Révolte 03: Nabilla

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- Second round!

C'est le chef qui vient de parler. Sa bite est de nouveau dur. Nabilla comprend aussitôt qu'ils vont la violer de nouveau. Mais elle n'a pas le temps de faire quoique ce soit, que déjà, elle est mise sur le dos. Le grand et le petit lui mettent les bras en croix, les tenant au sol. Le chef se couche de nouveau sur elle, la violant encore une fois. Et comme les fois précédentes, Nabilla fait la seule chose qu'elle puisse faire : elle hurle comme une truie que l'on égorge. Ce qu'elle n'est plus pour eux : une truie que l'on baise, à la chatte tellement serrée et douce comme de la soie. Surtout que avec sa chatte pleine de leurs éjaculations précédente, la bite du chef coulisse à merveille dans le ventre de la fille. Cette fois, il dure plus longtemps, la défonçant comme un malade. Un viol régulier comme un métronome, puissant comme une bielle. Il la massacre, la détruit de sa bite. Ne lui épargnant aucune blessure, aucune morsure, aucune meurtrissure. L'embrassant, enfonçant sa langue dans la bouche ouverte pour hurler de Nabila. Il lui crache même dans la bouche. Puis comme précédemment, il se fiche en elle le plus profondément possible pour vider sa semence.

Les deux la violeront aussi à la suite du chef. Quand la semence du troisième jaillira en elle, Nabilla s'évanouira enfin, s'échappant pour quelques instants à son sinistre sort. Les trois hommes se relève. Il regarde le corps évanouit, jambes ouverte, de leurs victime. Le sperme s'échappe de la vulve massacrée de la fille.

- C'est un putain de bon coup cette chienne! Lance le chef.

- Le meilleur de ma vie! Commente le grand.

- Je me la referais bien, mais je suis complètement vide! Fini le petit.

- Ne bouge pas, j'ai ce qu'il nous faut.

Les deux autres regardent leur chef sortir pour aller à la salle où les filles se déshabillent. Il revient deux minutes plus tard. Il donne une pilule sexe-dure à ses deux subordonné.

- Avec ça on peut la baiser et éjaculer pendant huit heures de suite. Le pire c'est que c'est que du naturel! Allez, on la réveille comme prévu!

Le chef gobe la sienne, les deux autres font de même. Puis il se positionne au dessus de Nabila, leurs bite encore molle entre les mains. Ils urinent de concert. Le chef urine sur le visage de la marocaine, le grand sur ses seins et son ventre, le petit sur son sexe et ses cuisses. Nabilla sort instantanément de son évanouissement, quand le liquide chaud frappe son corps. La jeune marocaine de dix-neuf ans, tente alors d'échapper à son sort, en vain, elle a beau ramper sur le sol, les jets d'urine la suivent. Ne s'arrêtant que quand ses trois bourreaux ne peuvent plus pisser.

Nabilla est en boule, pleurant tout son saoul, tremblant de tout son corps. Après lui avoir uriner dessus, ils viennent de la mettre sous le jet d'une douche glacée. Une fois qu'il l'estime propre, le chef arrête le jet d'eau. Il saisit la pauvresse par les cheveux, la fait s'agenouiller.

- Après avoir tâter de notre bite dans la chatte, il est temps de leurs faire visiter ta gorge. Un conseil, ouvre grand la bouche, où on prends ta chatte de nouveau!

Inutile de vous dire que Nabilla obéit. Tout est mieux pour elle que d'avoir de nouveau leurs bites dans le ventre, et agrandir le risque de tomber enceinte. Et ce, sans parler de la douleur ressentie lors de ses viols horribles et barbares. Alors la jeune fille se met à genoux, toujours en pleures, et elle ouvre grand la bouche. Attendant que ses agresseurs y fourrent leurs bites. Ce qu'ils ne manqueront pas de faire. Le chef s'approche en premier, il regarde la fille.

- Ferme la bouche quelques secondes. Tu as déjà sucée?

- N... non...

Alors le chef prend le temps de le lui expliquer. Prenant l'exemple bien connu de l'esquimau, la glace, par l'ethnie.

