
L'enfer d'une jeune prisonnière juste avant la révolution.
8.4k mots
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3

Partie 3 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/22/2018
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L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à

toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

Marijke VanDebenne , belle hollandaise quinquagénaire est la directrice de la prison privé de très haute sécurité de Anabia. La prison est située en plein désert, à cent kilomètres de la ville la plus proche. Une véritable armée la garde. Il faut dire que cette prison contient tout ce qu'il se fait de pire en matière d'humanité. Tueurs en série, serial-violeurs, sadique, pervers en tout genre, ayant tous plusieurs meurtres horrible sur le dos. Dix mille des pire criminels que la terre puisse compter. D'ailleurs, des criminels de tout les pays séjournent ici. Cette prison est à la pointe du progrès en matière de sécurité. Inviolable, il est impossible de s'en échapper. Sol en béton armé, mur en titane. Filet électrifié anti-évasion. On y trouve aussi la prison pour femmes étrangères d'Anglefrique. Toutes les condamnées, même pour des petits délits, non originaire d'Anglefrique séjournent ici. Cinq mille prisonnières. Tout ce beau monde, hommes comme femmes sous la surveillance de gardes surentraînés et sur-armés, une véritable armée de deux mille cinq-cents hommes. Marijke dirige tout ce beau monde d'une main de fer depuis dix ans. Sans aucune pitié, avec une dureté exemplaire. Le tout pour un salaire énorme. Ce qui lui a fais quitter la direction de la prison de Washington pour venir ici.

Le salaire, puis aussi la perte de l'amour de sa vie. Maggy La seule personne qu'elle n'ai jamais aimée. Elles se sont mit ensemble à l'âge de quatorze ans, pour ne plus jamais se quitter depuis. Maggy étant américaine, Marijke à put obtenir la fameuse carte verte lui permettant de travailler aux USA. Comme gardienne de prison d'abord, gravissant ensuite les échelons, jusque au poste de directrice. Jamais aucun objet n'est rentré dans le corps de Marijke. Même pas un gode en plastique. Contrairement à Maggy qui aimait bien les godes ceintures en elle, la directrice est une lesbienne pure et dure, une totale, une intégrale. Depuis seule certaines de ses prisonnières lui tiennent compagnie. Aucune ou très peu refusent sa couche. Toutes savent ce qu'il en coûte de la lui refuser. Mais aussi et surtout ce qu'il en rapporte en acceptant.

Nabilla à dix-huit ans aujourd'hui. C'est une jeune et splendide marocaine. Sosie de la célébrité du même nom. Sauf que ses seins à elle sont vrai, et plus gros. Un mètre soixante-cinq, un magnifique soixante-quine E de tour de poitrine. Son buste de soixante-quinze centimètres est à peine plus gros que celui d'une enfant de six ans. Je vous laisse imaginer l'effet qu'on sur les hommes ses seins énormes par rapport à son buste. Et surtout une chute de reins magnifique, avec un petit cul ferme, bien rond et bombé. Depuis qu'elle a douze ans, elle tenait un blog mode, pour les jeune filles de son âge : « Sexy sans être vulgaire ». Un blog qui à atteint près de un milliard d'abonnés dans le monde. Beaucoup de jeunes filles, certes, mais aussi beaucoup de pervers. L'argent coule à flot. A quinze, comme cela est autorisé pour les étrangers, elle passe son permis. Nabilla prends son appartement seule. Gérant elle-même sa fortune, même si la jeune fille gâte ses parents et ses 6 sœurs, deux sont plus vieille qu'elle, quatre plus jeune, la dernière ayant fêter son anniversaire quelques jours avant le dix-huitième anniversaire de Nabilla. Ainsi que ses quatre tantes et ses vingt nièces. Une famille de filles, chose courante en Anglefrique, même pour les étrangers y vivant. Puis le truc idiot gâche tout. En rentrant de soirée, elle reçoit un SMS. De son fiancé. Attention, ils sont chaste, ils se sont promis de ne coucher ensemble que pour la nuit de noce. Comme une idiote, elle l'ouvre. Aujourd'hui, Nabilla se dit qu'elle aurait dut prendre un chauffeur. Mais elle aime tellement conduire. Alors, à cinquante kilomètres heures, à trois heures du matin, dans les rues déserte de Angla, la capitale de l'Anglefrique où elle vit. La jeune fille ne voit pas le couple de vieux. C'est l'accident, sa grosse berline envoyant valser le couple. Nabilla s'arrête, hésite, puis voyant les deux corps mort, elle s'enfuie. Surtout qu'elle a prit un petit raccourci.

