Quatre à Quatre Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Bizarrement, je ne me suis plus fait jouir depuis le lendemain, elles me posent la question tous les jours appréciant mon abstinence. Celle-ci me pousse dans une fièvre sexuelle inconnue. Même à la maison, mon sexe est bandé très souvent, mais personne ne me l'a reproché, cela fait juste sourire Julie. Papa et Maman, depuis la soirée, semblent un peu ailleurs. Cette famille est tellement chaude, j'étais certain de les voir en partouze en redescendant de la chambre des filles. Je les ai juste trouvés tous les deux un peu dans le vague, sans doute l'alcool.

Les jumelles m'ont proposé de venir les voir ce soir. Julie est déjà sortie depuis le début de l'après-midi et je suis seul à la maison, je suis stressé de les revoir. Et excité bien entendu, en particulier par Cila qui m'ouvre la porte. Cette fois-ci, elle est dans une robe mini en latex rose clair, moulant tellement ses seins que je vois des anneaux sur ses tétons. La vision est folle. En la suivant, j'ai une vue imprenable sur ses fesses d'où émerge un cylindre métallique très épais, mon sexe en manque est dur comme l'acier, cette fille est une bombe sexuelle. Je me demande si je pourrais lui demander de me sucer à nouveau, mais je préfère m'en remettre aux Jumelles.

Elles sont dans les bras l'une de l'autre quand j'arrive, et me regardent venir avec un grand sourire. Elles me font me mettre nu devant Cila, et apprécient mon érection qui doit porter mon sexe à 10 centimètres, sans se moquer. Elles remarquent à quel point je suis peu poilu, et me demandent si me suis déjà épilé le sexe.

- Oui, en été, quand nous partons en club naturiste.

- Pourquoi pas tout le temps?

- Je ne sais pas

- Tu vas faire de l'épilation laser, tu verras c'est rapide et définitif

- Je ne sais pas si mes parents seront d'accord

- Je parie que si (Estelle me sourit, certaine de la situation)

- Alors, dis-nous, que viens-tu faire ici, nu, à genoux aux pieds de notre lit (Christelle semble plus sérieuse que d'habitude)

- Je... je ne sais pas?

- Tu ne sais pas (Estelle me sourit mais ses yeux me transpercent)? Tu nous écris des mots de plus en plus enflammés, tu nous as dévoilé tes fantasmes les plus poussés, tu nous as promis plein de choses, alors pourquoi tu as là?

- Pour être votre jouet (Je baisse la tête, le sexe prêt à exploser, ce qui ne leur échappe pas)

- Un peu plus que cela non?

- Votre soumis Mesdemoiselles

- C'est mieux, mais j'ai le souvenir d'autres mots que tu avais prononcés

- Oui

- Alors?

- Votre esclave (Je murmure, tellement cela m'excite et me met devant un abysse)

- Très bien, tu en as toujours l'envie? Nous n'avons pas envie de perdre notre temps

- Oui Mesdemoiselles

- Bien, je pense que tu sais aussi bien que nous ce que cela implique, mais nous allons quand même te donner quelques petites règles, tu veux bien?

- Oh oui Mademoiselle (Je baise un pied qu'Estelle vient de présenter à ma bouche, à sa grande satisfaction)

- Bien, pour commencer interdit de jouir sans notre consentement. Dès maintenant nous allons te mettre une petite cage de chasteté, j'espère qu'elle n'est pas trop grande pour ton micropénis (Je suis tellement humilié par la caractérisation de mon sexe que j'acquiesce, comme une évidence). Dans quelques mois, tu auras un piercing pour le maintenir mieux en place, mais en attendant tu auras une chaîne pour le sécuriser.

- Ensuite tu nous obéis en tout et pour tout, sans réfléchir, sans rechigner, sans hésiter. Sinon c'est punition. Tu comprends? C'est facile, pas à réfléchir, jamais.

- Oui Mesdemoiselles

- Très bien, pour bien que tu comprennes, dès que tu auras ta cage nous allons te donner ta première punition, comme cela tu sauras à quoi t'attendre, d'accord?

- Oui Mademoiselle. (Là encore je dis cela comme une évidence, je suis totalement incapable de penser, et de réaliser ce qu'elles me disent, je dirais oui à tout et pour tout!)

- Mais c'est bien cela, tu me sembles l'esclave mâle qu'il nous faut. Evidemment exclusivité de ta part, tout chez toi doit être tourné vers nous deux, nous devenons tes Déesses, et nous voulons sentir comme tu nous vénères à chaque instant. Tu viens chaque fois qu'on te le demande, tu ne fais rien sans autorisation, c'est compris? Cela te convient?

- Oh oui Déesse, j'ai beaucoup de chance

- Et beaucoup d'excitation à ce que je vois, ton sexe est si dur. Fais-toi jouir, là devant nous, profite, cela ne t'arrivera plus souvent du tout.

Je ne me fais pas prier, ne retenant pas la fin de la phrase et il ne me faut que dix secondes pour éjaculer sur le parquet. C'est là que je réalise ce qui m'attend.

