Du vice à l'esclavage 01

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Ce texte comprend de la soumission féminine, de la contrainte, de la violence, de l'humiliation, de l'esclavage et des relations interraciales. C'est une pure fiction. Si votre esprit est en contradiction avec ces thèmes, ne perdez pas votre temps à le lire.

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Je m'appelle Pierre, j'ai 47 ans et je suis plutôt grand (1m87). Je suis ingénieur en informatique dans une société de service internationale.

J'occupe le poste de responsable de la sécurité de la filiale de Rio de Janeiro au Brésil. Il y a beaucoup de personnels, essentiellement des Brésiliennes, assurant de l'assistance téléphonique et du démarchage commercial. Sur le papier, cela semble plutôt un bon plan, mais je n'ai malheureusement pas l'opportunité de travailler régulièrement au contact de toutes ces magnifiques femmes, souvent jeunes et sexy.

En effet, on m'a installé dans un grand bureau, à l'écart des autres personnels sur un étage seulement occupé par des matériels informatiques. J'ai rarement des visites. Les minutes me semblent des heures!

Heureusement, il arrive parfois que les choses évoluent...

Tout a commencé récemment.

Le DRH s'est rendu compte d'une baisse d'activité et a supposé que les personnels utilisaient une partie de leur temps de travail pour surfer sur Internet à titre personnel.

Le comité de direction a actualisé la charte d'utilisation de l'entreprise et m'a demandé de mettre en place un certain nombre de contrôles supplémentaires.

J'ai déployé des caméras motorisées dans les open spaces, un système de prise de main à distance des ordinateurs et un analyseur du trafic internet.

Depuis l'installation de ces dispositifs, mes journées ont changé du tout au tout.

Mes caméras dômes me permettent de mater nos gentilles secrétaires sans être remarqué. En quelques jours, j'ai déjà quelques filles qui m'ont tapé dans l'œil!

Toujours habillées sexy, jolis décolletés, des culs incroyables et des visages innocents.

J'ai repéré une jeune femme tout particulièrement excitante. Elle doit faire dans les 1m70, a de longues jambes galbées, un cul rebondi, un ventre plat, une paire de seins magnifiques, un visage d'ange avec une bouche pulpeuse, des cheveux longs frisés châtain et une peau qui a l'air tellement douce! Elle s'appelle Luisa et doit avoir environ 22 ans.

Un matin, alors que je mate gentiment ses seins, je me rends compte qu'elle n'est pas connectée sur l'application de l'entreprise. Je vois sur son écran des photos et ce qui me semble être une conversation.

Je me connecte au système de supervision. Elle discute sur un site de rencontre, plutôt hot, bien connu...

Cela commence à m'intéresser tout particulièrement!

Et si je profitais du vice de ces belles pour assouvir les miens...

J'attend tranquillement qu'elle aille manger et prends la main sur son ordinateur. Je surveille en même temps la caméra pour être certain de ne pas me faire attraper...

J'ouvre son navigateur et tombe sur la conversation du matin.

Elle parle de sexe assez crûment avec un homme. Elle lui a envoyé des photos d'elle nue en train de se caresser. Je peux vérifier qu'elle est vraiment bandante, encore plus que dans mes rêves! Elle a un petit minou rasé particulièrement excitant et de jolies lèvres toutes roses.

L'homme lui dit qu'il aimerait qu'elle le suce, elle est excitée comme une chienne et lui dit qu'elle aimerait prendre toute sa bite dans sa bouche.

L'homme lui demande de se prendre en photo au bureau et de le surprendre.

Elle lui envoie quelques selfies d'elle le chemisé ouvert depuis son bureau...

Je note l'heure!

Il lui en demande plus et lui demande de se prendre en photo avec un doigt dans la chatte.

Elle lui envoie quelques nouvelles photos prises depuis les toilettes de l'entreprise en train de se masturber.

C'est visiblement une chaude!

Je prends le soin de faire des copies d'écran, de noter les heures et de sauvegarder le tout.

Je retourne sur les enregistrements vidéos et sauvegarde le moment où elle ouvre son décolleté pour prendre ses seins en selfie.

Je continue à enregistrer pendant quelques jours ses échanges hot.

J'ai maintenant des dizaines de pages d'échanges, de photos et vidéos hots de ma belle Luisa.