Hélas pour elle, la rue est truffée de caméra. La police anti-drogue est sur le coup de dealer qui sévissent dans le coin. Ils filmeront l'accident. Mais aussi son visage, sa plaque d'immatriculation. Tout y est. Les résultats de l'autopsie sont encore pire. Le couple à agonisé deux heures. Si elle avait appelée les secours, ils seraient sûrement encore en vie. Les caméras filmant en automatique, aucun policier ne visionnera les images avant huit heures le lendemain.

Nabilla sera arrêtée deux heures plus tard, à son lycée. Elle prend le meilleur avocat du pays, mais ce dernier est pessimiste. Il lui évitera la peine de mort, et peut-être la prison à vie. Mais il n'obtiendras pas mieux que vingt ans incompressible. Mais Nabilla à de la chance. C'est le procureur général qui a pris l'affaire. Une autre tombe, impliquant des personnes encore plus célèbres. Un groupe de chanteurs seraient responsable du viol et du meurtre d'une groupie de vingt ans. Il décide de se concentrer là-dessus. Les deux vieux n'ayant aucune famille, ni plus aucun ami de vivant, il n'y aura pas de remous de ce côté. Il lui propose un plaider-coupable. Dix ans ferme, avec remise de peine, mais sans visites. Avec les remises obligatoire, elle ne fera que huit ans. Sept si elle obtient la bonne conduite. Elle pourra demander la libération-conditionnelle. Le ministère public s'engage à ne pas s'y opposer, et même de le défendre si elle ne fait aucun remous. Son avocat lui conseille d'accepter. Il n'obtiendra pas mieux en procès. Le jury sera composé d'anglefricains qui déteste les étrangers qui exploitent les richesses de leurs pays. Même si elle est maghrébine et non européenne. Nabilla accepte. Moins de un an plus tard, tout le monde l'aura oubliée. D'autres blogueuses prenant sa place.

L'affaire des musiciens faisant la une, on ne parle peu de la condamnation de Nabilla. Mais sa célébrité joueront pour elle. Fille de bonne famille, personnalité connue. Elle ne subira pas les humiliations, voir les viols de ses codétenues. Tant qu'elle reste à l'écart des autres... La directrice, consciente de la personnalité effacée de la victime, la met dans un cellule seule pour plus de sécurité. Surtout elle mettrait bien ce canon dans son lit. Mais quinze ans, c'est trop jeune, même pour elle.

Pendant trois ans, tout ce passe sans incidents. Elle est coupée des autres, faisant ses promenades seule. Il n'y a que pour les douches et les repas que la jeune fille est mêlée aux autres détenues, qui la laisse tranquille. La jeune marocaine apprends tout ce qu'elle sait sur la prison en écoutant les autres lors des repas. Mais Nabilla préfère la solitude. Comme toutes les filles, elle a droit seulement le jour de son anniversaire à deux douche seule. Puis un petit incident arrive le jour de ses dix-huit ans. Elle est convoquée par Marijke VanDebenne. Trois gardes la conduisent au bureau de la directrice. Marijke regarde cette splendeur pratiquement avec la bave aux lèvres. Nabilla à enfin l'âge pour partager sa couche. Bien entendu, la jeune fille refuse. D'abord elle ne perdra son pucelage avec un homme que pour sa nuit de noces, même si son précédent fiancé l'a quittée, elle en trouvera bien un autre à sa sortie. Quitte à changer de pays.

