Révolte 04: Jennifer et Laurence.

Informations sur Récit
Deux nouvelles victimes de la révolution.
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Partie 4 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 10/22/2018
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L'histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d'Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n'aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n'apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à

toute spéculation, l'un des paradoxes de mes histoires est l'absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

Laurence est une belle petite brune de quarante-sept ans. Elle est médecin-chef à la prison privé de haute-sécurité de Anabia en Anglefrique. Une véritable usine. Huit médecin, vingt infirmières. Beaucoup penseront certains, mais bien peu pour près de onze mille personnes, personnel compris. Elle mesure un mètre soixante-cinq, elle a de magnifique yeux marron, ses cheveux coupé court, lui vont bien, renforçant la douceur de son visage. Elle porte une blouse blanche, ample, pour cacher ses courbes. Sa poitrine de 85 D peut-être un excitant dangereux pour les prisonnier, son cul rebondit et ferme aussi. Si en plus ils savaient qu'elle n'a que ses sous-vêtements en dessous... Pour l'instant elle soigne un détenu, une chute sous la douche, rien de grave, juste le poignet luxé, un bandage suffira. Il pourra ensuite retourner dans sa cellule.

C'est Jennifer, sa jeune stagiaire infirmière de vingt ans qui s'en occupe. C'est aussi accessoirement, la fille de la meilleure amie de Laurence, et la meilleure amie de l'aînée de ses trois filles. Autant dire que Jennifer fait partie de la famille. Comme sa mère et sa jeune sœur de dix-huit ans d'ailleurs. C'est une gamine magnifique. Un mètre soixante pour quarante-huit kilos, petit seins, petit cul bien bombé. Son visage et splendide, châtain foncé, les cheveux ondulés, coupé au carré, et des lunettes qui la rendent encore plus sexy. C'est une jeune fille foncièrement gentille, aimant les gens, ne pensant pas que le mal puisse exister. Même dans une prison, c'est dire. Elle est un peu naïve, très timide. Ce qui fait rire Laurence, c'est que la jeune fille rougit et bégaie quand on parle de sexe. La doctoresse se doute qu'elle soit encore pucelle, et ignorant de bien des choses sur le sexe. On est lundi, il est midi. Laurence regarde Jennifer.

- C'est bon, on a fini, on peut y aller.

- Je peux rester un peu si tu veux.

- Non, va te reposer, demain soir on est de garde de nuit toutes les deux. Les deux seules soignante pour toute la prison, alors il vaut mieux être en pleine forme. Surtout que cela dure une semaine. Par contre, là, ensuite, on dors sur place, dans la salle de repos de l'infirmerie.

- D'accord Laurence, je t'attends à l'entrée.

- Oui, je me change aussi et je te retrouve là-bas.

En effet, si les employés de la prison vivent dans les grandes tours d'immeubles situés juste en face, les membres directeurs, comme Laurence, peuvent prendre un hélico, qui rejoint la ville de Anabia à cent kilomètres de là, ville la plus proche de la prison, qui se trouve elle, en plein désert. Il y a un supermarché, un cinéma, des boutiques, une école/collège/lycée pour les employés et leurs familles dans les logements pour les employés, il n'y a quand même pas grande vie. Il y a aussi des villas pour les cadres. Mais Laurence, les membres du comités directeur et de surveillance eux, prennent l'hélico. Le vol ne durant pas plus de vingt minutes. Seule la directrice réside directement dans la prison, mais elle n'y est pas obligée, c'est son choix. Laurence elle, fait donc le trajet, avec onze autres membres de direction. Plus Jennifer en ce moment. Sauf pour ses gardes-de nuits, une semaine toute les neuf semaine, chaque médecin en prenant une. Les autres médecins, comme les infirmières, vivent eux en face.