Il est temps de passer à la vitesse supérieure...

J'attend la fin de la journée en rédigeant un rapport reprenant l'ensemble des éléments, les heures, les textes, les photos.

J'écris un mail à Luisa :

"Bonjour,

Je vous contacte car une activité interdite dans l'entreprise a été détectée sur votre ordinateur. En effet, des accès réguliers au site xxyyzz69.com ont été relevés durant vos heures de travail.

Je vous adresse un ensemble d'éléments que je communiquerais au DRH dès demain matin afin qu'il puisse traiter ce problème.

Cordialement.

Pierre

Ingénieur sécurité réseau"

J'envoie le mail et regarde Luisa sur la vidéo de surveillance.

Après quelques minutes, je la vois, toujours rayonnante, ouvrir son courrier électronique et changer de tête en l'espace de quelques secondes.

Elle regarde à droite et à gauche pour vérifier qu'elle est seule. Elle est rouge pivoine et est visiblement stressée.

Elle consulte l'organigramme de l'entreprise. Elle n'est pas au courant de mon existence et doit chercher où se trouve mon bureau...

Mon plan est en train de se dérouler parfaitement.

Je la vois se lever et aller aux toilettes. Elle en ressort avec son chemisier blanc ouvert sur son décolleté, maquillée de frais, avec un joli rouge à lèvre. Elle porte une superbe jupe noire bien moulante. Elle est clairement bandante!

Je la vois se déplacer vers les ascenseurs.

Elle ne va pas tarder à arriver...

Mon étage déjà très calme en tant normal est maintenant désert.

Après quelques minutes, je l'entends arriver dans mon couloir. Ma porte est fermée.

Elle s'arrête devant et attend quelques secondes.

Elle est visiblement très stressée.

Elle frappe.

Je prends une voix grave et autoritaire.

Moi : "Oui, entrez"

Elle ouvre doucement la porte et entre dans mon bureau.

Elle est encore plus bandante en vrai que sur les vidéos!

Luisa : "Bonsoir, je m'appelle Luisa"

Moi, avec un rictus salace : "Bonsoir, oui, je vous reconnais"

Luisa est visiblement ébranlée par ma réponse aussi directe et abrupte.

Luisa : "Vous venez de m'envoyer un courrier électronique délicat..."

Moi : "Je ne peux rien pour vous. Le dossier est constitué. Le DRH l'aura sur son bureau dès demain matin."

Je prend une voix très solennelle et grave :

Moi : "Vous connaissez le règlement de l'entreprise. Vous avez signé la charte informatique. Seule l'utilisation professionnelle d'Internet est autorisée. Votre cas est aggravé par ces conversations, photos et vidéos pornographiques!"

Elle se décompose devant moi et commence à trembler légèrement.

Moi : "De plus, vous avez pris des photos érotiques et pornographiques pendant vos heures de travail. J'ai consigné l'ensemble de ces éléments."

Je laisse volontairement un long silence afin que la gravité de sa situation s'impose à elle-même. Après plusieurs secondes, elle est déjà visiblement abattue.

J'en profite pour la mater ouvertement. Elle a un décolleté vraiment sexy et une bouche tellement pulpeuse.

Moi : "Je ne comprends pas votre présence, je ne peux rien pour vous. Vous ne ferez plus parti du personnel d'ici la fin de la semaine"

Luisa commence à avoir les yeux rouges. Elle est encore plus belle.

Luisa, d'une voix faible : "J'ai fait des très grosses erreurs. Je n'aurais jamais pensé que quelqu'un pourrait le savoir et pire, disposer de mes échanges, de mes photos et de mes vidéos!"

Luisa : "Je suis morte de honte que vous aillez pu les lire et les regarder"

Luisa : "J'ai besoin de ce travail pour vivre, mais pire que mon licenciement, c'est que le DRH puisse voir ces documents qui me fait le plus mal"

Moi : "Je vous arrête immédiatement, il n'y aura pas seulement le DRH. Votre dossier sera présenté devant un conseil de discipline composé de représentant du personnels, du DRH, et d'une grande partie de la direction de l'entreprise"

Luisa : "Oh, mon dieu! Quelle horreur!"

Moi : "Vous serez convoqué et devrez vous expliquer de ces échanges et de ces photos"

Luisa est presque morte devant moi. Son cœur bat très vite et je suis hypnotisé par sa poitrine qui monte et descend au rythme de sa respiration accélérée. Elle est vraiment bandante et est prête à craquer.