Nabilla s'est attendu à des représailles de la part de la directrice pendant plusieurs semaines. Mais il n'y a rien eut. Il serait donc possible que les rumeurs sur Marijke soit infondée pense Nabilla. Le jour de ses dix-neuf ans, la jeune fille est heureuse. Elle va pouvoir prendre une douche seule. Le matin et le soir. Privilège sacré, n'arrivant qu'une fois par an. C'est le gardien-chef de la prison pour femme qui vient la chercher. Nabilla n'est pas étonnée que ce soit un homme qui soit là, en effet, en Anglefrique, les gardiens hommes s'occupent des prisonnières femmes, autant que les gardiens de sexe féminin. Arrivé devant la salle des douches, il lui donne une serviette propre, un rechange et son gel-douche.

Nabilla se déshabille lentement, elle a droit à une heure de douche. Alors elle fait durer le temps. Elle n'a pas besoin de se raser les jambes, elle l'a fait la veille, tout comme son sexe, qu'elle a soigneusement rasé. Ça lui fais bizarre de voir la grande pièce des douches vides. Elle en choisit une au milieu. Elle fait couler l'eau. Comme elle est seule, l'eau reste chaude. Cela fais du bien. Une fois bien mouillée, Nabilla savonne son corps. Commençant toujours par ses gros seins fermes. Ils défient toutes les lois de l'apesanteur en tenant droit tout seul. Ses larges aréoles brune contraste avec sa peau bronzée. Ses mamelons deviennent dur sous ses gestes doux pour se laver. Elle frotte de partout, dans le silence le plus complet. Puis elle remet l'eau, faisant partir le savon. Il lui reste du temps. Vingt minutes pour être exact. Elle le voit sur le grand compteur. En effet, les douches d'ordinaire ne doivent pas durer plus de quinze minutes. Comme c'est des femmes, elles ont droit à une douche par jour. Contre une tout les trois jours pour les hommes.

Nabilla ferme les yeux quand l'eau coule sur son corps. La jeune femme tourne le dos à la porte. Elle est bien, elle est enfin majeur, adulte. Sa famille lui manque, surtout Nadia, qui ne doit déjà plus être l'enfant qu'elle était naguère.

- Tu es vraiment canon. J'adore ton cul de pute!

Nabilla sursaute, elle se retourne prestement, cachant ses seins et son bas-ventre à l'aide de ses mains.

Elle est horrifiée, c'est le gardien-chef et deux de ses adjoints. Ils sont nus, le sexe dressé. Chacun tien une matraque à la main. La jeune femme recule, jusque à atteindre le mur. Les trois hommes avancent. Un des adjoints éteint l'eau de la douche qu'utilisée Nabilla en passant devant.

- Ton corps de chienne m'as toujours fais bandé. Jeune ou pas je t'aurais défoncer sans attendre ta majorité. Mais la directrice n'a pas voulut, dix-neuf ans minimum pour te baiser. Tu es une privilégiée, pour les autres c'est dix-huit ans!

C'est le gardien-chef qui parle.

- Mais ne t'en fais pas, on va rattraper le temps perdu tout les deux. Enfin, tout les quatre. On a la permission jusque à dix-huit heures, et plus si affinités, il nous reste donc au minimum neuf heures de fête!

Nabilla est terrorisée, elle sait qu'elle va y passer, elle ne peut rien faire contre trois hommes comme eux. Elle tente le coup quand même, elle s'élance en avant, espérant atteindre la porte en évitant les trois hommes. Mais le gardien-chef n'a qu'à jeter sa matraque avant qu'elle n'est atteint ne serait-ce que sa hauteur. Le lancer est habile, il frappe Nabilla aux genoux, qui s'écroule sur le sol en hurlant. Son front frappe le sol, l'étourdissant quelques secondes. Largement le temps qu'il ne leur faut pour se jeter sur elle.

Le gardien-chef est un homme laid, méchant, gros. Son premier adjoint est grand et sec, son visage est défiguré par une brûlure faites pendant l'enfance. Le dernier est petit, il fait la même taille que Nabilla, mais il la bat largement en méchanceté et sadisme. Néanmoins, malgré son surpoids, le gardien-chef se laisse tomber sur Nabilla avec une agilité insoupçonnable. Les deux autres gardien la maintienne au sol, en lui tenant chacun un bras. Le grand lui met la main devant la bouche pour atténuer ses cris. Le gros gardien-chef s'agenouille entre les jambes de la jeune marocaine de dix-neuf ans. Son gland viens buter contre l'entrée du ventre de la pauvresse. Nabilla hurle, se débat, mais rien n'y fait. D'une ils sont trop fort, et de deux, personne ne viendra l'aidée, les douches sont insonorisée.