Quand le chef enfonce la moitié de son sexe dur dans sa bouche, c'est une Nabilla en larmes qui referme ses lèvres dessus. Aussitôt, bien que maladroitement, sa langue se met à caresser la hampe. La jeune marocaine retient autant qu'elle le peut ses haut-le-cœur. Il l'a prévenu, si elle vomit, elle va prendre une raclée sévère, suivit des pires tortures. Le gardien-chef à été suffisamment convaincant pour que Nabilla le croit sans aucun problèmes. Elle commence alors a faire aller-et-venir sa bouche le long de l'engin du chef. Il savoure cette fellation, maladroite, mais si agréable. Il se dit que cette putain est née pour sucer. Quand le chef passe sa main droite derrière sa tête, Nabilla sait ce qui l'attend. Il le lui a expliquer. Le chef pousse de sa main violemment la tête de la fille vers lui, tandis qu'il donne un puissant coup de reins vers elle. Il enfonce son sexe en entier dans sa cavité buccale, violant sa gorge. Le hurlement de Nabilla est absorbé par le bâillon de chair. Cette fois, elle régurgite. Mais elle est obligée de tout ravaler tant la bite ferme hermétiquement sa bouche. Le nez de la malheureuse est contre le ventre du chef. Nabilla devient rouge, ses yeux exorbités, pleure. Elle n'arrive plus à respirer. Son bourreau se retire un peu, il lui laisse le temps d'apprendre à ne respirer que par le nez, ce qui est difficile à faire avec une bite dans la gorge.

Puis il se met à lui violer la bouche. Le visage de la fille frappant violemment le ventre de l'homme à chaque retour. Les bourses de son tourmenteur heurtant son menton. La jeune fille est baisée comme si sa bouche était un sexe. Puis au bout de quelques minutes, il se fiche complètement en elle. Il vide sa semence directement dans la gorge profanée. Lui tenant la tête contre lui, pour ne pas qu'elle se retire. Nabilla est alors contrainte de tout avaler, il se déverse directement dans son œsophage.

Le grand passera de suite après. Il sera tout aussi barbare que son prédécesseur. A la fin, il fera ouvrir grand la bouche à Nabilla. Il lui fera tirer la langue, avant de se déverser sur la langue et dans la bouche de sa victime. Il lui ordonnera de rester quelques secondes comme cela, le sperme à la vue de tous. Avant de lui faire tout avaler. Ce que la jeune marocaine fit avec une grimace de dégoût. Une fois fait, il lui fait de nouveau ouvrir la bouche, pour vérifier qu'il n'y est plus rien. Nabilla à été obéissante, sa langue est vide de toute trace de semence masculine. Le petit, lui se videra sur le visage et les cheveux de la fille. La pipe la plus humiliante des trois. Il lui nettoiera ensuite le visage sous une douche glacée.

Ensuite, ils la font mettre à quatre pattes. Ils ont de nouveau envie de sa chatte si étroite. C'est encore et toujours le gardien-chef qui passe en premier. Dans cette position il va plus loin dans le vagin de la fille. Il la prend en lui tirant les cheveux, lui faisant prendre une position hautement obscène. De cette façon, son dos est rabaissé, ses seins relevés, comme si elle offrait son sexe à son bourreau. Les trois la violeront comme cela. Le chef et le grand jouiront en elle, le petit sur le dos de la fille. Puis le chef lui viole de nouveau le vagin remplit de sperme. Mais cette fois il ne la prend par là que pour se lubrifier. Il a une autre idée en tête, celle du lui prendre sa dernière virginité, lui dépuceler l'anus. En attendant, il lui prends la chatte quelques minutes, la faisant japper de douleur, puis une fois qu'il se juge bien huilé par la semence, il se retire du corps de Nabilla. Les deux autres, la maintienne en position de levrette. Quand le gland du chef, se met entre ses fesses, contre la petite étoile plissée qui garde l'entrée de ses reins, Nabilla se demande ce qu'il veut faire par cette orifice. Même si c'est une jeune fille de son temps, elle est ignorant de pas mal de choses du sexe. La sodomie par exemple, est un truc à cent mille lieux de ses connaissances. La sexualité ne l'a jamais vraiment intéressé. Elle n'en a que les connaissances basique. Aussi pour elle, l'anus ne sert qu'à déféquer.

- Arrêtez! Crie Nabilla.

Mais le chef reste en place, son pieu contre l'anus de la fille.