Elle commence à pleurer.

Moi d'une voix dure : "Je ne suis pas là pour vous voir pleurnicher. Je vous remercie de me laisser tranquille!"

Luisa, tout en pleurant : "S'il vous plaît, n'envoyez pas ce rapport au DRH... S'il vous plaît, je vous en supplie! J'ai besoin de ce travail pour vivre et je serais morte de honte si ces photos devaient être rendues publiques dans l'entreprise! "

Moi avec un regard noir : "C'est mon travail mademoiselle"

Luisa : "S'il vous plaît, je vous donnerais de l'argent..."

Elle mange maintenant dans ma main. Cette jeune secrétaire sexy qui ne m'aurait jamais regardé en temps normal est en train d'essayer de me soudoyer. C'est parfait, mais ce n'est pas son argent que je veux. Elle sera mienne ou sera virée!

Moi : "Je suis ingénieur, je gagne bien ma vie. Je ne vais pas risquer ma situation dans l'entreprise pour de l'argent. Cela n'a aucun sens"

Elle est stupéfaite et ne s'y attendait pas...

Je commence à me lever pour la raccompagner à la porte.

Elle perd pied. Elle sera mienne...

Luisa : "S'il vous plaît, attendez, écoutez moi..."

Moi : "Si vous n'avez rien d'autre à me dire, je vous remercie de me laisser travailler!"

Luisa : "Je suis prête à tout, on peut s'arranger, attendez..."

Je continue à m'avancer lentement en la regardant. Tout d'abord droit dans les yeux avec un regard noir et décidé. Puis lentement, je regarde son décolleté avec un regard toujours autant sévère. Dans ma tête, je suis déjà excité comme un fou, mais je ne laisse rien paraître.

Elle commence à comprendre qu'elle pourrait proposer autre chose...

Luisa prend une voix plus douce et plus profonde. Elle me regarde avec ses yeux en pleurs.

Luisa : "Je pourrais vous proposer un arrangement plus concret pour que vous fermiez les yeux..."

Moi : "Je ne comprends pas, expliquez vous, ne tournez pas autour du pot, vous me faites perdre mon temps!"

Je la regarde droit dans les yeux et elle se lance...

Luisa : "Imaginons que je vous fasse une petite gâterie, là, maintenant... Vous pourriez oublier ce rapport..."

Je ne réponds pas de suite. J'attends quelques secondes sans rien dire.

Elle est résignée à me sucer pour sauver sa situation, son travail, son honneur. Mais j'en veut beaucoup plus...

Moi : "Vous vous rendez compte de ce que vous me proposer?"

Luisa : "Vous ne le regretterez pas, je vous en prie!"

Moi, crûment : "Vous me proposez une simple pipe contre votre travail et votre honneur!"

Luisa est choquée, elle pensait me tenir et ne sais plus quoi faire...

Luisa : "Mais, attendez, ..., s'il vous plait, ... , je ferais tout ce que vous voulez!"

Je prends encore quelques secondes avec un air plus intéressé et un regard très sombre.

Moi : "Mmmm, vous êtes sérieuse?"

Luisa : "Oui bien sûr!"

Elle voit une lueur d'espoir et commence à me sourire avec une naïveté incroyable!

Elle est vraiment bandante. Il faut que je garde le contrôle de la situation...

Moi : "Je peux effectivement oublier ce dossier, mais pour plus qu'une simple pipe"

Luisa : "Oh merci! Merci! Que voulez-vous? Je ferais tout pour que cette histoire n'aille pas plus loin"

Luisa est visiblement heureuse, mais ne sait pas encore ce qui l'attend...

Moi : "Je vous propose de m'appartenir pour un mois complet. En échange, j'oublierais votre dossier."

Luisa : "Je ne comprends pas ce que vous entendez par appartenir."

Moi : "Vous serez ma chose, mon esclave sexuelle. Vous ne devrez rien me refuser pendant un mois entier"

Luisa : "Mais ... , comment ..., mais ..., vous êtes sérieux?"

Elle commence à prendre la mesure de ce que je lui demande. J'ai l'impression d'y être allé un peu fort. Je ne dois plus reculer.