Il crache sur son gland. Se sera la seule lubrification auquel aura droit la malheureuse. Il frotte sa bitte contre les lèvres intimes de la jeunette. Nabilla grogne, se débat encore plus fort, en vain.

- Fais la sauvage, petite pute, moi ça m'excite!

Et c'est vrai, les cris, les suppliques, la résistance d'une victime excite encore plus son violeur. Il fait avancer son gland dans la vulve de la fille. Nabilla crie quand le sexe masculin touche son hymen.

- Merde, les gars, c'est le paradis, cette petite chienne est vierge!

Le gros gardien-chef n'a jamais eus une pucelle. Sa femme avait déjà plusieurs kilomètres au compteur quand il l'a rencontrée. Alors il va profiter de celle-ci. Surtout que jamais il n'a baisé une telle beauté, ni une fille aussi célèbre d'ailleurs. Mais cela ne le fais pas tergiverser. D'un violent coup de reins il arrache l'hymen de la fille. Cette dernière cabre comme une folle, son torse se soulevant du sol. La douleur est infernale, lancinante. Ses yeux manque sortir de leurs orbites, son corps se tétanise, tandis qu'un hurlement de douleur atroce sort de sa gorge. Hurlement atténué par la main qui la bâillonne.

Si elle avait sut qu'elle se ferait déflorer, Nabilla aurait offert sa virginité à son fiancé bien avant. La jeune femme n'en serait sûrement pas là, car ils auraient alors fais l'amour la nuit de son accident. Mais au lieu de ça, elle lui a demandée d'attendre la nuit de noce. Demande qu'il a accepté.

D'un second coup de rein, il achève de pénétrer la jeune fille en entier. Les yeux de Nabilla s'agrandissent encore, son corps se contracte encore plus. Le second hurlement qui sort de la gorge de Nabilla passe le barrage de la main du grand. Le gardien-chef vient de faire d'elle une femme, de lui enfoncer son engin entier dans le ventre. Nabilla est complètement déflorée. Il vient de lui voler son bien le plus précieux, sa virginité. De la pire des manières, en la violant.

Il reste quelques secondes immobile dans ce conduit si étroit, semblant fait de velours. Qui lui serre la bite, comme une chaussette réchauffe un pied. Les tremblements du corps de la fille en rajoutant à son plaisir. Nabilla tremble tellement, qu'entre les pulsations de son vagin pour se défendre de cette pénétration non-voulut, et ses tremblements, elle branle littéralement la bite du gardien-chef. Quand celui-ci commence à bouger en elle, un enfer encore plus grand s'abat alors sur la jeune marocaine toute frêle.

Nabilla est-une des rare vierge de cette prison. Si certaines des femmes sont ici pour escroquerie, pour faillite frauduleuse, pour avoir tuer un mari, un frère, un fils, qui bien souvent les battais voir pire, représentant un tiers des enfermées, beaucoup sont des putes venant des pays pauvre d'Europe de l'Est, d'Amérique du Sud ou d'Asie. Bien que les escorts de luxe pullulent dans les haute sphère, la prostitution est interdite et durement punie en Anglefrique. Si bien que un tiers des prisonnières sont des filles de joies. Enfin le dernier tiers, est constituée de femmes n'arrivant pas à payer leurs crédits, de maisons ou autre. Contrairement à la croyance, la plupart des étrangers ne gagnent pas tant que ça, enfin, beaucoup plus que l'anglefricain lambda, mais pas assez pour être qualifiés de riche. Ils ont souvent recours à des crédits pour acheter des bien cher. Et la loi du pays fait que quand on ne peux plus rembourser, on est condamner. De quinze ans minimum à la perpétuité pour des sommes supérieur à cent mille euros. Mais ici, la loi stipule que la famille proche, c'est à dire femmes et enfants, sont considéré comme complice et autant coupable que le signataire. Eux-aussi sont condamné à la même peine que le signataire. Les conjoints et les enfants majeurs passent directement par la case prison. Tandis que les mineurs sont placés en foyers spécialisé, en attendant leur majorité. A partir de ladite majorité, ils feront l'intégralité de leurs peines. Ces femmes et jeune filles constituent le dernier tiers des prisonnières.