Cela fait cinq ans que Laurence à remplacer l'ancien médecin-chef, qui est passé au conseil de surveillance de la prison, avec ses deux adjoints de l'époque. Il a fait du bon boulot à son nouveau poste, faisant passer l'équipe de médecin de trois à neuf, et les infirmières de quatre à vingt. Bien sur, à part elle, il n'y a que des médecin débutant, et que de sexe féminin, mais au moins ils sont assez nombreux. Pareil pour les infirmière, que des jeune femmes, c'est les gardiens qui font office d'infirmier en cas de malade violent. Mais c'est suffisant, et tout marche sur des roulettes, pour le plus grand plaisir de Laurence. La médecin-chef sourit en repensant comment cela exciterait les prisonniers si ils savaient qu'elle ne porte que des dessous sous sa blouse. Ce serait encore pire, si il savait que Jennifer, qui ne porte jamais de soutien-gorge, n'avait que son string. La médecin-chef va dans son bureau. Puis passe dans son vestiaire personnel. Elle se change et enfile une robe longue.

Marijke se regarde dans la glace. Nabilla se rhabille derrière. De temps en temps elle aime bien baiser avec la marocaine. Depuis huit ans, la jeune femme est devenue la putain des gardiens. Mais une ou deux fois par an, la directrice aime bien passer un peu de temps avec. Marijke est donc nue devant sa glace. Elle constate les ravages du temps. Ses cheveux sont gris, mi-long. Ses seins, à cause de sa prise de poids sont passé de 95 D à 105 F. Ils sont tombant, mais heureusement elle ne fait pas de levrettes. La directrice se demande si avec tout les coups de langues de ses petites chéries, son hymen est sec ou pas. Maintenant elle a du ventre, un gros cul. Mais les matons la regardent toujours, preuve qu'elle reste baisable. Même si jamais aucun homme ne l'a eut, et ne l'aura jamais. Puis elle se rhabille, tout en regardant une Nabilla pleurnichant. Si elle à maintenant vingt-six ans, la jeune femme n'a pas vieillit, elle. A part les marques de coups, de fouets et de clopes sur son corps, elle a le même que huit ans plus tôt, le jour où à dix-huit ans, elle s'est faite violer pour la première fois. Pour que cela ne cesse pas depuis. Malgré ses six grossesses, Nabilla à toujours le même corps. Svelte, à la peau douce, aux seins et au cul ferme. Une fois rhabillée, Marijke décroche le téléphone de son bureau. Elle appelle le gardien-chef.

- Vous pouvez venir chercher Nabilla.

- Bien madame.

Marijke raccroche, cinq minutes plus tard, il est là. Il salut sa patronne en rentrant, et il regarde la splendide marocaine.

- Allez, on y va vite, il y a la queue devant ta chambre. Les gars vont y passer par trois ou quatre à la fois.

Nabilla ne dit rien, elle ne dit plus rien, se contentant de subir ses viols sans fin.

Le mardi soir, Laurence et Jennifer finissent de dîner dans le grand réfectoire de la prison. Il est dix-neuf heures, elles vont prendre leurs postes dans trente minutes. Marijke elle, regarde le gardien-chef entrer avec Lydie. Une jeune anglaise de dix-neuf ans. Condamnée à la perpétuité pour trafic de drogue. Trafic que effectué uniquement par son petit copain. Si en réalité la jeune femme n'en savait rien, il n'a pas été difficile de truquer l'enquête. Faisant empocher un joli paquet au juge et au policiers ayant enquêté. Et un tas de fric encore plus épais pour la prison. La drogue frelaté avait tué cinq consommateur, ce qui explique l'énormité de la peine juste pour une complicité de trafic de drogue. A peine arrivé, la douce jeune fille était devenue le souffre douleur des autres prisonnières. Léchant des chattes à longueur de journée. Alors quand la directrice lui avait proposé de lécher seulement la sienne, en échange de sa protection, Lydie avait accepté de suite. Et cette nuit, la jeune anglaise aller la lui lécher, bien à fond.

A vingt-deux heures, Jennifer et Laurence sont dans la salle de garde de l'infirmerie. Jennifer lit un bouquin, tandis que Laurence surf sur le net. Comme la journée, tout est calme. Il n'y a même pas de gardien, car tout les lits sont vide. C'est bien la première fois en cinq ans que cela arrive se réjouit Laurence, enfin une nuit où elle va pouvoir dormir. Rien ne peut laisser présager ce qui va arriver d'ici une heure.