- Vous vous trompez de trou!

Sa remarque fais rire les hommes. Son bourreau force avec sa bite lubrifiée, ouvrant légèrement l'anus de la fille. Anus qui se met à palpiter pour éviter cette nouvelle défloration. Nabilla crie de douleur, elle comprend d'un coup qu'il veut faire rentrer son engin par cet endroit. C'est trop petit, c'est sale, ce qu'il se prépare à faire la révulse.

- Cela ne rentrera jamais... C'est trop gros... trop large... vous allez... me tuer...

- Allons, tu ne seras pas la première enculée!

- C'est sale... pitié ne faîtes pas...

La fin de sa phrase se termine encore dans un hurlement d'une puissance incroyable, autant en volume, qu'en intensité ou en souffrance. Le gland du chef, vient de forcer son sphincter, dans un craquement horrible, le fissurant méchamment. Il se met alors à entrer dans le conduit beaucoup trop étroit pour son sexe. Écartelant les chairs, lui déboîtant les entrailles. Un pieu qui fait sa place dans le rectum de sa victime, poussant tout sur son passage. La douleur est insensée, tellement indescriptible, qu'il n'existe pas de mot pour vous la décrire. Pour en rajouter à son malheur, Nabilla contracte son intérieur à mort, en rajoutant énormément à sa douleur déjà si immense. Ses fesses sont ouvertes à leurs maximum, au bord de l'éclatement. Un enfer sans nom est en train de s'abattre sur elle. Son cerveau ne peut plus penser, tant le ressenti de ce viol l'emplit. Le chef fait exprès de rentrer doucement, pour accentuer encore la souffrance de sa victime. Souffrance à elle, qui signifie encore plus de plaisir pour lui. Nabilla ressent chaque veine, chaque aspérité du braquemart qui progresse enter ses fesses. Tout son attention est concentré sur lui, sur cet engin de mort. La jeune fille de dix-neuf ans, aimerait tant s'évanouir. Mais ce plaisir, ce bonheur, d'échapper à ce qu'elle vie ne viens pas. Au contraire, toute ce qu'elle ressent la maintien éveillée. Puis à la moitié de sa progression dans l'étroit fessier de la fille, il se retrouve bloqué. Rien à faire, il ne peut plus progresser de façon lente. Le chef sourit, il va devoir employer les moyens fort.

Il saisit la fille à ses hanches très légèrement grasse, prenant le peu de chair qu'elle a pour point d'appui. Il croche ses doigts dedans, mais la douleur anal de la fille est si intense, qu'elle ne le sent pas. Elle ne peut donc pas se préparer à ce qui va suivre. De toutes façons, comme peut-on se préparer à ça? D'un violent coups de reins, il parvient à forcer son sexe de trois centimètres de plus. Nabilla pousse un hurlement démentiel. Elle cabre tellement, qu'une petite seconde la jeune fille échappe à la poigne de ses bourreaux. Mais rapidement, ils la maintienne de nouveau. Un nouveau coup de reins de son violeur, font cette fois rentrer cinq centimètres dans ses entrailles. De nouveau le hurlement qu'elle pousse est inhumain. Nabilla à l'impression qu'il vient de lui perforer l'estomac, de défoncer ses poumons. Que la bite du monstre qui la viole va la traverser entièrement, pour atteindre sa gorge, et lui ressortir par la bouche, l'empalant à travers tout son corps.