La plupart du temps, la directrice, offre à son gardien-chef, et ceux qui méritent d'être récompensé, des filles dont elle n'apprécie plus la présence. Et qui dans tout les cas de figures, ne sont plus vierge. Dans cinq pour-cent des cas, c'est des filles qui ont refusée de coucher avec Marijke que les gardiens violent en premier. Mais à chaque fois, la femelle n'était plus vierge. C'est donc avec une joie renforcé, que le gardien-chef dépucelle Nabilla.

Il va-et-vient d'abord lentement dans le ventre défloré de sa victime. Déclenchant des hurlements tonitruant de la part de la fille. Mais la main du grand absorbe ses cris. Tout en la besognant, le chef regarde son subordonné.

- Enlève ta main, c'est insonorisé ici. Ça me rend encore plus fou quand je les entends hurler!

Alors le grand obtempère. Les hurlements de la fille emplissent alors la salle de douche. Nabilla rue pour essayer d'échapper en vain, à ce viol dépilatoire. Le chef se laisse tomber sur la femelle. Il entend contre sa cage thoracique le cœur de la fille battre à tout rompre. Ses larmes inondent le visage splendide de la jeune marocaine. Enfin, pas si splendide que cela sur le moment, tant il est déformé par la douleur. Quoique son bourreau la trouve bien plus bandante ainsi. Il lui broie les seins de ses mains. Les mords aussi, y laissant l'empreinte de ses dents. Augmentant ainsi autant le douleur du viol, que le volume des cris de la fille.

Le chef est vraiment excités, rapidement, il se met à la baiser à vitesse grand V, tout en grognant de plaisir. Grognement qui se transforment rapidement en petit geignement, puis en petit cris, tandis qu'il bourre la vulve délicate de coups de reins dévastateurs.

- Je vais jouir en toi, salope!

- Pas ça, pas ça... pitié... Pas dedans... je vous en supplie... Je ne... prends pas la... pilule...

Il ne répond pas à ce que viens de lui dire la fille, mais cela le fait la défoncer encore plus brutalement. Finalement il se fiche en elle, au maximum de ses possibilités, se vidant torrentiellement, tout en criant son plaisir. Un véritable tsunami de sperme remplit l'utérus de Nabilla. Elle vient de recevoir sa première semence masculine, il vient de faire d'elle une femme.

Le chef reste quelques secondes en elle, le viol n'a pas duré plus de cinq minutes. Il remplace aussitôt le grand en attrapant le poignet qu'il tenait. A son tour le grand se couche sur la fille.

- Pitié, pas encore...

Du genou, il lui écarte les cuisses pour se glisser entre elles.

- Je vous en supplie, par pitié, ne faîtes pas...

La fin de sa phrase se termine dans un nouvel hurlement. Le grand vient de la prendre à son tour. Il est plus long, mais plus fin que le chef. Lui aussi la fera hurler, mais son viol ne durera, comme celui de son chef, à peine cinq minutes. Enfin, à peine, pour eux, tant il parut long, comme le précédent à la jeune marocaine. Après lui, c'est le petit qui la force. Son sexe est le plus court des trois, mais avec ses huit centimètres de diamètre, il est de loin le plus épais. Comme les autres il jouit en elle, en à peine quelques minutes.

Une fois vidé dans le corps de la fille, il la laisse quelques instants, se branlant leurs sexe à demi-dur. Nabilla geignant, tremblant de tout son corps, se met en chien de fusil, cachant ses seins et son sexe de ses mains et de ses cuisses. Le sperme, teinté du rose de son dépucelage, coule de son sexe, ruisselle sur ses cuisses, avant de faire une petite flaque sur le sol.