Moi : "C'est ma seule et dernière proposition. Vous me répondez maintenant. Si non, je dépose votre dossier dès demain matin sur le bureau du DRH."

Elle reste sans voix quelques secondes. Elle a visiblement du mal à choisir. Je fais semblant de m'énerver. Elle est jeune, se sent coupable et est visiblement impressionnée par mon autorité et mon agacement.

Moi : "Alors..., vous me faites perdre mon temps..., ça suffit, sortez"

Luisa : "Noooon, nooooon, s'il vous plait... Je suis d'accord"

Luisa a craqué, elle est mienne...

Moi : "Très bien, voici les règles :

- je commande, tu obéis

- tu n'obéis pas, notre accord s'arrête et je donne le dossier au DRH"

Moi : "C'est très simple. Tu es d'accord?"

Luisa, la tête baissée : "Oui, je suis d'accord..."

Moi : "Cela commence dès maintenant!"

Moi : "Je t'appellerais ma petite pute ou ma petite salope. Toi tu m'appelles maître et tu me vouvoies"

Luisa : "Oui d'accord..."

Je la regarde d'un air sévère et attend la suite...

Luisa : "Oui maître"

Moi : "Parfait, tu apprends vite ma une petite salope!"

Elle pleure en silence devant moi. Les bras le long de son superbe corps. Elle attend la suite...

Moi : "Tourne sur toi même lentement"

Elle s'exécute. Je commence par des consignes simples pour qu'elle s'habitue à sa nouvelle situation.

Moi : "Tu es une jolie petite pute!"

Je n'avais pas encore vu son cul en vrai. C'est impressionnant, un petit cul rebondi parfait. Je vais passer le plus beau mois de ma vie...

Je lui donne une bonne claque sur son cul pour vérifier la qualité de ma nouvelle esclave. Elle sursaute, mais se laisse faire.

Moi : "regarde moi"

Luisa : "Oui maître"

Je me rapproche d'elle. Je suis à quelques centimètres. Je me retiens pour ne pas la sauter directement. Mais, je veux en profiter le plus possible!

Je lui caresse le visage. Elle sursaute, mais se laisse faire.

Je passe mon doigt sur ses lèvres. Elles sont humides et pulpeuses.

Moi : "Suce mon doigt"

Elle hésite quelques secondes...

Moi : "Ne me fait pas répéter..."

Elle ouvre sa bouche et commence à sucer timidement mon doigt.

Moi : "Mieux que ça, tu ne sais pas sucer un doigt! Applique toi!"

Elle se reprend, visiblement un peu vexée et commence à sucer mon doigt en utilisant sa langue. Je m'imagine déjà ma bite dans sa bouche.

Je sors mon doigt de sa bouche. De la salive coule de ses lèvres.

Je m'approche et l'embrasse. Elle se laisse faire.

Je rentre ma langue et fouille sa bouche. Elle participe timidement. Je m'arrête et la regarde sévèrement.

Moi : "Une petite pute qui ne sait pas embrasser?! Applique toi, Pendant un mois, j'exige que tu mettes toute ta motivation pour me faire plaisir. Sinon notre accord s'arrêtera immédiatement!"

Je vois qu'elle se reprend.

Luisa : "Oui maître, excusez moi"

Je l'embrasse à nouveau et là, je vois la différence. Non seulement elle participe, mais elle embrasse bien. Je l'encourage en la caressant.

Mes mains vont sur ses seins. Ils sont fermés et relativement gros pour son âge.

Je descends sur son cul. Il est incroyable. Cela faisait des années que je n'avais pas eu un petit cul aussi bandant dans mes mains!

Je recule, elle attend.

Moi : "Déshabille toi, ma petite pute"

Moi : "Montre moi ton corps de salope"

Luisa : "Oui maître"

Elle commence par enlever son chemisier et attend. Elle a un soutient gorge blanc en dentelle plutôt sexy. Je la regarde faire sans rien dire. Elle comprend qu'il faut qu'elle continue.

Elle descend sa jupe moulante. Elle a un string blanc assorti au soutient gorge.

Sa peau bronzée la met encore plus en valeur.

Quel corps!

Je l'avais vue en photo, mais là c'est cent fois mieux.

Elle enlève ses chaussures.