- Tu sais quoi faire

Oui je sais quoi faire, je me rappelle que je ne dois pas hésiter, je bloque ma respiration, et je vais lécher les quelques gouttes de sperme qui ont giclé. Ce n'est pas la première fois que je bois mon sperme. Les jumelles ne sourient plus, elles sont très impressionnantes à deux. J'apprends que je dois continuer à vivre nu à la maison, et devant mon effroi, elles me rassurent, mes parents n'y verront aucun inconvénient. Et Julie? Encore moins. Nous n'avons pas de pudeur, pouvant passer nu dans le couloir, mais de là à vivre nu tout le temps, je n'ai pas le choix, et je leur fais confiance.

La cage est en silicone rose, mon sexe, même petit, est très comprimé dedans, tout comme la base, faisant ressortir mes petites couilles. C'est très excitant comme contact, mais un peu humiliant comme couleur je trouve. Une chaine est cadenassée serrée autour de ma taille, la cage ne bouge pas d'un millimètre, je ne peux pas me toucher c'est clair. Je leur avoue que j'en ai beaucoup rêvé, et elle se moque de moi en me disant que je vais le regretter très vite.

Avant de me punir, pour me montrer, les deux filles me prennent alternativement en levrette, se reposant entre deux assauts, tandis que je suis vite exténué. Elles travaillent intensément mon anus, me promettant des souffrances pour les trois jours qui viennent, et que la prochaine fois le gode sera plus gros. Elles veulent que je puisse prendre leurs deux mains en moi! Cela me fait bander en vain, l'afflux de sang pousse la cage en avant, et provoque une douleur généralisée. Quelle frustration de ne pas pouvoir même bander. J'ignorais que ce plaisir fut si fort avant qu'il ne me soit désormais interdit, ou du moins contrôlé.

Attaché les mains au plafonds, je remarque alors plusieurs crochets à différents endroits de leur grande pièce, j'ai un peu peur. Je n'ai jamais été fouetté, et je ne sais pas comment cela se passe. Estelle et Christelle ont chacune une cravache, et tournent autour de moi, me frappant doucement, c'est très agréable. Les coups accélèrent, j'arrive à gérer, je trouve cela tellement impressionnant de les voir harnachées ainsi. C'est alors qu'elles m'annoncent que la punition commence. Les cravaches laissent la place à ce que j'apprendrai être des badines.

Le premier coup me surprend, avant que la douleur n'irradie, j'ouvre la bouche, cela fait très mal. Pas le temps de reprendre mes esprits, un autre coup, sur le ventre cette fois m'arrache un cri déchirant. Estelle met le son de la musique très fort, et je passe une demi-heure à pleurer et supplier, à bondir, à souffrir, à être marqué de toutes parts. Je leur promets que je serai le plus obéissant de tous les esclaves, que je suis tout à elles, je suis dans un délire de souffrance, sans savoir quand elles vont se calmer. Elles terminent par des coups d'une violence folle, entamant ma peau, me faisant râler, je suis à l'agonie. Je m'effondre au sol une fois les liens défaits, je me jette à leurs pieds, les embrassant avec folie, les remerciant de m'avoir libéré, ce qui lui fait beaucoup rires. Je suis en pleine dévotion.

Christelle me prend dans ses bras, c'est divin, Estelle m'embrasse le corps, lèche mes blessures, enfonce son ongle dans certaines d'entre elles, cela brûle mais je m'en moque, je m'offre.

- Il faut que tu saches que si tu es tout tourné vers nous, ce n'est pas réciproque

- C'est normal Mesdemoiselles

- Tu ne seras pas jaloux s'il y a un ou une autre esclave?

- Non Mesdemoiselles

- Cela t'exciterait que ce soit une autre esclave?

- Oui Mesdemoiselles

Alors tout est parfait, les deux jumelles rient sans pouvoir se retenir, tandis qu'elles ôtent un paravent que je n'avais pas remarqué. Derrière, Julie est ligotée, les jambes ramenées au cou retenues par ses gros seins qui sont attachés à leur base, violacés, le sexe et le cul remplis d'une brosse à cheveux ronde enfoncée profondément, la bouche bâillonnée d'une boule que je juge bien trop grosse et le corps strié comme moi. Les yeux baissés, elle n'ose croiser mon regard. Je regarde les jumelles abasourdi, et honteux de l'excitation que j'ai à regarder Julie. Elle est très excitante, je ne m'en étais jamais rendu compte! Je l'entends gémir au travers de son bâillon, je comprends que c'est de honte d'apparaître ainsi devant moi.

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Anonymous
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3 Commentaires
Sangohan2Sangohan2il y a 17 jours

Dommage qu'il y ait autant de détails sur ce qui arrive à Kévin et rien du tout pour savoir ce qui est arrivé à Julie

AnonymousAnonymeil y a 25 jours

Merci Meo pour ce délicieux moment. Je suis un de vos fans, j'adore vos histoires. Je les relis souvent plusieurs fois. Celle ci est un grand cru. Inutile de vois dire à quel point j'ai envie de lire la suite. ( et à quel point je m'identifie au mari lopette). Merci, merci et encore merci pour ces superbes histoires

AurailiensAurailiensil y a 26 jours

Ça commence à piquer... je crains le pire pour cette charmante famille ! Une belle brochette de personnages en tout cas. Merci Meo

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