Un dernier coup de reins puissant du chef, achève de le faire entrer entièrement dans le corps de la fille, son ventre heurtant les fesses fermes de Nabilla, ses couilles heurtant son vagin dégorgeant encore de sperme. Les yeux exorbités, le visage déformé par la douleur, la bouche grande ouverte sur un hurlement aussi long que strident qu'effroyable, la jeune marocaine n'a plus rien de la magnifique jeune fille, qu'elle était quelques heures auparavant. Nabilla croit avoir connu le pire avec cette pénétration affreuse, quand le chef reste quelques secondes immobile dans ses reins. Mais dès qu'il commence à aller-et-venir en elle, la jeune femme comprend que le pire, c'est maintenant. Elle hurle sans discontinuer tout le long de ce viol abject. Son bourreau la sodomise à grands coups de reins, ressortant à chaque fois presque en entier, ne laissant que le bout de son gland en elle, avant de la pénétrer de nouveau à fond. De toutes sa longueur, sa largeur et son épaisseur, en un seul coups de reins. Nabilla à l'impression d'exploser de l'intérieur, que des bouts de chairs atterrisse de partout dans la pièce. Mais cela en est loin, si son bourreau lui fissure bien l'anus, cela saigne peu, le sang sur sa bite n'est que celui du dépucelage anal de la donzelle. Ce viol, son cul héroïque le subira jusque au bout, sans grave blessures. Et malgré les pilules sexe-dure, le chef durera longtemps, très longtemps dans les entrailles de sa victime. Un viol qui semble durer l'éternité et plus encore pour la malheureuse Nabila. Un véritable enfer sexuel, un tornade de douleur. Son bourreau semble la sodomiser sans fin, comme si il voulait rester à tout jamais dans cet écrin si accueillant pour sa bite. Puis, finalement il sent le plaisir monter de ses reins. Le chef se met alors à sodomiser de plus en plus fort, de plus en plus vite la jeune fille. Il lui dévaste les reins, lui massacre l'anus, lui défonce le rectum, lui détruit l'intèrieur. Se moquant des hurlements de la femelle. Il se fige alors au maximum de ses possibilités dans l'orifice de la jeune marocaine. Il crie un plaisir comme il n'en a jamais ressenti. Il se vide torrentiellement en elle, un véritable tsunami de foutre. Quand la semence frappe les chairs internes tuméfiées par cet horrible viol, le sperme brûle tout l'intérieur de la fille comme le plus corrosif des acides. Ses hurlements atteignent leurs points d'orgue. Totalement vidé de semence comme de force, le chef s'écroule sur le dos de sa victime. Les deux autres l'ayant lâché, Nabilla s'écroule à son tour sur le sol. Ils se retrouvent tout deux couchés l'un sur l'autre, le pieu à demi-mou de l'homme encore fiché dans le corps frêle de la jeune fille de dix-hneuf ans.

Elle lâche un nouveau cri, quand le chef se retire d'elle d'un seul coup, et que son gland franchit à nouveau ses sphincters. Le chef roule sur le côté, reprenant son souffle. Nabilla, dont le corps tressaute sur le sol, tant elle tremble, ne bouge pas. Le grand en profite, il se couche sur elle, et la prend par le même orifice. Déclenchant à nouveau les hurlements de la jeune femme. Il la défonce lui aussi comme un fou. Mais contrairement au chef, du fait de la lubrification au sperme de l'étroit conduit, son engin glisse mieux, il éjaculera dans ses entrailles au bout de quelques longues minutes. Le petit fera lui aussi un maximum de dégâts dans l'intérieur de Nabilla. Il la mettra sur le dos, lui fera écarter les jambes au maximum par ses collègues. Il lui soulèvera les fesses et la sodomisera comme cela, par devant. Dans cette position le conduit est plus resserré, il va plus loin, écartèle plus les fesses de sa proie. Nabilla hurlera aussi fort et aussi longtemps que pour son premier viol.

Mais les trois ne sont pas rassasiés, la pilule fait toujours son effet, ils en reprendront une autre d'ailleurs dans l'après-midi. Ils ont tout le temps pour eux, personne ne doit se servir des douches avant le lendemain matin. Ils ne lui épargnent rien. Après ses trois terrible sodomies, la jeune marocaine doit leur nettoyer la bite avec sa bouche. Un goût immonde de sang, de sperme et de merde inondant à chaque fois sa bouche. D'ailleurs elle a vomit plusieurs fois, à chaque fois ils l'ont battu méchamment. Puis ils ont nettoyer le sol à l'eau avant de se refaire sucer. Puis elle a dut monter sur chacun d'eux. D'abord pour se violer vaginalement avec chacun, puis, pour se sodomiser, là aussi avec tous. Une façon de se faire violer encore plus terrible psychologiquement, la violée fait tout elle même sous les ordres de son violeur.

Puis elle a connu sa première triplette. Un dans la chatte, un dans le cul et le dernier dans la bouche. Après chaque éjaculation commune, ils ont commutés. La forçant ainsi par chacun de ses orifices, ensemble. Une nouvelle fois, la belle marocaine est remplit dans son corps, dans chacun de ses orifices, par un torrent de foutre. Là, encore, Nabilla pense avoir subit le pire. Pourtant, elle est bien loin de la vérité.