A vingt-trois heures, Marijke est assise sur le visage de Lydie. La vieille peau est encore habillée, elle a juste relevée sa jupe de tailleur, et écartée sa culotte pour libérer sa vulve. La jeunette s'avère bien douée avec sa langue. Cette dernière lui a donné quatre orgasme avec sa langue agile et son air de sainte-nitouche. Là, la directrice est en train de lui uriner doucement dans la bouche. Si elle n'y va pas comme une sauvage, c'est qu'elle veut que la jeune fille avale bien tout. Quand elle a fini, elle se redresse un peu.

- Bien, petite pute, pas une goutte en dehors de ta bouche, tu as droit à un cadeau.

Marijke se rassoit sur le visage en larmes de son amante.

- Allez, lèche-moi de nouveau.

La jeune fille n'a donné qu'une dizaine de coups de langues, quand la porte de la chambre de la directrice s'ouvre avec fracas. Le gardien-chef, ses deux adjoints, trois gardiens, et cinq des pire caïds, mais aussi des pires sadique de la prison sont là. Marijke les regardent, pleine d'incompréhension.

- Alors madame, on se fait plaisir?

- Cela veut dire quoi? Sortez-tous, demain c'est conseil de discipline pour tous!

- Je ne crois pas.

- Quoi? De quel droit?

- Celui que le général Abdou, nouveau président du pays m'octroie. Je suis le nouveau directeur de cette prison. Et toi, la blanche, tu n'es plus rien. Enfin si, ma pute et celle de tous ici.

- Je veux bien voir ça!

Bien que nue de la chatte, Marijke se lève comme une furie, sans remettre le bas de sa tenue en place. Mais un coup de matraque la plie en deux. Un des prisonnier se jette sur elle, et la fait tomber au sol. Ils se mettent à cinq pour l'immobiliser. Les cris de Lydie retentissent, tandis qu'un gardien vient de l'enculer. Marijke ne peut empêcher le gardien-chef de se coucher sur elle. La directrice hurle quand il la pénètre d'un coup, la dépucelant. Le gardien-chef se redresse, regardant les autres ahuris.

- Merde cette vieille peau était vierge!

A une heure du matin, la porte de l'infirmerie s'ouvre d'un seul coup, faisant sursauter Jennifer et Laurence qui s'étaient assoupi. Le gardien chef, quelques gardiens, ainsi que six prisonniers entrent dans la pièce. Outre les gardiens, Laurence reconnaît immédiatement les condamnés.

Il faut savoir que par souci de sécurité, les prisonniers de la prison de Anabia ont été classé par numéro. Les deux-cent plus dangereux tout du moins, ainsi chaque gardien sait d'emblée, même si il est nouveau, si il doit surveiller attentivement le condamné ou non. La liste est faites dans un ordre dégressif. Par exemple, le numéro 200 est le moins dangereux, le numéro 1, est le pire de tous. Il s'agit tous de serial-killer, pervers sexuel, venant de tout pays. Garder dans cette prison de très haute-sécurité, sans aucune possibilité d'évasion.

Il s'agit des numéros dix à cinq. Pratiquement ce qu'il se fait de pire ici. Laurence est terrorisée à l'idée que ces prisonnier se soit évadé. Avec la complicité des gardiens. Le numéro dix est Harold Nganda, un camerounais de trente ans, ayant sévit dans toute l'Europe. C'est un petit black à l'air sympa. Dix ans d'agressions horrible. Près de cent-cinquante victimes, avant que les polices européennes ne l'arrêtent en France. Ils enlèvent ses proies à la sortie de boîte. Se faisant passer pour un chauffeur de taxi. La vitre de séparation, comme tout le compartiment arrière est étanche. Un gaz soporifique sort quand il appui sur un bouton du tableau de bord. En dix secondes ses victimes dorment. Ils les emmènent dans sa petite maison, dont il a emménagé le sous-sol en cellule complètement insonorisé. S'en suivront pour ses proies, plusieurs jours de viols et tortures, avant une mort atroce. Ensuite il enterrent les restent des malheureuses dans son jardin. C'est un véritable charnier que la police scientifique retrouvera.