Moi : "Demain, tu viendras avec des chaussures à talons sexy. Je ne supporte pas ces chaussures plates. Elles ne mettent pas en valeur ton corps de pute!"

Luisa : "Oui maître"

Moi : "Attends, je vais continuer à ta place. Tourne toi!"

Elle se tourne. Je vois son petit cul bombé devant moi dans son string blanc. C'est du délire.

Je dégrafe son soutien gorge.

J'en profite pour m'approcher et me coller à elle. Ma bite est collée à son cul. J'en ai mal tellement elle est compressée dans mon pantalon.

Je l'embrasse dans son cou. Elle frissonne. Je fais glisser son soutien gorge et j'attrape ses deux seins. je les malaxe. Sa peau est douce et ses seins tiennent fièrement. J'attrape ses bouts et je les pince et les tire doucement. Ils durcissent. Je l'entend sangloter doucement. Ça m'excite encore plus.

Moi : "Je ne vais pas te supporter à pleurnicher pendant un mois! Participe avec le sourire et l'envie de me faire plaisir, sinon part"

Luisa : "Oui maître, excusez moi"

Elle est maintenant devant moi avec seulement son string.

Il est temps qu'elle travaille un peu...

Moi : "Mets toi à genoux devant moi"

Elle descend sur ses deux genoux. Elle a la tête au niveau de ma bite. Je suis excité comme un taureau.

Moi : "Très bien, ma petite pute. Il est temps que tu me prouves que j'ai fait le bon choix en te prenant comme vide couille pour un mois."

Je la regarde dans les yeux. Elle se force à sourire et me fait un signe d'acceptation de la tête. Je m'arrête et la regarde encore sévèrement.

Luisa : "Oui maître, je vais tout faire pour vous prouver que vous avez eu raison"

Moi : "Tu as intérêt!"

Je déboutonne mon pantalon. Je commence à me sentir mieux. Je le descends sur mes chevilles. Luisa a mon caleçon devant sa bouche. Elle voit clairement la bosse de mon sexe.

Je descend et libère enfin mon sexe.

En se dépliant, il vient taper le visage de Luisa. Elle est surprise par sa taille, mais ne bouge pas.

Moi : "Tu vas me sucer en t'appliquant bien. Je veux que tu gardes tes mains dans ton dos et qu'à aucun moment tu ne les utilises."

Moi : "Allez ma petite pute, fait plaisir à ton maitre"

Luisa s'avance et commence par embrasser mon gland. Ses lèvres sont chaudes et pulpeuses, mon sexe grossit encore. Je ne dis rien et la regarde faire, je positionne mes mains sur ma taille.

Elle sort sa langue et me lèche mon gland. Elle joue le long de mon sexe et revient sur mon gland. Je vois qu'elle essaye réellement de bien faire. Elle s'applique et est manifestement décidée à me prouver que j'ai fait le bon choix. J'en demandais pas plus de ma petite pute!

Après l'avoir léché et embrassé, elle commence à le prendre en bouche et à le sucer. Au début que le bout. La sensation est intense. Sa bouche chaude et humide autour de mon gland accélère mon rythme cardiaque.

Elle me prend plus profondément en bouche et commence une pipe bien baveuse en s'arrêtant au milieu de la longueur de ma bite.

J'ai l'impression qu'elle a pris confiance en elle et qu'elle pense bien faire. C'est le moment de la déstabiliser.

Moi : "C'est comme ça que tu suces une bite? C'est ta première fois?"

Moi : "Tu en parlais mieux dans tes messages que ce que tu sais faire dans la réalité"

Moi : "Sors ta langue et descends complètement jusqu'à ce qu'elle touche mes couilles. Ne t'arrête pas avant et recommence!"

Je sens qu'elle a sorti sa langue. Ma bite est grosse dans sa bouche qui est déjà bien ouverte. Elle va devoir prendre toute ma bite dans sa bouche et dans sa gorge pour y arriver.

Je vois qu'elle est moins sûre d'elle, mais qu'elle veut bien faire. Cela m'excite.

Elle descend doucement sur ma bite, centimètre par centimètre tout en me suçant avec des petits va et vient.

Elle commence à s'habituer. Il ne lui reste plus que cinq centimètres à avaler quand ma bite arrive à l'entrée de sa gorge. Elle n'a visiblement pas l'habitude des gorges profondes. Elle va devoir s'y faire rapidement!