De nouveau, on l'empale sur un homme couché, encore une fois par la chatte. C'est le grand qui est allongé sur le sol. Cette fois, Nabilla est tellement épuisée, tellement déchirée, que le petit et le chef sont obligé de la soulever et de la faire redescendre eux-même sur la queue érigée. Nabilla dont la gorge est en feu après avoir hurlée pendant des heures, continue malgré tout ses vocalises. Son vagin et son anus, sont tellement tuméfiés, presque a vif après les nombreux viols, qu'ils déclenchent en elle une douleur telle qu'elle ne peut empêcher de brayer comme une folle. Une fois totalement empalée sur le grand, il la plie en deux sur lui. Nabilla pense, à tort, qu'une fois de plus, elle va subir une double pénétration avec le viol de son petit trou. Enfin, pas si petit que cela en ce moment,tant il est grand ouvert suite aux nombreux viols. Mais quand le gland se pose sur le deuxième engin, contre l'entrée de sa vulve massacrée, Nabilla comprend ce qu'ils veulent lui faire subir. Rentrer une deuxième bite dans son vagin.

La jeune femme connaît alors un regain d'énergie bien inutile, tant ses violeurs sont beaucoup plus fort qu'elle. La pénétration lui fait de multiple déchirure, heureusement ou malheureusement selon les points de vues, insignifiante. Le chef a du mal à se frayer un chemin dans le conduit déjà trop étroit pour recevoir la première bite. Et ce malgré les nombreux viols qu'elle a subit. Les ruades de Nabilla ne facilite pas la chose non plus. Mais à force de combat, les deux sexes sont enfin plongé dans son vagin. Alors, ils se mettent à la violer comme des sauvage. Le conduit compressant délicieusement les deux bites qui se frottent l'une à l'autre. Ils sont parfaitement synchronisé, quand un pieu entre, l'autre sort. C'est tellement délicieux pour leurs pénis et leurs oreilles, qu'ils jouissent rapidement. Ils la violeront plusieurs fois comme cela.Chacun se couchant une fois au sol, chacun la prenant en second, tous la baisant avec un des autres à tour de rôles.

Puis l'enfer de Nabilla monta crescendo, quand on l'empala par l'anus sur la bite du chef couché. La marocaine lui tourne le dos. On la couche sur lui, le petit lui relève haut les jambes, et lui enfonce avec la plus grande des difficultés sa bite dans l'anus de la fille déjà occupé. Vu que je n'ai trouvé aucun mot pour décrire ses hurlements, ses ruades et la description de son visage sous cette douleur, je ne peux m'étaler sur ce qu'elle vie. La seule chose que je peux écrire, c'est que là encore, ils lui feront subir toutes les combinaisons possible. A la dernière combinaison, de loin la plus violente, Nabilla s'évanouira juste après leurs éjaculations. Quand enfin, ils sont tous bien vidés, ils la laissent tranquille, le temps de se doucher. Le corps immobile et évanouit de la fille aux orifices très largement ouvert, gît au sol. Ils se laveront en échangeant des plaisanteries, sans un regard pour leurs victimes.

Quand Nabilla revient à elle, les trois gardiens sont habillés.

- Obéit vite, et on ne te violeras pas! Sinon, je t'enfonce ma main dans le cul.

Nabilla, le regard vide, bouge à peine les lèvres. Le chef comprend que c'est un oui.

- A quatre pattes.

Nabilla obéit, se levant avec difficulté, gémissant tant son corps lui fait mal, surtout sa chatte et son anus, encore grand ouvert et qui suinte toujours autant de sperme. Le chef lui passe un collier pour chien autour du cou. Puis il y attache une laisse.

- On va y aller comme cela, ne t'en fais pas, il est vingt-deux heures, on ne croisera personnes.

Nabilla se rend compte avec horreur que son enfer a duré plus de douze heures. plus de temps que prévu.

- Tu as intérêt à rester à quatre pattes, et à bien avancer. Si tu es obéissante, aucun de nous trois ne te fera rien, sinon, on te mets dans un coin et on te sodomise à deux toute la nuit.