Le numéro neuf, c'est Jérôme Hanche. Un français de quarante ans. Lui aura sévit pendant plus de vingt ans. Il s'attaque aux migrantes, aux SDF, aux fugueuses, aux droguées, et autres prostituées. Les prenant en voiture, les emmenant chez lui, les violant, les torturants ensuite pendant de nombreuses semaines. Jusque à une mort atroce. Lui enterré ses cadavres dans les forêts environnante. On ne peut lui imputer que les cents meurtres dont on a retrouver les viols et tortures filmé, chez lui. Il a avoué de suite. La police l'a arrêté sur un coup de chance, quand il a prit pour cible une jeune et belle policière chargée de se faire passer pour une migrante sans papier et identifier les menaces terroriste pour le pays. Il l'a braqué, menotté, ramené dans sa maison. Pour la terroriser, il lui a vanter ses exploits, alors qu'elle était attachée sur une chaise dans le garage de l'homme. Lui racontant le calvaire de certaines de ses proies tout en se déshabillant. Il lui a également montré un film de sa dernière victime. Le tout pour bien faire rentrer la terreur dans sa proie avant de passer à l'acte sur elle. Mais la jeune policière était équipée d'un micro. Suivit par quatre policiers de la DGSI. Il ne touché ses victimes qu'une fois bien emplit de peur. Les déshabillant lentement, pour les violer sauvagement. Il n'a pas eut le temps de faire cela avec la jolie flic. Au bout de vingt minutes de films, alors qu'il lui susurre à l'oreille tout ce qu'il va lui faire, les quatre policier de son équipe lui sont tombé dessus.

Le numéro huit c'est Jack Hungry, un américain de cinquante ans. Plus de trente ans de crime à travers tout le continent. USA, Canada, Amérique Centrale, Amérique du sud, dans tout les pays de ces sous-continents, il a fait au moins une victime. Il entre, il viole, il tue. Trois cent victime, arrêté lui aussi sur un coup de chance. Il à crut sa victime seule, mais son frère, paralysé des jambe et agoraphobe vit chez elle. Quand il a entendu sa sœur hurlée lors de son viol, il a appelé la police, qui ont arrêté notre individu. Son ADN à matché immédiatement dans des tas d'affaires non-résolu. Dans les fichiers de FBI, mais aussi dans ceux de Interpol. 317 victimes exactement.

Le numéro sept, c'est Aurélien Manda. Un anglefricain de cinquante ans. Sept mille viol en trente-deux ans. Il à agit dans toutes l'Afrique. Pas de meurtres chez lui, que des viols dans toutes le continent africain. Touristes, habitant du cru, expatriés, toutes les femmes lui plaisent, sans distinction de couleur de peau, tant qu'elles sont jolies. Là, encore, il est arrêté par chance, il venait de violer une quadragénaire d'origine suédoise en Anglefrique, quand en sortant il est tombé sur ses deux fils qui l'ont arrêté, croyant à un cambrioleur. Là encore, son ADN a matché dans les fichiers d'Interpol.

Le numéro six, c'est Jack Lantrey, un américain de quarante-cinq ans, surnommé « Le Traqueur ». Il choisit une victime jeune, la viole à l'extérieur et la laisse nue dans la rue. Lui volant tout, affaires, comme bijoux ou sac à mains. Il ainsi son adresse, son nom, tout quoi. Puis régulièrement, il les viols de nouveau. Les filles, portent rarement plainte la première fois. Alors la deuxième ou la troisième, par le même homme, elles ne le font pas. Pareil pour celle qui ont portée plainte après leur premier viol, elles ne le feront pas les autres fois. Sauf l'une d'elle, si elle ne l'a pas fait pour ses trois premier viol, elle le fera au quatrième. La police et le FBI y mettront les moyens, le retrouvant au bout de deux ans d'enquête. L'homme à sévit trente ans, commettant sa première agression à quinze ans. Il a violé trente fois sa première victime, allant la visiter une fois par an. L'homme était analyste à la NSA, il ne lui était pas difficile de retrouver à chaque fois ses victimes.

Le numéro cinq, est lui aussi américain. Il a soixante ans. Le pire de tout ceux ici. On l'a surnommé le « violeur de mère célibataire ». Agressant des jeunes femmes divorcés, ayant la garde de leur enfant. Les jours de visite, ou de garde des gamins chez leurs père, il pénètre chez les ex-femmes, et les violent sauvagement jusque à une heure avant le retour supposé des gamins. Plusieurs jeune femmes ne survivront pas. Mais à chaque fois, il se cache pour espionner le retour des enfants. Par on ne sait quel soubresaut d'humanité, il appelle le père, du téléphone de la mère, pour lui dire de laisser les enfants dans la voiture, pendant que lui ferait mieux d'aller voir dans l'appartement. Par chance, aucun enfant n'a vu leurs mère comme cela. Il a sévit quarante ans, sur tout les continents. Milliardaire, il ne lui est pas difficile d'avoir les fichiers des jeunes femmes divorcés là ou il est. On lui imputera trente mort, et trois cent viols. Il aura fait plus de sept mille victimes en réalité.

Laurence regarde le gardien-chef, vu la posture des gardiens et des prisonniers, ayant plus l'air complice, elle se doute qu'un truc pas normal se trame. Mais elle ne veut pas y croire, on pas le voir. Elle jette un bref coup d'œil à Jennifer, elle n'a pas l'air de voir ce qu'il se passe. Laurence regarde le gardien-chef dans les yeux.

- Ils sont malades?

- Non, pas du tout.

- Alors pourquoi ils sont là?

- Disons, que le gouvernement est tombé, on est en pleine révolution, les anglefricains reprennent leur pays.

- De visu et de mémoire, eux ne sont pas anglefricain.

Laurence a peur, mais elle le cache, essayant de garder le contrôle de la situation.

- Non, en effet. Mais le général Abdou, qui sera notre nouveau président de transition d'ici peu, a fait parvenir une offre à tout les directeur de prison anglefricains et à tout les gardiens également anglefricains. A transmettre aux prisonniers masculin. Ils seraient tous graciés pour leurs crimes passés, quelque soit les crimes, mais également de ceux ayant lieu pendant la révolution et ceux visant des ennemis de l'Anglefrique, là sans condition de durée. Sans aucune obligation de nationalité. La seule condition est qu'ils participent à la révolution. Inutile de vous dire, que cent-pour-cent des prisonniers mâle du pays ont accepté.

Laurence voit que Jennifer commence à comprendre.

- La directrice est au courant de cet état de fait?

- Elle n'est plus directrice, je suis le nouveau directeur de cette prison.

Laurence sait que cela va mal tourner pour elles. Surtout qu'entre le gardien-chef et elle, c'est un peu la guerre. Ils ne s'aiment pas du tout.

Pour en revenir aux prisonniers, la plupart des prisons ont ouvertes leurs portes, les envoyant combattre l'ennemi. Mais ici c'est un peu différent, comme dans toutes les prisons mixte. Et ici on est une prison mixte. Donc les prisonniers et les gardiens anglefricains qui ont prit le contrôle de tout les quartiers, et de tout les gardiens non-anglefricains, sont un peu occupés.

Le gardien-chef omet juste de préciser que seul les gardiennes sont blanches, aucun gardien ne l'est. La prison est totalement sous contrôle. Prisonnières comme gardiennes étrangère, comme le personnel féminin administratif ou les autres médecins et infirmière dans leurs appartements se trouvant dans le quartier habitation de la prison, sont en train de se faire agresser sexuellement par les gardiens, mais surtout les prisonniers, pouvant enfin se vider après plusieurs années de détentions. Une fois tous vidé au moins une fois, les femmes rejoindront, prisonnières ou pas, les cellules, sous la garde d'une petite partie des mâles agresseurs. Le reste partira à l'assaut de villes environnantes. Enfin plutôt à la chasse à l'expatrié de toutes nationalité, car le pays est déjà aux mains des révolutionnaires.

Le gardien-chef continue son quasi monologue.

- Quand à la directrice, elle est en compagnie de quelques gardiens qu'elle a brimée, ainsi que des quatre prisonniers les plus dangereux, ils ont tous voulut s'amuser avec elle. Mais je vous rassurent, il n'y a pas qu'eux, des tas d'autres prisonniers ont voulut fêter la révolution avec notre directrice bien aimée.